Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
willyzacc
78 abonnés
1 544 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 31 décembre 2013
Dommage, le casting est bon et la reconstitution d'époque sont bien faites. Mais la construction du récit, le peu de risque pris dans ce film (On ne voit pas trop le côté "torturé" de Linda) et la réalisation plutôt mauvaise en font un film passable, qui ennuie malgré son sujet difficile, ce qui est un comble!
Film intéressant sur le porno avec celle qui a popularisé cette profession. L'anonymat puis la gloire et enfin le combat contre cette profession cinématographique, l'actrice principale est convaincante dans le rôle principal.
Un biopic qui augurait de bonnes choses. Mais le film est un peu trop manichéen avec une figure gentille (jouée par Amanda Seyfried, qui joue donc une actrice x) et une figure méchante ( jouée par Peter Sarsgaard très bon d'ailleurs qui joue le rôle du producteur). Après cela se laisse suivre, il y a quelques beaux passages, assez émouvant. Mais au final, c'est trop classique tout ça.
Pas vraiment réussie cette histoire, il manque un truc pour s'attacher au destin de cette jeune fille en quête de liberté manipulée par un homme sans scrupules. L'histoire de Lovelace est pourtant dramatique et l'interprétation de Amanda Seyfried est très correcte alors pourquoi ne pas s'émouvoir plus que ça devant son histoire? Je ne sais pas... mais toujours est -il que je n'ai pas ressenti autant d'émotions que je ne le pensais face à son tragique parcours.... peut être que le scénario ou la mise en scène serait à revoir pour plus d'implication et d'attachement au personnage. Dommage, il y avait de quoi en faire un bon drame....
Un biopic assez mitigé, l'histoire mâché et ultra-préparé mais très bien interprété de la légende du X es années 70. Chronique de la libération sexuelle et de la naissance du porno industriel, le scénario raconte la vie de ce, entrainé par son mari violent dans un film porno contre son gré et qui va, avec ce film appelé "Gorge Profonde", devenir une superstar du jour au lendemain, une histoire intéressante durant une époque synonyme de libération des moeurs mais tellement classique, préparé, présenté au spectateur avec une neutralité fade et insipide, que le tout n'en devient qu'ennuyeux et bien loin du potentiel de départ. Pour son premier grand rôle dramatique, Amanda Seyfried incarne avec une aisance et une grâce forte cette star contre son gré et blessé par son entourage, la parfaite incarnation de l'envers du symbole, et puis le toujours surprenant et inquiétant Peter Saarsgard est tout aussi fort mais dans un autre registre. Après leur biopic de la Beat Generation "Howl" tout aussi raté, le duo Epstein/Friedman s'impregne du visuel de cette décennie, enchaine les effets 70's avec plus ou moins de réussite, et reste très fade sur la longueur. Un biopic bien en-dessous de son potentiel, pourtant un très bon casting vient sauver le tout.
Le grand défaut de Lovelace n’est autre que le manichéisme avec lequel il aborde son sujet et découpe son film en deux pans égaux, l’un épousant un optimisme que l’autre vient démolir, soucieux de donner à voir l’envers du décor au spectateur. De cette dichotomie le film ne tire pourtant pas grand-chose : l’héroïne passe de Justine candide à héraut féministe, mais nous n’avons jamais accès aux étapes d’une telle prise de conscience. Tout est à la fois attendu, cliché et mis en scène de façon spectaculaire, échouant à restituer le climat des années 70 autrement que par ses coiffures fantaisistes et ses musiques vintage. La pauvre Lovelace, deux fois suppliciée – puisqu’elle finit par raconter une histoire que nous venons de voir –, reste un corps que l’on dénude, les réalisateurs n’essayant à aucun moment de se mettre à sa portée, de délaisser l’ampleur du biopic pour la laisser s’exprimer, pour la saisir dans sa tristesse, son silence, son désarroi fondamentaux. En résulte une petite production chic et pas choc qui édulcore un peu et radicalise beaucoup. Nous aurions aimé à la place un véritable point de vue, tant narratif qu’esthétique, sur le personnage et sur le milieu investi.
Adaptant une histoire vraie, "Lovelace" se dote donc d'un scénario intéressant et crédible. De ce fait, la réalisation est réaliste avec une bonne mise en scène. Néanmoins, on a du mal à être vraiment pris malgré un bon jeu des acteurs principaux. Ainsi, le film est divertissant mais seulement assez captivant.
« Lovelace » n’est pas un film indispensable mais il se laisse regarder sans déplaisir notamment grâce au soin apporté à la reconstitution des années ’70, au talent de ses deux interprètes principaux et à cette proposition de se (re)plonger – avec un peu trop de sagesse peut-être – dans l’univers du hardcore américain. On pourra toutefois regretter le schématisme du scénario et ce parti pris qui consiste à opposer de manière déformée l’innocente et soumise Linda face à son manipulateur de compagnon.
Histoire intéressante et assez réaliste sur l'époque des 70, et surtout la soumission forcée de la femme ! Après le coté autobiographique sur l'actrice principale est pas mal, mais manque un peu de profondeur ... Mais à voir quand même !
C’est un biopic particulier qu’on tient là puisque consacré à la première grande star issue du monde de la pornographie. Il faut dire que ce projet ne semblait pas vraiment nous donner l’eau à la bouche mais la vie de Linda Lovelace, de son vrai nom Linda Susan Boreman, s’avère bien plus riche qu’on ne l’aurait pensé. En fait, l’aspect le plus intéressant est sans aucun doute la relation tumultueuse qu’elle entretenait avec son 1er mari Chuck Traynor et les violences conjugales dont elle était victime. Finalement si elle a marqué une génération de spectateurs, ce que l’on sait moins ce qu’elle aura également participé à l’émancipation des femmes américaines. Un aspect qui malheureusement est trop vite zappé pour se contenter d’un portrait parfois perturbant avec ses quelques voyages dans le temps.
Ne faites pas l'erreur d'aller voir ce film au cinéma, ce serait une grosse perte de temps. Mais qu'est ce que c'est ennuyant, et en plus c'est superficiel et dénué de toute imagination. Bref voici le navet de la semaine. C'est le portrait d'une femme, actrice porno puis militante féministe (peu intéressant). L'actrice principale, Amanda Seyfrield joue bof bof, elle n'est pas très convaincante dans la peau de Linda Lovelace alias la femme à la "Gorge Profonde". Mais c'est que le film, lui, reste coincé dans la gorge, on s'étouffe même avec (tellement c'est nul). C'est dommage car le film s'attarde sur la relation difficile entre Lovelace et son mari mais pas assez sur sa vie de militante anti porno. Le film reste regardable, peut être grâce à la prestation des comédiens, qui n'est pas superbe mais qui vaut déjà plus que le scénario et la réalisation. Résultat: ne parlant pas assez de son combat contre la pornographie, "Lovelace" est un film sans saveur qui mériterait de passer en tant que téléfilm sur M6!!!!!!!!!!!!!!!
Film très décevant et décousu. Les personnages ne sont pas assez travaillés, le réalisateur ne va pas assez en profondeur (sans jeu de mots lol). On sort ainsi de ce long métrage frustré. Linda Lovelace a vécu, et mal vécu, après ses 17 jours dans le porno et pourtant aucune trace dans le film. Je reconnais toutefois le belle performance d'Amanda Seyfried et l'époque bien reconstituée. Pas suffisant.
Biopic vraiment sympathique, court, monté en deux parties parallèles très différentes. On voit tout d'abord la montée de Lovelace vers la célébrité, et on revient au début du film pour en voir l'envers du décors (un peu comme dans Prince of Persia : L'âme du guerrier). Le film est bien réalisé, avec une photographie rétro, de très bons acteurs, des dialogues corrects et une dramaturgie bel et bien présente. Une petite découverte qui vaux le coup d'oeil.
"Lovelace" est un biopic bouleversant sur le destin si particulier de Linda Lovelace, actrice révélée par le célèbre film pornographique "Gorge profonde". Cette jeune fille, animée par le désir de devenir actrice et surtout aveuglée par l'amour qu'elle porte à son mentor et mari, Chuck, va voir sa vie basculer. Après le succès vient le temps des désillusions. Violence, prostitution, drogue, Linda va tout traverser... Une histoire prenante et poignante qui, bien au-delà de la pornographie, nous retrace le combat d'une femme que rien ne destinait à un tel parcours. Les acteurs sont divins et le film vraiment à découvrir...