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    As I Lay Dying
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    2,6
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    21 critiques spectateurs

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    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    La menace qui pèse sur ce voyage et la tension entre les personnages du film sont palpables du début à la fin et nous prennent aux tripes. Il y a de très belles scènes de western, la traversée du fleuve entre autres ... les paysages sont beaux et inquiétants, et les acteurs impeccables. Par contre, j'ai trouvé l'usage du split screen un peu trop systématique et surtout, je n'ai pas aimé les monologues à la caméra : une auto-analyse peu en accord avec les caractères des personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Bilan mitigé pour le nouveau film de James Franco, présenté à la Quinzaine des réalisateurs. Adapté du best seller culte de William Faulkner, As I lay Dying avait tout pour réussir. Mais James Franco en fait un parfait film ennuyeux qui porte bien son nom : Tandis que j’agonise (en français). La mise en scène est molle, très lente voire carrément soporifique, afin de retranscrire au mieux l’émotion qui se dégage des personnages du livre. Pour dynamiser le film, James Franco adopte une mise en scène avec des double plan qui occupe l’espace façon Ang Lee. Mais cette mise en scène pompeuse charge le film et le rend encore plus lent. L’histoire est intéressante et assez originale. Le scénario quant à lui frôle la perfection avec des longues complaintes sur la vie. Vraiment intéressant. Cependant, aucune émotion dégage des acteurs et c’est là que le bât blesse. On attend plus de la part des acteurs, surtout pour un drame aussi poignant. Et, le prix du faignant revient à Danny McBride qui – pour les 10 minutes qu’il occupe – assure le strict minimum : aucune transformation physique, aucune jeu d’acteur .Le film n’est pas mauvais mais il n’est pas transcendant non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    A ne pas comparer avec les romans de Faulkner. Il était évident que cela ne pouvait qu'effleurer par le dessous l'immense oeuvre. Oui, la sauce met du temps à prendre, car loin d'être un film d'auteur, ce "As i lay dying" est plutôt expérimental. Mais la platitude qui pose la base de l'intrigue se dissipe quand les divers événements qui composent l'action du film se mettent en branle. Misère affective, misère économique, le propos n'est pourtant pas sociale, même lorsque nos cul-terreux parviennent enfin à la ville et ses pièges initiateurs stigmatisant leurs faiblesses. On navigue entre l'ironie pour une famille tuyau de poêle, et l'implacable destin qui s'acharne sur les personnages et leurs misères, sans qu'on ne puisse leur reprocher cette déveine, contrairement à ceux qui croiseront leur route, du fait de l'épaisseur des caractères, étayés par les mots contés de Faulkner. Ce va-et-vient, mi ironique mi tragique, ne trouve pas d'issue autre que dans la mort de la mère, viendra le tour des suivants en son temps, mais ils se reproduisent les bougres, s'accrochent même si on leur enlève un morceau de corps ou la santé mentale... Quant à la performance de Franco, elle ne m'a pas paru insipide, au contraire il se fond dans la chorale, porte les propres névroses de son personnage sous sa pâleur tourmentée et sa lucidité trop lourde, et ne me fait pas l'effet d'être trop "beau gosse", mais faut dire que je trouve et moches... Le film est donc plutôt une réussite, pour un débutant de la réalisation. On y trouve une volonté bien affirmée, un hommage sincère, et, my God, une direction d'acteurs cohérente et saillante jusqu'au plaisir cinématographique authentique. Ne simulons pas la bouderie par des raisonnements cérébraux sur ce que cela devrait être ou pas, et voyons la qualité réelle de ce qui est. Amen, vous pouvez sortir dans la cour de récréation voir cet ofni, sans crainte de perdre votre temps. Je jure que la majorité des clients de la séance, parlant à leurs voisins voisines, ont apprécié, et c'étaient pas du genre prout-prout germanopratin.
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Je n'avais jamais vu jusqu’ici de film réalisé par James Franco. On connait son talent d'acteur multi-facettes mais moins son travail de metteur en scène. Pour son nouvel opus, il adapte un roman de Faulkner jugé inadaptable. Ne l'ayant pas lu, difficile de juger (il paraît que le livre est très ardu). Split-screen et voix-off, voilà pour résumer ce qui caractérise surtout As I lay dying. Le film est très...
    Thierry M
    Thierry M

    161 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    C'est d'une platitude assez infernal. James Franco ne réussit pas une grande performance.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    En passer par le split screen pour illustrer l'écriture fragmentaire de William Faulkner, ça aurait pu être une bonne idée, si tant qu'elle ne soit pas utilisée jusqu'à épuisement (du spectateur). Irritante avec son côté trop arty, l'adaptation du touche-à-tout James Franco n'est toutefois pas un échec complet, notamment parce que le garçon, qui est passé par des études en littérature qu'il devrait poursuivre prochainement, a bien saisi, à défaut de la restituer complètement, l'ambiance si particulière des romans de l'auteur de Tandis que j'agonise. Le casting est à la hauteur, avec ces accents trainants du Sud, à l'exception du réalisateur lui-même, trop lisse et sans doute trop beau pour composer un personnage de Faulkner. La dernière demi-heure, plus inspirée en réussissant davantage la mise en scène des monologues intérieurs des membres de la famille Bundren, sauve l'ensemble du marasme. L'ambition d'adapter Faulkner relève soit de l'inconscience soit de la prétention, peut-être le beau gosse à la mode, dont les projets ne manquent pas d'envergure, a-t-il simplement voulu rendre hommage au prix Nobel de littérature 1949. Qu'on lira en priorité absolue, en se dispensant de cette honnête mais quelconque adaptation.
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