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Votre avis sur Chappie ?
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Un film malheureusement sans surprise ni originalité, qui recycle l'un des thèmes les plus passionnant (et les plus illustré) de la SF : l'intelligence artificielle. On passera donc sur le petit air de déjà vu de ce néo-Robocop croisé avec La planète des singes (pour ne citer que ces deux là) pour s’intéresser au résultat final. Et il est plutôt plaisant, ce résultat, malgré les facilités scénaristiques et la quasi absence d'écriture de 3 personnages importants (les 3 têtes d'affiches : les scientifiques joués par Dev Patel et Hugh Jackman et la femme d'affaire interprétée par Sigourney Weaver). Malgré une certaine paresse écriture donc, on passe un bon moment. D'abord parce que Neil Blomkamp réussit à créer une mythologie qui va au delà de l'histoire elle même, grâce à cette esthétique et cette réalisation particulière, ultra réaliste, qui d'une certaine manière rattache ce film à District 9, créant un véritable univers cohérent qu'on a envie d'explorer. Ensuite parce que c'est bien foutu, tout simplement. Le scénario (en 4 actes) est prévisible et ultra classique mais plaisant à suivre malgré tout, grâce à des personnages atypiques bien écrits, qui vont se révéler plus humain grâce à la présence de ce robot qui essaye de le devenir. Et bien sur grâce au robot lui même, parfaitement réussit et touchant la corde sensible façon Jhonny 5 dans Short Circuit (ou Caesar dans la planète des singes : les origines - qui partage d'ailleurs le même écueil pur les personnages secondaires pas développés), et dont on s'amuse vraiment à suivre l'évolution, d'enfant farouche à adolescent influençable cherchant des repères et une identité, et dont la candeur et l'envie de faire plaisir finit par l’entraîner sur un terrain où il ne se plait pas, le confrontant alors à ses choix et leurs conséquences. Et c'est vraiment dans cette évolution du Robot que le film marque des points et crée un univers convainquant, donnant envie de savoir plus, de voir cet adolescent devenir un adulte, et découvrir de quelle manière il influencera le monde...
Après l'excellent "District 9" et le moins abouti "Elysium", Neill Blomkamp revient avec "Chappie", un film de SF bien plus intelligent qu'il n'y paraît au premier abord. En effet, derrière l'aspect très caricatural des délinquants du film, le côté bourrin des rares scènes d'action (bien filmées cependant) et les 2-3 bizarreries scénaristiques
spoiler:
(Vincent menace Deon en plein boulot avec une arme; Deon est à la tête d'un projet scientifique en lien avec la police et n'est pourtant pas protégé; la coiffure de Hugh Jackman, on en parle?)
, le film utilise Chappie pour offrir une vraie belle réflexion sur l'opposition entre le robot-esclave (comme l'Orignal de Vincent) et l'IA (de Deon), avec en toile de fond un Chappie qui sert de miroir à la nature humaine. Il met en avant par exemple que l'Homme décide si le robot est gentil spoiler: (Deon veut éduquer Chappie)
ou méchant spoiler: (l'Orignal utilisé à des fins meurtrières, les truands qui apprennent à Chappie à tirer)
, ou bien crée tout autant qu'il détruit spoiler: (Chappie est l'oeuvre de Deon, Vincent détruit les robots de Deon d'un clic)
. Si le ton comique de certains passages peut dérouter en cours de route, il reflète parfaitement la dualité enfant/adulte sur l'appréhension de la violence spoiler: (les adultes corrompent Chappie (vol de voitures, tir, tenue gangsta (médaille et allure)), lui sauve sa mère grâce à sa conscience conservée; les adultes tirent sur tout ce qui bouge, Chappie réagit à la peinture et à la peluche poulet, et fait le perroquet)
et le devenir de l'Homme avec le temps spoiler: (il se prend à mentir et à devenir pourri avec l'âge)
, une spécificité qui se retrouve dans les nombreuses notions que Chappie acquiert au fil de ses aventures spoiler: (le pardon, l'existence de la mort, le questionnement de son créateur, le transfert de conscience et la différence entre le corps et l'âme)
. Pour aller plus loin, Chappie est aussi la représentation du racisme ambiant et du harcèlement, spoiler: puisqu'il est humilié et frappé car différent
. Globalement, le propos SF et humain de "Chappie" est donc satisfaisant, toutefois, je regrette que la question de confier la sécurité publique à des robots et des sociétés privées soit insuffisamment traitée spoiler: (seulement par le prisme des coupes budgétaires)
et que Blomkamp ne soit pas aussi descriptif sur son pays que dans "District 9", se contentant ici d'une maigre réflexion sur une ville de Johannesburg passant des très riches spoiler: (les voitures de luxe)
au très pauvres (les délinquants dans des entrepôts) en quelques mètres. Enfin, bien aidé par les prestations majuscules de Sharlto Copley et Dev Patel (Hugh Jackman est plus caricatural, on voit peu Sigourney Weaver) et les musiques d'Hans Zimmer et du groupe sud-africain Die Antwoord, "Chappie" délivre de beaux moments d'émotions (la fin est magnifique). Au final, "Chappie" est un objet SF pas comme les autres, certes imparfait, mais terriblement profond sur la nature humaine.
, le film utilise Chappie pour offrir une vraie belle réflexion sur l'opposition entre le robot-esclave (comme l'Orignal de Vincent) et l'IA (de Deon), avec en toile de fond un Chappie qui sert de miroir à la nature humaine. Il met en avant par exemple que l'Homme décide si le robot est gentil spoiler: (Deon veut éduquer Chappie)
ou méchant spoiler: (l'Orignal utilisé à des fins meurtrières, les truands qui apprennent à Chappie à tirer)
, ou bien crée tout autant qu'il détruit spoiler: (Chappie est l'oeuvre de Deon, Vincent détruit les robots de Deon d'un clic)
. Si le ton comique de certains passages peut dérouter en cours de route, il reflète parfaitement la dualité enfant/adulte sur l'appréhension de la violence spoiler: (les adultes corrompent Chappie (vol de voitures, tir, tenue gangsta (médaille et allure)), lui sauve sa mère grâce à sa conscience conservée; les adultes tirent sur tout ce qui bouge, Chappie réagit à la peinture et à la peluche poulet, et fait le perroquet)
et le devenir de l'Homme avec le temps spoiler: (il se prend à mentir et à devenir pourri avec l'âge)
, une spécificité qui se retrouve dans les nombreuses notions que Chappie acquiert au fil de ses aventures spoiler: (le pardon, l'existence de la mort, le questionnement de son créateur, le transfert de conscience et la différence entre le corps et l'âme)
. Pour aller plus loin, Chappie est aussi la représentation du racisme ambiant et du harcèlement, spoiler: puisqu'il est humilié et frappé car différent
. Globalement, le propos SF et humain de "Chappie" est donc satisfaisant, toutefois, je regrette que la question de confier la sécurité publique à des robots et des sociétés privées soit insuffisamment traitée spoiler: (seulement par le prisme des coupes budgétaires)
et que Blomkamp ne soit pas aussi descriptif sur son pays que dans "District 9", se contentant ici d'une maigre réflexion sur une ville de Johannesburg passant des très riches spoiler: (les voitures de luxe)
au très pauvres (les délinquants dans des entrepôts) en quelques mètres. Enfin, bien aidé par les prestations majuscules de Sharlto Copley et Dev Patel (Hugh Jackman est plus caricatural, on voit peu Sigourney Weaver) et les musiques d'Hans Zimmer et du groupe sud-africain Die Antwoord, "Chappie" délivre de beaux moments d'émotions (la fin est magnifique). Au final, "Chappie" est un objet SF pas comme les autres, certes imparfait, mais terriblement profond sur la nature humaine.
Nouveau prodige de la science-fiction depuis "District 9", Neill Blomkamp réalise avec "Chappie" un film bourré de bonnes idées mais qui souffre malheureusement d'un problème de personnages. En effet, à part Chappie en personne, robot et personnage principal du film, tous les autres personnages sont à la limite du cliché, n'existant que par un pan de leur personnalité. Bien évidemment, cette simplicité de caractères permet d'influencer Chappie, robot doté d'une intelligence artificielle qui se retrouve comme un gamin à son démarrage et de mieux exprimer le propos du film mais le fait est qu'elle rend l'ensemble bancal. Le seul acteur qui tirera son épingle du jeu, c'est Sharlto Copley, donnant vie avec justesse à Chappie grâce à la motion-capture. Touchant et émouvant, ce robot qui n'est finalement qu'un gamin, est la clé du film qui semble parfois hésiter dans la direction qu'il veut prendre. Là où "Chappie" est le plus réussi, c'est dans le message qu'il transmet sur l'importance de l'éducation des enfants et jusqu'où ils peuvent être influencés, que ce soit en bien ou en mal. Dans ce propos, Blomkamp trouve sa force mais dès qu'il s'en éloigne un peu, le film perd de son intérêt, redevenant efficace mais pas forcément passionnant.
Félix F
Chappie n'est pas à la hauteur de ce que j'attendais. Le niveau remonte par la présence du groupe Die Antwoord et la bande son, mais le scénario reste beaucoup trop simple et bancale à certain niveau, du moins de mon avis. Chappie est quand même un bon film de SF avec ces petits défauts qui ne l’empêche pas d'être appréciable.
Chappie s'avère être un bon film de science fiction. Il est émouvant, drôle, et remplit d'action. Concernant le scénario, Chappie s'en sort plutôt bien, sans pour autant sortir du lot.
il y a dans le nouveau film de Neill Blomkamp, un peu de , beaucoup de ses thèmes aussi mail il y plus encore. Si on passe le premier quart d'heure qui laisse à penser à un mauvais remake de , la suite est ludique autant que magique. Pour enfin Aimer Chappie tant ce robot initialement violent va devenir attendrissant, drôle, intelligent et profondément attachant.On retrouvera quelques acteurs qui ont déja joué pour N Blomkamp (Sharlto Copley,Brandon Auret vu dans District 9 et Jose Pablo Cantillo dans Elysium. On y retrouve aussi Sigourney Weaver, Hugh Jackman et Dev Patel ! C'est dire. Et pourtant la vedette c'est Chappie tant il vous séduira ! Ce malgré parfois une musique tonitruante. Comme si ET s'était mué en robot.
Evidemment influencé par Robocop, ce film trouve néanmoins sa voie. La personnification du robot est une belle réussite, aidée par des effets spécieux de qualité. Le petit gang de lascars fait un brin anachronique, mais ce qui est bien c'est que leur personnalité évolue au cours du film.
Un divertissement de meilleure qualité qu'attendu.
Un divertissement de meilleure qualité qu'attendu.
Après l'apartheid et lutte des classes, le nouveau film d'anticipation de Neill Blomkamp, prenant place dans une Afrique du Sud violente et opprimée par une police robotisée, aborde cette fois-ci le thème de l’intelligence artificielle... Bizarrement, je préfère largement celui-ci à District 9 et Elysium. Disons que je ne suis pas un grand fan des précédentes œuvres, aussi innovantes soient-elles, du réalisateur. Bien qu'assez appréciables pour leur scénario audacieux et leur mise en scène originale (style documentaire etc.), ces deux longs-métrages m'avaient laissé complètement indifférent, sans doute parce que j'avais du mal à m'attacher aux personnages ou à m’intéresser à l'intrigue. Avec Chappie, c'est exactement le contraire : la réalisation est très classique, le scénario est un peu laborieux (impressions de déjà-vu, facilités scénaristiques, résolution d'intrigue décevante...), mais ces défauts se font vite oublier, tant le film nous emporte émotionnellement. Cette réussite passe principalement par le robot Chappie, superbement animé et génialement interprété par Sharlto Copley, un personnage enfantin mais passionnant, et surtout très touchant. Ses "parents adoptifs" incarnés par les membres du groupe Die Antwoord, Yolandi Visser et Watkin Tudor Jones (qui jouent quasiment leur propre rôle), sont tout aussi attachants. Seul Sigourney Weaver et Hugh Jackman sont moins intéressants. La première n’apparaît que dans trois scènes et le second campe un méchant hyper stéréotypé au look complètement aberrant... Neill Blomkamp signe donc un film de science-fiction atypique et intelligent, dans la lignée de ses précédents, avec des personnages bien construits et des thématiques passionnantes (Johannesburg rongé par une guerre de gangs, nouvelles technologies, intelligence artificielle, notion d’humanité...). Loin d'être parfait, Chappie s'avère tout de même très émouvant (sans pour autant être niais) et divertissant, ce qui est déjà pas mal. On croise les doigts pour Alien 5 !
A vrai dire je suis un peu déçu par ce film qui n'égale pas les précédents films de Neil Blomkamp, le sujet est intéressant mais le scénario parait trop enfantin, on est dans de gros délire avec des gens de la rue disjonctés qui récupère le robot et
spoiler:
qui vont lui apprendre à parler et lui faire faire des braquages
. Le scénario du film manque de sérieux on se demande si on est pas dans un film pour enfant des fois. Les acteurs principaux tiennent leur rend mais ils ne sont pas exceptionnels. La fin m' a fait penser à la fin d'Avatar et de district 9, un bon petit copier/coller.
. Le scénario du film manque de sérieux on se demande si on est pas dans un film pour enfant des fois. Les acteurs principaux tiennent leur rend mais ils ne sont pas exceptionnels. La fin m' a fait penser à la fin d'Avatar et de district 9, un bon petit copier/coller.
Voici la critique vidéo de Short Circuit 2... euhhh que dis-je ? Chappie bien évidemment !
Donc oui c'est assez sympa, y'a de l'idée, graphiquement ça a de la gueule mais malgré que Die Antwoord fait de la bonne musique, on peut pas dire qu'ils savent vraiment jouer, ils sont crédibles une fois sur deux... Mais outre les bonnes idées ça reste banale et parfois on a clairement l'impression de voir Johnny 5 de Short Circuit 2, tant les scènes se ressemblent dans leur déroulement...
Les Critiques Critiquables - Chappie
Donc oui c'est assez sympa, y'a de l'idée, graphiquement ça a de la gueule mais malgré que Die Antwoord fait de la bonne musique, on peut pas dire qu'ils savent vraiment jouer, ils sont crédibles une fois sur deux... Mais outre les bonnes idées ça reste banale et parfois on a clairement l'impression de voir Johnny 5 de Short Circuit 2, tant les scènes se ressemblent dans leur déroulement...
Les Critiques Critiquables - Chappie
HamsterPsycho
Bien, sans plus. J'attendais mieux de Neill Blomkamp, après District 9 et Elysium. C'est principalement un film émotion, qui joue sur l'affect et assez peu sur la vraisemblance.
Rien que les personnages, ce sont des caricatures. Le personnage joué par Dev Patel n'a pas spécialement attiré ma sympathie (rien que le fait de cracher le morceau sans qu'on lui ait rien demandé dans le repère des gangstas...).
Restent une très bonne réalisation technique, et un certain don pour humaniser un robot dans ses mouvements et ses expressions. Le petit humour qui accompagne est assez sympathique également.
Rien que les personnages, ce sont des caricatures. Le personnage joué par Dev Patel n'a pas spécialement attiré ma sympathie (rien que le fait de cracher le morceau sans qu'on lui ait rien demandé dans le repère des gangstas...).
Restent une très bonne réalisation technique, et un certain don pour humaniser un robot dans ses mouvements et ses expressions. Le petit humour qui accompagne est assez sympathique également.
Film avec un coté humain qui manque à la plupart des films. A bien y réfléchir, c'est assez paradoxal d'avoir ce coté humain dans un film dans lequel le personnage principal est une machine. Également paradoxale d'éprouver autant d'empathie pour un robot.
Chappie est un film émouvant parsemé de violence; beau et sale à la fois, dans lequel le réalisme se mélange habilement avec l'anticipation.
Chappie est un film émouvant parsemé de violence; beau et sale à la fois, dans lequel le réalisme se mélange habilement avec l'anticipation.
Chappie reprend les codes de District 9 sans parvenir à l’égaler. L’ensemble est correct mais souffre de quelques longueurs et on a du mal à se prendre d’affection pour ce robot humanisé.
Retrouvez tous les détails sur TopSortieCine.fr
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Un film avec des robots policiers ? Puis centré sur un robot qui développe une conscience et une personnalité humaine ? Bah pourquoi pas j'ai envie de dire !! Alors que je m'attendais à rien en voyant ce film, j'ai quand même été pas mal impressionné par "Chappie". Alors ok, le coup du robot qui se prend pour un humain, c'est pas très original, et vu le titre et le synopsis du film, ça sentait un peu un film pour enfants à deux balles... Et ben qu'est-ce que je me suis gouré !!!!! Même s'il en a l'air, "Chappie" n'est pas du tout un film pour enfants. C'est un film d'intelligence artificielle bien écrit, qui peine à être original au début, mais qui avec le temps, fait un peu plus preuve d'innovation. On s'attache vraiment au personnage de Chappie, dont la personnalité évolue avec le temps. Il peut être à la fois drôle, sensible, violent et touchant, et vraiment ça en claque. Les acteurs sont à peu près tous bons, Dev Patel qui joue le père responsable fonctionne très bien, Hugh Jackman en méchant fait correctement le taf, Yolandi Visser marche aussi, Watkin Tudor Jones crédible dans son rôle. Sigourney Weaver, même si on la voit pas trop, joue bien aussi. Ce que je pourrais reprocher au film, ce sont les quelques petites facilités scénaristiques et le classicisme du scénario par moment. Par contre, je m'attendais pas à ce qu'il y ait de la violence, ça j'avoue que ça m'a surpris. Donc, "Chappie" c'est oui ! C'est un bon film ! Je sais pas s'il va marquer les esprits, mais moi en tout cas j'ai passé un bon moment devant et je le recommande, surtout pour ceux qui aiment l'intelligence artificielle.
Chappie joue sur deux tableaux : l’émotion et la violence. Certaines scènes d’actions sont vraiment décapantes, aussi bien dans le sens positif que négatif.
On s’attache à ce robot. Le contraire serait difficile. De nombreuses scènes sont remplies d’émotions notamment une en particulier où deux membres du groupe dépose Chappie parmi une bande de jeune. Cette maltraitance gratuite est horrible. Si on contextualise cette séquence à aujourd’hui, beaucoup de jeunes pourraient s’identifier à Chappie.
Par moments, on a l’impression que cela fait un peu brouillon mais ce n’est pas pour autant que l’on s’ennuie, loin de là. Il y a beaucoup de rythmes et de dynamisme. Le film recouvre de nombreux clichés, parfois mal menés. Une fin qui aurait pu être un peu mieux sur certains points. En voulant trop jouer sur la relation entre le robot, son créateur et Yo-Landi, le spectateur se perd un peu. La fin parait « trop » facile ou simpliste.
La bande originale est top, encore un bon boulot d’Hans Zimmer !
Le casting n’est pas trop mal en soi. Dev Patel serait celui qui s’en sortirait le mieux alors que les personnages de Yo-Landi et de Hugh Jackman seraient à la limite du ridicule.
On s’attache à ce robot. Le contraire serait difficile. De nombreuses scènes sont remplies d’émotions notamment une en particulier où deux membres du groupe dépose Chappie parmi une bande de jeune. Cette maltraitance gratuite est horrible. Si on contextualise cette séquence à aujourd’hui, beaucoup de jeunes pourraient s’identifier à Chappie.
Par moments, on a l’impression que cela fait un peu brouillon mais ce n’est pas pour autant que l’on s’ennuie, loin de là. Il y a beaucoup de rythmes et de dynamisme. Le film recouvre de nombreux clichés, parfois mal menés. Une fin qui aurait pu être un peu mieux sur certains points. En voulant trop jouer sur la relation entre le robot, son créateur et Yo-Landi, le spectateur se perd un peu. La fin parait « trop » facile ou simpliste.
La bande originale est top, encore un bon boulot d’Hans Zimmer !
Le casting n’est pas trop mal en soi. Dev Patel serait celui qui s’en sortirait le mieux alors que les personnages de Yo-Landi et de Hugh Jackman seraient à la limite du ridicule.
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