Avis : Les Mondes de Ralph - Page 2

Les Mondes de Ralph c’est un peu un fantasme de Geek, on a tous imaginé que nos héros (ou méchants) étaient réels, et bien ce film réalise ce fantasme. Nous allons donc suivre Ralph, méchant de jeu vidéo dans une salle d’arcade, qui veut devenir un gentil et avoir une médaille, et être reconnu par ses « collègues ». Pour ça les scénaristes ont inventé un sort de gare, au croisement entre tous les jeux et où les personnages se retrouvent donc. Pour réussir son rêve, Ralph va se déplacer dans plusieurs jeux, surtout un, inspiré de Mario Kart. Le film réussi le pari de rendre cette univers crédible et de fourmiller de bonnes idées : la gare, le déplacement de certains personnages sur 2 trames, certains décors en pixels grossiers, musique en 8 ou 16 bit, la scène dans le jeu d’action. On se prend au jeu à chercher tous les clins d’œil aux jeux vidéo, à chercher les indices rappelant que l’on est dans un jeu. Ça m’a un peu rappelé l’Aventure Lego en fait, où on croyait vraiment jouer avec des Lego. On sent que les réalisateurs et scénaristes sont des passionnés et ont tout fait pour que l’univers soit crédible.Malheureusement on sent bien la pâte Disney lors de la rencontre avec Vanellope, et jusqu’à la fin du film, avec un truc assez formaté dans son message, bien trop mielleux. On hurle aussi quand un personnage censé incarner une sorte de Royauté, parle de mettre en place une démocratie… Ah la démagogie… On sent bien que Disney a pris en compte certaines critiques, sauf que la réponse à celles-ci est bien mauvaise.Pour le reste Ralph est un bon film, dont l’univers nous happe très rapidement, mais de trop nombreux défauts inhérents à ce genre de dessins animés viennent un peu gâcher le spectacle.

Je m'appel Ralph moi aussi et je suis également fan de jeux vidéos. J'ai donc été intrigué par ce héros portant mon nom. Et quelle bonne surprise! L'histoire est super sympas tout autant que les décors. Ceux qui ont aimé Toy Story aimeront Les mondes de Ralph. J'ai passé un très agréable moment devant cette annim' plutôt originale. 4,5/5

Un super film d'animation de 2012. L'univers basé sur le jeu vidéo fait de ce film, appartenant aux classiques Disney, qu'il est vraiment original. On a tous aimé les nombreux clins d'oeil. On est très vite plongé dans le film. Les personnages sont très attachants. L'humour est là. Seul reproche: un excellent début mais on a légérement tendance à s'ennuyer par la suite. Mais, les petits comme les grands aimerons. Ce film nous fait passer un bon moment.

Quel bonheur de retrouver chaque année un pixar.
Ils font toujours preuve d originalité et font un bien fou à Disney.
Avec Ralph, on est replonge dans les jeux vidéos qui ont fait notre jeunesse (enfin pour les trentenaires) où l on se retrouvait entre potes à la salle d arcade. On imaginait pas toute cette vie la nuit :-).
On passe vraiment un bon moment et les enfants aussi. Le club de méchants déjà vu avec buzz et les jouets démodés, ce club est à mourir de rire. Un des films de cette fin d année 2012

Un bon film d'animation dont la principale qualité se situe dans son univers ouvert à tous les possibles : les personnages des bornes d'une salle d'arcade prennent vie et interagissent durant les heures de fermeture. Quel amateur de jeu vidéo n'a pas rêvé de retrouver Sonic, Pac-Man et Bowser en pleine discussion ? Dans ce contexte, l'aventure de Ralph, le méchant avide de reconnaissance, se révèle vraiment sympathique, animée, et parsemée de petits clins d’œil, même si le style visuel des personnages ne m'a pas paru renversant et que le film aurait pu aller encore plus loin dans les interactions, comme un certain "Lego Movie" a su le faire avec brio peu de temps après. Le concept de Wreck-it Ralph est un tout cas une vraie mine d'or qui ne demande qu'à être exploitée !

J'attendais ce film avec une impatience folle et , malgré le fait que je l'aie beaucoup apprécié , une part de moi n'a pas trop digéré certains petits aspects du film ... D'un point de vue technique ( graphismes , design ... ) , c'est absolument réussi , dans le moindre détail ! Chaque personnage est travaillé de manière spectaculaire et est charismatique à souhait ( la bonne femme tout droit tirée d'un Mass effect , Ralph sympathique méchant et son acolyte génial , ect ... ) . Henry Jackman ( connu notamment pour sa splendide composition du chat potté ) nous livre une très bonne bande-originale , et l'ambiance sonore du film est à même titre très réussi ( excepté ( mais c'est personnel ) la voix française de Vanellope von Schweetz qui , au bout d'un moment , devient extrêmement agaçante ) ! Le problème qui se pose est le scénario : la première demi-heure du film est parfaite , très bien construite ... Mais à partir du moment où ils entrent dans le monde des sucreries , tout tourne autour de ce monde jusqu'à la fin et c'est finalement assez lourd au bout d'un moment ! Malgré cela , on a un bon petit dessin animé distrayant qui vaut le détour rien que pour son univers et ses personnages .

Le dernier Disney mets une nouvelle fois la barre très haute, un bien bel hommage rendu aux jeux d'arcades des années 80 dont la plupart d'entre nous Gamers dans l'âme ont pu tester au moins une fois dans sa vie ! et les petits clins d'oeil aux héros et vilains de Sega ( Sonic, Robotnik ) Capcom ( Bison, Zagyef, Ryu, Ken ) consoles Next Gen ( Halo, Metroid ) ou d'autres personnages et Univers que je n'ai pas connu ou dont je n'ai plus souvenir qui ont brillé le siècle dernier ... La course finale est un vibrant hommage au plus emblématique des personnages du jeux vidéo, Mario, et le jeu automobile référence de Nintendo, Mario Kart !
les Mondes dans lequel Ralph La casse interagit et un doux mélange de 4 ou 5 décennies du jeu vidéo !
De l'ambiance Pixelisée dans lequel notre Molosse vit le jour (80's) à celle très actuelle de "Hero's Duty" avec cette ambiance 3D, les gadjets sophistiqués et ce florilège d'explosions (00's,10's ) en finissant par "Sugar Rush" le monde le plus intéressant et comme son nom l'indique, le plus édulcorant (90's, 00's,10,'s) ce doux mélange de nostalgie nous embarque littéralement dans cette féerie en guise d'offrande signée Disney ! Du grand Disney en ce moment après le dernier Raiponce tout aussi excellent

Pour moi, ''Les Mondes de Ralph'' est une très bonne surprise, car on sent qu'il y a de très bonnes idées, et ça fait plaisir de voir que Disney peut encore nous réaliser des bons films. Ce qui est marrant dans ce fillm, c'est qu'il y a beaucoup de références de jeux vidéos, comme Pacman (Pacman lui-même, Clyde chez les Méchants Anonymes, la salle centrale du labyrinthe sert de salle de réunion pour les Méchants Anonymes), Super Mario Bros (Bowser apparait chez les Méchants Anonymes), Sonic (on peut voir un panneau diffusant une vidéo dans laquelle Sonic met en garde des dangers de quitter son jeu), Street Fighter (Ryu et Ken en train de se battre dans l'arène de Ryu, M. Bison et Zangief chez les Méchants Anonymes), Mortal Kombat, Diablo, Call of Duty, Tomb Raider... Il y a des références de films comme Alien, Tron l'Héritage, Retour vers le Futur. Il y a aussi des références de nourritures comme le Coca Cola, les Mentos, le Nesquik, les Oreo et les Mikados. spoiler: Ralph est le méchant du jeu vidéo d'arcade Fix-It Félix Jr., et depuis 30 ans, à chaque partie, il détruit le même immeuble et menace ses habitants avant que Félix n'apparaisse et répare le bâtiment avec son marteau magique. Mais avec toutes ces années et le manque de considération des autres personnages du jeu, Ralph en a assez ! Après avoir participé à une réunion des "Méchants anonymes", le gentil méchant décide de se mettre en quête d'une médaille de héros pour passer du bon côté de la barrière. Pour cela, il part dans un autre jeu d'arcade, caché sous l'uniforme de combat d'un soldat. Il parvient à obtenir la médaille convoitée, mais se retrouve dans un jet qu'il ne parvient pas à contrôler, ce qui l'emmène dans un troisième jeu, un jeu de course appelé Sugar Rush. Son jet s'y écrase, la créature monstrueuse qui l'avait attaqué disparait dans une mare sirupeuse, et Ralph fait la connaissance d'une petite fille, surnommée « l'anomalie », Vanellope von Schweetz. Il va progressivement s'apercevoir que cette fillette rejetée par les autres personnages (à cause de son beug) de son jeu et lui ont des choses en commun.
spoiler: Ce qui est drôle aussi, c'est qu'il y a des jeux de mots, comme le cachocolat et les chiendwiches.
En gros, ''Les Mondes Ralph'' est un film d'animation que je vous conseille vraiment, car ça fait du bien de voir des références de jeux video, de films et de nourritures, et en le regardant, on passe un très bon moment. Donc Disney ne m'a pas déçu en réalisant ce film. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

Excellente Animation pour petit et grand ! On s’ennuie pas une seule seconde. Graphisme et 3D efficace, Musique bien choisit, scénario bien trouver ! Que demander de mieux ?!

Un très bon film d' sujet permet entre autres d'offrir au spectateur différents styles graphiques 2D/3D visuellement fort réussis.
Les amateurs se réjouiront des allusions aux grands classiques du jeu vidéo et de reconnaître quelques uns de leurs héros favoris notamment dans une scène très drôle en début de film.
Le tout est fort drôle (je conseille d'ailleurs la VO avec les excellents John C. Reilly et Sarah Silverman), autour d'un scénario riche et intéressant.
Seul bémol, le peu d'univers différents parcourus par le héros.

Bien aime le concept du debut , reprendre des heros d'anciens jeux videos mais ensuite ca devient moins interressant avec une histoire on ne peut plus classique dommage

Les mondes de Ralph est un excellent film d'animation , remplis de référence au jeux vidéos ( street fighter , mario , pacman , halo etc ) drole et bien réalisé , une véritable perle de l'animation comme j'en avais pas vu depuis longtemps , comparable a Toy Story .
Ce film plaira aussi bien au grand et au petit a voir absolument !

Très bon divertissement. Le background des jeux vidéo est une bonne idée et plutôt bien utilisé, même si une fois le passage dans le jeu "Sugar rush" on s'éloigne un peu du jeu vidéo mais les textures sont tellement appétissantes que l'on file droit chez le marchand de bonbons en sortant du ciné et on s'installe devant un bon jeu vidéo oldschool!

Un film qui laissera indifférent les cinéphiles et insupportera les gamers. Est-ce trop demander d'avoir un minimum d'ambition, de confier la réalisation d'un film d'animation sur les jeux vidéos à de vrais amoureux du jeu, des gens capable de transmettre leur passion dans leur création ? Quand on se lance sur la réalisation d'un film à thème on se renseigne sur ses codes et si l'on est incapable d'inventivité on potasse son sujet afin de ne pas paraitre pauvre dans l'idée ET dans son expression.
Mais Rich Moore en est incapable alors il emprunte à la prof de sport de sport de Glee sa voie et sa personnalité pour ajouter de la chair à son film, mais quel rapport avec le jeu vidéo? Vous vous demandez pourquoi ? La vérité est ailleurs, sous couvert de réaliser un film pour les amoureux de jeux vidéo on formate et aseptise afin de toucher un maximum d'audience quitte à laisser frustré ceux que l'on présentait comme le cœur de cible. Peu importe vous avez déjà payé 11euros et allez avaler 1H30 durant une histoire taillée pour plaire au plus grand monde accompagnée d'une succession de placements de produits écœurant. Les gamers méritaient mieux.

Avec à peine 1 million d’entrées en 4 semaines soit moitié moins que son concurrent direct Les cinq légendes, Les mondes Ralph pourra bientôt rejoindre La princesse et la grenouille dans le groupe des ratages de Disney, la faute au moins en partie à ses bande-annonces incompréhensibles et leurs doublages catastrophiques. J’ai moi-même traîné des pieds pour y aller et sans carte UGC j’aurais sans doute passé ce qui s’est révélé être un des meilleurs films de 2012, toutes catégories confondues, comme le prouve mon TOP 10 récemment publié.

Je ne suis pas spécialement fan de jeux-vidéos, j’ai bien sûr grandi avec Sonic et Street Fighter mais sans jamais devenir accro comme certains le sont aujourd’hui. Je comprend donc parfaitement que les affiches du film, présentants une ribambelle de personnages de jeux, puissent dissuader bon nombre de spectateurs d’aller voir le film, qui a pourtant bien plus à offrir.

Les mondes Ralph est un véritable concentré de pop-culture, on y croise donc Sonic, M. Bison et Zangief de Street Fighter mais les références sont aussi cinématographiques de Predator à Aliens en passant aussi par Hulk et Star Wars. Mentos, Nesquik mais aussi Coca-Cola sont aussi de la partie et se mêlent à tous ces symboles, personnages, univers qui font la culture contemporaine dans laquelle nous avons grandis.

Bien sûr du placement de marques et de multiples références ne suffisent pas à faire un bon film, mais ce Disney de Noël a tellement plus à offrir, plus que l’histoire assez simple annoncée dans les premières lignes de cet article. Dès l’apparition du logo Disney Animation Studios revu en version 8-bit le film nous emporte sans plus jamais nous lâcher avant la fin du générique final, car il ne s’agit pas seulement d’un personnage voulant changer d’identité, Les mondes Ralph multiplie les personnages, la complexité de leurs relations mais aussi des sous-intrigues qui trouvent chacune leur place dans cette aventure filant à 10 000 à l’heure.

Non seulement le film enchaine les décors plus sublimes, innovants et détaillés les uns que les autres, mais il change aussi d’ambiances. On commence dans une petite salle d’arcade pour passer au monde de Fix-It Felix Junior (le jeu d’où vient Ralph), puis viennent les courses automobiles et le tour de force de ce film, à savoir son hommage pas vraiment dissimulé au Aliens de James Cameron dont les séquences assez effrayantes, pour un film de ce type, prouvent tout la richesse de ce petit bijou.

Les mondes Ralph fait rire, mais il fait peur aussi par son antagoniste absolument terrifiant, il réjouit par son rythme effrénée et émeut grâce à des personnages touchants pleins d’humanité au-delà de leurs pixels.

En fait ce film, toujours à l’affiche, est un véritable feu d’artifice d’inventivité, de cinéma et de pop-culture à ne manquer sous aucun prétexte. Il plaira à tous, petits comme grands, chacun y trouvant son compte. Je ne peux conclure cet article sans évoquer la somptueuse bande originale composée par Henry Jackman dont je posterai sans doute un extrait dans les jours qui viennent.

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