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    Nous, princesses de Clèves
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    3,0
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    14 critiques spectateurs

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    Nicolas V
    Nicolas V

    53 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2021
    Synopsis : des élèves du lycée Diderot, situé dans les quartiers Nord de Marseille, revisitent une oeuvre littéraire qui avec l'air du temps retrouve tout son sens.

    Critique : une oeuvre intime voire intimidante sur les jeunes des citées enfin montrés tels qu'ils sont et dépourvus de tout stigmatisme. Une docu-fiction sincère qui résonne en nous. La caméra ne ment pas, elle est face à nous-même, les visages sont vus comme des paysages.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2011
    D'un intérêt très moyen sur la forme, il faut reconnaître que « Nous, princesses de Clèves » a quelque chose à dire. Qu'il est en effet plaisant de voir des lycéens parler avec leurs mots d'un grand classique de la littérature, sans que le réalisateur ne tombe dans la démagogie où dans le moralisme à deux balles. Au contraire, Régis Sauder fait montre d'un certain recul pour laisser librement ses « héros » s'exprimer, et si nous ne sommes pas dupes que cela se serait passé différemment dans beaucoup d'endroits, on ne peut que trouver la démarche et le propos constructif. Je me suis même surpris à m'attacher (enfin, un peu) à certain des protagonistes et leur sincérité, d'autant que de voir à quel point les thèmes de « La Princesse de Clèves » sont intemporels et les touchent est étonnant. Je n'en suis pas sorti enthousiaste, mais malgré les longueurs et un certain amateurisme derrière la caméra, « Nous, princesses de Clèves » ne m'a pas laissé indifférent, et c'était bien là l'essentiel.
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2011
    C'est beau, c'est édifiant, mais au bout d'un moment, ça lasse !
    -Vinz-
    -Vinz-

    38 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2011
    Un film qui surfe sur le sujet mode que j'appelerai "les jeunes de zep et la littérature"........ Comme Entre les murs, L'esquive, La journée de la jupe...
    Sauf qu'ici c'est un documentaire, dans lequel on suit des lycéens étudiant le livre "Princesse de Clèves", et jouant quelques passages du roman. S'appropriant le livre, s'inspirant des personnages, des histoires, on les écoutes nous parler d'Amour et tout ce que cela leur inspire dans leur vie personnelle (relations familiales, religions, cultures, origines, amitiés...). Parfois intéressant, d'autres fois ennuyant, les témoignages se succèdent entre-coupé des passages du livre mis en scène. C'est bien filmé, le réalisateur évite de peu quelques caricatures qu'on retrouve dans les fictions (pour une fois ils ne parlent pas tous en verland!!). Même si dans l'ensemble, ça reste bien mou... 1h de film et pourtant j'ai trouvé ça long!
    rpcine
    rpcine

    22 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2011
    L'approche du metteur en scène est très intéressante. Ce documentaire, qui suit des lycéens étudiant le livre (tant décrié par un mickey....) de Mme de Lafayette et mettant en parallèle l'action du roman et leur propre vie, se révèle très beau cinématographiquement parlant, ce qui avouons-le est rare pour un film de ce type, et se révèle audacieux dans sa mise en scène.... Le réal a l'intelligence de ne jamais verser dans la complaisance et dans le pathos vis-à-vis de la vie (merdique) de ces jeunes de banlieue à l'avenir incertain, à qui l'on ne donne pas les moyens de réussir et de sortir d'un carcan oppressant et mis au ban de la société...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 avril 2011
    Passer votre chemin ce film s'il en est un est a voir sur la tv et non au cinéma ...
    Ce film document traite d'un sujet assez tabou pour certaine famille mais ce genre de documentaire ne réglera pas le problème.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2011
    J'ai été formidablement touchée par ce film.
    On rit, on est ému et le souvenir de ces adolescents sincères et drôles reste longtemps en tête.
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 avril 2011
    "ce doc n'a rien à faire sur grand écran." je suis plutot d'accord avec le journaliste de l'express... malgré les bonnes intentions et les emprunts à gauche (pasolini) et à droite (pseudogodard), je n'ai pas accroché à cette multitude de récits et pas touché tout à fait par les histoires racontées...
    le prétexte de la critique sous-entendue à sarko est juste un peu aigicheur mais pourquoi pas ?
    jeromeenfrance
    jeromeenfrance

    6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2011
    Non, Monsieur le President, la culture, ça donne pas mal à la tête. Ça enrichit. Bien plus que l'argent !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 avril 2011
    Un film-documentaire très juste, au plus près des lycéens d'aujourd'hui et au coeur d'un texte classique de notre littérature, étonnamment en phase avec notre époque. Un témoignage sensible, parfois drôle, parfois émouvant. A voir !
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Dans un format très court, à peine soixante-dix minutes, le réalisateur, dont la femme est elle-même enseignante dans l’établissement en question, se livre à une expérience cinématographique dans laquelle il intercale les scènes de jeux (qui ne sont aucunement le prélude à une représentation théâtrale du texte comme c’était le cas dans L’Esquive avec la pièce de Marivaux) et les interviews des jeunes, et parfois de leur famille, au cours desquels ils exposent leurs craintes et leurs espoirs, en réfléchissant également sur l’apport de l’œuvre qu’ils sont en train d’apprivoiser (interpénétration des situations et des sentiments au travers des âges et des statuts, projection et élargissement sur l’époque actuelle).
    Menée par un professeur de français, l’expérience relayée par la captation de Régis Sauder, en grande partie à l’intérieur de l’enceinte du lycée, renvoie plutôt au second (voire dernier) rang l’institution et le corps professoral. Dans une scène de bac blanc, une prof tente, sans grand succès semble t-il, d’expliquer les finalités de l’enseignement des textes classiques où il est question d’acquérir la maîtrise d’un jugement, mais aussi et surtout l’argumentation étayée et l’esprit critique qui doivent le porter. On perçoit bien dans cet échange brut et frontal le gouffre gigantesque, qu’on imagine mal se combler et dont on assiste au contraire au creusement, séparant les enseignants, possesseurs du savoir et des codes qui le sous-tendent, d’élèves désarmés et dépourvus. Et c’est bien là que réside la limite de l’exercice et du film, dont on aimerait effectivement louer les vertus pédagogiques et humanistes sur les bienfaits de l’apprentissage et la richesse culturelle qui l’accompagne. Hélas, il ne suffit pas en la circonstance d’apprendre quelques bribes d’un texte certes fondateur et essentiel pour, par une magie qui confinerait à la science infuse, accéder à la connaissance et à la manière de l’utiliser. Les restitutions d’extraits dûment (ou laborieusement) appris par cœur, récités pour ne pas dire ânonnés d’une voix monocorde sans intonation particulière suffisent à indiquer l’ampleur du chemin qui reste à parcourir. L’escapade parisienne au Louvre et la rencontre avec Jean-Marc Châtelain, Conservateur de la réserve des livres rares à la BNF, prouvent là aussi l’écart (culturel et comportemental) qui divise celui capable de théoriser sur l’œuvre de Mme de La Fayette et ceux qui suspectent, devinent ou entrevoient les pistes fournies par l’homme lettré. Une fois encore, on en revient à la pierre angulaire de l’époque (pierre sur laquelle d’ailleurs s’échafaude une grande part du travail du sociologue Pierre Bourdieu) : la possession du langage est bel et bien déterminante parce qu’elle conditionne l’expression – cela va sans dire – et du coup la capacité à exposer et défendre des points de vue de façon argumentée et organisée, mais aussi celle à en approcher d’autres, à les refuser ou les rejeter au besoin, et à s’éloigner par conséquent de discours convenus, répétés à l’envi, banalisés à l’extrême et dénués de tout intérêt.
    Les jeunes gens suivis avec délicatesse et pudeur par Régis Sauder sont sans conteste sympathiques et charmants. On peut même se réjouir que la mixité ethnique et les différences d’orientation sexuelle ne soient plus vécues comme des traumatismes ou des motifs d’ostracisme, n’en déplaise à nos gouvernants (ce qui, en creux, souligne également la faille entre élites et peuple). On peut donc trouver dans Nous, princesses de Clèves des raisons d’optimisme et d’espérance, mais il faut prendre garde que celles-ci ne s’inscrivent dans la béatitude, la persuasion et une forme (assez détestable et hypocrite) de politiquement correct consistant à s’extasier parce que soudain quelques élèves se révèlent capables d’apprendre les mots exigeants du dix-septième siècle.
    La position idiote et provocatrice de Nicolas Sarkozy sur La Princesse de Clèves aura au moins eu ceci de positif qu’elle aura inspiré les créateurs : De Oliveira et Honoré récemment, mais sous prétexte de faire œuvre politique et revendicative, il convient d’être vigilant sur le combat à mener et à ne pas tirer des conclusions hâtives, proches d’un angélisme douteux, sur son issue. Si nul doute de la nécessité d’acquérir la connaissance – et la fréquentation des arts en général et de la littérature en particulier en demeure le meilleur gage de réussite – nul ne devrait croire que cela se fasse naturellement, sans travail ni efforts. Ces notions, que d’aucuns qualifieront de réactionnaires ou dépassées, semblent étrangement absentes du film au profit de conversations au pied des tours, dans une lumière solaire et une douce chaleur pouvant probablement inciter à la paresse ou l’indolence, dont on nous permettra de souligner l’intérêt limité, pour ne pas dire l’insondable vacuité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 avril 2011
    Idée originale et parfois un peu évasive, Nous, Princesses de Clèves soulève quelques questions importantes et intéressantes sans pour autant s'avérer être un documentaire mémorable et ultra réaliste.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 juin 2011
    Peu intéressante parfois indécente, la comparaison entre la vie des adolescent et la princesse de Cleves paraît artificielle. Le niveau déplorable des élèves montre les failles du système français. C'est le principal intérêt du film.
    sean_archer
    sean_archer

    7 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2011
    un film qui parle d'amour, de reves , d'amitiés et aussi de culture, de religion, de politique. un film qui démontre la richesse et l'espoir de la jeunesse, sa soif d'avenir malgré les difficultés. un film qui redonne confiance en qui nous sommes. un film à voir tout simplement.
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