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    J'enrage de son absence
    Note moyenne
    2,7
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    Votre avis sur J'enrage de son absence ?

    129 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    J'ai bien aimé ce film même s'il m'a un peu dérangée. Le personnage principal passe de l'extrême souffrance à la maladie mentale, très bien joué par William Hurt. L'enfant porte aussi toute la souffrance des adultes, et prend la place de sa mère qui ne fait pas face à la situation. C'est très bien vu et mis en scène avec rigueur.
    Yves E
    Yves E

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Un scénario, une réalisatrice, des acteurs, une émotion, un film ! Que demander de plus : épatant !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Sandrine Bonnaire, je vous aime vraiment bcp, mais malheureusement votre film trop maniéré et cette histoire ne m'ont pas du tout intéressés, rien ne m'a captivé, rien n'a retenu mon attention, si ce n'est un ennui qui peu à peu s'est installé en moi, et comme je m'endormais j'ai préféré quitté la salle...! Mais je vous aime tjrs bcp qd même !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Une histoire extrêmement émouvante et une interprétation brillante et subtile des comédiens. Jacques est un homme brisé. C'est un personnage très attachant, sensible et intelligent. Son gamin est mort et sa femme l'a quitté. Plusieurs années après ces tragiques événements, il la retrouve et fait la connaissance du petit garçon qu'elle a eu avec un autre. En secret, il va s'attacher démesurément, à la folie pourrait-on dire, à cet enfant dans lequel il lui semble retrouver le sien. Cette affection, cette complicité, seront réciproques. Mais cet amour paternel qui le fait revivre lui sera cruellement refusé.
    Ce film intimiste et bouleversant, au ton extraordinairement sobre et juste, m'a vraiment émue.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Pour son premier essai de fiction Sandrine Bonnaire révèle un vrai talent de réalisateur, largement influencé par les metteurs en scène qu’elle a côtoyé au cours de sa carrière d’actrice. Elle filme le chagrin et la difficulté du deuil d’un enfant avec maîtrise, jouant de sa caméra indiscrète pour mieux fouiller la psychologie de son personnage principal. William Hurst, en père inconsolable qui s’attache jusqu’à la folie au jeune fils de son ancienne compagne, est exemplaire de justesse dans son désespoir mortifère. Chaque scène est conçue sans surcharge et ménage une inéluctable gradation dans la descente aux enfers de cet homme fragilisé. Son refuge dans une cave est un symbole très fort. On notera également l’apport d’une très convaincante Alexandra Lamy, définitivement débarrassée de son étiquette “Chouchou et Loulou”. L’extrême sensibilité de Sandrine Bonnaire nous laisse espérer encore d’autres réussites. À suivre …
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Le jeu est bon, les cadres sont très bien posés (chose remarquable pour un film français), aucune caméra à l'épaule donc 0 improvisation tout est calculé. Ca donne une bonne réalisation. On s'attache beaucoup à Jacques à travers son parcours et sa souffrance, c'est ce qui peu donner un sensation de mal-être en fin de film. J'ai trouvé la deuxième partie du film un peu longue, elle aurai pu être un peu plus rythmé, par exemple, par d'avantage de suspense. Quant à la fin, les images parles d'elles-meme, c'est du bon cinéma.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Sandrine Bonnaire signe avec ce « J’Enrage de son Absence » une oeuvre dont le thème central est un deuil insurmontable. Triste et sombre dans son propos, implacable dans son traitement, évoquant la claustromanie, la réalisatrice n’a pas choisi les chemins de la facilité ni celui de la séduction pour sa première fiction. Au-delà de cette volonté artistique et créative qui pourra en rebuter plus d’un, force est de reconnaître que du début à la fin Sandrine Bonnaire maîtrise son sujet, sa mise en scène et ne lâche à aucun moment ses personnages. Comme chez la plupart des acteurs qui passent derrière la caméra, la qualité de jeu qu’elle réussit à tirer de ses comédiens est vraiment remarquable, notamment de la part de William Hurt dans son rôle de père en état permanent de survie, une performance d’autant plus appréciable sachant que le français n’est pas la langue maternelle du comédien. Si l’ombre et l’influence de Pialat planaient dans le documentaire que Sandrine Bonnaire avait consacré à sa sœur, ici ce serait plutôt vers l’univers torturé du cinéma de Téchiné que l'on trouverait une connexion.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Il ne faut pas faire beaucoup de psychologie de l'enfant pour se rendre compte de l'absurdité de la situation. Le pathos est tellement poussé loin qu'il en est risible. Dommage il y avait de l'idée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Emouvant , on sent la recherche d'une certaine puissance pour traduire la douleur de ces parents mais une fois qu'on y est il manque un truc pour que ce soit aussi fort et ça reste plat.
    Alexandra Lamy est exceptionnelle, elle y est belle et sensuelle à traver un rôle tragique et sa voix est comem il faut ( ce n'ets pas chouchou qui piaille !) et l'enfant joue extrêmement bien. William hurt est torturé, il le porte bien.
    Sujet douloureux, on ne s'apitoie pas c’est déjà ça, mais on reste sur sa faim quant à la reconstruction, possible ou pas, de ces parents.
    Bravo Sandrine Bonnaire vous êtes sur la bonne voie on attend le prochain !
    celiaud
    celiaud

    45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    première partie du film excellente mais dommage que la deuxième partie ne soit pas crédible. On tombe dans du patho, impossible d'y croire. Alexandra Lamy et William Hurt sont excellents mais William Hurt dans la seconde partie là il en fait trop !!! dommage le film a dérapé au milieu et la fin est bâclée, on reste un peu sur notre faim
    130580
    130580

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    Le geste du chut c est un secret par l enfant irrésistible en dit long sur les non dit ...ce vécu de la perte culpabilité interprète magistralement par w Hurt jusqu a sa descente dans l enfer l insupportable.....et la violence exprimée par le père qui ne veut pas perdre son fils son couple magnifique aussi A Lamy.....
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Après un premier film documentaire remarqué en 2008, Elle s'appelle Sabine, l'actrice Sandrine Bonnaire repasse devant la caméra pour son premier film de fiction. Après avoir parlé de sa sœur autiste, c'est un souvenir d'enfance et de jeunesse qui est à l'origine de J’enrage de son absence. Encore beaucoup d'elle même donc. S'il n'est pas exempt de quelques défauts...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-j-enrage-de-son-absence-112058061.html
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    J'associe pour toujours Sandrine Bonnaire et sa gravité, à Maurice Pialat, Agnès Varda, voire Chabrol.J'ai vu le documentaire sur sa soeur Sabine; bref, je suis le mieux possible la carrière de cette superbe comédienne.
    Cette fois, autant le dire, passée derrière la caméra, j'ai trouvé son film pesant, appuyé encore par la musique qui souligne le "pathos" insistant. Trop de situations invraisemblables auxquelles je n'ai pas souscrit. Si on peut comprendre que William Hurt, muré dans sa solitude, transfère son amour paternel vers ce petit Paul, l'affection et le soutien de tous les instants de Paul pour "cet étranger" ne passe pas !!! William Hurt n'a pas vraiment de "raison impérieuse" de vivre dans ces conditions de "travailleur immigré". Le papa (Augustin Legrand) est un papa "normal"
    Chacun se retrouve obligé de vivre dans le mensonge, vis à vis de l'autre, auprès duquel il s'était pourtant engagé.... Bref, ça m'a semblé mal ficelé. William Hurt, dans son personnage déboussolé, semble parfois absent; seule Alexandra Lamy joue sur les 2 palettes: épanouie ou tendue. UN PEU RATÉ ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    film très subtile mais je trouve qu'il en manque un morceau :la fin
    à cause de cela ce film est plat et il n'a pas trop d'intérêt - il aurait aussi été préférable de nous expliquer le pourquoi de ce film...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 novembre 2012
    Trop lourd , trop long , met trop mal à l'aise . Je déconseille.
    Pas plus à dire.
    Il faut faire une critique plus longue pour qu'elle soit publiée mais moi j 'ai tout dit déjà , alors je redis : trop lourd , trop long, met trop mal à l'aise
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