Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce biopic édifiant, mais de qualité inégale, vaut surtout pour le portrait de deux Amérique qui s’opposent : la prude, incarnée par les parents de Linda, et la libérée, celle des requins du showbiz du X.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Leslie Guyomard
Lovelace, film identitaire sur fond abrupt de révolution féministe et de libération sexuelle, surfe sur la tendance vintage et, paradoxalement, dépoussière le modèle traditionnel de la vague « indé » américaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film de Rob Epstein et Jeffrey Friedman reconstitue avec acuité ce qui relève plus du fait divers que de l’histoire du cinéma, comme au carrefour de deux mondes qui se sont souvent côtoyés.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Paris Match
par Yannick Vely
Dommage qu’ils échouent à nous faire ressentir la descente aux enfers de la belle Linda, prisonniers d’une structure narrative trop figée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Linda Lovelace, la star de "Gorge profonde" devenue farouche militante antipornographie, méritait mieux que ce biopic superficiel et propret qui la réduit à une simple victime.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Vincent Avenel
Terriblement hypocrite, le film capitalise largement, et au fil de longues scènes suggestives, sur l’aura – si peu, finalement – sulfureuse de son personnage sans jamais l’assumer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Perrine Quenesson
Pour un film qui parle de Gorge Profonde, donc de pornographie, le sulfureux, la chair, la sensualité voire, tout simplement, le sexe, manquent sérieusement à l'appel. L’ombre de Boogie nights est écrasante et Lovelace ressemble plus à un sympathique téléfilm. Mais le casting est parfait, Amanda Seyfried et une méconnaissable Sharon Stone en tête.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Philippe Trétiack
Semi-navet, "Lovelace" ne réussit pas à faire rendre gorge au mythe, il le caresse. C'est déjà ça.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré les efforts d'Amanda Seyfried, convaincante en star montante du porno, ce biopic pèche par son écriture décousue et sa mise en scène dépourvue de relief.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
La vie de Linda Lovelace, star du X et épouse martyrisée : un biopic honnête, pas inoubliable mais bien interprété.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Retour académique et très chaste sur l’histoire de l’actrice de "Gorge profonde".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
En misant sur tous les tableaux, le film, réalisé sans imagination, sombre tantôt dans l'artifice, tantôt dans l'édification et ne suscite l'intérêt que pour les prestations de ses comédiens (...).
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le film, s’il feint de se placer du côté du calvaire de son héroïne, capitalise en réalité sans vergogne sur la plastique et la naïveté d’une nouvelle venue dans le système, qu’il sacrifie sur l’autel de son petit spectacle sordide.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Lovelace" ressemble à un mauvais film dossier (le porno, c'est mal) qui non seulement se prend les pieds dans le tapis du discours féministe qu'il veut tenir [...], mais évacue intégralement le contexte de l'Amérique de l'époque, tant du point de vue des moeurs [...] que de ses répercussions politiques.
Libération
par Julien Gester
BO trop pétaradante pour être honnête et grain seventies contrefait en bandoulière, leur film semble se rêver un devenir archive, travailler seulement à faire pénétrer le volontarisme de son actrice dans le cadre de ces téléviseurs qu’ils filment obstinément (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Mathieu Carratier
Un parcours fascinant dont les réalisateurs ne retiennent que la relation toxique entre l'actrice et son mari, livrant un biopic à peine plus excitant qu'un exposé d'élève de cinquième. Au vu du casting, le résultat reste d'autant plus en travers de la gorge.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une triste histoire à laquelle cette reconstitution soignée et pudique ne parvient pas à donner beaucoup d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Ce biopic édifiant, mais de qualité inégale, vaut surtout pour le portrait de deux Amérique qui s’opposent : la prude, incarnée par les parents de Linda, et la libérée, celle des requins du showbiz du X.
aVoir-aLire.com
Lovelace, film identitaire sur fond abrupt de révolution féministe et de libération sexuelle, surfe sur la tendance vintage et, paradoxalement, dépoussière le modèle traditionnel de la vague « indé » américaine.
Franceinfo Culture
Le film de Rob Epstein et Jeffrey Friedman reconstitue avec acuité ce qui relève plus du fait divers que de l’histoire du cinéma, comme au carrefour de deux mondes qui se sont souvent côtoyés.
Paris Match
Dommage qu’ils échouent à nous faire ressentir la descente aux enfers de la belle Linda, prisonniers d’une structure narrative trop figée.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Linda Lovelace, la star de "Gorge profonde" devenue farouche militante antipornographie, méritait mieux que ce biopic superficiel et propret qui la réduit à une simple victime.
Critikat.com
Terriblement hypocrite, le film capitalise largement, et au fil de longues scènes suggestives, sur l’aura – si peu, finalement – sulfureuse de son personnage sans jamais l’assumer.
Ecran Large
Pour un film qui parle de Gorge Profonde, donc de pornographie, le sulfureux, la chair, la sensualité voire, tout simplement, le sexe, manquent sérieusement à l'appel. L’ombre de Boogie nights est écrasante et Lovelace ressemble plus à un sympathique téléfilm. Mais le casting est parfait, Amanda Seyfried et une méconnaissable Sharon Stone en tête.
Elle
Semi-navet, "Lovelace" ne réussit pas à faire rendre gorge au mythe, il le caresse. C'est déjà ça.
Le Journal du Dimanche
Malgré les efforts d'Amanda Seyfried, convaincante en star montante du porno, ce biopic pèche par son écriture décousue et sa mise en scène dépourvue de relief.
Les Fiches du Cinéma
La vie de Linda Lovelace, star du X et épouse martyrisée : un biopic honnête, pas inoubliable mais bien interprété.
Les Inrockuptibles
Retour académique et très chaste sur l’histoire de l’actrice de "Gorge profonde".
Positif
En misant sur tous les tableaux, le film, réalisé sans imagination, sombre tantôt dans l'artifice, tantôt dans l'édification et ne suscite l'intérêt que pour les prestations de ses comédiens (...).
Cahiers du Cinéma
Le film, s’il feint de se placer du côté du calvaire de son héroïne, capitalise en réalité sans vergogne sur la plastique et la naïveté d’une nouvelle venue dans le système, qu’il sacrifie sur l’autel de son petit spectacle sordide.
Charlie Hebdo
"Lovelace" ressemble à un mauvais film dossier (le porno, c'est mal) qui non seulement se prend les pieds dans le tapis du discours féministe qu'il veut tenir [...], mais évacue intégralement le contexte de l'Amérique de l'époque, tant du point de vue des moeurs [...] que de ses répercussions politiques.
Libération
BO trop pétaradante pour être honnête et grain seventies contrefait en bandoulière, leur film semble se rêver un devenir archive, travailler seulement à faire pénétrer le volontarisme de son actrice dans le cadre de ces téléviseurs qu’ils filment obstinément (...).
Première
Un parcours fascinant dont les réalisateurs ne retiennent que la relation toxique entre l'actrice et son mari, livrant un biopic à peine plus excitant qu'un exposé d'élève de cinquième. Au vu du casting, le résultat reste d'autant plus en travers de la gorge.
Télérama
Une triste histoire à laquelle cette reconstitution soignée et pudique ne parvient pas à donner beaucoup d'intérêt.