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    Lovelace
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    MickyHellAngel
    MickyHellAngel

    9 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2014
    ca doit bien être le pire biopic que j'ai pu voir tellement il est mal fait et inintéressant ! l'histoire à l'eau de rose pour mettre en avant d'une force incroyable cette femme qui en fin de compte a fait des choix qu'elle n'a absolument pas assumé mais pour parler du film que dire des acteurs avec qui on s'ennuie profondément même Amanda Seyfried n'arrive pas un seul instant à m'intéresser vraiment, au meilleur des cas son corps peut intéresser mais ca se limite à ca ! un énorme gachis ce film
    FeetLover
    FeetLover

    29 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2014
    Film pour les pleurnicheuses... l'autre même dans son livre se plaint ouin ouin mes parents été strict... mais attend, tes parents n'ont rien à voir avec tes mauvais choix : la drogue, l'argent facile, la fête 24h/24, les mauvaises fréquentations... faut arrêter de dire que c'est le monde du porno qui est comme ça, ce n'est pas le cas du tout, au contraire, c'est super réglementé en général et bien foutu, et personne n'est obligé de rien. De toute manière vu son hygiène de vie, elle l'a bien cherché la nana, que des mauvais choix de a jusqu'à z je dirais même qu'elle l'a bien cherché !
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Linda Lovelace, ce nom ne me disait absolument rien, j'avais juste entendu parler de son film "Gorge Profonde" mais par un moyen détourné puisque c'était le nom de code d'un informateur dans "X-Files" (dossiers X, films X, merde alors tout est lié ...), donc autant dire que je partais de zéro, mais je me suis dis pourquoi pas, peut-être un"Boogie Nights" au féminin, et malheureusement on en est loin, très loin ... Et pourtant le film démarre plutôt bien, avec une ambiance 70s et un rythme intéressant, la jolie Amanda Seyfried tient le rôle principal de cette jeune star du cinéma pornographique, c'est d'ailleurs l'atout principal de ce long métrage, une révélation pour moi dans le sens où je ne l'avais vu dans aucun film de mémoire, elle propose une interprétation remarquable. Autre point positif, quelques efforts de reconstitution de l'époque, que ça soit costumes, décors ou l'esthétisme porno, à noter également les seconds rôles de la quasi méconnaissable Sharon Stone en maman Lovelace et James Franco (qu'est ce qu'il a été foutre la dedans lui d'ailleurs ...) en Hugh Hefner. Car le reste du casting ça n'est qu'un assemblage de troisième couteau puant le téléfilm, on sent vite le discrédit, et ça n'est pas qu'une idée reçue car j'en viens au problème numéro 1, la réalisation, qui est d'un classicisme barbant, tout semble être du déjà vu, et puis on sent les types qui ont voulu se la jouer malin avec un découpage original mais ça ne trompe personne, en plus il ne fait que donner une sensation agaçante de redondance maladroite, au final il n'y a aucune inventivité et zéro tentative. Autre problème majeur, le scénario, comme je disais l'histoire démarre bien mais on sent le truc arriver à 3km et c'est ce qui se passe, je ne connaissais pas la bio de Lovelace mais j'avais l'impression au fil des minutes de tout deviner à l'avance, enfin en ce qui concerne la trame principale, les différents détails scénaristiques viennent la compléter, et je passe le coup des ellipses toutes les 20 minutes, laisse tomber comment ça traine la patte ... La dernière partie du film est plutôt pas mal, mais dénoncer la maltraitance des femmes c'est une chose, la rendre trop mièvre s'en est une autre, car je me sens un peu salaud de dire ça mais je m'en suis un peu foutu de son parcours en fait, on a l'impression qu'elle n'a pas assez morflé, on se dit tout simplement "tout ça pour ça ?", je ne pense vraiment pas que ça valait le coup d'en faire un film, le livre est sans doute plus intéressant et informatif. "Lovelace" est donc un biopic sans intérêt avec beaucoup de défauts en terme de technique et de narration, reste juste un rythme acceptable et un très bonne Amanda Seyfried.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Biopic sur Linda Lovelace une jeune femme devenue star après un seul film X qui a apparemment marqué son époque et qui a rapporté plusieurs millions de dollars en très peu de temps. La première partie du film est légère on nous montre tous les bons cotés (l'argent, la fête ect...) avec une Linda apparemment heureuse pleine rêve sur son avenir de comédienne puis d'un coup le film prend une tournure dramatique, les deux réalisateurs nous remontrent certaines scènes avec cette fois ci l'envers du décors ou Linda est maltraitée, violée et même forcée de se prostituer. Amanda Seyfried qui joue un peu à contre emploi est superbe, elle côtoie par ailleurs un casting très intéressant avec entre autres James Franco dans le rôle de Hugh Hefner ou Sharon Stone qui joue la mère et que j'avais même pas reconnu...
    C'est un biopic qui tente de pointer du doigt certains principes comme l'éducation strict des parents qu'elle même dénonce dans son livre. C'est sympa c'est agréable à voir même si ça fait téléfilm mais blague à part ça manque de ressenti et de profondeur...
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2014
    Malgré une réalisation, des décors et des acteurs assez convaincants, le filme est assez superficiel.
    En effet, souvent le voyeurisme et le nu gratuit prennent le pas sur la sociologie et la psychologie.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2014
    La belle Amanda Seyfried est Linda Lovelace dans un simulacre de biopic signé Rob Epstein et Stanley Friedman. Tout le monde, à défaut de l’avoir vu, s’entend le public masculin nostalgique des films de boules d’une époque révolue, connaît Gorge Profonde, illustre métrage pornographique considéré comme le film X le plus rentable du l’histoire du genre. Tout le monde ne connaît pourtant pas la destinée de Linda Boreman, AKA Linda Lovelace, l’actrice qui s’étouffa tout du long du tournage sur le pilier d’un mâle de jadis, tout surpris des prestations buccales invraisemblables de l’ex prude jeune femme de Floride. Oui, c’est d’elle dont il est question ici, femme commune tombée sous le joug d’un maquereau raté, Chuck Traynor. Le récit du tandem Epstein et Friedman, à défaut d’être sincèrement captivant, possède au moins le mérite d’un certain culot, c’est déjà ça. Oui, faire d’une analyse biographique de la star féminine, sous la contrainte, de Gorge Profonde, une film grand public était un pari relativement osé.

    Pour autant, tout ici est trop timoré, trop timide. Certes, un support cinématographique traditionnel s’éloigne considérablement du porno, quoique maintenant la marge rétrécit, il faillait pourtant ne pas trop heurté les mœurs d’un public toujours catalogué comme prude alors qu’il ne l’est pas. A peine quelques sons de succions viennent évoquer l’acte de la belle Linda, pourtant centre de son talent d’artiste, appelons ça comme ça. Dès lors, ce biopic consacré à une actrice du porno, repentie ou pas n’y change rien, s’affiche comme un sage petit film académique qui n’ose ni l’obscénité, un comble vu le sujet, à chaque film son public, ni une dissertation un tant soit peu poussée sur les méthodes de financement du film, hautement rentable. Oui, nulle allocutions aux difficultés physique de Linda, nulle allusions au financement des films X dans années 70 par le pègre, pas même un soupçon de rébellion artistique de la part de cinéastes qui filment Lovelace comme il filmeraient une biographique filmique sur un quelconque politicien.

    Bref, quoiqu’il en soit, si l’on apprécie finalement un procédé narratif épuré, nulle place ici pour le larmoyant, ni même pour un féminisme prononcé, tel que l’on s’y attendait, la légèreté de ton n’est pas très propice à dresser un portrait si délicat. En effet, si la première partie dresse le portrait du femme émancipée, adoratrice de l’acte sexuelle, spécialiste surprenante de la pratique buccale dont on vente ses mérites, le second round revient sur sa gloire passagère, cette fois-ci par le biais d’une approche tragique. La mari insouciant et profiteur devient du même coup un illustre salopard, prostituant sa femme, elle-même devenue un objet sexuel voué à être exploitée. En gros, d’un récit langoureux bon enfant, on saute subitement dans un registre nettement plus dramatique. La démarche est intéressante mais il apparaît pourtant clairement que c’est avant tout le fait d’un manque de documentation de la part des metteurs en scène.

    Sans doute inabouti, Lovelace s’affiche comme étant un film trop léger, trop timide, une fois encore. Pourtant, rien n’est la faute d’une Amanda Seyfried qui prend de gros risques pour sa carrière, ni même la faute d’un casting relativement intéressant, ou chacun est plutôt bon. Notons également que l’impureté de l’image, un grain conséquent, sans doute voulu pour l’immersion seventies, ne rend pas justice à l’œuvre dont les décors et costumes sont plutôt bien fichus. Bref, trop oubliable pour rester sur le devant de la scène, Lovelace laisse finalement indifférent, dommage. 08/20
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    53 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2014
    J'ai coutume de penser devant un biopic intéressant, que la vie de son personnage central méritait bien un film. Formule un peu oiseuse j'en conviens, puisqu'applicable à des centaines de personnes.
    Néanmoins, c'est à nouveau ce qui m'interpelle en visionnant "Lovelace" (2013), basée sur l'existence tumultueuse de la première véritable star de l'industrie pornographique, alors même que sa carrière n'aura duré que 17 jours, le temps de tourner le succès mondial "Deep throat" ("Gorge profonde").
    C'est d'ailleurs le reproche que l'on peut adresser au film, à savoir se concentrer sur cette courte période, alors que Linda "Lovelace" Boreman connut une seconde vie, seulement évoquée à la fin du métrage, consacrée à son combat contre la violence conjugale.
    Autre bémol, sur une thématique aussi sulfureuse, on constate que les auteurs ont choisi un traitement policé, qui manque un peu de piquant à mon sens.
    Par ailleurs, on est en présence d'un biopic agréablement filmé (façon seventies), joliment interprété (Amanda Seyfried parfaite, Sharon Stone et Peter Sarsgaard méconnaissables) et qui présente l'originalité d'une narration intelligemment déconstruite. Pas mal du tout.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    133 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Que les amateurs de pornographie s'imprègnent bien de cet envers du décor, et qu'ils sachent combien ils participent à l'esclavage sexuel des femmes de par le monde.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    134 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2014
    Lovelace est un film un peu plus profond qu'il n'en a l'air.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mars 2014
    Pas vraiment réussie cette histoire, il manque un truc pour s'attacher au destin de cette jeune fille en quête de liberté manipulée par un homme sans scrupules. L'histoire de Lovelace est pourtant dramatique et l'interprétation de Amanda Seyfried est très correcte alors pourquoi ne pas s'émouvoir plus que ça devant son histoire? Je ne sais pas... mais toujours est -il que je n'ai pas ressenti autant d'émotions que je ne le pensais face à son tragique parcours.... peut être que le scénario ou la mise en scène serait à revoir pour plus d'implication et d'attachement au personnage.
    Dommage, il y avait de quoi en faire un bon drame....
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    284 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2014
    Le biopic est un des genres les plus utilisés au cinéma. On en fait pour tout le monde et ils se ressemblent très souvent dans leur construction. Cependant, depuis quelques temps, il semble qu’on innove dans la structure.

    Lovelace fait partie de ses films qui tentent de faire quelque chose d’original dans un genre rebattu. En effet, le film est construit sur une dualité passionnante qui rend le film particulièrement intéressant. Au bout de 45 minutes, le film, qui s’apparente alors à une success story douce-amère, se transforme sur une scène en une tragédie éreintante qui reprend tous les éléments donnés auparavant et les montre sous un nouveau jour. Non, Linda Lovelace n’était pas en train de faire l’amour avec Chuck Traynor dans une pièce d’un appartement, elle était en train de prendre une dérouillée. Mais ça, si le spectateur s’en doute, il ne l’apprendra réellement que dans la deuxième partie. Totalement à charge contre l’industrie pornographique comme pouvait l’être Linda Lovelace à la fin de sa vie, le film présente cette entreprise comme un business gangréné par la corruption, la Mafia, l’individualisme et les faux-semblants. Un Hugh Hefner joué par un fabuleux James Franco tente par exemple de profiter de l’innocence de Linda Boreman, interprétée par l’excellente Amanda Seyfried. Grâce à elle, le spectateur ne peut qu’épouser son point de vue et toute exaction commise sur Linda fait l’effet d’une balle et le film devient encore plus désespérant. Le cabotinage des seconds rôles comme Chris Noth et Bobby Cannavale est réjouissant, autant que l’interprétation en finesse du génial Robert Patrick, en père aimant et discret.

    Porté par une bande-son folle et une technique impressionnant qui pose un grain sur l’image sans pour autant passer pour une posture artistique vaine et prétentieuse, Lovelace est une nouvelle manière de faire le biopic. Rien que pour cela, on peut passer sur ses défauts minimes. Fabuleux.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2014
    C’est un biopic particulier qu’on tient là puisque consacré à la première grande star issue du monde de la pornographie. Il faut dire que ce projet ne semblait pas vraiment nous donner l’eau à la bouche mais la vie de Linda Lovelace, de son vrai nom Linda Susan Boreman, s’avère bien plus riche qu’on ne l’aurait pensé. En fait, l’aspect le plus intéressant est sans aucun doute la relation tumultueuse qu’elle entretenait avec son 1er mari Chuck Traynor et les violences conjugales dont elle était victime. Finalement si elle a marqué une génération de spectateurs, ce que l’on sait moins ce qu’elle aura également participé à l’émancipation des femmes américaines. Un aspect qui malheureusement est trop vite zappé pour se contenter d’un portrait parfois perturbant avec ses quelques voyages dans le temps.
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    77 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2014
    C'est une jeune fille naïve (enfin, pour moi) qui devient star du porno en 17 jours de tournage. C'est Gorge Profonde. Mais elle les paie, ses 17 jours de tournage, elle les paie par une vie d'enfer, parce qu'une crapule l'épouse et l'exploite, et la fout à faire le trottoir. Et c'est vraiment affreux. Moi j'étais très troublée par le film et ça m'a fait pleurer. Ses parents refusent de la voir, c'est des salauds. Alors elle a que son ordure qui l'exploite... Mais c'est bien. Elle est parfaite, elle, elle est géniale !
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2014
    Petit biopic qui assure l'essentiel sur la vie de la star du porno des années 70 Linda Lovelace.
    Après une première partie qui raconte la success story, la seconde nous montre l'envers du décor et le calvaire qu'elle subissait avec son mari.
    Le film se concentre avant tout sur la personne qu'à l’événement que fut le succès de "Gorge Profonde" ainsi que ses conséquences sur la société, et c'est un peu dommage !
    SuperMadara
    SuperMadara

    85 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2014
    Un biopic assez mitigé, l'histoire mâché et ultra-préparé mais très bien interprété de la légende du X es années 70. Chronique de la libération sexuelle et de la naissance du porno industriel, le scénario raconte la vie de ce, entrainé par son mari violent dans un film porno contre son gré et qui va, avec ce film appelé "Gorge Profonde", devenir une superstar du jour au lendemain, une histoire intéressante durant une époque synonyme de libération des moeurs mais tellement classique, préparé, présenté au spectateur avec une neutralité fade et insipide, que le tout n'en devient qu'ennuyeux et bien loin du potentiel de départ. Pour son premier grand rôle dramatique, Amanda Seyfried incarne avec une aisance et une grâce forte cette star contre son gré et blessé par son entourage, la parfaite incarnation de l'envers du symbole, et puis le toujours surprenant et inquiétant Peter Saarsgard est tout aussi fort mais dans un autre registre. Après leur biopic de la Beat Generation "Howl" tout aussi raté, le duo Epstein/Friedman s'impregne du visuel de cette décennie, enchaine les effets 70's avec plus ou moins de réussite, et reste très fade sur la longueur.
    Un biopic bien en-dessous de son potentiel, pourtant un très bon casting vient sauver le tout.
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