Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Servi par des acteurs brillants, les petits comme les grands, parsemé d'éclairs de génie dans la mise en scène et le montage, et très justement ponctué d'une pudeur dans le dialogue et dans le scénario, "Quand je serai petit" nous offre une fable rondement menée, (presque) toujours maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Une grande partie de la magie de ce long métrage de Jean-Paul Rouve tient à l'équilibre miraculeux entre le conte philosophique et le réalisme avec lequel il filme cette histoire (...) Les dialogues soignés sonnent juste et, malgré l'étrangeté de l'intrigue, c'est la vie, avec sa légèreté, sa poésie et ses drames, qui se déroule sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En dehors d'une fin quelque peu appuyée, Jean Paul Rouve (...) privilégie les non-dits et l'émotion plutôt que la démonstration. D'où une large place laissée à la sensibilité des comédiens.
Tout cela est assez joliment pensé et exécuté, le film touche avant tout par l'équilibre qu'il parvient à maintenir entre un passé et un présent que le cinéma seul offre de confondre en un seul même instant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
D'abord troublant, voire déconcertant, ce conte réaliste à connotation psychologique se révèle au final une tendre comédie dramatique où il ne se passe pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si on pouvait revivre son enfance, pourrait-on changer le cours des événements ? C'est la problématique du deuxième film de J-P. Rouve, comédie attachante qui cède toutefois à la facilité du divertissement familial.
Jean-Paul Rouve ouvrage un conte philosophique attachant (...). Dommage qu'[il] se sente obligé d'envoyer les violons dans le dernier quart d'heure, offrant une conclusion un peu lourde à sa fable légère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Autour des fêlures de l'enfance et des non-dits, l'ex-Robin des bois décoche une oeuvre intimiste et délicate dont l'émotion, après un début déstabilisant, va crescendo.
Joli film "à la japonaise" sur l'enfance, son deuil et sa nostalgie, "Quand je serai petit" demeure néanmoins trop sage, trop scolaire pour décoller vraiment.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Dans les paysages gris du Nord, il s'agit surtout de nostalgie et d'amour : personnage inquiet et tendre, Mathias croit aussi retrouver son père (Benoît Poelvoorde), qu'il a perdu. Leurs tête-à-tête, justes, pudiques, sont les meilleurs moments de ce drôle de voyage introspectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si l'idée de revivre son passé pour en corriger les scories est sympathique, celle de se prendre d'une affection paternelle pour son double a quelque chose de monstrueux, que l'auteur accentue en jouant la carte du pathos plutôt que celle de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le résultat, terrifiant, relève plutôt de la comédie qui s'ignore, d'un mélo Z lesté d'invraisemblables virevoltes de scénario, d'un fond de psychologie bêtasse et de numéros d'acteurs apathiques (...). La gêne totale.
Metro
Avec "Quand je serai petit", Jean-Paul Rouve bouscule les genres et touche en plein coeur, sans en rajouter.
Filmsactu
Servi par des acteurs brillants, les petits comme les grands, parsemé d'éclairs de génie dans la mise en scène et le montage, et très justement ponctué d'une pudeur dans le dialogue et dans le scénario, "Quand je serai petit" nous offre une fable rondement menée, (presque) toujours maîtrisée.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Une grande partie de la magie de ce long métrage de Jean-Paul Rouve tient à l'équilibre miraculeux entre le conte philosophique et le réalisme avec lequel il filme cette histoire (...) Les dialogues soignés sonnent juste et, malgré l'étrangeté de l'intrigue, c'est la vie, avec sa légèreté, sa poésie et ses drames, qui se déroule sous nos yeux.
Le Journal du Dimanche
En dehors d'une fin quelque peu appuyée, Jean Paul Rouve (...) privilégie les non-dits et l'émotion plutôt que la démonstration. D'où une large place laissée à la sensibilité des comédiens.
L'Obs
Tout cela est assez joliment pensé et exécuté, le film touche avant tout par l'équilibre qu'il parvient à maintenir entre un passé et un présent que le cinéma seul offre de confondre en un seul même instant.
Le Parisien
D'abord troublant, voire déconcertant, ce conte réaliste à connotation psychologique se révèle au final une tendre comédie dramatique où il ne se passe pas grand-chose.
Les Fiches du Cinéma
Si on pouvait revivre son enfance, pourrait-on changer le cours des événements ? C'est la problématique du deuxième film de J-P. Rouve, comédie attachante qui cède toutefois à la facilité du divertissement familial.
Première
Jean-Paul Rouve ouvrage un conte philosophique attachant (...). Dommage qu'[il] se sente obligé d'envoyer les violons dans le dernier quart d'heure, offrant une conclusion un peu lourde à sa fable légère.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Autour des fêlures de l'enfance et des non-dits, l'ex-Robin des bois décoche une oeuvre intimiste et délicate dont l'émotion, après un début déstabilisant, va crescendo.
TéléCinéObs
Joli film "à la japonaise" sur l'enfance, son deuil et sa nostalgie, "Quand je serai petit" demeure néanmoins trop sage, trop scolaire pour décoller vraiment.
Télérama
Dans les paysages gris du Nord, il s'agit surtout de nostalgie et d'amour : personnage inquiet et tendre, Mathias croit aussi retrouver son père (Benoît Poelvoorde), qu'il a perdu. Leurs tête-à-tête, justes, pudiques, sont les meilleurs moments de ce drôle de voyage introspectif.
Ecran Large
On ne comprend pas ici où il veut aller à l'image d'un final qui laisse perplexe.
Le Monde
Si l'idée de revivre son passé pour en corriger les scories est sympathique, celle de se prendre d'une affection paternelle pour son double a quelque chose de monstrueux, que l'auteur accentue en jouant la carte du pathos plutôt que celle de la comédie.
Les Inrockuptibles
Le résultat, terrifiant, relève plutôt de la comédie qui s'ignore, d'un mélo Z lesté d'invraisemblables virevoltes de scénario, d'un fond de psychologie bêtasse et de numéros d'acteurs apathiques (...). La gêne totale.
Positif
Pas la moindre angoisse, inquiétude ou même fantaisie dans la placide succession des plans.