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Votre avis sur Take Shelter ?
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Déçu. Ennuyeux au fur et à mesure du déroulement du film, cela devient vaguement intriguant vers la fin, et puis rien. Une fin de vide (que je ne raconte pas pour ceux qui n'ont pas vu, et qui aimeront peut-être, eux), dont on a envie de dire "tout ça pour ça"?... Quelques semaines après je m'en rapelle à peine. Je ne comprend pas l'intérêt. Les acteurs font leur boulot, effets-spéciaux, photo, tout est ok, mais il n'y a pas d'enjeu, pas d'intérêt, les évènements s'enchainent mais il n'y a pas de progression, pas d'empathie (ou de réflexion ou de beauté ou de sentiment ou de quoique ce soit si ce n'est un léger ennui).
Avec "Take Shelter", le talent de Jeff Nichols éclate au grand jour : c'est avec brio qu'il mélange film catastrophe et drame intimiste, en narrant la plongée d'un Américain de la classe moyenne dans la paranoïa la plus profonde. La photographie est splendide, le jeu d'acteur excellent, la bande originale émouvante aux moments appropriés. Le spectateur est ainsi pleinement investi car il finit par connaître les mêmes angoisses que ce pauvre Curtis, jusqu'à la dernière demi-heure sensationnelle, huis-clos étouffant dont l'issue semble forcément funeste. Le dernier plan est lui aussi d'ores et déjà mythique, grâce à son incomparable beauté.
Si vous aimer les histoires sur la folie , ben celà peu passer sinon c'est glauque
Alors là je crois bien que je suis passe à côté. J'ai trouve ça d'un ennuis. C'est mou, lent, et je l'aurais fait différemment.
Ce film est avant tout visuellement splendide.Sa réalisation lente et anxiogène accompagne le progressif basculement du héros dans la folie.
Les comédiens sont très bons en particulier Michael Shannon (sa prestation m'a faite penser à celle d'Aurélien Recoing dans "L'emploi du temps", autre cas de descente aux enfers).
Les comédiens sont très bons en particulier Michael Shannon (sa prestation m'a faite penser à celle d'Aurélien Recoing dans "L'emploi du temps", autre cas de descente aux enfers).
J'ai arrêté au bout de 45 minutes. J'ai fait l'erreur de vouloir terminer la veille le film Mysterious skin en espérant que quelque chose se passe, je le regrette encore. Celui-ci prend le même chemin, on s'ennui comme c'est pas permis (et mon ptit doigt me dit que je ne suis pas au bout de mes peines avec Take shelter). Je ne réitérerais pas 2 fois de suite la même idiotie. J'ai donc coupé court à ce film aussi fade que des corn flakes. Je met une étoile pour lui laisser le bénéfice du doute.
un film avec une très bonne idée à la base dont on s'en lasse très vite au bout d'une demie heure car tout tourne autour d'un même sujet. le film est une lenteur irritante! j'ai dû la boire "la pilule" en 2 traites!tant c'est long,lent et au final:ennuyeux. les 30 premières minutes et les 15 dernières sont les plus importantes. le reste est tout simplement vide et soporifique.
Dans le même genre je vous conseillerais BUG qui est plutôt très déroutant et réussi!
Dans le même genre je vous conseillerais BUG qui est plutôt très déroutant et réussi!
Quelle lenteur! Je crois que je n'ai jamais autant regardé ma montre pendant un film... Le thème de fin du monde n'est qu'anecdotique, on passe 2h à voir un type sombrer
dans la folie. Je suis plutôt bon public mais là, je me suis fait ch... comme rarement. Presque
aussi soporifique qu'un épisode de Derrick.
dans la folie. Je suis plutôt bon public mais là, je me suis fait ch... comme rarement. Presque
aussi soporifique qu'un épisode de Derrick.
Des rêves et des hallucinations présagent une tempête : un père veut mettre sa famille à l’abri. Délire paranoïde ou véritable cauchemar ?
Benjamin A
Tout comment à Grafton dans le comté d'Elyria dans l'Ohio, on voit un homme, Curtis LaForche qui, devant sa maison, voit une tornade approcher.... Puis il prend sa douche. C'est cet homme que Jeff Nichols nous fait suivre avec son deuxième film "Take Shelter". Souffrant de troubles et ayant des visions de rêves de tornades, il se questionne peu à peu sur lui même et ce qui lui arrive, tout en ayant une famille à s'occuper.
Jeff Nichols nous montre comment cet homme apparemment sans histoire, bien intégré et père de famille va subir une descentes aux enfers psychologique qui aura de plus en plus de conséquences sur sa vie et ses proches. Il arrive à nous captiver, notamment grâce à une bonne mise en scène, capable de créer une atmosphère angoissante, ambigu et paranoïaque ainsi qu'à une qualité d'écriture et notamment sur les personnages où il étudie bien celui de Curtis et son évolution, tout comme celle de ses proches et des réactions à son égard. D'où le choix, pour moi adéquat, d'un rythme lent (même si le film baissera un peu d'intensités au milieu, mais sans grande importance), pour déjà prendre le temps d'étudier les personnages ainsi que pour montrer le descentes progressives aux enfers. D'ailleurs il laisse toujours planer un parfum de mystère et d’ambigüité, savoir si les tempêtes et autres "visions" sont réelles ou psychologiques. Surtout qu'en plus, Nichols arrive à donner une dimension sociale à son récit. L'interprétation de Michael Shannon est à l'image du film, intense et les seconds rôles à l'image de Jessica Chastain sont impeccable.
Pour son deuxième film, c'est une belle réussite, un film qui brille par son atmosphère angoissante et l’ambiguïté qui règne tout le long du film, et en plus, emmené par d'intense et solide interprétations.
Jeff Nichols nous montre comment cet homme apparemment sans histoire, bien intégré et père de famille va subir une descentes aux enfers psychologique qui aura de plus en plus de conséquences sur sa vie et ses proches. Il arrive à nous captiver, notamment grâce à une bonne mise en scène, capable de créer une atmosphère angoissante, ambigu et paranoïaque ainsi qu'à une qualité d'écriture et notamment sur les personnages où il étudie bien celui de Curtis et son évolution, tout comme celle de ses proches et des réactions à son égard. D'où le choix, pour moi adéquat, d'un rythme lent (même si le film baissera un peu d'intensités au milieu, mais sans grande importance), pour déjà prendre le temps d'étudier les personnages ainsi que pour montrer le descentes progressives aux enfers. D'ailleurs il laisse toujours planer un parfum de mystère et d’ambigüité, savoir si les tempêtes et autres "visions" sont réelles ou psychologiques. Surtout qu'en plus, Nichols arrive à donner une dimension sociale à son récit. L'interprétation de Michael Shannon est à l'image du film, intense et les seconds rôles à l'image de Jessica Chastain sont impeccable.
Pour son deuxième film, c'est une belle réussite, un film qui brille par son atmosphère angoissante et l’ambiguïté qui règne tout le long du film, et en plus, emmené par d'intense et solide interprétations.
Rien d'impressionnant dans "Take Shelter", on s'attend à être sous tension mais on tombe dans le film rôdé des milliers de fois à l'écran. Surplombé par un jeu médiocre des acteurs et une ambiance mal maîtrisée par le réalisateur, le scénario affreusement lent et plat met peu de temps à semer le spectateur dans un tourbillon fiévreux de fabulations psycho-hérétiques.
Franchement déçu de ce film qui ne décolle pas et manque cruellement d'originalité dans l'ensemble, je déconseille!
Franchement déçu de ce film qui ne décolle pas et manque cruellement d'originalité dans l'ensemble, je déconseille!
C'est long, c'est ennuyeux et surtout sans intérêt .... C'est une grosse arnaque marketing, Je n'écouterai plus les critiques de presse qui sont incapables d'apprécier quoi que ce soit. Les avis 5 étoiles sont plus que douteux. Surtout fuyez Y'A RIEN A VOIR !
Shephard69
Un film à la mise en scène sobre qui se révèle à la fois dérangeant et bouleversant. Pas forcément facile d'accès, au sujet délicat abordé de façon très délicate, porté par un Michael Shannon et une Jessica Chastain épatants, une œuvre qui ne laisse pas insensible où la descente aux enfers et la destruction de la cellule familiale avec pour cause la schizophrénie est analysée avec beaucoup de justesse. Final grandiose. Mine de rien, une sacrée petite perle.
"Take Shelter" raconte la vie d’un homme hanté par des cauchemars terrifiants qui lui procurent des visions apocalyptiques. Le scénario est plutôt bien conçu et les séquences concernant les cauchemars sont, pour la plupart, assez angoissantes. Dans le rôle principal, on retrouve l’excellent Michael Shannon qui s’avère super bien impliqué à travers son personnage qui est bien perturbé et il est très bien accompagné par Jessica Chastain qui interprète avec beaucoup émotion sa femme. Le mélange de drame psychologique et de film catastrophe fonctionne très bien tout au long de l’intrigue, mais malheureusement le tout se termine par un plan final bien frustrant car ne répondant pas aux attentes du spectateur.
Dans le genre peu répandu du film "suis-je fou, Docteur ? enfermez-moi au cas où !" Take Shelter est très loin de K-Pax, l'un des rares exemples qui me viennent à l'esprit, lui-même non exempt de quelque défaut comme... la mollesse. Mais si K-Pax avait parfois sa léthargie, alors Take Shelter n'a même pas deux de tension : il est si lymphatique et si mou qu'on tombe comme une masse rien qu'à essayer de le regarder.
En vérité, Take Shelter n'inspire aucune tension, aucune réelle interrogation, aucun doute, aucune ambiguité : on dirait vraiment un film réalisé par un écolier, le petit gars qui rentre de l'école et raconte sa journée banale, comme toutes les journées d'ailleurs, et il reste là à raconter sa journée qui n'intéresse personne mais à laquelle les membres de la famille adressent une vague attention polie parce que le gamin raconte toujours les mêmes bêtises tous les jours.
Ce réalisateur est donc comme ce môme qui se regarde le nombril, espérant capter l'attention sauf que tout le monde s'en tape. Va te mettre dans ton abri, va pas t'y mettre, crie au loup, ne crie pas au loup, tant pis. Du coup, même la présence de la rouquine Chastain ne parvient pas à combler ce remplissage psychoteux plat et amorphe qui dure deux interminables heures. Un échec complet.
En vérité, Take Shelter n'inspire aucune tension, aucune réelle interrogation, aucun doute, aucune ambiguité : on dirait vraiment un film réalisé par un écolier, le petit gars qui rentre de l'école et raconte sa journée banale, comme toutes les journées d'ailleurs, et il reste là à raconter sa journée qui n'intéresse personne mais à laquelle les membres de la famille adressent une vague attention polie parce que le gamin raconte toujours les mêmes bêtises tous les jours.
Ce réalisateur est donc comme ce môme qui se regarde le nombril, espérant capter l'attention sauf que tout le monde s'en tape. Va te mettre dans ton abri, va pas t'y mettre, crie au loup, ne crie pas au loup, tant pis. Du coup, même la présence de la rouquine Chastain ne parvient pas à combler ce remplissage psychoteux plat et amorphe qui dure deux interminables heures. Un échec complet.
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