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    J'enrage de son absence
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    129 critiques spectateurs

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    nikolazh
    nikolazh

    60 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    Un film mou et sans saveur, qui reste agréable à regarder pendant la première demie heure avant de devenir carrément chiant dans l'heure qui suit. Dommage, il y avait là une belle idée et l'émotion est présente de temps en temps, apportée par des acteurs tous épatants (a commencer par le jeune garçon).
    Stefiwat75
    Stefiwat75

    9 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    C'est un beau film, mais sans histoire... Beau texte, belles images, bon jeu d'acteur... L'histoire n'est pas vraiment crédible!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 novembre 2012
    Je suis resté perplexe au vu de ce film, les acteurs sont bons, les scènes quelquefois fortes, mais je n'ai pas adhéré à l'histoire, pas très crédible, et qui peut paraître dans certains de ses aspects un peu malsaine.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Un film excellent, mais dérangeant, et presque, je dis bien presque malsain .
    Une boule à l'estomac en sortant ...
    Les acteurs, tous excellents, du plus connu au moins connu .
    On connaissait le talent de William Hurt, mais Alexandra Lamy est époustouflante de vérité (... un gars, une fille à oublier !!!) ; quand à l'enfant, crédible, et tellement émouvant .
    Bravo Madame Bonnaire !!!
    Emmanuel T
    Emmanuel T

    14 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Tous les acteurs sont remarquables et jouent vraiment juste.
    J'ai trouvé la mise en place de Sandrine Bonnaire également superbe, avec des cadrages serrés qui permettent de rentrer tout de suite dans la psychologie des personnages.

    Un regret : je trouve que le film patine un peu à partir du moment où spoiler: Jacques décide de ne pas prendre l'avion du retour. Toute la partie où il se trouve dans la cave est un peu longuette, même s'il fallait évidemment prendre le temps de voir monter l'angoisse de Mado.


    Le "chut" du garçonnet à la fin est saisissant. Ah, le poids du secret !
    missfanfan
    missfanfan

    87 abonnés 849 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2012
    On savais Sandrine Bonnaire très bonne comédienne mais on ne savais pas que c'était aussi un grand metteur en scène , sont film est une vrai merveille je suis restée scotchée sur l'écran du début à la fin
    son bonheur de filmer transparait à l' écran et la complicité avec son ex conjoint est plus qu' évidente
    l'histoire d'abord qui tient la route qui raconte une histoire au quel croient les protagonistes du plus petit au plus grand rôle Augustin Legrand dans un rôle à contre emploi et qui se révèle être un très bon acteur merci à Sandrine d'y avoir penser William Hurt trop peu vu au cinéma ces temps-ci qui joue magnifiquement ses regard en disent long sur la détresse qui l'habite Alexandra Lamy belle au naturel en mère anxieuse et troublée par ce retour ,le petit Paul aussi joue très juste
    et que dire de la manière de filmer avec ces gros plans sur les personnages des quels on s'attache de suite , bref une émotion non feinte pour moi un grand moment de cinéma un de mes coup de coeur 2012
    un film que je n'oublierais pas de si tôt alors merci à cette futur grande réalisatrice
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 novembre 2012
    Film dense et subtil. La réalisation de Sandrine Bonnaire est parfaitement maîtrisée. Les gros plans sur les visages donnent une grande force aux personnages. La performance d'Alexandre Lamy mérite d'être saluée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 décembre 2012
    Bon. Le thème m'avait plutôt emballé: un homme qui a perdu son enfant fait un transfert sur le petit garçon de son ex-femme. Le deuil et la douleur sont des sujets que j'aime voir au cinéma, donc peut-être m'avais-je mis la barre trop haute? Si la première partie était plutôt bien, la seconde m'a complètement perdu, je n'ai pas compris où voulait nous mener la réalisatrice: je suis resté indifférent. Je trouve le huis clos dans la cave complètement raté, la tension est morte spoiler: Jacques enfermé dedans avec Mado qui crie à la porte m'a provoqué un fou rire, tellement la situation était ridicule
    , on n'arrive plus à y croire, à la fin j'étais agacé. Sinon, j'ai trouvé les acteurs plutôt bons. Je pense que je vais vite l'oublier, mais ça n'a pas non plus été un calvaire d'y aller.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Le film est nul. (j'aurais souhaité être plus mesuré). Long, ennuyeux, mal réalisé, mal joué, mélo, du pathos, de la lourdeur. Un point positif ?? Je cherche encore...
    maroca
    maroca

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Dommage, une première moitié captivante, mais la réalisatrice finit par nous abandonner nous aussi dans cette cave. On aurai tant aimé.... Je suis très triste.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Pour sa première fiction, Sandrine Bonnaire a fait appel à son ex-mari, le très talentueux William Hurt. De quoi accentuer la touche personnelle de la réalisatrice puisque l’histoire de J’enrage de son absence s’inspire d’un épisode de sa vie. Le thème de la mort est ici étroitement lié à celui de la famille et impose une certaine tension dès l’annonce du titre à l’écran. Le personnage de William Hurt apparait, dans une voiture : il jette un regard empli de mélancolie sur ce qui semble être une vieille connaissance. Il s’agit de Mado – interprétée par une Alexandra Lamy bouleversante dans un registre qui lui va comme un gant –, ex-femme de l’homme en question. Ensemble, ils ont vécu la naissance d’un enfant et, quatre ans plus tard, son décès. Bien qu’elle y pense toujours, Mado est parvenue à se reconstruire contrairement à Jacques qui, lui, vit une existence monotone pleine de regrets. Elle a un enfant, lui va tenter de se rapprocher de ce dernier… S’il y a bien quelque chose que l’on peut décerner à ce J’enrage de son absence, il s’agit indéniablement de sa sincérité. Bonnaire y met sa rage, ses tripes, ses angoisses pour donner naissance à cette œuvre assez tourmentée et pleine d’émotion. C’est notamment que ce qui donne au long-métrage toute sa puissance, particulièrement lors d’une scène finale bluffante qui nous fait mal au cœur et nous noue l’estomac pendant quelques minutes pleines d’une violence méchamment accentuée par une musique tonitruante et un cadrage vif et brusque à la fois. Par ailleurs, on remarquera que chaque choix de mise en scène effectué par Sandrine Bonnaire entraine souvent un certain effet sur le spectateur. Malgré tout, le long-métrage possède les défauts d’un premier film – d’une première fiction, en l’occurrence – et l’un d’entre eux porte sur la fluidité. J’enrage de son absence aurait pu nous scotcher à notre siège comme il se doit mais ce n’est pas le cas, à cause d’un manque de rythme certain qui tend à rendre le film assez inégal. Il y a quelques longueurs et cela empêche par conséquent l’adéquation totale et véritable du spectateur aux émotions qui se dégagent. Toutefois, ces mauvais aspects demeurent assez moindres à l’échelle de tout ce film aux qualités plus présentes. Il y a tout d’abord cette utilisation on ne peut plus justifiée d’une musique intégrée de bout en bout au récit. De superbes morceaux de Classique qui apportent au film diverses atmosphères plus ou moins paisibles, plus ou moins agressives… Aussi, l’un des points culminants du film réside dans les acteurs. À l’intérieur des acteurs. Ils donnent tout ce qu’ils ont dans le ventre et cela se perçoit à l’écran. William Hurt est cet homme, initialement assez malsain, auquel on s’attache très rapidement par compassion et compréhension. On le voit hors de ces rôles – tout aussi bluffants si ce n’est plus encore – de grosses figures de cruauté à la History of Violence. On le voit dans le drame, dans le mélodrame – car la tonalité tragique du film repose entièrement sur ses épaules et on ne s’en plaint pas à la vue du résultat. Alexandra Lamy, que l’on n’a vu que trop souvent dans des comédies à deux euros, continue sa plongée dans un nouveau registre – furtivement entamé avec un sketch des Infidèles en début d’année. Elle y brille plus qu’elle n’y pleure, c’est dire… Enfin, une part non-négligeable du mérite revient au petit garçon de J’enrage de son absence : Jalil Mehenni. La naissance d’une carrière grâce à une prestation pleine de justesse et d’innocence… En conclusion, J’enrage de son absence est le passage réussi de Sandrine Bonnaire à la fiction. Malgré les indéniables défauts que l’on peut reprocher au long-métrage, il y a quelque chose qui y vibre… L’amour, la mélancolie. Bref, l’émotion. J’enrage de son absence est un moment d’émotion.
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2013
    Comédienne d'une sincérité rare, Sandrine Bonnaire prouve avec se premier long-métrage de fiction que l'on peut utiliser le même qualificatif pour la réalisatrice. Avec un talent de mise en scène certain, elle construit un film poignant ou tout se joue dans les silences et les non-dits, d'où la logique des nombreuses ellipses temporelles ponctuant le récit. "J'enrage de son absence" traite avec sensibilité de l'impossible deuil que représente la perte d'un enfant. L'impeccable William Hurt, tout en chagrin et désespoir contenu, et Alexandra Lamy, à l'évidence bien meilleure actrice qu'on pouvait le penser, donnent vie à ses parents détruits par la mort de leur fils Matthieu dans un accident de voiture dix ans plus tôt, chacun réagissant différemment à ce drame. Mado semble être passée à autre chose, elle s'est remariée et a un autre fils, Paul (Jalil Mehenni, excellent). Mais la douleur est seulement enfoui, un peu comme cette boîte remplie des jouets et vêtements du fils disparu est cachée au plus profond de la cave. Jacques, au contraire, porte sa souffrance sur sa figure et est dans l'incapacité totale d'avancer. Lorsque Jacques se cache dans la cave de l'immeuble ou vit Paul et ses parents pour être plus prés de lui, alors certes c'est d'une invraisemblance totale. Pourtant le symbole est fort. La cave, s'est à la fois le ventre de la mère, le lieu de l'enfantement, un environnement protecteur, et un tombeau, la mort intérieure de Jacques. "J'enrage de son absence" à par ailleurs le mérite de s'arrêter au bon moment, sans chercher à donner une solution au deuil puisqu'il n'y en a pas.
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    14 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2012
    Film touchant et dérangeant par ce sujet sensible pouvant toucher chacun de nous et on ne sait pas comment on réagirait... William Hurt tient son role à merveille, les scenes de la cave sont tout de meme un peu longue, mais d'un autre coté il faut que le personnage s'installe, l'enfant est aussi bouleversant, on ne comprend pas toujours les réactions d' A Lamy, mais on sort secoué de la salle avec cette scene finale qui nous prend aux tripes!
    islander29
    islander29

    857 abonnés 2 352 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 novembre 2012
    je ne sais trop que penser, le film est plein de bonnes intentions, peut être trop....J'ai pour ma part trouvé la musique grandiloquente ( Sandrine Bonnaire nous mettrait presque du Malher ou du Wagner sur un dialogue ou une confrontation,.....l'accuentation est emphatique et crée un certain déséquilibre.....Le style de la caméra, prise de vues, décors, plans fixes se rapproche plutot du téléfilm....par contre le scénario et les personnages tiennent la route et l'on se prend d'affection pour cet homme et ce petit garçon (qui ose déclarer à son père, je préfère l'autre monsieur parce qu'il a besoin de moi.....).....J'aurais aimé aussi une caméra moins nerveuse et une Alexandra Lamy avec un rôle plus appuyé.....Globalement c'est donc une histoire en demie teinte, je comprend qu'on puisse rentrer dans le film mais aussi en sortir tout aussi rapidement, la technique n'étant pas particulierement attrayante......
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 novembre 2012
    Un difficile deuil raconté sans pathos, avec une grande sensibilité. Un film à voir !
    Excellents acteurs, servis par une mise en scène sobre, qui leur laisse toute la place pour exprimer leur talent.
    William Hurt nous rappelle ici à quel point on aimerait le voir d'avantage sur le grand écran. Il arrive à crée une empathie pour son personnage-pourtant trouble- avec une rare subtilité. Alexandra Lamy est juste étonnante de justesse. Le petit garçon est tout simplement incroyable. Tous les acteurs arrivent à nous permettre de comprendre leur point de vue, sans être manichéens.
    Et cela est sans nul doute grâce à la mise en scène intelligente de Sandrine Bonnaire. On attend désormais aussi avec impatience ses prochains films en tant que réalisatrice !
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