Avis : Chappie - Page 7

pour les amateurs du genre uniquement - scénario assez plat, d'où une absence de rebondissement, un peu d'ennui - les acteurs jouent bien, et sauvent le film - le petit robot est attachant

Décevant à plus d'un titre. Vulgaire avec une musique vraiment pourrie. Pourtant le synopsis est intéressant mais le réal n'a pas su mettre en place un film novateur et grand. C'est du coup un film de série B qui se regarde en se demandant à quel instant cela va être meilleur ? Les robots sont bien faits, le jeu des acteurs est pourri. On se demande ce que vient faire Sigourney dans ce film à part de la figuration...Les autres acteurs - à part le créateur - ne sont pas crédibles à mes yeux et se la jouent à la Mad Max sans atteindre jamais les chevilles d'un Mel Gibson.
Le seul truc vraiment novateur et presque drôle si il n'y avait pas la vulgarité, c'est de voir un robot se comporter comme un "gangsta" !

Effet spéciaux vraiment sympa , acteurs principaux crédible ... Mais le film ne m'a pas vraiment touché , il y a beaucoup de passage lent et sans intérêt . Mais bon les goûts et les couleurs .....

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Déception pour ma part. Un robot qui joue les gangster pendant 2h avec du placement de produit.
Le rôle du méchant, joué par H.Jackman est totalement niais. Il veut vendre un "robot" militaire à la police de Johannesbourg. Et pour cela il sème l'anarchie dans la ville, et se met à tuer de façon gratuite plusieurs personnes. Juste pour pouvoir vendre un robot de guerre.
L'idée de base est très mal exploitée à mon goût, je m'attentais à un robot en quête d'identité, et qui devrait franchir des obstacles pour s'affirmer, mais je n'ai vu qu'un robot cantonné au rôle d'un jeune voyou de A à Z, sans vraiment observer une évolution du personnage. C'est dommage !

J'avais apprécié district 9 et Elysium mais j'ai été quelque peu déçu par Chappie de Neill Blomkamp, un peu trop moralisateur et enfantin à mon goût, toutefois, les trucages et animations sont parfaites et les personnages crédibles. A voir si on a un moment de libre ou dans un avion.

Il est difficile de savoir dans ce déluge de finesse et de balourdise, ce qui définirait le mieux le film.
Chappie est un film bancal qui commence de façon intéressante, avec des questions existentielles et certaines scènes d'une finesses émotionnelles importantes mais qui fini rapidement par se noyer à cause de personnage secondaire trop étouffant.
Prendre les Die Antwoord était une idée intéressante, cependant dans un univers fictif on attend de ces personnages qu'ils n'aient peut-être pas le même nom que dans notre réalité, bonjour l'immersion. Passer ce problème, on ressent par moment une trop importante présence du groupe, gros plan sur des t-shirts à leurs effigies etc... Est-ce un film sur Die Antwoord ou bien un film sur l'intelligence artificielle et sa conscience ?
Vouloir parler de la conscience et en exposer sa vision, c'est très bien mais avec des traits aussi grossier que ceux là, quel dommage ! Ce bain de "gansta'" incessant est pénible et indigeste. On espérerait un peu plus de finesse et pas un travestissement constant pour les jeunes et les amateurs de Die Antwoord. On comprend mal où veux en venir Neil Blomkamp.
Reste une première partie honorable et stable et un Hugh Jackman parfaitement détestable en méchant ainsi qu'une bande original très bien composer et adapter aux films. Mention spécial également pour la direction artistique des robots(chappie).

J'avais apprécié district 9 et Elysium mais j'ai été quelque peu déçu par Chappie de Neill Blomkamp, un peu trop moralisateur et enfantin à mon goût, toutefois, les trucages et animations sont parfaites et les personnages crédibles. A voir si on a un moment de libre ou dans un avion.

Chappie (2015

Dans le futur proche, la police de Johannesburg est assistée par des escouades de robot policier. Un des robots déclassé suite à un accident servira de support de test pour un nouveau programme d’I.A.

Sans être novateur, ce pitch ayant déjà été utilisé dans le passé, Neill Blomkamp explore le thème de l’intelligence artificiel et de l’apprentissage de ce nouvel être, à la vision décrassée de tout préjugé. Malheureusement, l’histoire s’égare et ne reste pas assez bien concentré sur cette thématique. Nous sommes balancés sans but durant la majeure partie du film, voyant Chappie être trainé de-ci-de-là, sans pour autant l’influencer plus que ça. Et lorsque nous sommes finalement présentés, au troisième acte, face à la thématique importante et majeure que souhaitait aborder le réalisateur, on se dit « tout ça pour ça ?! ». Du coup, le premier thème est bâclé et très mal développé. Ça a même l’apparence d’une vision d’amateur vis-à-vis du sujet, traité avec autant de profondeur qu’un résumé de livre pour enfant. Ce développement est par ailleurs maladroit, effectuant allègrement des grands sauts narratifs brisant instantanément la logique du récit. Lorsque Chappie apprend et découvre le monde humain à la façon d’un jeune enfant, les plus nostalgiques se rappelleront immédiatement de Johnny 5 de « Short Circuit », mais le point de vue externe de ce jeune être naïf n’arrive pas à créer une étincelle de créativité. Il suit bêtement alors qu’il aurait pu remettre en question les structures communautaires au travers de quelques innocentes questions.
Un point qui me dérange plus personnellement est l’aplat de la personnalité donnée à Chappie. Son anthropomorphisme est troublant et en désaccord avec l’identité et l’image du personnage. Il est présenté à la base comme ayant un système d’exploitation de robot policier et nous les voyons se mouvoir tel des unités de forces spéciales. Ensuite, incohérence, il adopte spontanément un comportement de chien apeuré avec une conscience trop présente et instantanée de son corps, avec des attitudes et un comportement en contradiction avec les dires de son créateur.

Pourtant, Sharlto Copley incarne Chappie et lui confère une expression corporelle hors du commun, faisant attention à chaque petit mouvement. Lorsqu’il s’approche, chaque geste est calculé pour transmettre de la peur, de la curiosité ou de la satisfaction, à l’image d’un enfant ou d’un jeune débarquant fraichement dans une bande. Chappie est par ailleurs relativement attachant, de par son coté simple, mais également par les valeurs morales qu’il se créé.

Les autres personnages sont malheureusement typés au possible, servit par des jeux approximatifs.
J’avais l’impression que Dav Patel essayait de communiquer avec nous, d’une manière crypté ou avec un langage codé avec ses coups de sourcils. Un genre de morse ou un appel au secours ?
Le charmant Hugh Jackman en est au niveau de la caricature simplifié, incarnant Vincent Moore, le vilain de service tout droit sorti d’une bande dessiné ou d’un comics, cherchant uniquement à défendre son projet et mettant en danger toute la communauté pour son propre dessein, un peu à l’image spoiler: du Colonel Miles Quaritch dans Avatar.


La musique de Die Antwoord est sympa mais curieusement, il n’y a que des titres déjà connus et sortit depuis un moment déjà. En tout cas, je n’ai pas remarqué de nouvelles musiques.

Du côté de l’image, Blomkamp utilise son style caméra-à-l’épaule-proche-de-l’acteur-avec-un-effet-documentaire. Je m’y suis habitué, surtout que les effets spéciaux sont de qualité, transparent et servent l’histoire grâce une attention aux détails et à leurs bonnes intégrations à l’univers.

Le film est à l’image de son personnage. Trop ingénu dans son développement et sa réalisation que pour être intéressant.
5,5/10

Ayant vu District 9 puis Elysium, j'étais curieux de voir Chappie même si la bande annonce ne m'avait pas franchement convaincu. L'histoire commence pourtant bien et le scénario semble prometteur. Mais très vite cela vire à la caricature, pas aidé par les gangsters simplets jouant mal (j'ai découvert aujourd'hui qu'en fait ce sont des rappeurs dans la vraie vie...). Ne parlons pas de Hugh Jackman surjouant (mal) un méchant, visiblement pas habitué à ce rôle. Oubliant les caricatures et les multiples incohérences que reste-t-il? Un film d'action moyen (des scènes d'actions archi-vues, des robots déjà vus, une histoire et des personnages superficiels et des retournements prévisibles) où le seul intérêt réside dans Chappie (Sharlto Copley) et ses réactions improbables pour un robot. L'image et la bande son aussi sont sympas. Point.
Un divertissement sans doute mieux à voir au ciné qu'à la télé, quoique...

Je suis très déçu par ce film qui était très très prometteur. De part son réalisateur et de part sa thématique.
Mais au lieu de ça, nous avons un robot hyper réussi certes, mais à qui il n'arrive presque rien. La niaiserie en contradiction avec la violence de certaines scènes, et le très mauvais jeu d'acteur (Hugh Jackman ? Que fais-tu ?) viennent ternir définitivement les espoirs d'un grand film de science fiction dans le sillon du très bon District 9. Dommage !

Personnellement, je n'ai pas du tout accroché. Le scénario est banal à souhait, ce n'est franchement pas bien joué et les personnages sont tellement caricaturaux que c'en est parfois risible. Visuellement, c'est très bien fait, mais ça ne suffit pas, en ce qui me concerne...

Bien mais sans plus. Ce film m'a laissé cette impression qu'il se situe quelque part entre une parodie assumée de Robocop (celui de Verhoeven) et un clip promotionnel du groupe Die antwoord qui joue dans ce film.

Pas mal d'incohérence qui font penser que le scénario à été simplifié spoiler: (Ex: Chappie, n'a que le peu de connaissance qu'on a bien voulu lui transmettre pour faire un braquage mais il trouve tout à coup le moyen de transférer sa conscience...avec un casque électro-encéphalographique)
, le cliché du petit génie solitaire qui crée une I.A par ses propres moyens, des dialogues au ras des pâquerettes et des personnages parfois insupportable comptent parmis les points négatifs.

A la fin du film on remarquera que ce réalisateur, une fois encore, spoiler: transforme deux de ses personnages principaux (ici en robot).
Serait-il donc transhumaniste?

Grosse déception : ce film n’est ni plus ni moins qu’un « reboot » du film de Kenneth Johnson « Short circuit 2 » aussi appelé « Appelez-moi Johnny 5 » sorti en 1988, ce film étant lui-même une suite de « Short circuit » de John Badham, sorti en 1986. Ce dernier film (Short circuit) m’avais bien fait rire lorsque je l’avais visionné à l’époque ! La suite m’avait attiré lors de sa sortie en DVD, bien plus tard : je ne savais pas qu’il y avait eu une suite. J’ai donc acheté le DVD « Short circuit 2 » et ai apprécié le film. Lorsque « Chappie » est sorti en DVD, je l’ai acheté sachant que j’avais beaucoup apprécié deux précédents films de Neil Blompkamp (District 9 et Elysium). Mais quelle ne fut pas ma déception de constater que le scénario du film n’est qu’un plagiat littéral de « Short circuit 2 » ! spoiler: Spoiler : Même les scènes de démolition de Chappie sont des reproductions de celles de Jonhnny 5 dans short circuit 2, déclenchant chez le spectateur, un sentiment de révolte !
Bref, je suis déçu de Neil Blompkamp sur ce coup-là : il se repose sur ses lauriers et a joué sur la facilité. J’espère qu’il va se ressaisir dans ses prochains films. Je mets 2 étoiles pour ne pas décourager ceux qui veulent le voir sans avoir connu les deux films que j’ai cité plus haut et qui ont inspiré le scénario.

L'idée est bonne mais au final le scenario n'est pas assez travaillé, la fin n'est pas terrible mais la réalisation est bonne le montage aussi.
Bande son sympa, effets spéciaux nickel, des passages bien marrant, d'autre ennuyeux!
Un film que je n’achèterais pas pour étoffer le genre SF ma collection mais je ne regrette pas de l'avoir vue au ciné un dimanche matin en tarif réduit 4,80€.

Le postulat et l'histoire sont intéressant, mais le traitement est totalement ennuyeux. Ce n'est pas sans connaitre les précédents films de ce réalisateur que l'on peut constater que sa mayonnaise ne prends plus. Ce robot qui appelle "maman" et "papa" une bande de dégénérés "punks à chiens" sortis des plus mauvais films post-apocalyptique des années 80 est insupportable. Les trucages sur les robots sont plutôt bien faits, mais ne font pas oublier les sentiments humains larmoyants déjà si pénibles dans le cinéma américain. Déçu !