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    J'enrage de son absence
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    2,7
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    129 critiques spectateurs

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    maroca
    maroca

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Dommage, une première moitié captivante, mais la réalisatrice finit par nous abandonner nous aussi dans cette cave. On aurai tant aimé.... Je suis très triste.
    islander29
    islander29

    863 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 novembre 2012
    je ne sais trop que penser, le film est plein de bonnes intentions, peut être trop....J'ai pour ma part trouvé la musique grandiloquente ( Sandrine Bonnaire nous mettrait presque du Malher ou du Wagner sur un dialogue ou une confrontation,.....l'accuentation est emphatique et crée un certain déséquilibre.....Le style de la caméra, prise de vues, décors, plans fixes se rapproche plutot du téléfilm....par contre le scénario et les personnages tiennent la route et l'on se prend d'affection pour cet homme et ce petit garçon (qui ose déclarer à son père, je préfère l'autre monsieur parce qu'il a besoin de moi.....).....J'aurais aimé aussi une caméra moins nerveuse et une Alexandra Lamy avec un rôle plus appuyé.....Globalement c'est donc une histoire en demie teinte, je comprend qu'on puisse rentrer dans le film mais aussi en sortir tout aussi rapidement, la technique n'étant pas particulierement attrayante......
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Sandrine Bonnaire, je vous aime vraiment bcp, mais malheureusement votre film trop maniéré et cette histoire ne m'ont pas du tout intéressés, rien ne m'a captivé, rien n'a retenu mon attention, si ce n'est un ennui qui peu à peu s'est installé en moi, et comme je m'endormais j'ai préféré quitté la salle...! Mais je vous aime tjrs bcp qd même !!
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Il ne faut pas faire beaucoup de psychologie de l'enfant pour se rendre compte de l'absurdité de la situation. Le pathos est tellement poussé loin qu'il en est risible. Dommage il y avait de l'idée.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    80 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    J'associe pour toujours Sandrine Bonnaire et sa gravité, à Maurice Pialat, Agnès Varda, voire Chabrol.J'ai vu le documentaire sur sa soeur Sabine; bref, je suis le mieux possible la carrière de cette superbe comédienne.
    Cette fois, autant le dire, passée derrière la caméra, j'ai trouvé son film pesant, appuyé encore par la musique qui souligne le "pathos" insistant. Trop de situations invraisemblables auxquelles je n'ai pas souscrit. Si on peut comprendre que William Hurt, muré dans sa solitude, transfère son amour paternel vers ce petit Paul, l'affection et le soutien de tous les instants de Paul pour "cet étranger" ne passe pas !!! William Hurt n'a pas vraiment de "raison impérieuse" de vivre dans ces conditions de "travailleur immigré". Le papa (Augustin Legrand) est un papa "normal"
    Chacun se retrouve obligé de vivre dans le mensonge, vis à vis de l'autre, auprès duquel il s'était pourtant engagé.... Bref, ça m'a semblé mal ficelé. William Hurt, dans son personnage déboussolé, semble parfois absent; seule Alexandra Lamy joue sur les 2 palettes: épanouie ou tendue. UN PEU RATÉ ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    film très subtile mais je trouve qu'il en manque un morceau :la fin
    à cause de cela ce film est plat et il n'a pas trop d'intérêt - il aurait aussi été préférable de nous expliquer le pourquoi de ce film...
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2012
    Sandrine Bonnaire est une comédienne rayonnante et attachante doublée d'une femme de conviction. Pour son premier film de fiction, elle a choisi d'aborder un sujet difficile : comment vivre, survivre, après la perte d'un enfant ? Sur un scénario, inspiré en petite partie de l'histoire de sa mère à qui le film est dédié, Sandrine Bonnaire s'attache aux pas d'un homme, Jacques (William Hurt), qui revient en France pour régler la succession de son père et en profite pour revoir Mado (Alexandra Lamy) avec qui il a eu un enfant aujourd'hui décédé. Mado a refait sa vie et un autre enfant, Paul, 7 ans. Au gré de leurs rencontres, un grande complicité va naître entre Jacques et cet enfant. Gênée par ce rapprochement, Mado interdira à son fils de revoir Jacques qui, par amour (?) va s'installer secrètement dans la cave de l'immeuble où habite son ancienne maîtresse.
    A partir de ce canevas, Sandrine Bonnaire essaie de nous faire partager le désarroi de cet homme dont le deuil est impossible et qui va peu à peu s'enfoncer dans la folie. Malheureusement, elle n'y parvient pas. Le film traîne en longueur, chemine dans les directions incertaines du thriller pour revenir vers une trame mélodramatique. C'est long, très long, très répétitif aussi. William Hurt, le visage fermé, dur, joue l'intériorité. C'est tellement intérieur que je n'ai pas perçu grand chose, ni ambiguïté, ni amour, ni folie. Bloc humain monolithique, il hante le film sans générer la moindre émotion à l'exception peut être de la scène d'où est tiré le titre de ce film. Face à lui, Alexandra Lamy, toute en retenue, est vibrante d'émotion. Chacune de ses apparitions donne de la chair à cette histoire et confirme qu'elle est vraiment une de nos grandes comédiennes aussi crédible dans la fantaisie que dans le drame. Bien que double parfait de la réalisatrice ( la ressemblance est frappante entre la réalisatrice et la comédienne), son rôle est un peu laissé de côté pour donner la vedette à William Hurt. Du coup, la situation un peu limite de l'installation de Jacques dans la cave, devient totalement improbable. Couché à même le sol mais toujours propre, le visage aussi expressif qu'un masque mortuaire, on perçoit bien qu'il déraille, mais, ayant décroché depuis un moment, on s'en fiche quand même un peu. Pendant qu'il s'enfonce dans la folie, le spectateur plonge dans l'ennui.
    La fin sur le blog
    http://sansconnivence.blogspot.fr/2012/11/jenrage-de-son-absence-de-sandrine.html
    lolocine93
    lolocine93

    6 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Film très long à démarrer, très lent....la cerise sur le gâteau avec la fin à la limite du risible !
    Les acteurs sont quant à eux plutôt bons (mère, mari(s), enfant)
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 octobre 2012
    Il y a plus que de bonnes intentions dans le premier long-métrage de Sandrine Bonnaire, J'enrage de son absence, et une première heure bien tenue. Sensibilité, acuité des sentiments, douleurs rentrées, ce film sur les retrouvailles d'un ancien couple 8 ans après la mort de leur petite fille, aurait pu être une vraie réussite. Malheureusement, la suite est une succession de scènes à la lourde psychologie qui gâche la bonne impression initiale et où le grand William Hurt semble tétanisé. Quant à Alexandra Lamy, méritante, il lui manque un petit quelque chose pour être à la hauteur d'un rôle dans lequel aurait excellé une ... Sandrine Bonnaire.
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