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Un visiteur
5,0
Publiée le 5 janvier 2013
Maniac est un chef d'oeuvre, Elijah Wood nous livre ici une de ses meilleures prestations. Une musique en parfaite harmonie avec l'ambiance du film et une violence dérangeante mais pas excessive.
Je ne sais pas trop si je dois dire que j'ai aimé ou pas, en sortant du cinéma je me suis senti bien triste. Se qui est bizarre c'est que malgré toutes les horrible choses que l'on vois a l'écran le personnage est attachant.
Pour ceux qui ne l'on pas encore vu, réfléchissez bien avant d'y aller car il est assez gore !
ne faites pas comme ses personnes que j'ai vue sortir de la salle en courant !
Film très Nul ! Je suis déçu d'être allé le voir , Bande son trop bruyante ! Il a aucune Histoire ! Effet mal fait ! Je vous conseilles de ne pas allez le voir.
Film de genre qui pourrait trouver son public : ambiance (assez) oppressante, bon acteur, effets spéciaux impressionnants. Pourtant il manque quelque chose dans sa réalisation et on sort déçu. Les délires mentaux sont bien décrits et donnent la nausée. Mais, on a du mal à rentrer dans le scénario. Selon moi, à cause d'un montage trop complexe et mal ficelé. La caméra subjective est utilisée à outrance et n'apporte rien : pourquoi le public doit-il se mettre à la place du dit maniac ? Notons un hommage musical au SILENCE DES AGNEAUX lors du premier meurtre...
Remake réussi! Je ne considère pas l'original comme un chef d'oeuvre, mais il a marqué mes jeunes années de cinéphile au collège quand je le louais en VHS (avec sa jaquette impressionnante de sadisme) pour le montrer à mes petits camarades morts de trouille, et son atmosphère glauque et poisseuse a imprégné mes cauchemars de jeunesse. On pouvait avoir un doute quant au choix d'Elijah Wood, mais sa frêle silhouette et son regard halluciné créent le malaise d'une manière différente de Joe Spinell dans le film de 1980. Ici tout est subjectif, un peu à la manière de Gaspar Noe dans "Enter the void", et pas besoin de recourir au procédé du "found footage": on entre dans la peau du serial killer et on voit le monde à travers ses beaux yeux cruels, on perçoit des bribes de réalité déformées par son esprit malade, et les réminiscences d'un passé traumatique arrivent par flashes et se mêlent au présent, le tout sur une musique electro qui évoque "Drive" et le cinéma de genre des eighties. Une partie du public ado mâchouilleur de popcorn s'attendait probablement à un traditionnel slasher à la mise en scène plus conventionnelle et moins "mentale"...
j'ai adorée tout simplement, mes amis beaucoup moins, mais moi personnellement je l'ai adorée, pour ceux qui le comparé à saw vous vous mettez les 2 doigts dans les yeux... j'ai 17 ans, et saw m'a plus mais incomparable à celui-ci, j'en suis toute retournée mais j'ai adorée !! par contre je voudrais savoir si quelqu'un connait le nom de la musique + artiste de la musique qui passe à plusieurs reprises dans le film ?????
Je l'attendais avec impatience, eh bien je suis déçu. Quelle bonne idée de nous mettre directement dans la peau de Frank à travers une caméra subjective, malheureusement on se rend vite compte que beaucoup de plans auraient mérité une autre approche, que ce soit sur une caméra " normale " ou encore mieux sur une vue subjective mais d'un autre protagoniste ! L'idée de base est bonne mais mal exploitée. Les scènes meurtrières sont très bien emmenées et surtout les effets macabres sont vachement bien faits. On ne voit pas assez Elijah Wood qui pourtant joue très bien pour le peu de fois qu'on le voit... Par contre coup de chapeau à Nora Arnezeder, car elle enchaine les plans plutôt longs en étant seule devant la caméra, elle livre une très grande prestation ! Autre point négatif : trop peu de surprises, et trop peu de suspense. Sinon la bande son est vraiment excellente, magnétique.
On se trouve devant un sentiment de gachis, certaines scènes sont remarquables, et d'autres beaucoup moins d'où une inégalité dans le film. La caméra subjective est une très bonne idée, de ce fait on est limite du coté du psychopathe et on ne pleure pas forcément pour ses victimes, c'est un très bon point du film, mais celle-ci est utilisée dans certains plans qui auraient été mieux sans. Film plutôt original, dérangeant, on se trouve dans la peau d'un homme qui en veut visiblement aux femmes du fait de son passé et qui a pour obsession les mannequins et leur part imputrescible, âmes sensibles s'abstenir ! Mais ce film tient quand même une part interessante, on reste fasciner par son personnage, la part de mystère l'entourant est assez intriguante.
Je suis un peu étonné par toutes ces critiques qui disent que Aja est un génie ou autre.... Peut être est-ce une exception mais dans la salle où j'ai été, on était entre la consternation et le rire.
Elijah Wood est dans son rôle mais pour les autres.... L'autre point "positif", un peu original, c'est la caméra subjective.
Pour le reste, j'ai trouvé ça très caricatural. C'est du sang pour du sang, du cul pour du cul... Avec bien sur des gros clichés, comme spoiler: la fille en talon aiguille qui se fait courser par ce qu'elle pense (à juste titre) être un psychopathe et qui choisi tout naturellement d'emprunter une ruelle sombre avec du brouillard pour lui échapper . Au fur et à mesure que le film avance, on sombre de plus en plus dans le ridicule. (Pour la musique et la voiture, c'est juste une pâle copie de Drive....)
Maniac nous plonge dans un univers glauque et certes dérangeant. Dérangeant car notre esprit est frappé en premier par des scènes violentes, mais aussi par du flash-back qui renvoie Franck à son enfance et permet de comprendre petit à petit son parcours. Dans la façon de filmer on se sent spectateur et acteur de cette histoire. Bon thriller horrifiant.
une deception....un producteur de qualité, un réalisateur qui avait fait ses preuves avec le thriller avec 2ème sous sol, un comédien confirmé, un film origine culte....et pourtant....rien, rien....une caméra subjective qui rend l'histoire pénible, du gore pour du gore, du cul pour du cul, ...ça aurait mérité une sortie DTV.....2 étoiles pour la jolie plastique de la maman à notre "MANIAC"..a faire du 50 % cul et 50 % gore..et une mise en scène a foutre la gerbe......on se plante !!!!!!!
A partir d’une bonne idée, faire un remake du slasher culte "Maniac" de 1980 depuis un point de vue presque entièrement subjectif, Franck Khalfoun, sous la houlette du spécialiste du remake des films d’horreur de référence qu’est Alexandre Aja, rassemble les bonnes idées de mises en scène grâce à d’ingénieux effets de miroirs mais a tendance à nous en faire entièrement étalage dès les premières scènes de son film, au point de faire ensuite ressentir à son spectateur un triste sentiment de répétition. Les scènes gores sont à la hauteur des attentes des fans du film original et la scène où Wood se reconnaît à travers Caligari est un hommage de toute beauté, mais l’ensemble est rendu bancal par un scénario sans surprise tout juste sauvé par son atmosphère poisseuse qui sied parfaitement au comportement de son personnage. Les tourments psychologie sont malheureusement mis en images de manière bien trop poussive et démonstrative. La scène de fin, malgré son dernier plan inutile, est si joliment trash qu'elle mérite de ne pas s’être enfuit juste avant.
C'était un pari risqué et osé : réaliser un film sur un serial-killer entièrement (ou presque) filmé en vision subjective du tueur, plaçant alors le spectateur dans une situation indélicate où on se surprend à espérer que celui-ci parvienne à ses fins quand il traque ses victimes. C'est un genre casse-gueule pour bien des raisons mais surtout à cause de la mise en scène que cela cause, étourdissante avec ses mouvements de caméra mais qui se trouve justifiée et qui prend aux tripes lors de certaines scènes. Et si parfois le gore est un peu poussé (c'est le but de toute façon), l'ensemble bénéficie d'une ambiance particulièrement soignée appuyée par une musique un peu oppressante qui participe à la vision que l'on partage avec le tueur incarné avec conviction par Elijah Wood. La brutalité de son personnage est contrebalancée par la fraîcheur de celui de Nora Arnezeder, qui s'en sort tout aussi bien dans le rôle de la femme différente des autres. Pas agréable à voir mais une expérience plutôt réussie en tout cas.