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Un visiteur
1,0
Publiée le 14 avril 2011
Pourquoi faire une suite? Le premier suffisait. Les actrices de cet opus manque de charisme et les blagues sont plutôt lourdes. Du déjà vu donc mais en mieux... dommage.
Alors le but n'était pas de reprendre le scénario du premier et de refaire exactement la même chose… Une héroïne qui débarque dans un nouvel environnement très différent du sien, tente de détrôner "Les plastics" au point d'en devenir une caricature, se met ses amies à dos et résout ça d'une manière encore plus niaise. J'ai une certaine affection pour le premier, notamment parce qu'il avait le mérite d'être original. Donc l'intérêt d'un remake, nommé de manière à croire qu'il s'agit d'une suite, pour capitaliser sur le succès du premier, est proche du néant. Il suffit de comparer le succès des personnes qui ont participé au premier (Lohan, McAdams, Seyfreid, Fey, même Chabert) à celui des filles de celui-ci pour comprendre l'univers qui les sépare… Seul le proviseur a accepté de reprendre son rôle et ça devait limite être pour des raisons alimentaires.
Ce film est sympa, et même si sans LiLo ce n'est plus la même chose, je trouve que le 2 est plus drôle et mieux fait que le 1, chose rare dans les suites...
"Mean Girls 2" reprend le même concept que son prédécesseur avec une élève, en l'occurrence Jo, qui arrive dans une nouvelle école organisée en clans avec les sportifs, les intellos, les populaires, etc. Elle a pour objectif de se faire discrète, mais c'est raté lorsqu'elle se met la peste du lycée à dos. Le début d'une guerre... Au-delà du casting qui est moins réussi, la principale différence avec le film de 2004 se situe au niveau de l'écriture. Tina Fey se montrait tranchante avec un humour maîtrisé alors qu'ici, c'est souvent de la pure méchanceté et de la pure idiotie. Le politiquement incorrect laisse place à quelque chose de faussement irrévérencieux. C'est comme une version Disney Channel du premier film. C'est logiquement moins bien, mais je n'ai pas trouvé ça mauvais pour autant. L'histoire est sympathique, par contre cette guéguerre perd de son intérêt au fil des minutes avec une dernière partie particulièrement poussive et artificielle. Au final, un second film moyen, mais regardable.
Produit par "Paramount Famous Productions", une entité dédiée aux suites (principalement des DTV), dont le catalogue est composé de seulement 5 films (tous plus minables les uns que les autres, à commencer par le premier de la liste : Jusqu'au cou 2 - 2009). Cette structure cessera définitivement toute activité 2ans plus tard, sans doute après avoir cumulé trop de bides consécutifs.
Et Lolita malgré moi 2 (2011) fait justement partie de cette longue liste de bides que l’on doit imputer à Paramount. Après le succès au box-office mondial du premier opus en 2004 (en rapportant pas moins de 5 fois sa mise), une comédie musicale a vu le jour à Broadway, ainsi que ce spin-off.
Oubliez le casting originel, ce dernier fait peau neuf à l’exception de Tim Meadows (qui incarne le principal). Cette fois-ci, on retrouve (les ravissantes) Meaghan Martin & Maiara Walsh dans les rôles principaux, au cœur d’un intrigue au combien prévisible et ridicule. La première « reprend » le rôle de Lindsay Lohan, dans la peau d’un garçon manqué au volant de sa Vespa, passionnée par le bricolage et ayant en guise de décoration d’intérieur dans sa chambre, une porte de voiture et un panneau stop (on frise le ridicule) et quant à la deuxième, elle « reprend » le rôle de Rachel McAdams, la leader des "Plastiques", affublée d’un immonde chihuahua répondant au doux nom de Coco Chanel. D’ailleurs, que penser du reste du casting dont les personnages portent des prénoms aussi improbables que Hope & Chastity, on vous laissera faire la traduction.
C’est ce que l’on pourrait appeler le nivellement par le bas, tant le film de Melanie Mayron s’avère être pathétique, avec son pseudo côté féministe à deux balles.
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1,0
Publiée le 9 septembre 2018
Il y a un adage qui dit que pour gagner une course, il faut être dans la course! Cette suite inutile reprend les mêmes recettes que le premier volet! Meaghan Jette Martin remplace Lindsay Lohan et les règles sont les mêmes : spoiler: Règle de survie n°1 : pas d'embrouilles avec de filles! Autant dire que la mission s'avère difficile pour Johanna Mitchell avec le clan des Plastics dont le porte drapeau est une certaine « Mandi » . Le genre qui dèteste être la n°2! Le genre à être heureuse que lorsqu'elle rend les autres malheureux! Mais la vie, ce n'est pas que le lycèe ! Entre le sac à main Prada nouvelle tendance avec des franges, le dègueuli pour pizza et le roi du tèlèachat richissime qui embauche une parfaite inconnue pour qu'elle devienne la meilleure amie de sa fille...on n'a plutôt de quoi s'occuper! Tout est archi prèvisible, beaucoup moins inspirè, super idiot, mais on peut (ou non) apprècier les conspirations de la très diabolique Maiara Walsh! C'est à vous de voir...
Censé être une suite, il ne faut que 15 min pour se rendre compte que ce remake est absolument mal jouer, mal diriger, sans aucune vie et ne peu en aucun cas se prétendre de la trilogie satirique tant ses personnages sont plats, la blonde attitude certes présente mais sans aucune profondeur. Le seul "point fort" étant la modification dans le récit, de notre héroïne aidant une autre super riche qui est la risée des Plastiques. Même Maiara Walsh qui se voit le rôle de l'adversaire principal ne parvient en rien à moderniser ou rendre un brin sexy ce rôle. Personnages secondaires, jeu et ensemble, tous simplement, rater.
Trés sympathique, Lolita malgré moi 2 n'arrive tout de même pas à la cheville du premier volet, mais pas loin. Le film se veut uniquement divertissant et sympathique, on échappe pas aux gags parfois vraiment limites, mais on s'amuse bien, on passe un bon moment et c'est bien la ce qui compte. Le tout est porté par une pléïade d'acteurs forts sympathiques, et l'on retrouve avec un grand grand plaisir Tim Meadows, qui reprend, toujours de manière hilarante, son rôle du Directeur Duvall.
toujours un peu la même histoire dans ce genre de film, les filles populaires, méchantes contre les filles gentilles, sensibles et vulnérables mais c vrai bien mieux que le 1
J'ai passé un bon devant ce film de garces :) C'est pas du grand cinéma bien sûr mais c'est distrayant. Une petite préférence pour Lindsay Lohan, Amanda seyfried et Rachel Mc Adams dans le 1 tout de même.
Lolita Malgré Moi sans Cady Heron et Regina Georges, ce n'est pas Lolita Malgré Moi. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages de cette suite, tout simplement car du début à la fin, ils ne m'ont semblé n'être que des pâles copies des personnages du premier opus.
Coloré, fade, acide, le tout saupoudré d'une crème sucrée limite écœurante... Voilà comment je qualifierais ce teen-movie plus digne d'un téléfilm de Gulli ou Disney Channel diffusé à trois heures le mercredi aprem et regardé par des collégiens désœuvrés que de la suite du pimenté Lolita malgré moi, pas très intellectuel certes, mais à un humour plus comparable à un hamburger sauce épicée qu'à une sucette à la guimauve... Un scénario prévisible de A à Z (non, allez, soyons sympa à deux jours de Noël, de A à W) desservi par un pseudo-féminisme qui n'en est pas un accompagné d'une pseudo-misandrie (je sais que les mecs ont tendance à plus faire attention à une forte poitrine qu'à un fort QI mais ce qui dans le réel est une tendance devient ici par moment un absolu...) ; des clichés insupportables (les filles hyper bien habillées sont forcément des garces idiotes ou calculatrices, les battantes et les bizuts sont forcément des garçons manqués ou mal fringuées... les filles sont basses et hypocrites et se crêpent le chignon pour des broutilles et j'en passe étant donné que la totalité du film est un cliché en toc) ; un univers de lycée trop factice pour nous faire rêver, une morale 100% américaine dont je vous laisse le soin de trouver les messages (vous inquiétez pas, c'est pas compliqué) aussi mièvre que celle d'un dessin animé pour gamin... Mais bon, malgré tout ça, parce qu'on aime toujours au fond de même être titillés par des méchants et voir la justice triompher, ce film chewing-gum dépourvu de son goût de fruit sucré censé nous donner une bonne haleine (c'est-à-dire nous faire comprendre que c'est idiot d'être une garce superficielle qui couche avec le premier venu et que l'on est toujours puni quand on est méchant) se laisse regarder, à condition que l'on s'ennui ferme et qu'il pleuve dehors^^