Tout d'abord, on s 'ennuie quelque peu au bout d'un moment. Donc, ayant estimé avoir épuisé toutes les possibilités d'un type seul, enfermé dans des pièces scellées, ce qu'ils ne font d'ailleurs pas, il restait des trucs répugnants à faire, passons, ils rajoutent une fille, qui ne parle pas la même langue, ( elle vient d'Afrique, mais il semblerait qu'elle comprenne ce qu'il dit, il faudra m'expliquer comment ). Mais, à partir de là, cela part en sucette, parce que j'y avais bien sûr pensé comme à une possibilité, mais vu le contexte, j'ai pensé que ce serait peu crédible, le réalisateur, lui, n'hésite pas. Et donc, j'ai vaguement entrevu qu'après son dernier geste, il y aurait une fin de ce genre, pas aussi spectaculairement explicite, mais la subtilité, ils connaissent pas. C'est donc un film moraliste en diable, ou pire encore, des bondieuseries insupportables. J'ai pourtant vu des films fauchés comme les blés qui savaient compenser le manque d'argent par de l'inventivité, ( Scenic Route, par exemple ), et ce Iron Doors commençait on ne peut mieux, j'aime bien ce genre de film, en général, mais voilà, quand on veut faire original, ça passe où ça casse. Moi, je n'ai pas aimé.