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Un visiteur
0,5
Publiée le 30 janvier 2013
nul, nul, nul et nul. Il faut etre vraiment tordu pour apprecier ce film ou il n'y a que des meurtres violents et sans raisons. Du temps et de l'argent perdu
Pas vraiment flippant mais franchement gore dans certaines séquences, "Maniac" s'appuie sur un scénario honnêtement troussé qui a surtout le mérite de creuser un minimum ses deux personnages principaux. Je retiendrais également la qualité de la bande originale, le choix judicieux des acteurs et une mise en scène plutôt inspirée. Les quelques errements du script peuvent à l'opposé agacer, notamment quand Franck chasse ses victimes dans une ville comiquement vidée de tous ses habitants.
Manifestement, Franck Khalfoun se regarde filmer, souvent de manière prétentieuse, parfois avec talent quand sa caméra s'attarde sur les pénombres glauques des rues new yorkaises, les couloirs déserts et lumineux du métro de la grande ville, les grattes ciel emplis de lumière ... Le problème est que son idée de la caméra subjective, à la place de notre personnage torturé (Elijah Wood à contre emploi), s'asphyxie aussi vite qu'elle fatigue le cibéphile. Il est vrai que Nora Arnezeder s'en sort assez bien, belle jeune femme aux gros seins, victime d'un slasher movie des années 80 ! Maniac est glauque, complaisant dans l'abject, répétitif, sans grand intérêt finalement. Le film matrice de William Lustig, non sans défauts, apportait de la nouveauté dans le genre, celle d'une certaine et inédite compassion envers le serial killer. Ici, les nombreuses références cinéphiliques à Psychose (le rapport du fils avec une mère allumée qui baise devant lui enfant, les mannequins) et à Kubrick (Shining lors de la scène de l'affrontement à la machette) enlève toute personnalité à un cinéaste qu'on n'espère pas mort né ! De plus, ayant vu Maniac à l'UGC Orient express avec des kairas qui parlaient à tout bout de champ ne m'a pas aidé à apprécier ce film très médiocre.
Film tourné à la 1ere personne, ce qui est très désagréable. Beaucoup d'ennui et pratiquement aucune scène qui fait vraiment peur ou sursauter. Les effets sont relativement bien réalisé et les acteurs loin d'être mauvais mais ça ne vaut vraiment pas le prix d'une place de ciné.
Beaucoup de bonnes idées, mais en sortant de la salle de cinéma, on a le sentiment que ça pourrait être encore mieux. « Maniac » version 2012 reste tout de même une bonne expérience cinématographique. Critique complète sur :
Il faut aimer perdre son argent pour aller voir ce genre de film. Une violence envers les femmes gratuite, des scènes très glauques (surtout celles du passé). Je n'ai pas compris comment on peut nous vendre 1h30 de "film". En résumé, je ne conseille en aucun cas d'aller voir ce film même si un dimanche vous vous ennuyez!
Filmé en caméra subjective , le remake du film de Lustig est un excellent film voir un chef d'oeuvre du genre. L'ambiance est au rdv avec une BO électrisante qui convient parfaitement a l'image , les scènes de rodage puis de traques d'Elijah Wood (Parfait pour le rôle) accompagnées des titres composés par le guitariste de Phoenix sont simplement jouissive. Quelques scènes , une en particulière qui est un peu trop cliché du genre (La facilité avec laquelle la future victime va se retrouver dans un endroit propice a sa future mort) Le film est bien sure très violent , et donc a ne pas conseiller a tous le monde .
Exellent film dont je ne m'attendais absolument pas .... Des scenes particulierement réaliste et des decors somptueux . Des acteurs exelents .. Bref j'en garde un tres bon ressentis a voir absolument !
Film tres particulier. La facon de filmer en prenant le point de vue du tueur en serie est interessante. Par contre il y a des scenes gore ou sexe un peu inutiles et qui n apportent pas grand chose a l histoire. Le resultat est tres moyen meme si l idee de depart etait plutot bonne.
Sans détour, "Maniac" est une ode à la schizophrénie obsessionnelle. On y présente un Elijah Wood profondement torturé sans tomber dans le cliché. L'aspect esthétique du film fait ressentir à merveille sa tourmente omniprésente, délirante, compulsive. Flashbacks, troubles de la perception...si la souffrance des victimes est belle et bien physique et crue, la souffrance de ce tueur est elle stridente, paralysante. Le public restera prostré jusqu'à la fin, les muscles tendus, dans cet ambiance morbide qui ira crescendo. Alors seulement les soupirs de soulagement se feront entendre, marque du film de qualité qui aura su cloitrer le bec des puceaux qui l'ouvraient bien fort avant les cinq premières minutes. Seul le public averti saura cependant reconnaitre le talent de la mise en scène sanglante et percutante tout en accordant l'attention légitime au contexte qui a façonné un tel personnage, sans que celà cautionne pour autant ses actes.
Adopter le point de vue subjectif en utilisant la caméra à l'épaule pour un film d'horreur est un pari risqué et on adhère ou pas. Mais il faut pouvoir supporter le gore qui est bien gratuit et le fait que la caméra soit toujours en mouvements, mais ça n'empêche que ce soit un concept original qui gagne à être vu. Quand au scénario, il est aussi déstabilisant que sa mise en scène car on est attaché à un personnage démuni du sens de la réalité, et cela peut beaucoup perturber. C'est pourquoi le film spoiler: se termine forcément par la mort du protagoniste, car c'est apporter au spectateur le moyen de souffler. De plus, et ce qui est horrible en un sens, c'est qu'on arrive à avoir un minimum de compassion pour le protagoniste, et c'est en ça que le point de vue subjectif est intéressant. Quant à Elijah Wood, il est décidément un brillant acteur, et il sait vraiment bien dégager le côté sombre de l'homme.
Je n'ai pas du tout aimé - L'histoire est risible, le jeu des acteurs franchement mauvais, le parti pris de mis en scène en caméra subjective ne m'a pas plu du tout. Bref je ne le conseille pas vraiment
Maniac c’est d’abord un film de William Lustig sorti en 1980 que tout le monde ne connait pas forcément. Alexandre Aja continue donc sa percée aux USA en poursuivant sa vague de remakes même si pour l’occasion il délaisse la caméra pour celle de Franck Khalfoun qui nous avait déjà emprisonnés au 2ème sous-sol. Plongée en vue subjective dans l’esprit perturbé d’un excellent Elijah Wood pour suivre sa virée meurtrière. Atmosphère angoissante et bien gore pour un résultat assez plaisant à découvrir dans sa première partie, le film peine toutefois à nous captiver sur la durée. Pas vraiment inoubliable, ça ne dépassera pas le simple stade du petit divertissement.