Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ni hilarant ni branché, le ton doux-amer de Di Gregorio est irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par François Forestier
Il y a quelque chose de sucré-salé, de charmant et de cruel dans "Gianni et les femmes".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Gianni Di Gregorio est le héros, fragile, émouvant de cette comédie douce-amère baignée d'humour tendre et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
"Gianni et les femmes" accomplit une performance relativement rare : que le second épisode d'un film à succès soit à la hauteur du précédent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Au final, "Gianni et les femmes" se situe à la lisière du Woody Allen des débuts et des comédies italiennes grinçantes des années 1970. Et il donne envie de souhaiter une longue vie, pleine de films, à ce sacré Gianni...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Danièle Heymann
Charmeur et désenchanté.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
par Caroline Vié
"Le Déjeuner du 15 août" (2008) avait permis de découvrir ce personnage malmené par la gentféminine dont le charme porte une comédie à la saveur d'amaretto.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Si le récit épouse le rythme un peu flapi de son héros du troisième âge, il n'en reste pas moins fertile en gags blancs du plus bel effet : cette neutralité tranquille et solaire, cette humilité burlesque au charme très romain entêtent durablement.
Excessif
par Julien Jouanneau
Si la fin de "Gianni et les femmes" fera pester les féministes convaincu(e)s, les petites répliques drôles disséminées ça et là, la présence sulfureuse d'Aylin Prandi en font un film mignon et sans prétention. Mais n'en aurait-il pas justement fallu un tout petit peu plus?
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
Il y a du charme, mais moins que dans "Le Déjeuner du 15 août", du sourire, mais moins également, de l'ironie, mais moins encore. Bref, Gianni Di Gregorio a pris le même moule et la surprise manque. On veut bien dire encore oui mais, la prochaine fois, on sévit.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un Emmanuel Mouret version senior.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une fin en demi-teinte laisse pourtant entrevoir en ce film flottant la chronique d'un renoncement, l'acceptation de l'âge qui rendrait transparents les hommes dans le regard des femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpèche
En surfant sur ses acquis, l'originalité n'est plus de mise. Reste que Di Gregorio sait raconter des histoires.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Metro
par Rania Hoballah
Entre la fiction et la réalité, le film est à l'image de son héros : un peu gauche mais plutôt sympa.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Une comédie italienne amusante, malgré quelques rhumatismes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Le film présente les mêmes qualités de fraîcheur, d'humour et d'observation sur une certaine vie romaine nonchalante que le précédent, mais le manque de renouvellement des personnages conduit à une oeuvre en retrait, où l'effet de surprise ne joue plus, où tout paraît un peu convenu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) une jolie comédie qui vaut moins par son tempo (à l'image de ce brave Gianni, particulièrement ramolli) que pour sa petite atmosphère où truculence à l'italienne et érotisme sous-jacent coexistent dans une belle harmonie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Drague, préretraite et nonchalance : une comédie jouissive aux accents anti-Berlusconi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Christophe Narbonne
Il ( Gianni Di Gregorio) a le tort d'inscrire son propos dans une veine "autofictionelle" un peu molle plutôt que dans celle de la comédie-féroce à l'italienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Ni hilarant ni branché, le ton doux-amer de Di Gregorio est irrésistible.
L'Obs
Il y a quelque chose de sucré-salé, de charmant et de cruel dans "Gianni et les femmes".
Le Figaroscope
Gianni Di Gregorio est le héros, fragile, émouvant de cette comédie douce-amère baignée d'humour tendre et de mélancolie.
Le Monde
"Gianni et les femmes" accomplit une performance relativement rare : que le second épisode d'un film à succès soit à la hauteur du précédent.
Le Parisien
Au final, "Gianni et les femmes" se situe à la lisière du Woody Allen des débuts et des comédies italiennes grinçantes des années 1970. Et il donne envie de souhaiter une longue vie, pleine de films, à ce sacré Gianni...
Le Point
voir lepoint.fr
Marianne
Charmeur et désenchanté.
20 Minutes
"Le Déjeuner du 15 août" (2008) avait permis de découvrir ce personnage malmené par la gentféminine dont le charme porte une comédie à la saveur d'amaretto.
Cahiers du Cinéma
Si le récit épouse le rythme un peu flapi de son héros du troisième âge, il n'en reste pas moins fertile en gags blancs du plus bel effet : cette neutralité tranquille et solaire, cette humilité burlesque au charme très romain entêtent durablement.
Excessif
Si la fin de "Gianni et les femmes" fera pester les féministes convaincu(e)s, les petites répliques drôles disséminées ça et là, la présence sulfureuse d'Aylin Prandi en font un film mignon et sans prétention. Mais n'en aurait-il pas justement fallu un tout petit peu plus?
L'Express
Il y a du charme, mais moins que dans "Le Déjeuner du 15 août", du sourire, mais moins également, de l'ironie, mais moins encore. Bref, Gianni Di Gregorio a pris le même moule et la surprise manque. On veut bien dire encore oui mais, la prochaine fois, on sévit.
L'Humanité
Un Emmanuel Mouret version senior.
La Croix
Une fin en demi-teinte laisse pourtant entrevoir en ce film flottant la chronique d'un renoncement, l'acceptation de l'âge qui rendrait transparents les hommes dans le regard des femmes.
Le Journal du Dimanche
En surfant sur ses acquis, l'originalité n'est plus de mise. Reste que Di Gregorio sait raconter des histoires.
Metro
Entre la fiction et la réalité, le film est à l'image de son héros : un peu gauche mais plutôt sympa.
Ouest France
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
Paris Match
Une comédie italienne amusante, malgré quelques rhumatismes.
Positif
Le film présente les mêmes qualités de fraîcheur, d'humour et d'observation sur une certaine vie romaine nonchalante que le précédent, mais le manque de renouvellement des personnages conduit à une oeuvre en retrait, où l'effet de surprise ne joue plus, où tout paraît un peu convenu.
TéléCinéObs
(...) une jolie comédie qui vaut moins par son tempo (à l'image de ce brave Gianni, particulièrement ramolli) que pour sa petite atmosphère où truculence à l'italienne et érotisme sous-jacent coexistent dans une belle harmonie.
Télérama
Drague, préretraite et nonchalance : une comédie jouissive aux accents anti-Berlusconi.
Première
Il ( Gianni Di Gregorio) a le tort d'inscrire son propos dans une veine "autofictionelle" un peu molle plutôt que dans celle de la comédie-féroce à l'italienne.