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    Chappie
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    867 critiques spectateurs

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    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    62 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Avec Chappie, Neill Blomkamp délaisse temporairement son sacro-saint humain augmenté pour s'abandonner dans une candeur punk aussi revigorante que touchante, faisant se souder l'innocence et la subversion dans une ode aussi légère que cruelle à l'intelligence (pas si) artificielle. Chappie, dont les pixels de sa carapace se fanent, est fermement imposé comme un personnage fort, petit gamin éduqué dans un monde à l'ultra-violence sans limites, figure de titane dont le crépuscule des émotions et la torture du métal tournent parfois au traumatisme. Révélation matricielle et piétinement carriériste forment une pyramide de naïveté entre les lignes du scénario, mais leur flux nourrit les filaments d'une radicalité presque Verhoevienne. Car, même si la subtilité y semble défaillante, le film fonctionne par le choc de ses contrastes et l'interaction des extrêmes, l'éducation et l'insurrection, la délinquance et la parentalité, l'épique et l'irrévérence, l'humour et les sacrifices, le palpable et le digital... un sac de nœuds qui ramène Blomkamp à ses questionnements fondamentaux lors d'un dernier acte aussi audacieux que bâclé, quantification vidéoludique de la conscience ne faisant qu'appuyer à échelle intime l'échec désespéré d'un monde qui pousse l'innocence à la marginalité. Fable rebelle sur la croisée des chemins entre Wall-E et Robocop, Chappie est une initiation aussi désespérée qu'underground qui émoustille les yeux comme les émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Chappie est le dernier bijou de Neill Blomkamp, réalisateur sud-africain auquel, après le succès d’estime de District 9 transposant l’apartheid dans un univers science-fictionel et celui d’Elysium amenant la lutte des classes jusque dans l’espace, on a confié la future réalisation d’Alien 5. Depuis Short Circuit de John Badham, émouvant souvenir de notre enfance, il ne nous semble pas que nous ayons pu autant nous attacher à une créature robotique.

    Deon (Dev Patel) est un ingénieur talentueux qui a fait la fortune de Tetra Vaal, une entreprise de robotique, dirigée par Michelle Bradley (Sigourney Weaver dont on a récemment parlé pour son rôle dans Exodus : Gods and Kings et dans l’article rétro sur SOS Fantôme), qui a équipé la police de Johannesburg avec le modèle de droïde policier qu’il a créé : le Scout. Il s’attire la jalousie maladive de Vincent (Hugh Jackman, vu l’année dernière dans X-Men : Days of the future past). Travaillant en secret sur un programme permettant de créer une conscience chez une intelligence artificielle, il décide de l’implémenter sur Chappie (Sharlto Copley), un robot promis à la casse. Ce dernier est volé par une bande de voyous, Yo-Landi (Yo-Landi Visser), Ninja (Watkin Tudor Jones Jr.) et Yankee (Jose Pablo Cantillo).

    Une fois de plus, Neil Blomkamp a la prétention d’offrir un spectacle de divertissement percutant tout en réussissant à lui donner des atours plus profonds. On ne pas dire qu’il échoue dans sa mission. Bien au contraire, Chappie commence comme Robocop, Tetra Vaal rappelant l’Omni Cartel des Produits. La mise en scène, par le biais des infos, communiquant au spectateur l’essentiel du contexte, se logeant dans la grande tradition du film de genre. Viens ensuite cette agréable sensation de devenir proche de Chappie qui sous ses dehors de vieille carcasse abîmée arrivera à ébranler les plus blasés et les plus endurcis d’entre nous. Les effets spéciaux deviennent transparents grâce à une capture de mouvements absolument maîtrisée. Chappie est tellement anthropomorphe, dans chacune de ses postures, que l’identification du spectateur est inévitable. Par sa gestuelle, Sharlto Copley a su lui insuffler une vie et une sensation de créature consciente plus vraie que nature. On aimerait tous avoir Chappie comme ami.

    A contrario, le petit point noir du film est le jeu très surjoué des deux compères du groupe de hip-hop sud-africains Die Antwoord qui jouent le papa et la maman d’adoption de Chappie. Leurs rôles semblent à la fois fades et parfois même un brin désagréable et tombe dans tous les stéréotypes liés aux cartels. Ils rappellent ces méchants aux allures punk, totalement débile, que l’on a adoré détester dans le cinéma d’action des années 80 et également adorer démolir à coup de batte de base-ball dans la série mythique des Streets of Rage. Du coup, malgré leur jeu pas folichon du tout, on finit par les aimer aussi. Et même si leur dialogue sont aussi cheap que leurs fringues, l’amour que Chappie éprouve pour eux réussit à les rendre sympathique. En accéléré, Chappie va développer une conscience et des désirs qui lui seront propres. Comme un être humain, il éprouvera les difficultés de la socialisation, se heurtera à ses parents, mettra en doute son créateur et sentira l’angoisse de la mort comme HAL 9000 dans 2001, l’odyssée de l’espace, une autre intelligence artificielle développant une conscience propre. A propos du créateur,Chappie questionne la part d’irresponsabilité voir de sadisme qu’il peut y avoir pour un créateur, forcément tout puissant du point de vue de la créature, à créer une entité mortelle. Rapidement, Chappie décide en quelque sorte que « Dieu est mort ».

    S’il pose la question de la conscience, Chappie la traite néanmoins de manière peu orthodoxe mélangeant deux concepts à priori incompatible. On pense généralement que ce que nous appelons conscience n’est rien d’autre que le résultat de notre chimie cérébrale ou bien la manifestation métaphysique, plus spirituelle, immatérielle, de notre psyché. Dans ce dernier cas, elle se confond avec le concept de l’âme et se prête à l’idée de l’immortalité. Dans Chappie, elle est une donnée matérielle que l’on peut conserver et transmettre dans un nouveau corps. La part de magie des croyances en l’immortalité de l’âme est ici résolue par une équation inédite où la conscience de soi (et la vie elle-même) peuvent être réduite à des données informatiques. Rationaliser la vie après la mort, en voilà une drôle d’idée. Croyant ou athée, cette option semblera sûrement très bizarre à tout à chacun tant l’on conçoit la conscience soit comme une manifestation du divin soit comme une manifestation biologique mais rarement dans cette optique à cheval sur les deux visions. Concevant malgré tout notre corps comme partit intégrante de ce que nous sommes, même malgré la plus grande capacité d’abstraction, envisager l’âme sans le corps est moins dérangeant que l’imaginer dans un autre corps, à plus forte raison mécanique. La vie telle que nous la connaissons étant intrinsèquement biologique.

    Ne vous trompez pas, si on a parlé un peu philosophie, Chappie ne vous réserve pas moins de belles scènes d’actions. Reste, et c’est une qualité certaine, que Neill Blomkamp est le maître d’œuvre d’un retour à une science-fiction plus politisée et intelligente que ce qu’offrent les pathétiques productions de Michael Bay qui inonde, malgré leur inanité profonde, les toiles des cinémas du monde entier.

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    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    66 abonnés 1 520 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    Encore une belle réussite de Neill Blomkamp qui, décidément, commence à faire office de maître en matière de science-fiction au cinéma. La critique n'est pas tendre envers Chappie qui reste pourtant touchant et rythmé, un savant mélange des genres avec une BO entraînante et des interprètes pas si mauvais que ça. Je suis déjà fort impatient de découvrir de nouveaux films de ce petit réalisateur de génie.
    galau7
    galau7

    30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2015
    On peut discuter de la notion d'âme, mais je pense que le film ne va pas si loin et ne le veut pas. Donc, une bonne histoire, de l'émotion sans oublier le soupçon d'humour font un spectateur heureux. Si en plus, les trucages sont éblouissants, en particulier dans les nombreuses scènes d'action, alors là....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mars 2015
    22, v'la les flics ou bien CHAPPiE ! Encore une fois, Neill Blomkamp nous pond un film de science fiction bien ficelé, avec pleins de fils électriques, et assez original. Même si le thème du robot policier n'est pas nouveau. D'ailleurs, l'Original ressemble étrangement à ED-209 de "RoboCop". En tout cas, ce qui fait sa force, c'est son histoire bien huilée, un scénario simple et efficace. Apparemment, RedBull ne donne pas que des ailes mais aussi la solution du codage de la conscience de CHAPPiE. Ce dernier deviendra de plus en plus attendrissant et amusant, notamment lors des scènes sur sa formation gangsta qui vaut le détour. J'ai bien aimé les références à "Forrest Gump" et à "Die Hard" en réintroduisant leurs répliques cultes, à vous d'être attentif pour les réécouter. Mais le clin d’œil qui m'a fait le plus déliré, c'est celle du dessin animé "Les Maîtres de l'Univers" avec la fameuse coupe de "Musclor", d'où sans doute l'inspiration des différentes coupes fashion style dont celle de Hugh Jackman est un mixte entre une mini-frange et un mini-mulet, soit aussi horrible que le caractère de son personnage ! En clair, allez le voir pour me croire !
    Oxymetal
    Oxymetal

    92 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2015
    Avec "Chappie", "Neill Blomkamp" adapte pour le grand écran son propre court métrage "Tetra Vaal", sorti en 2003. A Johannesburg, dans un futur proche, où la criminalité ne cesse de grimper, la police de la ville a fait appel à l'entreprise "Tetravaal", spécialisée en robotique et dirigée par "Michelle Bradley", pour leur fournir des robots policiers. Ces derniers ont été imaginés par "Deon Wilson", un jeune et brillant ingénieur, qui travaille et développe de son côté une intelligence artificielle proche de l'âme humaine. Alors qu'il ramène une carcasse de robot chez lui, "Deon" est kidnappé par des criminels, qui lui demandent de reprogrammer le robot, pour qu'ils les aident à commettre des délits. "Deon" intègre alors dans le programme sa nouvelle intelligence artificielle. Le robot (Nommé "Chappie") doit alors tout apprendre, comme un bébé. D'entrée, on entre dans un univers futuriste crédible à 200% (Comme à l'accoutumé avec "Neill Blomkamp"), filmé en partie comme un vrai documentaire. Le métrage est aussi une excellente réflexion sur l'évolution de l'intelligence artificielle et ses conséquences sur notre monde à venir. "Chappie" bénéficie en plus, d'impressionnants effets spéciaux qui servent avant tout un scénario subtil, original et réaliste procurant quelques répliques particulièrement réjouissantes ("Chappie" en mode "Bad-Ass") et doté d'un final surprenant qui laisse clairement présager une suite. On retrouve en tête d'affiche: "Hugh Jackman" (Dans la peau du méchant de service "Vincent Moore"), "Sigourney Weaver" (Alias "Michelle Bradley", la patronne sans état d'âme), "Dev Patel" ("Jamal" dans "Slumdog Millionnaire" et qui campe ici un étonnant "Deon Wilson"), sans oublier l'incroyable prestation à caractère numérique de "Sharlto Copley" (Acteur récurent de "Neill Blomkamp") qui donne véritablement du relief et de l'empathie au personnage de "Chappie". Drôle, triste, vulnérable, "Chappie" reste l'élément le plus réussit du film se rapprochant d'une véritable entité organique doté d'émotion et de compassion. Pas de doutes, "Neill Blomkamp" signe un nouveau chef d'œuvre de Science-Fiction moderne à ranger au coté des ténors de la catégorie tels que "Robocop", "I Robot", "Ghost in the Shell", ou encore le récent "Ex Machina" !
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    41 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Malgré les avis assez mitigés autour de ce long-métrage, j'avais très envie de le visionner malgré tout. L'histoire semblait assez intéressante, le casting avait l'air de montrer une certaine ambition et les bandes-annonces n'étaient pas mauvaises non plus. J'ai donc sauté le pas et j'en suis très heureux ! "Chappie" est un excellent film, qui nous présente un univers riche, en plus d'être intéressant. Toute la grosse force de ce projet, et de cet univers, va intimement être liée au personnage central de celui-ci, à savoir le fameux Chappie. Même si ce personnage est une machine, les excellentes images de synthèse et l'interprétation qu'en fait Sharlto Copley permettent au personnage d'être très vivant. Si tout le casting est au rendez-vous, et heureusement vu les noms présents (Hugh Jackman, Dev Patel, Sigourney Weaver, etc...), le robot est pourtant celui qui capte le plus notre attention à l'écran. On s'attache assez vite à lui, son innocence nous permettant rapidement de nous identifier. C'était pourtant un pari risqué de faire de son héros une machine, car cela aurait pu être particulier à vivre pour le spectateur, si le résultat n'avait pas été au rendez-vous sur ce point-là. Mais pour le coup, Neil Blomkamp, en plus d'être à l'aise avec sa caméra, a parfaitement réussi le pari de le rendre attachant. Grâce à cela, il a pu y intégrer toutes les thématiques propres au film, toutes tournées autour de la question "relation homme/machine". Des discours déjà vus certes, mais qui prennent d'autres tournures dans le contexte de ce film. On sent une véritable intention de proposer un film qui apporte de la nouveauté, ne serait-ce que par le lieu de l'intrigue. C'est assez dépaysant de voir ce genre d'endroits dans un décor futuriste. Cette idée donne un cachet vraiment sympathique, qui marque vraiment. Le long-métrage est donc une grosse réussite, avec laquelle ont a été un peu trop dur. Visuellement, le film est réussi, la musique d'Hans Zimmer fonctionne, le casting est au top et l'écriture du film traite des sujets particulièrement intéressants. Que vous faut-il de plus ? Pour conclure, un film beaucoup trop sous-estimé par rapport à ce qu'il est réellement.
    Kalie
    Kalie

    63 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    Je voulais absolument voir ce film car j'avais beaucoup aimé le "District 9" du même réalisateur. De plus, les films de SF comme "Robocop" constituent mon genre préféré. Je n'ai pas été déçu malgré les défauts évidents du film ( spoiler: les voyous/parents adoptifs de notre robot sont caricaturaux jusqu'au ridicule, certaines scènes d'apprentissage de Chappie
    relèvent presque de la comédie). Mais le réalisateur se rattrape largement avec un début de réflexion sur l'éthique (la confrontation entre spoiler: le savant athée et le militaire croyant qui est contre l'intelligence artificielle
    ). Le film va même encore plus loin dans le domaine de spoiler: la conscience humaine
    ... rien de moins !
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    41 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Toujours futuriste et avant-gardiste, Neill Blomkamp nous propose ici sa vision d'un monde dirigé par une intelligence artificielle capable d'être humaine. Inspiré sans doute de Robocop on y reconnaît largement la patte et la fibre qui ont fait le succès de district 9. La corde sensible en plus quand on voit grandir ce robot.
    Juliano
    Juliano

    16 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2018
    Grâce à l’intelligence artificielle, l’évolution entre dans une ère nouvelle : la postérité va dépendre de la conscience des moutons noirs.
    Marvelll
    Marvelll

    89 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2015
    Émouvant, stressant, drôle et fun, Chappie est un très bon film. Un Real Steel plus adulte, pourrait-on dire. Une comparaison parfaite car, en plus, il y a aussi Hugh Jackman. Malheureusement, le fait qu’il recopie autant la concurrence l’empêche d’être plus. Quoiqu’il en soit, il prouve que Neill Blomkamp n’était pas l’homme d’un seul film
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    708 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Chappie, moins puissant que District 9 mais plus réussi que Elysium est une brillante et touchante étude de l'intelligence artificielle. Porté par l'ambiguïté de Die Antword, Chappie est un film sur le développement intellectuel, sensitif et émotionnel d'une intelligence artificielle vierge. Un enfant qui grandit dans un corps métallique, une vision enrichissante et bienveillante du moi interne, de la définition d'un être humain pas ses actes et ses pensées plutôt que par son apparence. Blomkamp est à suivre de prêt.

    https://m.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mars 2015
    Quel excellent film j'ai trouvé et pourtant à la base ce n'est pas vraiment le genre que j'apprécie.
    Mais il faut bien reconnaître que c'est un très bon divertissement.
    Et puis j'ai adoré ce Chappie si mignon, intelligent, drôle, attachant, courageux...
    Bigseb13
    Bigseb13

    12 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Fan absolu de district 9 et Elysium j'attendais avec impatience se chappie...
    Et je n'est pas étais déçu. L'univers visuel du réalisateur et bien présent , tout et réuni : action , humour et moment touchant !
    On et bleufé de voir se robot prendre vie avec autant de réalisme !
    Cela m'a fait pensé au film Johnny 5 en sont temps !!!
    Une véritable réussite.
    I Fucking Like Movies
    I Fucking Like Movies

    33 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2015
    La caméra bien inspirée et référencée de Blomkamp traduit en image et au millimètre ce qu'il veut nous montrer.
    Son style (très jeux vidéos) de réalisation rend le film extrêmement immersif et son goût pour les détails multiples et très stylisées ne feront qu'augmenter son fanclub. Les autres pourront apprécier un très bon divertissement, fun et humain qui revisite l'éternel thème de l'IA.
    Et puis il y a son acteur fétiche Sharlto Copley sir lequel il n'y a plus rien à dire.
    Chappie n'a pas le potentiel de District 9 (duquel il s'inspire beaucoup, tout comme de Robocop) mais surpasse le soi-disant "raté" Elysium.
    Et Blomkamp peut faire encore mieux, aucun doute là-dessus.
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