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fresh-BUZZ
41 abonnés
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1,5
Publiée le 20 juillet 2014
On tient là le genre de film qui passe totalement inaperçu, qui est totalement raté et qu’on oublie au bout d’une heure, celui-ci est un summum du genre. The Face Of Love c’est une sorte de remake de Sueurs Froides (Vertigo) d’Alfred Hitchcock à la sauce romcom et si tout le film se déroule sans problème (il est plutôt bien construit d’ailleurs) c’est d’un ennuie mortel. Arie Posin arrive pourtant à faire une chose assez innovante par les temps qui courent, ne pas pas faire de sa love story un film pour ados et rien que pour ça on peut lui tirer notre chapeau. Le défaut majeur de beaucoup de comédie romantique moderne c’est qu’elles sont adaptés pour le jeune public et ici les personnages principaux sont deux vieux cassés par la vie ce qui est appréciable, mais cela n’empêche pas le film d’être raté. LA SUITE DE CETTE CRITIQUE DANS LE LIEN CI-DESSOUS... *FreshBuzzCinéma*
Ce drame sentimental quelque peu invraisemblable et trainant parfois en longueur révèle un scénario original, teinté d'émotion et bien écrit, porté par les remarquables prestations du duo Annette Bening/Ed Harris. Un bon divertissement.
Le jeu impeccable des acteurs n'arrive pas à effacer le sentiment de malaise dû à la faiblesse et à l'ambiguïté du scénario. Le film donne la même impression qu'un léger renvoi acide: incongru et déplaisant. D'ailleurs, en VF, dès l'apparition de Robin Williams puis de Ed Harris bis, on sent que l'on va souffrir pour arriver au terme de ce visage (fané) de l'amour (obsessif) d'Annette Bening, tant leurs voix de doublage inhabituelles, du niveau d'un banal téléfilm ou d'une sitcom pour vieux, nous plongent dans un abîme de perplexité et font grincer du dentier. Une torture que l'on aurait souhaiter éviter...
Petit film méconnu sorti sur nos écrans mi-juillet 2014, The Face of Love est clairement un métrage à destination d'un public mûr, qui a l'expérience de la vie et a déjà vécu de nombreuses aventures. Ainsi, il aborde la thématique de l'épouse devenue veuve en quête de reconstruction, jouée par Annette Bening, en proie au doute et à la tentation. Son ancien mari, qu'elle a perdu trop tôt, renaît sous la forme d'un sosie, qu'Ed Harris se plaît à interpréter. Naît une belle aventure pleine de complicité et de rires, même si le temps rattrape bien trop souvent ses acteurs. Attention : quelques longueurs sont à prévoir, ainsi qu'un Robin Williams trop absent.
Reposant sur une idée que l'on a tous entendue un jour, "The face of love" part sur un scénario quand même un peu gonflé. On oublie cependant assez rapidement cet aspect grâce au traitement tout en finesse de cette émouvante histoire. Alors oui c'est guimauve, alors oui on devine trop rapidement le déroulement plus que classique de la trame et oui on aurait aimé voir un peu plus Robin Williams. Mais comment rester de marbre devant cette tendre et douce-amère évocation ?
un film snetiamal qui est également un drame psychologique en même temps c'est pas banal . Le film parle d'une femme qui perd son mari pendant leur vacances et malgré les année qui passe elle continue de le voir partout et rencontre son sosie . Le film débute timidement mais après on se rend compte de la douleur et le chagrin de certains personnage , ce film fais partager de la tendresse et amour et montre que l'amour ne fait oublier personne . Le film souffre parfois d'une grosse lenteur durant toute sa durée ce qui est dommage . Ce sujet certes triste traite également de sujet plus romantiques. Un des dernier rôle de Robin Williams .
Sous ses souhaits hitchcockiens, The Face of Love n’a du maître que son affiche de Vertigo. Le réalisateur propose plutôt un téléfilm fade de dimanche après-midi sur TF1. Même si le film se réveille un peu à la fin, le rythme bien lent stagne dans un scénario brouillon et sans surprise. Heureusement Annette Bening sauve un minimum la plupart des scènes, alors que celle-ci n’était pas pressentie pour le rôle principal. The Face of Love s’adresse en fin de compte seulement au public du troisième âge, mais gare aux yeux qui se ferment durant ce drame sentimentaliste. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
The Face Of Love reprend la trame de Vertigo d'Hitchcock en l'inversant légèrement. Si le spectateur était passé à côté de la référence, qu'à cela ne tienne, on verra l'affiche du film lors des toutes premières minutes du film, histoire de bien comprendre. La réalisatrice fait preuve de ce type de subtilité là. Le problème, lorsque l'on reprend un chef d'oeuvre de cette envergure qui reste une pièce maîtresse de l'histoire du cinéma, c'est que l'on se casse souvent les dents. Le film passe un peu à côté de son sujet et finit par gâcher son potentiel émotionnel. Malgré tout les acteurs vraiment exceptionnels sauvent l'ensemble du naufrage et on passe un bon moment malgré les 2 dernières minutes du film qui sont non seulement ratées mais qui donnent une impression de contresens manifeste.
Faire le deuil d’un être cher, tel est l’épreuve réservée à notre pote Annette Bening ; une souffrance qui s’achève quand elle rencontre le sosie de son mari défunt. Le scénario s’autorise quelques facilités qu’on a du mal à avaler comme ce double d’Ed Harris qui vivait pas si loin et qu’elle n’a curieusement jamais croisé. On ajoutera à ça le personnage incarné par Robin Williams totalement inutile et qui finit par inspirer plus de pitié qu’autre chose ce qui n’arrange pas les choses. Finalement, le seul intérêt de The face of love reste le comportement, quand même très prévisible, de Nikki vis-à-vis du nouvel homme de sa vie pour le reste c’est bien trop sage. A la limite, on attendait quelque chose de plus malsain façon La piel que habito d’Almodóvar mais c'est trop en demander.
Réunissant un casting de choix, The Face of Love aborde plusieurs moments de la vie d'une personne, le deuil d'un conjoint qu'elle a tant aimé, l'amitié intéressée d'un voisin et finalement l'amour retrouvé. Nikki perd son mari et le monde s'effondre peu à peu jusqu'au jour où elle voit son sosie parfait. Une idylle commence et leur relation devient sérieuse. Si l'on peut regretter les chemins pris et les évidences trop faciles (un sosie aperçu là où elle passait du temps avec son défunt mari, ...), on apprécie tout autant le complexité de cette situation cachée aux yeux de son voisin amoureux et de sa fille. Le dernier quart d'heure explore la détresse, la compassion et la reconnaissance. Beaucoup (trop) de thèmes sont ainsi exploités.
Film qui débute plutôt timidement et qui parait manquer de profondeur et qui finalement se révèle être surprenant et bien agréable !! Les acteurs jouent très bien (notamment Annette Benning qui joue divinement bien son rôle de femme à la dérive et un Robin Williams toujours parfait bien que trop rare dans ce film et c'est fort dommage !!). et on passe une excellent soirée !! Deuil, désespoir, pardon, illusions, folie...tous ces thèmes sont abordés avec pudeur et subtilité et c'est vraiment un très bon film, tendre et émouvant que je recommande à tous !
Même si ce drame romantique n'arrive pas à restituer tout le trouble que cette situation devrait engendrer, on se laisse émouvoir par l'histoire, notamment grâce à la prestation d'impeccable des acteurs, Annette Bening en tête.
La fulgurance avec laquelle le décor est planté laisse peu de temps au spectateur pour se mettre dans l'ambiance de l'oeuvre. On a à peine l'occasion de remarquer à quel point des détails compactés en une courte scène font partie du nécessaire à la compréhension de l'histoire. Laquelle exploite le maximum de son potentiel émotionnel avec le minimum de musique, de moyens matériels et même de dialogues. Faisant indifféremment pencher la balance de l'interprétation du côté drame ou du côté sentimental au fil des scènes, le crescendo des révélations aboutit à un maelstrom de complexité doté de toute la monstruosité que peut avoir une telle vie fictive, voire folle. Pas forcément un exemple dans les meilleurs films à l'eau de rose mais incontestablement réussi des points de vue "art" et "divertissement", avec une pensée pour Annette Bening qui sait tellement bien gérer le malheur dissimulé de son personnage accablé.
(...) Peut-on retomber amoureux de la personne qu’on aime ? Deux personnes peuvent-elles être à la fois exactement la même, tout en étant totalement différentes ? Le film de Arie Posin pose ces questions à travers la romance entre Nikki, veuve depuis cinq ans, et Tom, le sosie de son défunt mari. Le thème du double au cinéma n’est pas nouveau, et il a donné quelques unes des plus belles œuvres du 7ème art. Si The Face of Love n’en fera pas partie, il reste un beau film d’amour, sensible et poétique (...) Le scénario fait immanquablement penser à l’un des chefs d’œuvre de Hitchcock, l’excellent Sueurs froides, auquel le film fait un clin d’œil appuyé. Malheureusement, il ne termine pas les promesses entamées par cette première partie prometteuse. Le trouble disparaît trop vite, laissant place à une romance, certes fort jolie, mais somme toute trop classique. Cela manque de force, de tension, d’un retournement de situation, peut-être, qui referait sortir le film de l’ornière. Ce n’est pas le cas, et The Face of love restera un film sympathique, qui aurait pu être un petit bijou, mais pêche par manque de cran. Une belle romance, sublimée par un duo d’acteurs au sommet, mais qui laisse un goût d’inachevé en bouche lorsque l’on pense à ce qu’il aurait pu être.