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🎬 RENGER 📼
A l’image de Jackass 2.5 (2007) qui était un condensé de gags inédits jamais exploités pour le long-métrage Jackass : Number Two (2006), Jeff Tremaine réitère la même chose ici avec Jackass 3.5 (2011) qui n’est autre qu’une accumulation de scène coupées réalisées à l’occasion de Jackass 3D (2010) où bien souvent il s’agit de gags qui tombent à plat ou qui ne sont pas à la hauteur du film, raison pour laquelle ils n’ont pas été intégrés au montage final.
85 minutes de scènes inédites qui nous réservent leur lot de surprises toutes plus ou moins drôles (mais on est loin de rire aux éclats). Que retenir de cet énième opus ? spoiler: La séquence des sauts en longueur avec lavement, le pivert qui s’attaque à l’entrejambe de Chris Pontius, le bazooka à godemichets ou encore les "nut shot" de Johnny Knoxville.
Le troisième opus avait été filmé (pour certaines séquences) avec des caméras haute vitesse Phantom, il n’est donc pas surprenant de retrouver quelques plans filmés à 1000 images/seconde (des plans en ultra-ralentis), avec Chris Pontius et son zizicoptère, Wee-Man et la balle de tennis qui se fracasse contre ses bijoux de famille ou encore Ehren McGhehey qui se mange un poisson en pleine face.
Le film peut être vu comme un making-off du précédent opus, puisque l’on y retrouve les fameuses séquences inédites, le tout, entrecoupées par des interviews des membres de Jackass (lors de l’avant-première londonienne du 3ème opus). Une version qui se veut « unrated » (pour quelques plans disgracieux en-dessous de la ceinture) mais en fin de compte, le film n’a pas grand-chose de nouveau à nous offrir.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
85 minutes de scènes inédites qui nous réservent leur lot de surprises toutes plus ou moins drôles (mais on est loin de rire aux éclats). Que retenir de cet énième opus ? spoiler: La séquence des sauts en longueur avec lavement, le pivert qui s’attaque à l’entrejambe de Chris Pontius, le bazooka à godemichets ou encore les "nut shot" de Johnny Knoxville.
Le troisième opus avait été filmé (pour certaines séquences) avec des caméras haute vitesse Phantom, il n’est donc pas surprenant de retrouver quelques plans filmés à 1000 images/seconde (des plans en ultra-ralentis), avec Chris Pontius et son zizicoptère, Wee-Man et la balle de tennis qui se fracasse contre ses bijoux de famille ou encore Ehren McGhehey qui se mange un poisson en pleine face.
Le film peut être vu comme un making-off du précédent opus, puisque l’on y retrouve les fameuses séquences inédites, le tout, entrecoupées par des interviews des membres de Jackass (lors de l’avant-première londonienne du 3ème opus). Une version qui se veut « unrated » (pour quelques plans disgracieux en-dessous de la ceinture) mais en fin de compte, le film n’a pas grand-chose de nouveau à nous offrir.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Le fiml n'a pas vraiment d'interet. C'est plus un bonus des scenes qu'ils n'ont pas retenu pour le film principal. Divertissant sans plus.
C'est affligeant de bêtise. Mais vraiment la bêtise. Et pourtant je suis très bon public. Je ris facilement. Mais là, c'est un film en vrac, le storyboard et la structure du docu est aussi dégueulasse que leurs expériences physiques, expériences par ailleurs à peine politiques... si peu.. si peu de message. C'est atterrant de sexisme, spécisme, raciste, grossophobie, et "ethnicisme" :
pendant que des femmes se font exclure de bien des marchers et postes de pouvoir, se font juger pour bien moins de fantaisie qu'eux, quand c'est pas violer ou tuer, eux ils se font taper la bite par un pic-vert. Tu vois UNE femme de tout le film, une ;
pendant des noir(e)s ou arabes vivent des violences policières, les ptits blancs pètent de la thune à inventer des "performances" si peu artistiques (ce n'est ni beau visuellement, ou en tout cas pas bien filmé, ni intéressant dans le traitement plastique des matières, des couleurs, c'est du gros punk quoi) ;
pendant que des milliards de gens crèvent la dalle sur la planète, ils font une industrie du gaspillage alimentaire et des matériaux pour tenter de nous faire rire (je n'ose même pas imaginer le pognon que ça doit coûter un tournage pour pondre 1 minute de rush fun..)
pendant que l'Humain se mange des crises climatiques, il continue d'exploiter les animaux, comme une sous-espèce, comme des êtres de valeurs inférieurs, et ils exploitent des taureaux, des kangourous, des tortues, que sais-je.
AFFLIGEANT de A, à Z. et des codes de violences extrêmes, pas que sur leur corps ou contre des codes, des règles. Ca n'est ni anarchiste, ni punk. C'est du rock débile, qui s'apparente à un morceau de musique sans nuance ni originalité.
j'ai sûrement perdu des neurones en ayant la patience de regarder des bribes, peut-être durant 1h en tout.
pendant que des femmes se font exclure de bien des marchers et postes de pouvoir, se font juger pour bien moins de fantaisie qu'eux, quand c'est pas violer ou tuer, eux ils se font taper la bite par un pic-vert. Tu vois UNE femme de tout le film, une ;
pendant des noir(e)s ou arabes vivent des violences policières, les ptits blancs pètent de la thune à inventer des "performances" si peu artistiques (ce n'est ni beau visuellement, ou en tout cas pas bien filmé, ni intéressant dans le traitement plastique des matières, des couleurs, c'est du gros punk quoi) ;
pendant que des milliards de gens crèvent la dalle sur la planète, ils font une industrie du gaspillage alimentaire et des matériaux pour tenter de nous faire rire (je n'ose même pas imaginer le pognon que ça doit coûter un tournage pour pondre 1 minute de rush fun..)
pendant que l'Humain se mange des crises climatiques, il continue d'exploiter les animaux, comme une sous-espèce, comme des êtres de valeurs inférieurs, et ils exploitent des taureaux, des kangourous, des tortues, que sais-je.
AFFLIGEANT de A, à Z. et des codes de violences extrêmes, pas que sur leur corps ou contre des codes, des règles. Ca n'est ni anarchiste, ni punk. C'est du rock débile, qui s'apparente à un morceau de musique sans nuance ni originalité.
j'ai sûrement perdu des neurones en ayant la patience de regarder des bribes, peut-être durant 1h en tout.
Je pense qu'il est tant qu'ils tournent cette page Jackass , ils nous ressorte des restes, c'est la que l'on voit qu il n'y a plus d'imagination. Il y a quelques bons moments, mais la magie Jackass s'essouffle
Y'a pas a dire j'adore les voir se détruire la tronche. c'est génial. mais alors sacré tortue.
Le 3 plus du trash, du gore, du dégueulasse, de l'insoutenable, re du trash et vous obtenez un sublime petit jackass 3.5 !
R.I.P. Ryan.
R.I.P. Ryan.
Après Jackass 3D, premier film de cette bande de joyeux lurons totalement déjantés sorti au cinéma directement, Jackass 3.5 est au même titre que la version 2.5 les scènes coupées de la version cinéma. Formant un peu le bêtisier du film au même titre que quelques cascades qui ont été coupées au montage, les gags se laissent regarder, sans pour autant atteindre le niveau du film en lui même.
Autant Jackass 3 avait regorgé de quelques petites idées originales , autant cette version inédite : 3.5 , est un navet sans précédents . La bande à Knoxville se fait vieille , et a toujours la même maturité qu'un enfant de 11 ans ... Un film qui ne se constitue seulement que des scènes coupées du 3 , ce qui laisse vraiment a désirer . Pas un seul moment drôle , on frôle même la scatologie ... C'est d'un ennui abominable . Ne gâchez pas votre temps pour une daube pareille .
Jackass ne déroge pas des règles une fois de plus , ces épisodes intermédiaires continuent à nous surprendre ! Le spectacle est au rendez vous et cette bande de pote complètement folle nous fait rire aux éclats . Ryan Dunn nous manque quand même beaucoup ..
Un bonheur pur et dur !
Un bonheur pur et dur !
Compilation des "invendus" de jackass 3D accompagnés d'un making of sympa. On se marre bien et on apprend des trucs sur le groupe.
Les Jackass ont compris les défauts du 2.5 pour nous sortir un 3.5 totalement opposé . Finit les 100% de making off , on alterne entre scene et making off pour notre plus grand bonheur , l'un des meilleurs Jackass , énormément de fou rire , on prend beaucoup de plaisir à suivre cette bande de joyaux lurons !
Des cascades toujours plus dejentées et drole ..et de plus en plus dangereuse.En prime des interviews de steve o et sa bande. on se marre bien ('sont vraiment barje ces gars!)
Encore mieux que Jackass 3D, a voir pour les fans de Jackass
Comme à son habitude, Jeff Tremaine accompagné de sa formidable équipe que l'on ne nomme plus nous livre un nouvel opus d'une qualité égale aux précédents qui ne déroge pas à la règle. Malheureusement, la disparition du grand Ryan Dunn laissera un vide dans la composition de cette bande admirable.
Toujours très drôle et inventif , les Jackass ont même mis leur cascade la plus dangereuse qu'ils aient inventé : l'épreuve du feu. On monte d'un niveau en folie ! J'ai apprécié les interviews qui permettent de nous en apprendre davantage sur les cascades et sur leur invention mais surtout sur leurs conséquences ! J'ai également apprécié qu'ils équilibrent le nombre de blagues et le nombre de cascades. Seul regret : un peu trop scato/gay cette fois ci mais ça reste drôle !
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