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cela faisait cinq ans que j'attendais le nouveau De Palma...pas de déception sauf peut-être quand il s'agit de placer les personnages dans le premier quart du film.
pour ce qui est de la forme, De Palma s'est un peu assagi (mouvements de caméra au service minimum, par contre un magnifique split screen ou deux personnages d'un ballet nous regardent fixement, mais nous regardent-ils (non bien sur)? regardent-ils Isabelle spoiler: (en fait ni oui ni non)?
, et un superbe final spoiler: qui rappelle indéniablement le final de Pulsions
).
Sur le fond, début simple avec présentation de Christine, la chef, Isabelle, le cadre, puis Dani, une employée qui cherchera à aider Isabelle.
Mais vers le milieu, tous va s' emberlificoter et L' Esprit de cain prendra le dessus.
Et comme un Lynch que De Palma semble apprécier (?), Passion nous donne la possibilité d' interpréter comme nous le voulons ou le souhaitons l'épilogue.
Très belle musique de Pino Donaggio et même si le dernier De Palma n'est pas son meilleur, il reste largement au dessus de la mêlée des films que l'on nous assène de plus en plus régulièrement.
spoiler: ps, Dario Argento va encore s' énerver...
pour ce qui est de la forme, De Palma s'est un peu assagi (mouvements de caméra au service minimum, par contre un magnifique split screen ou deux personnages d'un ballet nous regardent fixement, mais nous regardent-ils (non bien sur)? regardent-ils Isabelle spoiler: (en fait ni oui ni non)?
, et un superbe final spoiler: qui rappelle indéniablement le final de Pulsions
).
Sur le fond, début simple avec présentation de Christine, la chef, Isabelle, le cadre, puis Dani, une employée qui cherchera à aider Isabelle.
Mais vers le milieu, tous va s' emberlificoter et L' Esprit de cain prendra le dessus.
Et comme un Lynch que De Palma semble apprécier (?), Passion nous donne la possibilité d' interpréter comme nous le voulons ou le souhaitons l'épilogue.
Très belle musique de Pino Donaggio et même si le dernier De Palma n'est pas son meilleur, il reste largement au dessus de la mêlée des films que l'on nous assène de plus en plus régulièrement.
spoiler: ps, Dario Argento va encore s' énerver...
Il y a dans ce film la forme idéale pour épouser une trame à la fois cruelle et ludique où les apparences comme les femmes sont reines. Quand Martin Scorsese ou Ridley Scott se momifient à vue d'oeil, happés par un académisme de plus en plus corseté, voilà que les Coppola, Herzog, Friedkin et maintenant De Palma ont trouvé la clé des champs. Une revigorante école buissonnière dont ils sont désormais les plus beaux représentants en leurs qualités d'ex enfants prodigues du 7ème art. Oui, le grand Brian est toujours dans la place, plus que jamais lui-même. Pas besoin de lifting, ce film est sa cure de jouvence. Mais c'est aussi la nôtre.
Rarement vu une direction d'acteurs aussi mauvaise... Rempli de poncifs, risiblement prévisible, le tout baignant dans une atmosphère désuète de porno turque des 80's. Et Noomi Rapace est si tarte comme actrice ! Nul de A à Z.
Un mauvais remake d'un mauvais film....... L'ex grand De Palma ne sort pas grandi de ce téléfilm tout en froideur auquel on accroche pas du tout. C'est plat, sans vie et les sex toys ne peuvent sauver un scénario d'une nullité absolue.................
Me trompe-je ou n'ai je vu qu'une sorte de pub géante d' 1h40 pour Apple, Panasonic et - dans une moindre mesure - Audi?
Le cinéma américain est il tellement en manque d'inspiration qu'il veuille piller une fois de plus les scénarios originaux français? Sans parler de Rachel McAdams en blondasse véritablement gerbante, alors qu'elle était si craquante dans "Morning glory" et attachante dans "The vow", "Wedding crashers" ou encore "state of play". De même, Noomi Rapace absolument convaincante en punkette gothique psychopathe dans la trilogie "Millenium" et remplaçante de la sus-dite (sans jeu de mot) Rachel McAdams dans le 2ème volet de "Sherlock Holmès" trouve un rôle relativement fadasse dans sa confrontation avec la sus-nommée (toujours sans jeu de mot) Rachel McAdams. Ceci expliquerait-il cela?
Brian De Palma m'avait conquit dans "Phantom of paradise", "The untouchables", "Snake eyes", "the black dahlia" entr'autres, mais là, je dois malheureusement me rendre à l'évidence: ma passion pour son cinéma s'est passablement émoussé...
Le cinéma américain est il tellement en manque d'inspiration qu'il veuille piller une fois de plus les scénarios originaux français? Sans parler de Rachel McAdams en blondasse véritablement gerbante, alors qu'elle était si craquante dans "Morning glory" et attachante dans "The vow", "Wedding crashers" ou encore "state of play". De même, Noomi Rapace absolument convaincante en punkette gothique psychopathe dans la trilogie "Millenium" et remplaçante de la sus-dite (sans jeu de mot) Rachel McAdams dans le 2ème volet de "Sherlock Holmès" trouve un rôle relativement fadasse dans sa confrontation avec la sus-nommée (toujours sans jeu de mot) Rachel McAdams. Ceci expliquerait-il cela?
Brian De Palma m'avait conquit dans "Phantom of paradise", "The untouchables", "Snake eyes", "the black dahlia" entr'autres, mais là, je dois malheureusement me rendre à l'évidence: ma passion pour son cinéma s'est passablement émoussé...
Hourra! De Palma est enfin de retour avec "Passion", véritable chef-d'oeuvre qui rappelle ses classiques "Pulsions" ou encore "Body Double". C'est prenant, angoissant, malsain.. On ne lâche pas prise jusqu'à la dernière seconde et cette surprenante fin. On en redemande!
je suis un grand fan de Rachel McAdams mais là je me demande vraiment ce qu'elle fait là tellement ce film est mauvais, c'est totalement incohérent, on s'y perd et on cherche à comprendre et en fin de compte on s'ennuie et on a aucune envie de voir la fin du film tellement on a pas envie de connaitre la suite, un vrai calvaire ce film
(...) Passion c’est l’histoire d’un réalisateur has-been prêt à tout pour refaire parler de lui, même se ridiculiser une nouvelle fois. On s’attendait à un Basic Instinct version lesbien, on ressort avec un thriller bas de gamme même pas digne d’un direct-to-dvd. Triste échec.
Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/passion-critique/
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(...)Dès la première scène s’offre à nous la relation établie entre les deux femmes, une relation qui apparaît d’ores et déjà aller plus loin qu’un simple professionnalisme. L’affection qui se dégage pourrait sous certains aspects ressembler à une bienveillance maternelle si Rachel McAdams n’arborait pas déjà un regard d’envie brulant sur sa partenaire. Au fil des rebondissements, la relation se fait de plus en plus ambiguë. Christine apparaît très vite sous ses charmes irrésistibles, comme l’instance manipulatrice parfaite. Elle n’a pas d’amis, que des amant(e)s qu’elle s’appliquera à détruire morceau par morceau pour satisfaire sa soif de victoire.
De Palma navigue entre les genres, avec l’art et la manière d’une mise en scène réfléchie, construite et esthétique. Le thriller est le principal corps, maitre de nos obsessions et de nos peurs faisant preuve d’une savoureuse habileté dans la manipulation de nos esprits. On ne saurait évoquer la puissance de l’atmosphère sans mentionner la musique brillamment composée, même si ses aspects orchestraux invitent plus au mélodrame hollywoodien. Ces notes ne sont cependant pas innocentes car elles seront les charges d’émotions de ce Passion, obstruant nos raisons au profit de nos sens parfaitement en éveil.(...
Pour lire ma critique en entier, rendez vous sur Cinedrome!
Retrouvez y de nombreuses autres critiques, ainsi que sur la page Facebook et le compte Twitter
De Palma navigue entre les genres, avec l’art et la manière d’une mise en scène réfléchie, construite et esthétique. Le thriller est le principal corps, maitre de nos obsessions et de nos peurs faisant preuve d’une savoureuse habileté dans la manipulation de nos esprits. On ne saurait évoquer la puissance de l’atmosphère sans mentionner la musique brillamment composée, même si ses aspects orchestraux invitent plus au mélodrame hollywoodien. Ces notes ne sont cependant pas innocentes car elles seront les charges d’émotions de ce Passion, obstruant nos raisons au profit de nos sens parfaitement en éveil.(...
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Ah mais que c'était mauvais, mais alors là mauvais. La bande annonce vend un autre film que celui que l'on voit. On s'attend à voir une passion érotique entre deux femmes qui va trop loin, et en fait non, on découvre une histoire bizarre décousue, qui finit sans conclusion.
Le jeu des actrices est trop exagéré, elles sont mal assorties, on ne comprend pas les réactions des personnages qui ne sont pas réalistes. Le scénario est lent, on ne sait pas où ils veulent en venir, et on finit par s'ennuyer car ça n'a ni queue ni tête. Si l'histoire aurait pu être bien, la réalisation est bourré de clichés qui gâchent le tout, et donne l'impression d'un jeu amateur.
Passez votre chemin...
Le jeu des actrices est trop exagéré, elles sont mal assorties, on ne comprend pas les réactions des personnages qui ne sont pas réalistes. Le scénario est lent, on ne sait pas où ils veulent en venir, et on finit par s'ennuyer car ça n'a ni queue ni tête. Si l'histoire aurait pu être bien, la réalisation est bourré de clichés qui gâchent le tout, et donne l'impression d'un jeu amateur.
Passez votre chemin...
La dernière fois que je me suis autant fait ch***, c'était devant Cria Cuervos. Quel mauvais film. Go home De Palma, you're drunk.
Brian de Palma se regarde faire du Brian de Palma. Apparemment ça lui plaît mais il est bien le seul... Très, très décevant car du coup les actrices en font trop aussi mais c'est normal parce qu'il n'y a pas de scénario!!!
À force d'en rajouter tout devient grotesque et porte à rire ou à taper quelqu'un.
À force d'en rajouter tout devient grotesque et porte à rire ou à taper quelqu'un.
Cinéphiles 44
On pense à l’énigmatique Mulholland Drive de Lynch, à l’univers d’Almodovar, au suspense de Hitchcock et bien sûr au Crime d'Amour de Corneau, mais ce jeu de tension érotique est bien un De Palma. Passion est une sublime œuvre traitant de jalousie, de schizophrénie, de manipulation et de voyeurisme. Après Phantom of the Paradise, Carrie, Scarface, Les Incorruptibles et on en passe, le cinéaste que l’on ne présente plus, propose de nombreux retournements de situation jouissifs et bouillonnants en se jouant du spectateur.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Un immense film, beau et palpitant. Un rythme completement hyplotique, une ingeniosité et une precision dans la mise en scene qui donne beaucoup de plaisir. Et De Palma sait filmer les femmes comme personne!
C'est ce qu'on appelle le cinéma d'auteur américain?! Voilà une grande supercherie. Film ridicule. Une caricature.
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