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Fabios Om
54 abonnés
1 269 critiques
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2,5
Publiée le 29 avril 2020
un film snetiamal qui est également un drame psychologique en même temps c'est pas banal . Le film parle d'une femme qui perd son mari pendant leur vacances et malgré les année qui passe elle continue de le voir partout et rencontre son sosie . Le film débute timidement mais après on se rend compte de la douleur et le chagrin de certains personnage , ce film fais partager de la tendresse et amour et montre que l'amour ne fait oublier personne . Le film souffre parfois d'une grosse lenteur durant toute sa durée ce qui est dommage . Ce sujet certes triste traite également de sujet plus romantiques. Un des dernier rôle de Robin Williams .
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3,5
Publiée le 12 septembre 2018
« Tu as un passè...j'ai un passè ! » Histoire originale et troublante! Celle de Nikki, veuve depuis cinq ans, qui rencontre par hasard dans un square le sosie parfait de son dèfunt mari! Annette Bening est le coeur battant de ce film surprenant - et de ce qu'il faut de douloureux pour s'inscrire dans la lignèe de "Message in a Bottle", avec Kevin Costner et Robin Wright! Un rien ambigu, sur la fin (à quoi pense Nikki dans l'ultime plan de la piscine ?), mais constamment juste et èmouvant! Peut-être que certains trouveront les ficelles un peu trop grosses, mais la corde sensible du spectateur finit par vibrer grâce à Annette Bening qui trouve ici l'un de ses plus beaux rôles! Le chagrin d'avoir perdu un être cher et le talent de cette femme là effacent tous les clichès environnants! il serait impardonnable de ne pas citer l'immense Ed Harris dans une interprètation tout en pudeur et en impènètrabilitè! A voir absolument en v.o! Ne serait pour Robin Williams (jamais totalement dedans en voisin amoureux) dont le doublage français est une vraie catastrophe...
Film qui débute plutôt timidement et qui parait manquer de profondeur et qui finalement se révèle être surprenant et bien agréable !! Les acteurs jouent très bien (notamment Annette Benning qui joue divinement bien son rôle de femme à la dérive et un Robin Williams toujours parfait bien que trop rare dans ce film et c'est fort dommage !!). et on passe une excellent soirée !! Deuil, désespoir, pardon, illusions, folie...tous ces thèmes sont abordés avec pudeur et subtilité et c'est vraiment un très bon film, tendre et émouvant que je recommande à tous !
Sous ses souhaits hitchcockiens, The Face of Love n’a du maître que son affiche de Vertigo. Le réalisateur propose plutôt un téléfilm fade de dimanche après-midi sur TF1. Même si le film se réveille un peu à la fin, le rythme bien lent stagne dans un scénario brouillon et sans surprise. Heureusement Annette Bening sauve un minimum la plupart des scènes, alors que celle-ci n’était pas pressentie pour le rôle principal. The Face of Love s’adresse en fin de compte seulement au public du troisième âge, mais gare aux yeux qui se ferment durant ce drame sentimentaliste. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Je me suis ennuyée dans l 'ensemble, l 'histoire paraissait sympa,, ça met du temps à démarrer , j 'ai failli arrêter très vite, mais j 'ai persisté, un peu de mouvement ensuite , la fin m ' a touché bien évidemment, mais ça ne réussit pas dans l 'ensemble à me plaire, donc bof
La fulgurance avec laquelle le décor est planté laisse peu de temps au spectateur pour se mettre dans l'ambiance de l'oeuvre. On a à peine l'occasion de remarquer à quel point des détails compactés en une courte scène font partie du nécessaire à la compréhension de l'histoire. Laquelle exploite le maximum de son potentiel émotionnel avec le minimum de musique, de moyens matériels et même de dialogues. Faisant indifféremment pencher la balance de l'interprétation du côté drame ou du côté sentimental au fil des scènes, le crescendo des révélations aboutit à un maelstrom de complexité doté de toute la monstruosité que peut avoir une telle vie fictive, voire folle. Pas forcément un exemple dans les meilleurs films à l'eau de rose mais incontestablement réussi des points de vue "art" et "divertissement", avec une pensée pour Annette Bening qui sait tellement bien gérer le malheur dissimulé de son personnage accablé.
J'ai beaucoup aimé ce film. L'amour passion qui dure 30 ans, le deuil soudain, et puis la rencontre d'une nouvelle personne, l'amour soudain, qui ne se base d'abord que sur un mensonge voire une supercherie. Le jeu d'acteur est excellent. Se laisse regarder en passant un agréable moment.
qu'elle est jolie et émouvante dans ce rôle Annette Bening, je l'adore cette actrice, qui a 57 ans n'hésite pas à montrer ses rides, elle est "vraie" pas comme la plupart des actrices hollywoodiennes qui se font faire lifting sur lifting et ne ressemblent plus à rien !!
ed harris très bien dans les 2 rôles, et une intrigue que l'on suit avec plaisir de bout en bout
J’aurais bien volontiers rebaptisé “The face of love” : “The movie of boredom” (le film de l’ennui) ! Ce drame romantique utilise un artifice, finalement pas si idiot que ça : une femme, veuve, rencontre le sosie parfait de son défunt mari et entame avec lui une relation amoureuse. Las, l’intrigue construite sur ce paradigme peine à sortir des ornières du drame romantique. Au lieu d’utiliser à fond son angle d’attaque, le film se perd dans une ennuyeuse série de mini-péripéties sentimentales, bien peu différentes de ce qu’on voit habituellement et le cœur de l’intrigue, à savoir le fait que Garrett soit le double physique parfait de l’ancien mari de Nikki, reste en périphérie pendant la majeure partie du film et n’est exploité que dans les dernières 25 minutes. Résultat on s’ennuie devant une histoire languissante de deuil amoureux non-résolu et d’histoire d’amour naissante qui n’offre vraiment rien d’original ni d’emballant. Annette Bening et Ed Harris font ce qu’ils peuvent, mais leurs prestations, aussi impeccables qu’elles soient, ne peuvent sauver un film dont l’histoire est désespérément insipide. Un drame romantique terne qui n’arrive jamais à exploiter son idée de départ pour se perdre dans la voie de garage du déjà-vu. À oublier, ou carrément à éviter, même pour voir Robbin Williams dans un de ces derniers rôles.
Ce drame sentimental quelque peu invraisemblable et trainant parfois en longueur révèle un scénario original, teinté d'émotion et bien écrit, porté par les remarquables prestations du duo Annette Bening/Ed Harris. Un bon divertissement.
une belle et originale histoire d'amour d'une veuve qui tombe amoureuse du sosie de son mari. Les acteurs jouent très bien, et pour les fans d'Ed Harris, ce film sera un total ravissement. Mais pour les autres, le film sera pauvre en surprise , pas vraiment ennuyeux mais sans rebondissement. Dommage, cela aurait pu etre un grand film.
Sans révolutionner le genre et doté d'un scénario classique, il y a une certaine magie qui se dégage de ce film en partie bien sûr grâce aux excellents acteurs qui font ce qui faut pour donner de la fraîcheur à cette histoire sentimentale mais aussi grâce au réalisateur qui sait nous tenir en haleine sans jamais tomber dans le mélo.
Une fois de plus, nous nous sommes penchés sur la sortie toute récente du DVD d’un film qui n’a pas tant fait parler de lui cet été. Et pourtant, « The Face of Love » a de bons arguments pour plaire à un large public.
Nikki, cinquantenaire bourgeoise, a énormément de mal à se remettre de la perte dramatique de son mari. Depuis 5 ans, souvenirs et peines hantent son quotidien. Un jour de visite d’un musée d’art particulièrement apprécié par son époux, elle croise la route de Tom, un artiste peintre somme toute banal… sauf qu’il ressemble trait pour trait à celui qui a partagé sa vie durant 30 ans.
Obstinée à retrouver ce sosie, Nikki se lance dans une quête de l’Amour perdu, et fera entrer dans sa vie une copie exacte de feu son mari. C’est une histoire à la fois malsaine et extrêmement touchante que s’approche à vivre ces deux « inconnus », incarnés à merveille par l’excellent Ed Harris (Abyss, Apollo 13) et par la bouleversante Annette Bening (American Beauty, Mother & Child). En prime, nous côtoierons Robin Williams, qui, par son jeu, nous rappelle douloureusement combien il manque à nos écrans.
Arie Ponsin signe ici un deuxième long métrage qui marquera les esprits et qui interroge sur la capacité à faire le deuil d’une histoire d’Amour dans la folie ou dans la lucidité. Seul bémol? La VF mal doublée... mais qu'importe ce détail, le reste nous le fait vite oublier!
Reposant sur une idée que l'on a tous entendue un jour, "The face of love" part sur un scénario quand même un peu gonflé. On oublie cependant assez rapidement cet aspect grâce au traitement tout en finesse de cette émouvante histoire. Alors oui c'est guimauve, alors oui on devine trop rapidement le déroulement plus que classique de la trame et oui on aurait aimé voir un peu plus Robin Williams. Mais comment rester de marbre devant cette tendre et douce-amère évocation ?