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    J'enrage de son absence
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    2,7
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    129 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    Fabuleux. Une réalisation parfaite. Des acteurs qui interprètent leur rôle à la perfection. Une empathie, un attachement pour chacun des personnages qui vivent tous à une place différente autour du même drame. On est subjugué.
    Emmanuel T
    Emmanuel T

    14 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Tous les acteurs sont remarquables et jouent vraiment juste.
    J'ai trouvé la mise en place de Sandrine Bonnaire également superbe, avec des cadrages serrés qui permettent de rentrer tout de suite dans la psychologie des personnages.

    Un regret : je trouve que le film patine un peu à partir du moment où spoiler: Jacques décide de ne pas prendre l'avion du retour. Toute la partie où il se trouve dans la cave est un peu longuette, même s'il fallait évidemment prendre le temps de voir monter l'angoisse de Mado.


    Le "chut" du garçonnet à la fin est saisissant. Ah, le poids du secret !
    oursdor
    oursdor

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 janvier 2014
    Trop lent, pas de fin, on s'ennuie
    Je ne comprend pas ce qu'on peut trouver à ce film
    Je n'aimais déjà pas Sans
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2012
    Une catastrophe ! On comprend bien les intentions de Sandrine Bonnaire ( que j'aime beaucoup ) mais malheureusement rien ne fonctionne dans cette impossible histoire, pas crédible un instant. Du coup, à force de situations improbables, on décroche rapidement, et on soupire en attendant la fin du film avec impatience. Alexandra Lamy réussit quand même à sortir son épingle du jeu.
    Yves E
    Yves E

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Un scénario, une réalisatrice, des acteurs, une émotion, un film ! Que demander de plus : épatant !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    L'histoire de J'enrage de son absence, la première fiction réalisée par l'actrice Sandrine Bonnaire (après son documentaire très remarquée sur sa soeur, Elle s'appelle Sabine"), est en effet tournée entièrement autour d'un décès d'un enfant, celui du petit Mathieu, 4 ans, mort à 4 ans dans un accident de la route, neuf ans avant le début de l'histoire.

    De retour en France pour enterrer son père, Jacques, le père de cet enfant, retrouve celle qui fut sa femme, Madeleine,qui s'est remariée, a eu un autre fils, Paul.

    Et c'est sur lui que la passion de Jacques se fixe, désespérée, dévorante, absurde. Une déraison, que le spectacteur peut bien sur plus facilement comprendre qu'une folie d'un psychopathe (car celle ci ne possède pas de repère rationnel auquel s'accrocher), n'est pas, pour autant, confortable à regarder, notamment dans le dernier tiers du film où l'existence de Jacques, déjà très tenue, ne se raccrochera qu'au lien avec cet enfant, celui qui vit encore, et qui servira à Jacques de bouée de sauvetage, à défaut d'être l'enfant de substitution dont il révait d'avoir.

    Cette dernière partie, dérangeante à souhait, qui se passe pratiquement constamment dans la pénombre d'une cave où Jacques a pris place, n'est malheureusement pas assez forte et maitrisée pour susciter l'interet du spectacteur. La tension est là, palpable, mais l'intrigue est vraiment trop ténue pour captiver vraiment.

    Cela est d'autant plus dommage que Sandrine Bonnaire avait largement réussi son examen de passage durant la première d'heure, d'excellente facture. Les premières scènes, en peu de mots, et de gestes, arrivent parfaitement à nous retranscrire l'acuité des sentiments et des douleurs enfouies entre ce couple qui se sont aimés follement, avant que la tragédie ne les bouleverse.

    William Hurt, l'ex mari de Sandrine Bonnaire, livre notamment une prestation très impressionnante de fantôme qui ne vit que sur les souvenirs, et dont chaque parole semble être une souffrance et ses scènes avec Alexandra Lamy, dans ce qui est sans contexte un de ses meilleurs rôles (avec peut -être ssa prestation dans le volet des Infidèles) sont très réussies. Par ailleurs, le petit garçon du film, d'une émotion incoyrable, est 100 fois plus convaincant que la plupart des gosses de cinéma.

    En revanche, le personnage du mari actuel, joué plutôt fébrilement par un Aurélien Legrand (temporairement?) sorti de ses combats avec les Don Quichotte est moins convaincant, Bonnaire et Jérome Tonnerre, les coscénaristes ayant visiblement voulu resserer le film autour des 2 personnages principaux, cet être dévasté par le chagrin et ce petit garçon qui pourrait lui redonner gout à la vie, et les autres personnages semblent du coup être un peu sacrifiés.

    En fin de compte, à cause de cette dernière partie ambitieuse, mais hélas un peu ratée, les premiers pas de Sandrine Bonnaire dans la fiction ne sont pas une complète réussite, mais reste tout de même à saluer pour l'ambition et l'intelligence de son sujet.
    lien de l'article en entier http://www.baz-art.org/archives/2012/11/12/25501907.html
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 novembre 2012
    " J'enrage de son absence " est un film puissant, tout à fait juste que n'aurait pas renié Freud. Sur une histoire tout à fait crédible d'un transfert, W.Hurt se prend d'affection pour le second film d'A.Lamy. Deux visions différentes de surmonter un deuil, deux visions différentes d'aborder la vie. Cela fait du bien de découvrir A.Lamy dans un régistre différent que la bluette où elle est cantonnée. Le film est littéralement porté par W.Hurt qui transperce l'écran, jamais larmoyant mais d'une justesse, d'une puissance à toutes épreuves. S.Bonnaire s'inscrit définitivement comme une réalisatrice croquant le réel, la vie, la vraie sans artéfact.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2012
    J'enrage de son absence est un magnifique film. On entre dans la salle de cinéma avec un horizon d'attente assez important : le synopsis et l'affiche sont prometteurs. Et on en ressort chamboulé : Sandrine Bonnaire réussit ici à emmener le spectateur là où elle l'a décidé, à lui faire vraiment vivre le film de l'intérieur.

    Bien sûr, les dialogues souffrent quelquefois de petites longueurs, ou manquent un peu de profondeur, voire de justesse. L'interprétation d'Alexandra Lamy et d'Augustin Legrand n'est pas toujours parfaite, et on est quelquefois un peu réticent à leur jeu. Et c'est vrai que le scénario et son montage présentent également certaines scènes assez attendues.

    Toutefois, ces petites erreurs sont vites oubliées pour plusieurs raisons. La première est le jeu d'acteur de William Hurt, toujours impeccable (et je pèse mes mots). Le spectateur est avec lui, et pas une seule seconde ne remet en doute la vie de ce personnage et l'interprétation qu'en fait l'acteur. Ce travail est d'autant plus remarquable que Jacques est un homme qui vit des choses particulièrement difficiles à saisir et à faire ressentir. Deuxième gros point fort de ce film, c'est la façon de tourner de Sandrine Bonnaire. On oublie vite les petites maladresses tant on est plongé dans l'histoire, du début à la fin du film. Le spectateur est ici invité à entrer dans l'histoire par petites touches, sans aucune lourdeur : c'est lui qui doit s'ouvrir au film. Puis ensuite, on est avec le personnage de Jacques. On suit cet homme, en passant par tous ces états : de la joie des retrouvailles à la folie dans laquelle il tombe peu à peu. Minute après minute, on sent le couperet tomber, et on voit bien qu'il n'y a aucune issue à la "rage" (pour reprendre le titre du film) dans laquelle il tombe. De la joie à la folie, puis à la douleur la plus infinie. Une douleur si forte que le personnage ne peut absolument rien y faire, une histoire finalement racontée à la manière des meilleurs tragédiens. L'homme impuissant contre son destin.

    J'enrage de son absence est donc un magnifique film, où le spectateur volontaire et actif pourra trouver et déceler tous les signes laissés par Bonnaire pour vivre cette histoire avec les personnages, au milieu d'eux, et pour bien comprendre les liens qui les unissent. Pour sûr, ce n'est pas un bon film (parce qu'il nous laisse avec une amertume à la fin), mais un beau film, qui fait réfléchir sur nos propres relations humaines et la part d'égocentrisme qui peut y exister. A voir absolument !
    Raphaëlle Gr
    Raphaëlle Gr

    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    Après un documentaire sur sa sœur « Elle s’appelle Sabine » en 2007, la réalisatrice dédie cette fiction à sa mère, en hommage à l’amour fou que lui a voué un homme.
    Un enfant perdu, un nouvel homme, un nouveau fils… Et des années plus tard, le père du premier enfant qui ressurgit, la blessure de sa séparation et de la perte de sa chair, toujours à vif. Alexandra Lamy campe dans ce film une mère, une travailleuse, une femme, une ex, une amante merveilleuse ! Le retour de son premier amour (William Hurt) rouvre une cicatrice encore douloureuse, il s’attache sans filet à Paul, cet enfant qui n’est pas le sien et qui l’aide à renaître. Tels les trapézistes qu’ils observent fascinés, l’homme tient la femme qu’il aime suspendue au-dessus du vide, en la serrant de ton son amour, tout en la maintenant à la merci du vide… Mado sait ce qu’elle risque en revoyant Jacques, mais elle est loin d’imaginer l’ampleur de ce qui va s’ensuivre…
    La douceur de l’enfance et d’un père, l’amour d’un couple qui dure, le piège inextricable des secrets, le poids du deuil, la rage de la perte d’un être cher, l’espoir comme seule raison de vivre jusqu’à devenir une cage, c’est à tout cela que Sandrine Bonnaire fait référence lorsqu’elle affirme : « C’est un film que j’ai fait avec le ventre ! »
    La vraie surprise de ce film est la découverte d’une Alexandra Lamy très juste dans ce rôle dramatique. Voici enfin la preuve que l’actrice sait s’affranchir des règles de la comédie et qu’elle a du talent à revendre !! Il faut dire qu’elle est entourée de deux très bons acteurs : William Hurt et une mention particulière à Augustin Legrand que j’ai découvert dans ce film et qui malgré un jeu peut-être un peu poussif en fin de film, incarne à la perfection un père attentionné extrêmement touchant.
    Une ode à l’amour familial, dès l’ouverture du film, au son de la voix d’un papa qui lit une histoire à son fils, avec tendresse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 31 octobre 2012
    Désolée, j'aime l'actrice Sandrine Bonnaire mais je ne trouve pas son film réussi; de bons acteurs certes mais sur un scénario creux ou en tous cas mal exploité. Encore un film qui laisse au spectateur le travail de l'interprétation. Soit mais c'est un peu facile quand même et je trouve que réaliser un film c'est lui donner un sens, à charge pour le spectateur de lui en donner un autre! c'est ce dialogue qui est fécond, mais pour dialoguer il faut être deux. Je me suis sentie bien seule.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Emouvant , on sent la recherche d'une certaine puissance pour traduire la douleur de ces parents mais une fois qu'on y est il manque un truc pour que ce soit aussi fort et ça reste plat.
    Alexandra Lamy est exceptionnelle, elle y est belle et sensuelle à traver un rôle tragique et sa voix est comem il faut ( ce n'ets pas chouchou qui piaille !) et l'enfant joue extrêmement bien. William hurt est torturé, il le porte bien.
    Sujet douloureux, on ne s'apitoie pas c’est déjà ça, mais on reste sur sa faim quant à la reconstruction, possible ou pas, de ces parents.
    Bravo Sandrine Bonnaire vous êtes sur la bonne voie on attend le prochain !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    film très subtile mais je trouve qu'il en manque un morceau :la fin
    à cause de cela ce film est plat et il n'a pas trop d'intérêt - il aurait aussi été préférable de nous expliquer le pourquoi de ce film...
    130580
    130580

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    Le geste du chut c est un secret par l enfant irrésistible en dit long sur les non dit ...ce vécu de la perte culpabilité interprète magistralement par w Hurt jusqu a sa descente dans l enfer l insupportable.....et la violence exprimée par le père qui ne veut pas perdre son fils son couple magnifique aussi A Lamy.....
    maroca
    maroca

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Dommage, une première moitié captivante, mais la réalisatrice finit par nous abandonner nous aussi dans cette cave. On aurai tant aimé.... Je suis très triste.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 février 2014
    "Pervers Pépére" vit cloitré dans un cave et prend en otage un gamin de 7 ans. C'est lourd, malsain et pathologique.
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