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J'ai d'abord regardé la version Française sortie cette année et je l'ai préférée à ce film, bien qu'il soit bien aussi mais j'ai trouvé l'histoire moins percutante et moins passionnante que Un Homme Idéal. Cependant il y a un bon casting faut le reconnaitre. La version française n'a pas totalement copié ce film il y a quand même des différences mais s'en ai largement inspiré il est vrai.
Par contre la fin me laisse pantois et je ne sais pas trop quoi penser, était-ce lui dans le futur qui écrivait sa propre histoire en fait ? 3,5/5
Par contre la fin me laisse pantois et je ne sais pas trop quoi penser, était-ce lui dans le futur qui écrivait sa propre histoire en fait ? 3,5/5
Que les mots puissent s’exprimer en sentiment l’expérience vécue le temps du reflet littéraire, une fiction d’auteur qui raconte l’histoire de celui d’un autre qui plagie scrupuleusement et sans autorisation un manuscrit très personnel. Le sage vieil homme se retrouve propulsé face au jeune voleur de son travail, racontant l’époque du débarquement de G.I en Europe. Paris est sa base, le coup de foudre dans l’éternelle ville romantique, les aléas d’un couple affecté par leur propre drame. Le remake français de 2015 vient de ce scénario américain datant de 2012 en moins sombre, pas d’engrenage meurtrier infernal, beaucoup plus de point fort qui transperce le romantisme. La virtuosité orchestrale est découpée en trois partie par le discours du romancier devant ses auditeurs. Le dernier carré en soirée de tête à tête à l’ambiance amoureuse est très important personnellement. Le mélancolique laissant filer sa compagne meurtrie, croyant l’avoir blessée profondément, entame une autre vie dans l’acceptation du passé, à quai d’un train du destin, à cheval entre le présent et futur. C’est à ce moment-là que ces justes mots matures se transforment en larmes tellement l’histoire romancée est belle, une inspiration cinématographique d’art réaliste devient chef-d’œuvre surprise.
Un film délicieusement cynique et très très bien réalisé. Image, situation, interprétation sont au top. Et de surcroît une excellente réflexion sur l'écriture
Un excellent casting qui nous embarque à bord de ce film original et enrichissant.
(...) The Words ne sortira probablement jamais sur nos écrans. Au mieux il atterrira directement en dvd dans nos linéaires vu la popularité croissante de Bradley Cooper. Avec de si nombreuses qualités, c’est bien dommage. C’est triste même. The Words est une œuvre simple, minimaliste mais sincère, humaine. C’est ce qui fait tout son charme.
Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/critique-the-words/
Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/critique-the-words/
Rory Jansen, jeune auteur rejeté par les maisons d’édition, peine à lancer sa carrière. Son épouse lui offre un porte-documents. Rory y découvre un manuscrit. Il se l’approprie et le fait publier sous son nom.
C'est la première réalisation de Brian Klugman et Lee Sternthal qui avait travaillé ensemble sur Tron l'héritage. Ils en ont également écrit le scénario.
Les adaptations de roman ne sont pas toujours évidentes au cinéma, mais là on est à la vitesse supérieure en adaptant l'histoire d'un roman. Le résultat peu se définir en un mot : sublime.
Afin de pouvoir réussir à suivre agréablement, la construction se devait d'être à la hauteur. Il y a une imbrication de trois récits et ils rentrent en osmose. On a d'une part l'histoire de cet écrivain cherchant à se faire éditer, de l'autre, celle du roman en lui-même et enfin pour chapeauter le tout celle de l'homme ayant écrit tout cet imbroglio. Un parallèle intéressant et qui rajoute une belle richesse. D'autant plus, que les trois sont admirablement bien traités.
Cette tournure fait qu'on ne sait pas véritablement quelle était la limite entre la réalité et la fiction. Cela n'est pas dérangeant bien au contraire. La narration agréable à suivre.
Le tout va donc être extrêmement émouvant dans les deux parties. Déjà, car l'histoire racontée est très belle. Elle est aussi prenante avec des personnages attachants dans les trois parties. Chacune à son enjeu, que ce soit l'amour, la reconnaissance, ou la paix intérieure.
Tout cela est possible grâce au magnifique casting. La tête de gondole va être un grand Bradley Cooper. Comme d'habitude, il est parfait dans son interprétation. Les rôles secondaires n'auront pas à rougir avec des performances toutes aussi belle à l'image de Dennis Quaid, J.K. Simmons et Jeremy Irons.
Ce drame sur l'existence humaine aurait pu être un labyrinthe mais il s'avère être une symbiose émotionnelle
C'est la première réalisation de Brian Klugman et Lee Sternthal qui avait travaillé ensemble sur Tron l'héritage. Ils en ont également écrit le scénario.
Les adaptations de roman ne sont pas toujours évidentes au cinéma, mais là on est à la vitesse supérieure en adaptant l'histoire d'un roman. Le résultat peu se définir en un mot : sublime.
Afin de pouvoir réussir à suivre agréablement, la construction se devait d'être à la hauteur. Il y a une imbrication de trois récits et ils rentrent en osmose. On a d'une part l'histoire de cet écrivain cherchant à se faire éditer, de l'autre, celle du roman en lui-même et enfin pour chapeauter le tout celle de l'homme ayant écrit tout cet imbroglio. Un parallèle intéressant et qui rajoute une belle richesse. D'autant plus, que les trois sont admirablement bien traités.
Cette tournure fait qu'on ne sait pas véritablement quelle était la limite entre la réalité et la fiction. Cela n'est pas dérangeant bien au contraire. La narration agréable à suivre.
Le tout va donc être extrêmement émouvant dans les deux parties. Déjà, car l'histoire racontée est très belle. Elle est aussi prenante avec des personnages attachants dans les trois parties. Chacune à son enjeu, que ce soit l'amour, la reconnaissance, ou la paix intérieure.
Tout cela est possible grâce au magnifique casting. La tête de gondole va être un grand Bradley Cooper. Comme d'habitude, il est parfait dans son interprétation. Les rôles secondaires n'auront pas à rougir avec des performances toutes aussi belle à l'image de Dennis Quaid, J.K. Simmons et Jeremy Irons.
Ce drame sur l'existence humaine aurait pu être un labyrinthe mais il s'avère être une symbiose émotionnelle
L'histoire est captivante, et a le bénéfice de scotcher le spectateur du début à la fin. Le cas de conscience du personnage principal, très bien incarné par Bradley Cooper( juste, comme à son habitude) intéressant: choisir la gloire immédiate tout en sachant qu'elle sera illégitime et synonyme d'une reconnaissance qui lui est étrangère. En effet, il choisit de recopier un texte qu'il retrouve par hasard dans un attaché-case et de le proposer à une maison d'édition, à son nom. Le texte est publié, à son nom. Il laisse faire et devient par là-même un usurpateur glorifié. C'est quand il verra le véritable auteur du livre "The Words" venir à sa rencontre qu'il fait face à ses responsabilités. Les mises en abimes étaient ambitieuses, mais desservent la clarté du propos général. On en oublie le principal. Le scénario est truffé de déjà-vu. Un gâchis.
encore un film qui laisse libre à l'interprétation personnelle au niveau de son dénouement, qu'importe, le film est bon
Belle histoire, belle histoire dans l'histoire qui raconte en fait l'histoire initiale... Bref, il faut le voir pour comprendre. Bien joué même si cela manque peut-être un peu de rythme...
Un drame psychologique aux allures de thriller qui traite de malhonnêté intellectuelle et du poids des mots, le tout avec une certaine acidité. Le film, atypique, est difficile à suivre et il est assez pesant pour deux raisons. Tout d'abord pour des séquences déstabilisantes qui mettent à mal la psychologie de ses personnages mais aussi pour la complexité de la narration ( un homme qui raconte une histoire et dans cette histoire les personnages se racontent des histoires etc). Il en découle certaines longueurs et une certaine lassitude car on attend avec impatience comment tout cela va bien pouvoir se rejoindre. Cette narration qui risquent de perdre quelques spectateurs en route finit toutefois par porter ses fruits dans la dernière partie. Le montage alterné et des séquences plus liés entre elles selon les épôques et réalité donnent lieu à des passages plus haletants qui gagnent même en émotion. Le film révèle son véritable message qui n'est pas tant centré sur la création et l'honnêté intellectuelle mais sur la responsabilité de chacun et du poids que représente le fait d'assumer ses choix. Côté interprétation, Bradley Cooper est en terrain connu car il interprète un écrivain pour la 2ème fois après « Limitless ». Son personnage est ici beaucoup moins dans l'humour et il peut ainsi explorer une tonalité davantage dramatique. Le couple qu'il forme avec Zoe Saldana est plutôt crédible. On peut aussi relever la composition de Jérémy Irons en vieil homme brisé par ses choix. Enfin, les comédiens jouant la période d'après guerre délivrent également des compositions solides. En conclusion, un drame pesant qui nous torture gentiment l'esprit. Dommage que les passages entre les réalités et les épôques ne soient pas plus fluides car la première heure est un peu lassante.
En voyant le scénario et l'aspect du film, on peut penser que l'on va voir un téléfilm de 13h30 qui passe sur tf1. Mais finalement non ! c'est une véritable surprise ! Bradley Cooper, Zoé Saldana, et Jeremy Irons ont de très beaux rôles dans ce film très original ! c'est rafraichissant et on s'attache au personnage. Bon film dramatique qui mérite + de visibilités !
Les mots me manquent pour parler de ce film à tout point splendide. Mais deux faits ressortent encore plus de ce film :
- la performance des acteurs. Vraiment !! Et mention spéciale à monsieur jeremy Irons
- l'écriture des dialogues. Surtout les dialogues des personnages de Cooper et Irons
Comme quoi les américains excellent dans tous les genres de cinéma quand ils le veulent
- la performance des acteurs. Vraiment !! Et mention spéciale à monsieur jeremy Irons
- l'écriture des dialogues. Surtout les dialogues des personnages de Cooper et Irons
Comme quoi les américains excellent dans tous les genres de cinéma quand ils le veulent
BeatJunky
Manque un peu de rythme mais sinon il est très intéressant. Le cas de conscience de Bradley Cooper est captivant, on ne peut que s'identifier et essayer de comprendre, sde savoir ce que nous nous ferions à sa place. L'interprétation est bonne, Bradley Cooper est excellent et crédible surtout, il nous fait bien passer son malaise. Bonne découverte pour ce film inconnu. A voir
Un drame choral sur le rapport entre l'écrivain et son oeuvre, un sacré casting pour un film qui parait incomplet et bâclé. Intime et sombre, le scénario raconte l'histoire d'un écrivain raté qui tombe par hasard sur un manuscrit anonyme qu'il décide de faire publier a son nom, et du jour ou il rencontre le vrai auteur de ce "chef d'oeuvre", un scénario qui, malgré l'excellent et passionnant sujet qu'il aborde, se divise en trois histoires, et se perd dans ce marasme d'époque et de dimension, au point d'abandonner sur la fin... Loin de sa performance brillante d'Happiness Therapy, Bradley Cooper est obligé de s'écraser face a un excellent Jeremy Irons, ou encore la performance plus discrète et sarcastique de Dennis Quaid, et ne pas oublier les atouts de charmes, Olivia Wilde et Zoé Saldana, toutes deux divines et sincères. Classique et porté sur les filtres d'époque, la mise en scène du duo Klugman/Sternthal est donc très classique et se repose sur une sorte de post-modernité visuel pas passionnante ni innovante mais efficace.
Un drame intéressant mais incomplet, porté surtout par un bon casting et des moments d'émotions sincères.
Un drame intéressant mais incomplet, porté surtout par un bon casting et des moments d'émotions sincères.
Une histoire originale en toute simplicité. L'histoire d'un voleur d'histoire, et de vie avant tout. C'est beau et touchant sans en faire des masses, et si la morale est bien là elle n'en est pas pesante pour autant. Je découvre un nouveau Bradley Cooper loin des rôles de playboy musclé ou de rigolo, et je le préfère largement dans ce registre (peut-être parce que c'est ce registre que je préfère) et je suis curieuse de le voir dans "The Place Beyond the Pines" et "Serena" notamment.
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