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    Take Shelter
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    789 critiques spectateurs

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    Audrey L
    Audrey L

    634 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2019
    Inspiré par les doutes existentiels de Jeff Nichols (le réalisateur) sur le point de se marier, Take Shelter est un véritable film-divan sur lequel tous les parents expriment leurs peurs de voir leur famille souffrir, si ce n'est pire : mourir. L'intrigue est celle de rêves catastrophiques qui rendent un père de famille (Michael Shannon, grandiose) complètement paranoïaque et sur-protecteur envers sa fille sourde et sa femme. On peut également l'interpréter comme l'expression en rêve de toute la rage du père d'être impuissant face à la maladie de sa fille, subitement apparue (quelques phrases le laissent entendre), et dont les fonds financiers (l'apanage du père, dans les clichés) ne sont même pas suffisants pour l'aider à obtenir une prothèse. Bref, vous n'avez pas fini de creuser dans l'intellect de ce film, et de vous retourner sur votre propre famille. Le final fait vraiment râler, car on nous lâche sans aucun élément d'indice sur ce qu'il va se passer (et cela peut déstabiliser après les 2h15 de recherches mentales pour savoir si le père est fou ou au contraire le plus clairvoyant de tous). La mise en scène est bonne, la musique également, et on remarque seulement les temps morts de la première heure, car le final est bien pensé et prenant. Michael Shannon est saisissant en père de famille paranoïaque et émouvant.
    Léo
    Léo

    3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Take Shelter nous plonge dans une ambiance anxiogène d'une lenteur captivante. De cette torpeur, les personnages se démarquent par la beauté que forme leur couple, si sincère et si fort. Touchant et envoûtant, ce film éveille nos sens avec émotion et pudeur.
    Guillaume D.
    Guillaume D.

    3 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2019
    Le personnage principal est pris de visions et se demande si c'est de la psychose ou des rêves prémonitoires.

    Intriguant sans grand rythme mais suffisamment pour essayer de comprendre et voir le dénouement sans s'ennuyer.

    En gros, c'est intriguant et accrocheur.
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2019
    Un film psychologique et à majeur contemplatif. Par psychologie, j'entends l'état humain même. Est ce que cela méritait 2h de long métrage ?
    Certainement pas. Un scénario plat avec une émotion forte à déclarer.
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Film d’atmosphère paranoïaque, « Take Shelter » ne m’a guère emballé. Le scénario est bon, les acteurs aussi mais son rythme m’a vraiment assommé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Dès l’ouverture du film, Curtis LaForche (Michael Shannon) contemple avec crainte des nuages noirs. Tandis que tombe une étrange pluie ocre, un vol d’étourneaux évoque Les Oiseaux d’Hitchcock : le ciel devient très vite menaçant dans le regard de cet homme. Il mène une vie tranquille dans une zone rurale de l’Ohio, un état où se déchaînent régulièrement d’impressionnants cyclones. Les cyclones, voilà justement l’obsession maladive de Curtis. Et de plus en plus fréquemment, sa peur lui cause de violents cauchemars. « Ce n’est pas qu’un rêve, c’est un sentiment », assène-t-il avec croyance. Au cours d’un déjeuner, il annonce à sa famille qu’il va réhabiliter leur abri anti-tempête. Le shelter du titre devient le seul espace dans lequel il parvient à se projeter, s’enfermant progressivement dans sa paranoïa…

    Jeff Nichols aime se définir comme un cinéaste soucieux de traiter des thèmes universels tels que la responsabilité, la famille ou la communication, et un adorateur de Shining et Les Dents de la mer. Son deuxième long-métrage mêle avec une finesse implacable le film apocalyptique et le drame intime familial, le frisson pur et le portrait psychologique d’un homme qui vacille. Dans une Amérique en perte de repères, les angoisses du héros sont celles d’un père soucieux de protéger les siens. « Je vais devoir quitter ma famille ? » s’inquiète Curtis lorsqu’une psychiatre lui conseille de prendre du repos. Autour de lui, sa fille et sa femme sont les derniers remparts. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2017/12/29/take-shelter/)
    Claude DL
    Claude DL

    90 abonnés 1 681 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 février 2019
    J'avais super apprécié Mud, un peu moins Midnight Special, mais ici je n'ai pas accroché. D'abord beaucoup trop long, le film tourne trop en rond sur la schizophrénie paranoïde du "héros" et son envie irrésistible de bâtir l'abri anti tempête du siècle. Beaucoup parlent de "fin du monde",mais seul le dernier plan laisse à penser que ce fou était peut être un poil visionnaire. Il aurait tout de même été nettement plus judicieux de consacrer plus de temps à cette éventuelle fin du monde qu'à cette paranoïa fatigante à regarder (on regarde souvent sa montre). Décevant, même si les acteurs sont impeccables et si tout est super filmé.
    The Claw
    The Claw

    62 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2019
    Un très beau film psychologique sur la paranoïa et la schizophrénie. Ca raconte l'histoire d'un drame familial, avec une petite touche de fantastique, ce qui m'amène à souligner une autre réussite du film côté effets spéciaux : il y en à peu, ça ne dure pas longtemps, mais ça vient toujours au bon moment pour nous surprendre. Ca faisait longtemps qu'on me conseillait de voir ce film, et je n'en suis pas déçu. Quant à cette fin énigmatique, elle représente un peu tout ce que j'aime dans ce genre de film : à chacun d'en faire son interprétation.
    Ajoutez à ça des acteurs habités par leurs rôles respectifs, et vous vous retrouvez devant un excellent film.
    Un tout petit bémol cependant concernant la relative lenteur du film qui en rebuteront plus d'un, d'autant plus qu'il y a très peu de musique pour essayer de rythmer le tout. Mais bon, c'est du détail tout ça.
    Excellent film.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    On comprend la démarche de Jeff Nichols voulant réconcilier le spectaculaire d’un blockbuster avec l’intimiste d’un film d’auteur, on peut être sensible à l’environnement délabré et en fin de vie d’un Sud américain qui peine à se relever des ouragans symboliques qui le dévastèrent il y a peu. Il n’empêche qu’en dépit d’un début très efficace et d’une fin magnifique, Take Shelter ennuie tout au long de son ventre mou par des scènes répétitives et étirées au maximum qui nuisent à l’immersion totale du spectateur. Si les retournements dramatiques se devinent assez aisément, la réalisation affiche un postulat néo-réaliste teinté parfois de poésie qui se retrouve de la même manière dans les rêves, de sorte à brouiller, pour le spectateur, les frontières de ce qu’il voit. En résulte un appauvrissement réciproque de l’univers fantasmagorique dépeint qui illustre parfaitement une mentalité en prise avec son milieu. On aurait toutefois aimé perdre pied dans une Amérique elle-même perdue pour mieux se retrouver à l’abri sous le toit familial, thème ô combien apprécié par Nichols (cf. Loving). Ne demeure qu’un léger vertige occasionné par une fin géniale. Trente minutes en moins et se tenait là un grand film.
    liamsi
    liamsi

    18 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Je ne comprends pas les notes élevées de la part des critiques et spectateurs, ce film est extrêmement soporifique, son scénario tient sur quelques lignes et il est rallongé pour en faire 2h d'ennui.
    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2018
    Avec ‘’Take Shelter’’, Jeff Nichols qui signait là son deuxième film, venait conquérir le coeur des critiques. Presque unanimement salué par la critique (internationale comme française), ce film fut récompensé par plusieurs prix (dont deux prix à Cannes). Un succès critique tout à fait mérité, qui promettait à Jeff Nichols une belle carrière.

    Curtis LaForche (Michael Shannon) vit dans l’Ohio avec sa femme Samantha (Jessica Chastain) et sa fille Hannah, atteinte de surdité. Depuis quelques temps, Curtis est assailli par des visions de tornades ou encore par des cauchemars où ils sont, lui et sa famille, sauvagement attaqués. Curtis s’interroge : est-il, comme l’était sa mère, atteint de folie, ou a-t-il des prémonitions de ce qui pourrait arriver ? Se détachant peu à peu de sa famille et de ses amis, Curtis n’a qu’une idée en tête : renforcer l’abri anti-tempête qui se trouve dans son jardin.

    Plusieurs fois, Jeff Nichols a confié être un grand admirateur du cinéma de Terrence Malick (son film préféré est d’ailleurs ‘’La balade sauvage’’ sorti en 1973). Dans un premier temps, on peut en effet voir une filiation entre les deux réalisateurs. Notamment dans la petitesse de l’homme face à une nature toute puissante. Par ailleurs, Jeff Nichols accorde une grande importance au son, au détriment parfois des dialogues. Nichols aime le bruit des orage, de la pluie en train de tomber, des aboiements du chien en début de film… Tout contribue à ce que ‘’Take Shelter’’ à l’instar des films de Malick soit un film de sensation, et non d’action. Enfin, on peut établir un rapprochement entre ‘’Take Shelter’’ et ‘’The Tree of life’’, sorti la même année : une famille dans la campagne américaine est en train de se détruire. Est-ce un hasard si Jessica Chastain, dont l’année 2011 fut l’année de sa révélation, interprète une mère aimante et bienveillante dans les deux films ? Pourtant, il existe un paradoxe puisque ‘’Take Shelter’’ tout en se rapprochant de l’oeuvre de Malick en est aussi l’antithèse totale. D’une Nature souvent bienfaisante (chez Malick), on passe à une Nature qui dégénère (chez Nichols). Dans ‘’Take Shelter’’, l’homme incarné par Shannon s’éloigne de cette nature. Ici, pas d’union entre l’homme et la nature à la Emerson, au contraire le film décrit le repli sur lui-même d’un homme. Le titre ‘’Take Shelter’’ (se mettre à l’abri) est à double sens. Si au sens propre, le titre représente l’obsession de Curtis à renforce l’abri anti-tempête, le sens figuré est beaucoup plus pessimiste. Se mettre à l’abri pourrait représenter la manière qu’à Curtis à s’enfermer, à ne plus communiquer, à cacher à sa femme ses cauchemars. Il faut tout de même rassurer les détracteurs de Malick : ‘’Take Shelter’’ a le mérite d’être beaucoup plus accessible que les œuvres récentes de Malick. Nichols évite les dangers qui guettent ce genre de film : la confusion, l’ennui et l’illisibilité. Nichols réalise un film incontestablement troublant certes, mais aussi incroyablement fluide, précis et par dessus tout compréhensible. On ressent les doutes du héros, on hésite comme lui sans jamais qu’on ne se détache du film. C’était le plus difficile : nous passionner pour un film mental. Nichols y parvient sans jamais délaisser une certaine forme de spectaculaire : les scènes de visions sont impressionnantes.

    Mais la vraie beauté du film (outre sa beauté formelle), c’est le rapport entre un homme et sa famille. Des films où un homme sombre dans la folie (peut-être, le doute est maintenu) au point de s’éloigner de sa famille, on connaît. Même quand l’intrigue se déroule dans un petit périmètre. Exemple tout bête : ‘’Shining’’ de Kubrick correspond à cette description. Non, ce qui est fort, c’est que Curtis perçoit son hypothétique folie. Shannon est un excellent acteur dès qu’il s’agit d’interpréter des rôles de névrosés. Mais là où habituellement, les ‘’fous’’ ne se rendent pas comptent qu’ils le sont (comme le héros de ‘’Bug’’ qu’interprétait déjà Michael Shannon), Curtis s’aperçoit qu’il est en train de changer. Curtis dont la mère était folle semble savoir qu’il peut l’être à son tour. Le personnage réalise donc des tests pour savoir s’il est schizophrène et se rend chez le psy pour parler de ses tourments. Mais Curtis reste en proie au doute. Est-il réellement fou ? Même si tout semble être contre lui (il est le seul à avoir des visions), faut-il abandonner son idée de renforcer l’abri ? Et la réponse est : oui et non. spoiler: Oui car comme il nous l’est révélé, lors du superbe final, la fin du monde va belle et bien se produire. Curtis avait en effet des prémonitions. Par conséquent, rester dans l’abri aurait peut-être pu permettre à Curtis et sa famille de survivre à la catastrophe. Pourtant, la fin n’est pas aussi pessimiste qu’elle n’en a l’air. En contemplant de la plage où ils passent leurs vacances (plage qui est la petite sœur de celle qui apparaît à la fin ‘’La cinquième vague’’ de Peter Weir) l’horizon déchaîné , Samantha et Hannah comprennent que Curtis avait raison. Elles comprennent que Curtis n’était pas fou. Et ainsi, les Laforche se retrouvent unis : Curtis n’a plus à devoir s’interroger sur sa prétendue folie. Rares sont les films sur la fin du monde où l’arrivée de cette dernière est salutaire. Salutaire car cette fin du monde vient vaincre l’antagoniste caché du film : la soi-disante folie de Curtis, qui établissait une barrière entre Curtis et sa famille. Curtis n’a plus à affronter la peur qui le hantait depuis des années : la peur d’être atteint de folie comme l’était sa mère. Cette famille se reconstitue donc, au moment où ils auront besoin d’être ensemble face à la mort
    . Une fin qui n’est donc pas si triste que cela.

    Œuvre choc, expérience sensorielle et réflexion sur la possible folie d’un homme, ‘’Take Shelter’’ est tout cela à la fois. C’est aussi un émouvant drame spoiler: où une famille est paradoxalement sauvé par la fin du monde
    . Un film qui confirma l’acteur Michael Shannon et révéla l’actrice Jessica Chastain et le réalisateur Jeff Nichols, tous prêt à connaître des brillantes carrières.
    Paul P.
    Paul P.

    3 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 août 2018
    De l'illustration que de grands acteurs mal diriges et travaillant sur un scenario debile ne peuvent pas sauver un film.
    Michael se ressemble a lui meme mais son cote geant hazimute ne donne rien dans ce film.
    Jessica est rousse comme a son habitude mais c'est tout ce que l'on retient d'elle.
    Comment ce film a-t-il pu recevoir plusieurs prix... mystere.
    Long et mortellement ennuyeux
    gerald_w-a
    gerald_w-a

    11 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juin 2018
    Mais pourquoi ce film est-il si encensé ? À l'instar d'autres internautes d'Allociné, je trouve ce film très vite ennuyeux, sans avancées remarquables de l'histoire, et même le bon jeu des acteurs ou l'ambiance particulière n'ont pas suffi à me tirer de l'ennui qui m'a pris très rapidement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2018
    Un chef d'oeuvre.

    Le film est assez ambigu, notamment au sujet de la schizophrénie de la mère de Curtis, ce qui fait qu'il est extrêmement riche en terme d'interprétation, mais dont l'interprétation la plus crédible est bien ici, à mon avis, la dépression ainsi que la crise existentielle de la quarantaine, dans ce qui est finalement une lutte poignante d'un homme contre lui-même et contre ses anciens démons et ses angoisses, matérialisés par l'abri anti-tornade, qui est souterrain, d'autant qu'il est caché dans les débris au début du film. Ici, tout les malheurs du monde tombent sur le pauvre Curtis, qui est broyé par le système et par son silence, interprété comme la preuve de sa culpabilité. Ainsi, tout les maux du dépressifs sont énumérés : perte des relations sociales, de l'emploi, endettement, isolement, problème conjugaux... tout y passe

    J'y vois aussi une réflexion sur la place des genres, même si usuellement je ne suis vraiment pas fan de ce genre d'analyses. Curtis est au début du film l'archétype de la virilité : un métier "d'homme", sa femme ne travaille pas, et il subvient seul au besoin de la famille. Les hommes sont bien plus sensibles à la dépression, pour la simple raison qu'un homme a tendance à garder ses fêlures pour soi, à cause de l'idée persistante qu'un homme, pour être viril, doit savoir garder ses problèmes pour lui et faire bonne figure.

    Curtis LaForche est un héros paradoxal, il est empreint de cette virilité, finalement fragile, qui est commune à de nombreux hommes qui ne souhaitent pas demander de l'aide par peur de paraître faible aux yeux des autre, ou d'être mal considérés. Les choses commencent à se décanter, seulement au moment où toute sa famille commence à le soutenir, et à "explorer" avec lui ses troubles, toujours symbolisés par l'abri. C'est un vrai message d'espoir.

    Et le dénouement dans ce cas ? J'imagine que Jeff Nichols a souhaité dire, par là, que de véritables problèmes s'avancent cette fois vers le couple. Mais cette fois, Curtis est prêt, il semble déterminé face à la tempête, et prêt à affronter les soucis de la vie qui vont arriver, précisément car celui-ci a pu surmonter ses angoisses. (crise de la quarantaine, adolescence de la gamine, mort possible de ses parents, etc

    Curtis LaForche a 35 ans. Au moment où le film sort, Jeff Nichols en a lui même 33. Peut-être a-t-il mis un peu de ses angoisses existentielles dedans aussi ? Mais bon, ça ne reste que de la supposition.

    Je pourrais dire beaucoup plus sur ce film et notamment sa forme mais je vais m'arrêter là : Regardez ce film.
    Chapeau monsieur Nichols, c'est un très, très grand film, beau et juste, dont on se souviendra.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 avril 2018
    Un très beau film, de magnifiques plans visuels, de bons personnages et une réalisation spécialement voulue lente pour mieux suivre la psychologie des personnages! J'adhère ce genre de film, un grand merci à Jeff Nichols! Je vous conseille ce film psychologique.
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