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    J'enrage de son absence
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    129 critiques spectateurs

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    Catherine V.
    Catherine V.

    56 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2013
    Bonne réalisation dans l'ensemble et excellente interprétation :) Quelques scènes un peu longues, peut être, mais qui ne nuisent pas au film lui même. A voir ++
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 mars 2013
    Tout le talent de Sandrine Bonnaire est résumé dans ce film. Son film. D'abord pour l'humanité qui se dégage de chacun des personnages. Quelle belle idée d'être allé chercher Augustin Legrand, il est parfait dans le rôle du défendeur des démunis, d'ailleurs beaucoup devraient en prendre de la graine. Mais il est aussi très bon en père démuni face au comportement de plus en plus étrange du fiston. Il est beau Augustin, il est grand aussi.
    Alexandra Lamy, qu'enfin je découvre bonne comédienne. Différente que dans son rôle de "fille" de la série trop (re) diffusée. Elle s'est essayée à de nombreuses choses, rôles mais jusque là je n'arrivais pas à y croire. Et Sandrine Bonnaire est arrivée avec caméra et direction d'acteurs de qualité. La nouvelle Alexandre Lamy est née. Elle est épatante dans ce film. Pas spécialement belle mais lumineuse. De toute façon on se moque qu'une actrice soit belle, ce qu'on lui demande c'est de nous faire partager sur deux heures une histoire à laquelle on croit (ou pas).
    Enfin le magnifique William Hurt. On ressent très vite l'amour qu'il porte à sa réalisatrice. Ils ne sont plus amoureux mais s'aiment point. Il lui donne tout ce qu'il a. Son talent et toutes les perfections. Il suffit de poser un instant la caméra sur le visage de cet acteur pour ressentir au même moment ce qui le traverse.
    Bouleversant.

    Puis le regard que pose la réalisatrice sur ses acteurs est d'une pudeur incroyable. Elle laisse faire, attend et pointe sa caméra là où il faut. Pas de voyeurisme ni de pathos. Ce qu'il faut.

    Enfin, ce que je retiens c'est la simplicité. Du décor, des costumes, de la richesse ..... rien n'est grand (sauf Augustin) rien n'est exagéré. C'est la vie de petites gens ni pauvres ni riches et parallèlement on a affaire à un homme qui revient dans la maison de son père (disparu) richissime, lui même semblant être plutôt à l'aise, mais on ne nous en met pas plein la vue du fric. C'est en cela aussi qu'on reconnait l'actrice Sandrine Bonnaire. Simple, juste et délicate.

    Seul bémol : la lenteur. Il manque quelque chose pour que ce film soit parfait de mon point de vue. Quelque chose de plus actif dans la douleur du personnage joué par Alexandra Lamy. Elle a perdu son enfant. Elle a refait sa vie avec un autre homme et lui a fait un enfant. Un pour remplacer l'autre ? on ne sait pas ce qui la traverse. On imagine.

    C'est un beau film de Sandrine Bonnaire.
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    17 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Ce film de Sandrine Bonnaire est original, maitrisé. William Hurt y déploie l'étendue de son talent. Seul problème: on a assez vite compris là où elle voulait en venir, et la métaphore Hurt "enterré" comme son fils traine un peu. La fin est seulement narrative, symbolique au bout, alors qu'il aurait fallu la pousser dans un voyage intérieur façon Polanski.
    J'enrage de son absence.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 janvier 2013
    Film touchant ; bons acteurs notamment Alexandra Lamy qui nous surprend dans un rôle inhabituel.
    Myene
    Myene

    18 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Un film d'atmosphère funèbre qui repose sur la crédibilité des acteurs malgré les incohérences de l'histoire , il m'a beaucoup touché.
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2012
    C'est un très bon film français... enfin ! Il y a beaucoup de subtilités psychologiques, c'est très touchant et je suis vraiment épatée par le talent de Sandrine Bonnaire, j'avoue que j'y suis allée à reculons et finalement j'ai eu une très bonne surprise ! vivement le prochain
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    L'histoire de J'enrage de son absence, la première fiction réalisée par l'actrice Sandrine Bonnaire (après son documentaire très remarquée sur sa soeur, Elle s'appelle Sabine"), est en effet tournée entièrement autour d'un décès d'un enfant, celui du petit Mathieu, 4 ans, mort à 4 ans dans un accident de la route, neuf ans avant le début de l'histoire.

    De retour en France pour enterrer son père, Jacques, le père de cet enfant, retrouve celle qui fut sa femme, Madeleine,qui s'est remariée, a eu un autre fils, Paul.

    Et c'est sur lui que la passion de Jacques se fixe, désespérée, dévorante, absurde. Une déraison, que le spectacteur peut bien sur plus facilement comprendre qu'une folie d'un psychopathe (car celle ci ne possède pas de repère rationnel auquel s'accrocher), n'est pas, pour autant, confortable à regarder, notamment dans le dernier tiers du film où l'existence de Jacques, déjà très tenue, ne se raccrochera qu'au lien avec cet enfant, celui qui vit encore, et qui servira à Jacques de bouée de sauvetage, à défaut d'être l'enfant de substitution dont il révait d'avoir.

    Cette dernière partie, dérangeante à souhait, qui se passe pratiquement constamment dans la pénombre d'une cave où Jacques a pris place, n'est malheureusement pas assez forte et maitrisée pour susciter l'interet du spectacteur. La tension est là, palpable, mais l'intrigue est vraiment trop ténue pour captiver vraiment.

    Cela est d'autant plus dommage que Sandrine Bonnaire avait largement réussi son examen de passage durant la première d'heure, d'excellente facture. Les premières scènes, en peu de mots, et de gestes, arrivent parfaitement à nous retranscrire l'acuité des sentiments et des douleurs enfouies entre ce couple qui se sont aimés follement, avant que la tragédie ne les bouleverse.

    William Hurt, l'ex mari de Sandrine Bonnaire, livre notamment une prestation très impressionnante de fantôme qui ne vit que sur les souvenirs, et dont chaque parole semble être une souffrance et ses scènes avec Alexandra Lamy, dans ce qui est sans contexte un de ses meilleurs rôles (avec peut -être ssa prestation dans le volet des Infidèles) sont très réussies. Par ailleurs, le petit garçon du film, d'une émotion incoyrable, est 100 fois plus convaincant que la plupart des gosses de cinéma.

    En revanche, le personnage du mari actuel, joué plutôt fébrilement par un Aurélien Legrand (temporairement?) sorti de ses combats avec les Don Quichotte est moins convaincant, Bonnaire et Jérome Tonnerre, les coscénaristes ayant visiblement voulu resserer le film autour des 2 personnages principaux, cet être dévasté par le chagrin et ce petit garçon qui pourrait lui redonner gout à la vie, et les autres personnages semblent du coup être un peu sacrifiés.

    En fin de compte, à cause de cette dernière partie ambitieuse, mais hélas un peu ratée, les premiers pas de Sandrine Bonnaire dans la fiction ne sont pas une complète réussite, mais reste tout de même à saluer pour l'ambition et l'intelligence de son sujet.
    lien de l'article en entier http://www.baz-art.org/archives/2012/11/12/25501907.html
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    Le film était vraiment casse gueule sur son papier et pourra peut-être en désabusé certains par le recours continu de Bonnaire à une symbolique, souvent spatiale, dans son film. On voit bien la façon qu'elle a d'opposer deux mondes, celui d'en haut, rayonnant, où la vie a repris tant bien que mal, ou elle a continué, et celui d'en bas, caché, triste, sombre. Sa mise en scène ne cessera de souligner ce contraste entre les deux personnages de Hurt et de Lamy, l'un étant toujours désaxé dans le champs, toujours filmé derrière des grilles, des fenêtres, des grillages, pour montrer son isolement complet (on est du côté de Hurt), l'autre au contraire beaucoup plus centrée, lumineuse et dans l'action (Lamy).
    Le film est troublant, le jeune garçon s'aventure dans un autre monde, celui de Hurt, sans que Bonnaire ne tranche réellement sur est-ce que ces visites masquées sont une bonne chose pour Hurt, pour l'enfant ? Elle ne cherche pas à apporter son avis, Hurt n'est pas filmé comme un fou mais comme un personnage à la dérive. Qui entraîne dans son sillon Lamy et Legrand.
    Un film étrange et plutôt intéressant où on sent le réel désir de proposer quelque chose. C'est parfois un peu lourd, un peu maladroit, mais cela reste intriguant.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    116 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    J'enrage de son absence est drame douloureux sur le chagrin d'un père qui a perdu son enfant. Un film dur sans artifice pour bon scénario fort bien réalisé,
    Stefiwat75
    Stefiwat75

    9 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    C'est un beau film, mais sans histoire... Beau texte, belles images, bon jeu d'acteur... L'histoire n'est pas vraiment crédible!
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Pour sa première fiction, Sandrine Bonnaire a fait appel à son ex-mari, le très talentueux William Hurt. De quoi accentuer la touche personnelle de la réalisatrice puisque l’histoire de J’enrage de son absence s’inspire d’un épisode de sa vie. Le thème de la mort est ici étroitement lié à celui de la famille et impose une certaine tension dès l’annonce du titre à l’écran. Le personnage de William Hurt apparait, dans une voiture : il jette un regard empli de mélancolie sur ce qui semble être une vieille connaissance. Il s’agit de Mado – interprétée par une Alexandra Lamy bouleversante dans un registre qui lui va comme un gant –, ex-femme de l’homme en question. Ensemble, ils ont vécu la naissance d’un enfant et, quatre ans plus tard, son décès. Bien qu’elle y pense toujours, Mado est parvenue à se reconstruire contrairement à Jacques qui, lui, vit une existence monotone pleine de regrets. Elle a un enfant, lui va tenter de se rapprocher de ce dernier… S’il y a bien quelque chose que l’on peut décerner à ce J’enrage de son absence, il s’agit indéniablement de sa sincérité. Bonnaire y met sa rage, ses tripes, ses angoisses pour donner naissance à cette œuvre assez tourmentée et pleine d’émotion. C’est notamment que ce qui donne au long-métrage toute sa puissance, particulièrement lors d’une scène finale bluffante qui nous fait mal au cœur et nous noue l’estomac pendant quelques minutes pleines d’une violence méchamment accentuée par une musique tonitruante et un cadrage vif et brusque à la fois. Par ailleurs, on remarquera que chaque choix de mise en scène effectué par Sandrine Bonnaire entraine souvent un certain effet sur le spectateur. Malgré tout, le long-métrage possède les défauts d’un premier film – d’une première fiction, en l’occurrence – et l’un d’entre eux porte sur la fluidité. J’enrage de son absence aurait pu nous scotcher à notre siège comme il se doit mais ce n’est pas le cas, à cause d’un manque de rythme certain qui tend à rendre le film assez inégal. Il y a quelques longueurs et cela empêche par conséquent l’adéquation totale et véritable du spectateur aux émotions qui se dégagent. Toutefois, ces mauvais aspects demeurent assez moindres à l’échelle de tout ce film aux qualités plus présentes. Il y a tout d’abord cette utilisation on ne peut plus justifiée d’une musique intégrée de bout en bout au récit. De superbes morceaux de Classique qui apportent au film diverses atmosphères plus ou moins paisibles, plus ou moins agressives… Aussi, l’un des points culminants du film réside dans les acteurs. À l’intérieur des acteurs. Ils donnent tout ce qu’ils ont dans le ventre et cela se perçoit à l’écran. William Hurt est cet homme, initialement assez malsain, auquel on s’attache très rapidement par compassion et compréhension. On le voit hors de ces rôles – tout aussi bluffants si ce n’est plus encore – de grosses figures de cruauté à la History of Violence. On le voit dans le drame, dans le mélodrame – car la tonalité tragique du film repose entièrement sur ses épaules et on ne s’en plaint pas à la vue du résultat. Alexandra Lamy, que l’on n’a vu que trop souvent dans des comédies à deux euros, continue sa plongée dans un nouveau registre – furtivement entamé avec un sketch des Infidèles en début d’année. Elle y brille plus qu’elle n’y pleure, c’est dire… Enfin, une part non-négligeable du mérite revient au petit garçon de J’enrage de son absence : Jalil Mehenni. La naissance d’une carrière grâce à une prestation pleine de justesse et d’innocence… En conclusion, J’enrage de son absence est le passage réussi de Sandrine Bonnaire à la fiction. Malgré les indéniables défauts que l’on peut reprocher au long-métrage, il y a quelque chose qui y vibre… L’amour, la mélancolie. Bref, l’émotion. J’enrage de son absence est un moment d’émotion.
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    14 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2012
    Film touchant et dérangeant par ce sujet sensible pouvant toucher chacun de nous et on ne sait pas comment on réagirait... William Hurt tient son role à merveille, les scenes de la cave sont tout de meme un peu longue, mais d'un autre coté il faut que le personnage s'installe, l'enfant est aussi bouleversant, on ne comprend pas toujours les réactions d' A Lamy, mais on sort secoué de la salle avec cette scene finale qui nous prend aux tripes!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Emouvant , on sent la recherche d'une certaine puissance pour traduire la douleur de ces parents mais une fois qu'on y est il manque un truc pour que ce soit aussi fort et ça reste plat.
    Alexandra Lamy est exceptionnelle, elle y est belle et sensuelle à traver un rôle tragique et sa voix est comem il faut ( ce n'ets pas chouchou qui piaille !) et l'enfant joue extrêmement bien. William hurt est torturé, il le porte bien.
    Sujet douloureux, on ne s'apitoie pas c’est déjà ça, mais on reste sur sa faim quant à la reconstruction, possible ou pas, de ces parents.
    Bravo Sandrine Bonnaire vous êtes sur la bonne voie on attend le prochain !
    celiaud
    celiaud

    45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    première partie du film excellente mais dommage que la deuxième partie ne soit pas crédible. On tombe dans du patho, impossible d'y croire. Alexandra Lamy et William Hurt sont excellents mais William Hurt dans la seconde partie là il en fait trop !!! dommage le film a dérapé au milieu et la fin est bâclée, on reste un peu sur notre faim
    130580
    130580

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    Le geste du chut c est un secret par l enfant irrésistible en dit long sur les non dit ...ce vécu de la perte culpabilité interprète magistralement par w Hurt jusqu a sa descente dans l enfer l insupportable.....et la violence exprimée par le père qui ne veut pas perdre son fils son couple magnifique aussi A Lamy.....
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