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Votre avis sur Chappie ?
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On attends toujours la confirmation du réalisateur qui avait accouché du génial et excellentissime "District 9".
La déception avait déjà été de mise avec son second film "Elysium" qui était bâclé malgré un énorme potentiel.
Le constat pourrait être le même pour "Chappie". En dépit d'une mise en scène virtuose et de qualités visuelles évidentes qu'il entretient film après film, étant même devenu le style "Blomkamp", le cinéaste choisit d'orienter son film vers le spectacle familial décérébré où l'humour et les bons sentiments sont omniprésents.
De par ce choix narratif, il sacrifie les thèmes de l'intelligence artificielle et de la robotique qui sont à peine exploités, et qui aurait été extrêmement intéressant de voir développer dans ce futur, notamment du point de vue sociologique et philosophique.
Le scenario est également en deçà des attentes et demeure très prévisible. Tout comme la drôle d'idée d'offrir une trop grande place dans l'histoire aux personnages des gangs qui plombent le film par une interprétation calamiteuse et une omniprésence exaspérante .
Les autres personnages n'en sont pas moins inintéressants malgré la présence de Hugh Jackman. Tellement lisses et manichéens qu'ils enlèvent toute crédibilité au propos.
Quant à Chappie, il est le seul véritable intérêt du film sans être non plus exploité à sa juste valeur.
Au final, il est très regrettable qu'un réalisateur qui avait su marquer le genre de sa griffe et possédant de réelles qualités de mise en scène et d'une vision fidèle de film en film d'un futur ancré dans le réel, gâche ce talent au profit d'un scenario consensuel destiné à remplir les salles.
Espérons qu'il n'en sera pas de même pour le prochain "Alien".
La déception avait déjà été de mise avec son second film "Elysium" qui était bâclé malgré un énorme potentiel.
Le constat pourrait être le même pour "Chappie". En dépit d'une mise en scène virtuose et de qualités visuelles évidentes qu'il entretient film après film, étant même devenu le style "Blomkamp", le cinéaste choisit d'orienter son film vers le spectacle familial décérébré où l'humour et les bons sentiments sont omniprésents.
De par ce choix narratif, il sacrifie les thèmes de l'intelligence artificielle et de la robotique qui sont à peine exploités, et qui aurait été extrêmement intéressant de voir développer dans ce futur, notamment du point de vue sociologique et philosophique.
Le scenario est également en deçà des attentes et demeure très prévisible. Tout comme la drôle d'idée d'offrir une trop grande place dans l'histoire aux personnages des gangs qui plombent le film par une interprétation calamiteuse et une omniprésence exaspérante .
Les autres personnages n'en sont pas moins inintéressants malgré la présence de Hugh Jackman. Tellement lisses et manichéens qu'ils enlèvent toute crédibilité au propos.
Quant à Chappie, il est le seul véritable intérêt du film sans être non plus exploité à sa juste valeur.
Au final, il est très regrettable qu'un réalisateur qui avait su marquer le genre de sa griffe et possédant de réelles qualités de mise en scène et d'une vision fidèle de film en film d'un futur ancré dans le réel, gâche ce talent au profit d'un scenario consensuel destiné à remplir les salles.
Espérons qu'il n'en sera pas de même pour le prochain "Alien".
Film de SF qui traite des IA. Techniquement les effets spéciaux sont là, néanmoins le jeu d'acteur est pas transcendant, il fait le boulot mais sans plus. Le scénario est un peu niais, surtout si on le compare à d'autres (Ex Machina).
En dépits de tout ça, il reste un bon film de SF, dans lequel on ressent clairement le passé du réalisateur (District 9 et Elysium), ce qui a le mérite de tuer son peu d'originalité.
En dépits de tout ça, il reste un bon film de SF, dans lequel on ressent clairement le passé du réalisateur (District 9 et Elysium), ce qui a le mérite de tuer son peu d'originalité.
Sorti de la salle je ressors avec un petit goût d'inachevé ! Le film est trrs bien fait effets spéciaux histoire acteurs tout est bien dosé mais il manque de l'action ! Ca bouge vers la fin mais il y a a mon gout un grand manque d'action cela reste néanmoins un tres bon film !
Neil Blomkamp, maître de la fiction, nous dévoile là son nouveau bijou appelé Chappie. Une véritable pépite à l'histoire original mêlant à la fois cette fiction sous un sentiment de réalisme approfondi. L'histoire prend des conséquences inattendues, venant même à émouvoir le spectateur grâce à l'attachement improbable auquel s'imprègne ce dernier sur le robot Chappie. Le film ne manque également pas d'action lors d'affrontement spectaculaires sous un déluge d'effets spéciaux à couper le souffle. Le film fait preuve d'un suspens colossal du début à la fin, malheureusement le choix scénaristique sur cette fin de film laisse un peu à désirer et aurait pu être plus abouti. L'ambiance du film est absolument génial et colle parfaitement aux séquences proposés, les musiques sont excellentes et le rythme est effréné.
De la science fiction comme je l'aime, à voir !
De la science fiction comme je l'aime, à voir !
Dans un monde futuriste, pas si lointain, deux ingénieurs s'opposent pour que leur projet de policiers robots soit retenu par la police de Johannesburg. On pense tout de suite à Robocop.
Avec un casting hétéroclite : Dev Patel (que l'on avait découvert avec le rôle principal dans Slumdog millionaire), Hugh Jackman, Sigourney Weaver ou encore Ninja et Yolandi membres du groupe musical sud africain Die antwoord (dont plusieurs chansons apparaissent dans la B.O.)
Bon scénario avec ce robot apprenant à devenir un humain ayant un bon fond. Techniquement bien fait (ce robot Chappie étant joué par l'acteur Sharlto Copley qui était déjà présent dans les films précédents du réalisateur Blomkamp (District 9 et Elysium) , de bonnes scènes d'action.
Avec un casting hétéroclite : Dev Patel (que l'on avait découvert avec le rôle principal dans Slumdog millionaire), Hugh Jackman, Sigourney Weaver ou encore Ninja et Yolandi membres du groupe musical sud africain Die antwoord (dont plusieurs chansons apparaissent dans la B.O.)
Bon scénario avec ce robot apprenant à devenir un humain ayant un bon fond. Techniquement bien fait (ce robot Chappie étant joué par l'acteur Sharlto Copley qui était déjà présent dans les films précédents du réalisateur Blomkamp (District 9 et Elysium) , de bonnes scènes d'action.
Impression d'un loupé qui aurait pu être pourtant une vrai tuerie. Clairement, il y a un problème de ton...parfois très terre à terre et réaliste, sans prévenir ça passe à l'humoristique ou à de la SF d'ordre fantastique (la plupart des éléments sont de la SF crédible et proche de nous contrairement à d'autre qui paraissent juste improbable). Ces cassures de ton posent un vrai problème au visionnage (ça m'a fait véritablement sortir du film...heureusement que la réalisation et le rythme de montage m'ont permis de rester un peu scotché devant). A celà il faut donc ajouter un scénario en carton porté par des personnages stéréotypé et un méchant affligeant et cliché. Dommage il y a pourtant plein d'élément qu'on avait jamais vu pour aborder la robotique comme l'apprentissage du robot dans un contexte social particulier ou le fait qu'on ne se repose pas sur les lois de la robotique. Sans parler des raccourcis effectués dans le scénario et auquels on ne crois absolument pas....
spoiler:
stocker un système neuronal sur une clef usb???? avoir un casque neuronal qui pompe des data sur la tete d'un robot??? qui n'a pas de cerveau??? on est sérieux là?? à la limite ils aurait pu brancher le robot ça aurait été plus crédible
. Bref dommage. Pourtant il y a une réalisation de qualité...c'est beau sur la forme donc...mais le fond est décevant.
. Bref dommage. Pourtant il y a une réalisation de qualité...c'est beau sur la forme donc...mais le fond est décevant.
Un film intéressant, déjanté, qui traite peut-être moins de robotique que d'éducation et de la société sud-africaine.
Une critique plus détaillée et d'autres sur
Une critique plus détaillée et d'autres sur
Jeu des acteurs limite mais Chappie reste un film dynamique et quelques passages sont très drôles.
Le Blog Du Cinéma
(...) Comme avec District 9, Neill Blomkamp réalise un film de science-fiction dont l’intrigue se base sur une réalité. District 9 reprenait le thème de la xénophobie et de l’apartheid en Afrique du Sud, dont les victimes étaient des créatures extra-terrestres. Avec CHAPPIE la criminalité et le pouvoir des forces de l’ordre apparaissent en toile de fond. On retrouve le style documentaire toujours aussi intéressant de Blomkamp qui cherche à rendre sa fiction la plus crédible possible. C’est pourquoi le réalisateur adapte sa mise en scène, classique dans son ensemble, en y greffant un peu de found footage quand il s’agit du regard des médias sur les interventions policières, et en passant à une caméra à l’épaule dans ses scènes d’actions. Il en va de même pour le design très actuel des androïdes SCOUT, parfaits robots-humanoïdes dont fait partie Chappie (incarné en motion-capture par Sharlto Copley), qui contrastent avec l’imposant ORIGINAL, seconde machine destinée à aider la police. L’allure et la gestuelle de celle-ci rappellent d’ailleurs à s’y méprendre le Metal Gear, arme fictive apparue dans la saga de jeux vidéo Metal Gear Solid créee par Hideo Ko-jima. Le tout se déroule en grande partie entre la société et l’usine de fabrication des machines, et des décors délabrés et en ruine proches des bidonvilles de District 9. Une façon de montrer avec finesse l’opposition entre la majorité de la population pauvre et criminelle, et une minorité plus aisée (...
L'intégralité de notre critique, sur Le Blog du Cinéma
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Le film n'est pas mauvais mais il est assez particulier.
spoiler:
Ce sont les méchants qui dominent tout le long. On nous fait comprendre petit à petit qu'ils ont un bon fond et qu'ils ne sont pas si méchants que ça par rapport à d'autres gros méchants. Ce sont donc les "héros" du film dans le sens où on ne voit quasiment qu'eux à l'écran.
Il faut que ça plaise, une fois qu'on est dedans, le film se regarde plus aisément..
Il faut que ça plaise, une fois qu'on est dedans, le film se regarde plus aisément..
Sur la forme, le film est très sympa en terme d'effets spéciaux, de fluidité de l'image, des scènes d'actions, mais c'est surtout sur le fond que cette histoire est décoiffante : la naissance de la conscience est un thème intéressant et très bien rendu dans le scénario.
"Chappie", réalisé par Neill Blomkamp et sorti en 2015, se positionne comme une œuvre de science-fiction qui tente de fusionner des éléments de réflexion philosophique avec une action trépidante, mais dont l'exécution laisse à désirer.
L'intrigue se déroule à Johannesburg, dans un futur proche où la criminalité galopante pousse la police à employer des robots pour maintenir l'ordre. Ces robots, appelés Scouts, sont l'invention de Deon Wilson (Dev Patel), un ingénieur brillant qui développe une intelligence artificielle sophistiquée. L'histoire prend un tournant lorsque Deon, enlevé par des criminels, insère cette intelligence dans une carcasse de robot qu'il a récupérée. Ce robot, nommé Chappie, commence son existence avec la curiosité et l'innocence d'un enfant, et doit naviguer dans un monde hostile tout en apprenant des valeurs morales contradictoires des criminels et de son créateur.
La réalisation de Blomkamp, visuellement marquée par une esthétique brute et réaliste, évoque son succès précédent "District 9". Cependant, "Chappie" souffre d'une narration inégale et d'un ton déséquilibré. L'incorporation du duo de rap-rave sud-africain Die Antwoord, incarnant des versions exagérées d'eux-mêmes, ajoute une touche unique mais déroutante, oscillant entre la caricature et le sérieux.
Les thèmes explorés dans "Chappie" - la nature de la conscience, l'impact de l'environnement sur l'identité, et les limites de la morale humaine - sont ambitieux. Pourtant, le film peine à approfondir ces questions. Les scènes d'action, bien que visuellement impressionnantes grâce aux effets spéciaux et à la capture de mouvement réalisée par Sharlto Copley, prennent souvent le pas sur le développement thématique, rendant le film plus superficiel qu'il ne le devrait.
Le personnage de Vincent Moore, interprété par Hugh Jackman, incarne l'antagoniste avec une motivation relativement clichée, souhaitant détruire les Scouts pour promouvoir son propre projet de robot militaire, Moose1. Cette opposition manichéenne simplifie l'intrigue à l'excès, réduisant les conflits potentiels à une lutte de pouvoir stéréotypée.
La bande sonore de Hans Zimmer, bien que puissante, ne parvient pas toujours à compenser les faiblesses scénaristiques. Certaines séquences bénéficient d'un accompagnement musical émouvant, mais d'autres sont plombées par des choix de montage peu inspirés, rendant l'expérience parfois inégale.
En termes de production, "Chappie" bénéficie de décors convaincants et d'une direction artistique soignée. La ville de Johannesburg est filmée de manière à mettre en valeur son caractère brut et ses tensions sociales, ce qui ajoute une couche de réalisme appréciable au récit.
En conclusion, "Chappie" est un film qui, malgré son potentiel et ses moments de brillance visuelle, échoue à créer une cohésion suffisante entre ses idées philosophiques et son action. Le mélange des genres et des tonalités laisse une impression mitigée, reflétant une œuvre ambitieuse mais imparfaite. Tandis que les amateurs de science-fiction pourraient y trouver des éléments intéressants, le film reste une tentative audacieuse qui n'atteint pas entièrement ses objectifs.
L'intrigue se déroule à Johannesburg, dans un futur proche où la criminalité galopante pousse la police à employer des robots pour maintenir l'ordre. Ces robots, appelés Scouts, sont l'invention de Deon Wilson (Dev Patel), un ingénieur brillant qui développe une intelligence artificielle sophistiquée. L'histoire prend un tournant lorsque Deon, enlevé par des criminels, insère cette intelligence dans une carcasse de robot qu'il a récupérée. Ce robot, nommé Chappie, commence son existence avec la curiosité et l'innocence d'un enfant, et doit naviguer dans un monde hostile tout en apprenant des valeurs morales contradictoires des criminels et de son créateur.
La réalisation de Blomkamp, visuellement marquée par une esthétique brute et réaliste, évoque son succès précédent "District 9". Cependant, "Chappie" souffre d'une narration inégale et d'un ton déséquilibré. L'incorporation du duo de rap-rave sud-africain Die Antwoord, incarnant des versions exagérées d'eux-mêmes, ajoute une touche unique mais déroutante, oscillant entre la caricature et le sérieux.
Les thèmes explorés dans "Chappie" - la nature de la conscience, l'impact de l'environnement sur l'identité, et les limites de la morale humaine - sont ambitieux. Pourtant, le film peine à approfondir ces questions. Les scènes d'action, bien que visuellement impressionnantes grâce aux effets spéciaux et à la capture de mouvement réalisée par Sharlto Copley, prennent souvent le pas sur le développement thématique, rendant le film plus superficiel qu'il ne le devrait.
Le personnage de Vincent Moore, interprété par Hugh Jackman, incarne l'antagoniste avec une motivation relativement clichée, souhaitant détruire les Scouts pour promouvoir son propre projet de robot militaire, Moose1. Cette opposition manichéenne simplifie l'intrigue à l'excès, réduisant les conflits potentiels à une lutte de pouvoir stéréotypée.
La bande sonore de Hans Zimmer, bien que puissante, ne parvient pas toujours à compenser les faiblesses scénaristiques. Certaines séquences bénéficient d'un accompagnement musical émouvant, mais d'autres sont plombées par des choix de montage peu inspirés, rendant l'expérience parfois inégale.
En termes de production, "Chappie" bénéficie de décors convaincants et d'une direction artistique soignée. La ville de Johannesburg est filmée de manière à mettre en valeur son caractère brut et ses tensions sociales, ce qui ajoute une couche de réalisme appréciable au récit.
En conclusion, "Chappie" est un film qui, malgré son potentiel et ses moments de brillance visuelle, échoue à créer une cohésion suffisante entre ses idées philosophiques et son action. Le mélange des genres et des tonalités laisse une impression mitigée, reflétant une œuvre ambitieuse mais imparfaite. Tandis que les amateurs de science-fiction pourraient y trouver des éléments intéressants, le film reste une tentative audacieuse qui n'atteint pas entièrement ses objectifs.
Non, non, non, pas de quartier !
Apres un "District 9" tres haut, un "Elysium" bien moyen voila un "Chappie" vraiment bas !
Au summum, du film on trouve non pas un robot debilos a souhait, ni des racailles punks insipides, et encore moins un gringallet prometteur mais deguisé en geek raté. Moi j'y vois un "Sony VAIO".
Ce fameux Sony Vaio, arrive a lui tout seul a transferer un conscience humaine dans un corp robotique. Là je dis STOP, arnaque, scandale. Ce film ne vaut rien. Quel gachi d'un bon scenario melangé avec tout et n'importe quoi, expedié comme un chiffon a la poste.
Le realisateur ne maitrisait meme pas le sujet, il voulait juste gravé sa special-touch sur l'ecran, du coup ca fait des chocapics, ou sont 2e echec.
Je regrette amerement le gachi honteux de 3 excellents acteurs, pour juste ca.
Le film entier a été mal exploité, alors que ca aurait pu etre prometteur. On en retient RIEN.
J'attend toujours de trouver la partie S.F, et d'ici là ce navet sera classé dans la partie patchwork.
Apres un "District 9" tres haut, un "Elysium" bien moyen voila un "Chappie" vraiment bas !
Au summum, du film on trouve non pas un robot debilos a souhait, ni des racailles punks insipides, et encore moins un gringallet prometteur mais deguisé en geek raté. Moi j'y vois un "Sony VAIO".
Ce fameux Sony Vaio, arrive a lui tout seul a transferer un conscience humaine dans un corp robotique. Là je dis STOP, arnaque, scandale. Ce film ne vaut rien. Quel gachi d'un bon scenario melangé avec tout et n'importe quoi, expedié comme un chiffon a la poste.
Le realisateur ne maitrisait meme pas le sujet, il voulait juste gravé sa special-touch sur l'ecran, du coup ca fait des chocapics, ou sont 2e echec.
Je regrette amerement le gachi honteux de 3 excellents acteurs, pour juste ca.
Le film entier a été mal exploité, alors que ca aurait pu etre prometteur. On en retient RIEN.
J'attend toujours de trouver la partie S.F, et d'ici là ce navet sera classé dans la partie patchwork.
Pas mal mais en dessous des précédentes réalisation de Neill Blomkamp il y a des passages maladroits que j'aurai plutôt attribué à un réalisateur débutant. Le scénario s'avère lui aussi un peu juste et par exemple le passage sur l'éducation du robot est franchement mauvais même s'il y a le coté humoristique et l'idée de rendre le robot encore plus attachant.
Quelques faiblesses donc mais ça vaut largement un robocop et puis il y a la présence de nouvelles têtes marquantes avec les membres du groupe Die Antwoord.
Quelques faiblesses donc mais ça vaut largement un robocop et puis il y a la présence de nouvelles têtes marquantes avec les membres du groupe Die Antwoord.
Un film -12 assez violent effectivement mais avec beaucoup de qualités sur le thème des robot et de l'IA. Des sortes d'anti-héros dans une atmosphère sinistre et au milieu le contraste du robot avec une conscience. On n'y croit pas vraiment mais cela reste une fable bien rythmée et avec des surprises car s'il y a des personnages très clichés l'ensemble du film y surnage grâce à son fond qui sort des sentiers battus. Le cœur de l'âme
spoiler:
le robot ayant lui même une âme !
est au centre du film qui s'oppose aux formalismes : sociétal, militariste et capitaliste. J'apprécie ce virage des anti-héros qui deviennent sympathiques. L'esthétique du film aussi sur son scénario est bien adaptée et maîtrisé. Avec la démonstration de noirceur et la superficialité dans le parallaxe qui fait évoluer le récit spoiler: l'âme même du robot, irréalisme, a une pureté irréaliste
le message du film est trop commun et en même temps trop subtil l'un et l'autre. Pour être juste subtil il lui aura manqué des points d'appui crédibles et une perspective un peu plus large et créative.
est au centre du film qui s'oppose aux formalismes : sociétal, militariste et capitaliste. J'apprécie ce virage des anti-héros qui deviennent sympathiques. L'esthétique du film aussi sur son scénario est bien adaptée et maîtrisé. Avec la démonstration de noirceur et la superficialité dans le parallaxe qui fait évoluer le récit spoiler: l'âme même du robot, irréalisme, a une pureté irréaliste
le message du film est trop commun et en même temps trop subtil l'un et l'autre. Pour être juste subtil il lui aura manqué des points d'appui crédibles et une perspective un peu plus large et créative.
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