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Votre avis sur Zulu ?
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GyzmoCA
Les deux têtes d'affiche de ce policier sud africain sont deux acteurs exceptionnels. On le savait déjà avec Forest Whitaker (Majordome, Bird, Roi d'écosse) mais la c'est une révélation avec Orlando Bloom qui excelle dans ce rôle de policier perdu et violent. Je trouve même que parfois il dépasse le maitre Forest.
Le film est violent proche de certaines situations Sud Africaines. A voir !
Le film est violent proche de certaines situations Sud Africaines. A voir !
Un bon film d'action bien rythmé, avec Forest Whitaker comme toujours parfait, qui arrive par son jeu à faire passer ses sentiments intimes de flic noir en Afrique du sud . A voir.
Tout ce que j'aime ! Du style, du fond, des acteurs qui se transcendent (je pense à Ô . Bloom qui n'a jamais été aussi bon !).
C'est brut, âpre, le scenario oscille entre polar et complot avec supplément de têtes patibulaires et ça laisse un goût de sang et de sable dans la bouche.
C'est brut, âpre, le scenario oscille entre polar et complot avec supplément de têtes patibulaires et ça laisse un goût de sang et de sable dans la bouche.
Meilleure production française thriller/polar depuis... Ne le dit à personne ! La sociologie sud-africaine demeure le fil rouge fascinant (et le principal point fort) dans l'introspection narrative des 2 personnages principaux, par ailleurs magnifiquement interprétés. Le style du réalisateur est également vraiment classe.
Réalisé de main de maitre par Jérome Salle, Zulu est un polar impitoyable sur fond de post Apartheid permettant à Orlando Bloom de signer là probablement la plus belle composition de sa carrière!
Nerveux à mort, cette plongée au coeur de la société Sud Africaine est aboutie de bout en bout, pourvue d'un casting monumental (Whitaker sublime) qu'aucun second rôle ne vient entacher, et d'une photographie exceptionnelle mettant en valeur des décors naturels à la beauté foudroyante.
Et last but not least, il s'agit d'une production 100% Française! Preuve s'il fallait que le jour où l'on comprendra l'importance de se donner les moyens d'opter pour le vrai cinoche, le potentiel est là!
Nerveux à mort, cette plongée au coeur de la société Sud Africaine est aboutie de bout en bout, pourvue d'un casting monumental (Whitaker sublime) qu'aucun second rôle ne vient entacher, et d'une photographie exceptionnelle mettant en valeur des décors naturels à la beauté foudroyante.
Et last but not least, il s'agit d'une production 100% Française! Preuve s'il fallait que le jour où l'on comprendra l'importance de se donner les moyens d'opter pour le vrai cinoche, le potentiel est là!
sombre haletant, supers acteurs, excellent policier.
Film captivant de bout en bout, dans un décor à part qu'est Cape Town, ville fascinante
un film d'une violence brute et dans un pays qu'il est tout autant , dans une afrique du sud après apartheid les 2 flics forest whitaker et orlando bloom menent une enquete sur un meutre d'une fille, la suite fait froid dans le dos. le frenchie jerome salle fait transcrire a l'ecran la vérité d'une nation malade sur fond de township et de villas luxueuse, très bonne enquete film trop méconnue a mon gout BREF A VOIR 4/5
Adaptant un roman, "Zulu" se dote d'un scénario très bien écrit avec une histoire entraînante dès les premières minutes. Effectivement, la réalisation offre une mise en scène prenante pour ne plus lâcher le spectateur. Quant aux acteurs, ils sont extrêmement convaincants avec un Orlando Bloom au sommet de sa forme. Ainsi, le film est plaisant, intéressant et surtout très captivant.
Une bonne intrigue servie par de bon acteurs. Un Orlando Bloom badass à souhait et un Forest Whitaker dans ses grands jours. Un film à ne pas rater.
Zulu est le quatrième film de Jérôme Salle, réalisateur des aventures de Largo Winch, héros des BD bien connus. Afrique du Sud dans les townships, deux enquêteurs que tout oppose vont enquêter sur un meurtre sauvage d’une jeune adolescente blanche. Ils vont vite découvrir l’envers du décor… Zulu fut pour moi une claque pour plusieurs raisons. Tout d’abord, le scénario que j’ai trouvé très bon et ensuite les acteurs. J’avoue qu’avant ce film, je n’appréciais pas particulièrement Orlando Bloom, je le trouvais trop propre sur soi et sans caractère, le long métrage m’a fait totalement changé d’avis. Il incarne à la perfection un policier alcoolique et complètement borderline, une performance exceptionnelle. Forest Whitaker est également très bon dans le rôle d’un flic ayant pardonné aux Afrikaners les sévices subies par le passé. Les décors et la manière de filmer est vraiment de très bonne facture. Le film Zulu est vraiment un très bon film policier. L’intrigue est vraiment de qualité avec de nombreux rebondissements. Les acteurs sont excellents dans leurs rôles respectifs, mention spéciale à Orlando Bloom vraiment bon dans son rôle. A noter que certaines scènes sont très violentes dans le film, à mon avis, elles sont nécessaire pour démontrer le réalisme de la violence dans les Townships d’Afrique du Sud.
Que ce soit l'affiche du film ou encore le casting, il y avait de quoi se réjouir avant d’aller voir ce film.Même si l'on reste diverti par l'histoire, on reste loin, très loin d'un film au potentiel "Sélection de Cannes"...et pourtant !Sur fond de "conspiration raciale" l'idée de départ était plutôt bonne mais le scénario n'est pas à la hauteur de l'intrigue. Ce thriller manque de finesse et de contenu.
Film violent et poisseux, bien filmé et rythmé. ne donne pas envie d'aller voir l'Afrique du sud. Mais le film est bon surtout grace aux acteurs.
Ce polar franco-sud-africain est une agréable découverte. Le réalisateur Jérôme Salle, dont j'avais seulement vu l'honorable "Anthony Zimmer", a la réputation d'un faiseur talentueux mais pas très subtil.
Or si "Zulu" (2013) manque parfois de finesse dans son scénario, il jouit d'une portée historique et politique aussi pertinente qu'inattendue. D'ailleurs le film fut diffusé en clôture du festival de Cannes 2013, ce qui laissait augurer une dimension auteuriste potentielle.
De plus, cette adaptation du best seller éponyme de Caryl Ferey offre une brillante étude de caractères, puisque ses 2 héros sont des hommes complexes, porteurs de failles psychologiques lourdes, marqués chacun à leur manière par les heures sombres d'un passé pas si lointain. L'apartheid est en effet au coeur du film, qui a le mérite de nous éclairer sur certains aspects oubliés, comme l'abominable Coast Project, ou de nous rappeler le fonctionnement de la commission "Vérité et réconciliation". De fait, le film interroge en permanence sur la notion de pardon et son application concrète, ce qui fait de "Zulu" bien plus qu'un banal thriller.
D'ailleurs, c'est curieusement dans cette dernière dimension que le film déçoit un peu : l'histoire démarre efficacement, l'intrigue à tiroirs se développe progressivement, mais ne décolle jamais vraiment, lestée par une absence de rebondissement majeur.
Un mot sur les têtes d'affiche US, vraiment bons et aidés par des personnages bien écrits : Forest Whitaker campe un descendant zoulou marqué au fer rouge par l'apartheid, et Orlando Bloom son partenaire badass au bout du rouleau. Les seconds rôles sud-africains assurent aussi, et les magnifiques paysages locaux magnifient l'ensemble.
Et puis, c'est quand même agréable un blockbuster où un flic peut être aloolo, où on baise sans garder ses sous-vêtements, et où la crasse et la misère ne sont pas enjolivés.
Or si "Zulu" (2013) manque parfois de finesse dans son scénario, il jouit d'une portée historique et politique aussi pertinente qu'inattendue. D'ailleurs le film fut diffusé en clôture du festival de Cannes 2013, ce qui laissait augurer une dimension auteuriste potentielle.
De plus, cette adaptation du best seller éponyme de Caryl Ferey offre une brillante étude de caractères, puisque ses 2 héros sont des hommes complexes, porteurs de failles psychologiques lourdes, marqués chacun à leur manière par les heures sombres d'un passé pas si lointain. L'apartheid est en effet au coeur du film, qui a le mérite de nous éclairer sur certains aspects oubliés, comme l'abominable Coast Project, ou de nous rappeler le fonctionnement de la commission "Vérité et réconciliation". De fait, le film interroge en permanence sur la notion de pardon et son application concrète, ce qui fait de "Zulu" bien plus qu'un banal thriller.
D'ailleurs, c'est curieusement dans cette dernière dimension que le film déçoit un peu : l'histoire démarre efficacement, l'intrigue à tiroirs se développe progressivement, mais ne décolle jamais vraiment, lestée par une absence de rebondissement majeur.
Un mot sur les têtes d'affiche US, vraiment bons et aidés par des personnages bien écrits : Forest Whitaker campe un descendant zoulou marqué au fer rouge par l'apartheid, et Orlando Bloom son partenaire badass au bout du rouleau. Les seconds rôles sud-africains assurent aussi, et les magnifiques paysages locaux magnifient l'ensemble.
Et puis, c'est quand même agréable un blockbuster où un flic peut être aloolo, où on baise sans garder ses sous-vêtements, et où la crasse et la misère ne sont pas enjolivés.
Immense film sur les township de l Afrique du Sud et de sa violence
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