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    Chappie
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    3,7
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    866 critiques spectateurs

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    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2015
    la vision du monde d un robot candide dans un film familial mélangeant tout ce qui s'est déjà fait dans le genre, se regarde assez agréablement.
    Julien B.
    Julien B.

    9 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juillet 2015
    Des acteurs peu crédibles avec des rôles caricaturaux et sans nuances, ou alors grotesques (la "maman")!!
    Une vision de la conscience ridicule, ni scientifique ni onirique.
    Un film d'action qui ne s'assume pas, donc des longueurs.
    Bref, un naufrage largement surestimé, semble-t-il.
    Kyliann P.
    Kyliann P.

    59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Flippant et qui donne à réfléchir sur le futur robotique. Hugh très bon en méchant et une histoire triste qui prend au coeur.
    Marsars
    Marsars

    1 abonné 81 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Fable et film d'action, conte initiatique et épopée futuriste, Chappie est un peu de tout cela. Une oeuvre bâtarde, hybride, qui semble peiner à trouver son genre et qui demeure pourtant terriblement sincère et prenante dans ce qu'elle montre. Difficile de rester indifférent devant pareil film. À voir au moins une fois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Je met 4/5. Vu en famille, ce film nous a touchés et émus. Dans l'esprit de District 9 bien qu'un peu moins abouti, le film nous donne à réfléchir sur la question du vivant et du futur de notre monde qui sera sans aucun doute porté sur les humanoïdes vu la vitesse à laquelle la science robotique et la technologie avancent chaque année, et vu l'intérêt porté à ce domaine par les grandes puissances mondiales. Ceux qui se focalisent sur le côté un peu gangster décalé des protagonistes n'ont rien compris à l'idée du film. Comme quoi j'ai bien fait de ne pas me fier aux commentaires, une fois de plus.
    Je recommande, en plus les effets spéciaux sont supers.
    OCollus
    OCollus

    67 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Le postulat et l'histoire sont intéressant, mais le traitement est totalement ennuyeux. Ce n'est pas sans connaitre les précédents films de ce réalisateur que l'on peut constater que sa mayonnaise ne prends plus. Ce robot qui appelle "maman" et "papa" une bande de dégénérés "punks à chiens" sortis des plus mauvais films post-apocalyptique des années 80 est insupportable. Les trucages sur les robots sont plutôt bien faits, mais ne font pas oublier les sentiments humains larmoyants déjà si pénibles dans le cinéma américain. Déçu !
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juillet 2015
    Mon 1/5 vous a peut-être intrigué, puisqu'il s'adresse quand même à un Blomkamp, réalisateur porté aux nues avec District 9 et a priori loin d'être le premier tâcheron venu. Pourtant, je veux d'emblée préciser que cette note sans appel n'est en rien due à une envie haineuse de taper sur quelque chose que je n'aime pas et auquel je refuse de laisser sa chance. Sa chance, Chappie l'a eu. Il l'a laissé filer, tout simplement. Comme tout film de S-F, ce troisième film Neill Blomkamp séduit, agace, interpelle, révulse, fascine (...) surtout par des idées ponctuelles, des choix de traitement du synopsis de base, autant que par sa cohérence d'ensemble. C'est pourquoi (et aussi parce que Chappie ne m'a vraiment pas donné envie de procéder autrement) je me contenterai donc d'en parler par le biais d'un simple listing d'idées, bonnes ou mauvaises, mais tout à fait précises (attention aux spoilers). Au moment de faire les comptes, le bilan devrait être assez parlant comme ça, et cet avis s'en trouvera je l'espère clarifié. Commençons par les idées appréciables, les moments où Chappie m'a fait réagir - ce qui élimine déjà beaucoup de passages obligés auxquels donnent désormais droit tous les films sur l'intelligence artificielle - positivement. Sans chercher, je n'en compte que deux. Promis, pour ne pas tricher et donner une idée honnête de mon ressenti sans tirer vainement sur l'ambulance, je ne réfléchirai pas non plus à tous les éléments qui ont pu m'énerver. Quoi qu'il en soit, je compte tout de même deux passages réussis. Le premier, c'est le combat qui envoie Chappie à la casse, ce par quoi commencera son aventure en tant qu'entité consciente puisque c'est là que le personnage de Dev Patel pourra le récupérer pour tester son projet. Ce que j'ai très simplement aimé, c'est le ralenti (pour une fois, un ralenti n'est pas trop lourd et sert à autre chose qu'à surcharger l'image de pathos) qui montre Chappie recevoir la roquette qui devait mettre fin à son existence et qui en marquera en fait le réel début. Ce ralenti presque too much capte magnifiquement bien l'importance du moment, il marque une cassure nette et signifie assez poétiquement la naissance d'un être. J'ai trouvé ça fugacement beau, certes parce que je croyais encore que Neill Blomkamp était un gars un minimum subtil, mais aussi parce que cette image m'a fait l'effet d'un moment sacré, presque d'une prière, dans le sens de contemplation aveugle de quelque chose de plus grand ; en l’occurrence la vie. Deuxième moment plaisant ; la manière dont le créateur de Chappie mène à bien son envie de créer artificiellement une conscience : par un essai presque aléatoire dont il ne savait en rien qu'il allait fonctionner. J'avais l'impression de voir Blomkamp signer là un aveu de modestie, avouer que comprendre la vie et espérer en singer les formes était complètement vain. Mais ça, c'était avant que tout ne dérape. C'était avant, qu'il ne parte aux antipodes de mes pauvres espérances, et qu'il n'essaie avec toute la bonne foi du monde, sans second degré, de me faire avaler un récit où on transfère comme l'on veut sa conscience sur une clé USB - Luc Besson sort de ce corps. Le premier qui réussira à m'émouvoir, à traverser son film d'une étincelle de vie et de beauté véritable en résumant la conscience de ses personnages à un échange de données, il n'est pas encore né. Une preuve de plus que la subtilité et la profondeur ne sont pas le fort d'un réalisateur qui avait déjà auparavant, même si celle-ci est la plus grosse, multiplié les bévues. Par exemple, Chappie arrive à "lire" la conscience tissée par les câbles et les circuits qui composent son "cerveau" à l'aide d'un casque adapté à l'anatomie organique humaine. Si ça ne vous gêne pas, si voir de telles âneries à l'écran ne vous interpelle pas deux secondes, arrêtez la lecture ici, nous ne serons jamais d'accord. D'autres boulettes sont à noter, et désormais allons-y pêle-mêle, de façon aussi foutraque que le film : la "gangsta" qui s'humanise subitement grâce au développement de son instinct maternel, le sadisme de Hugh Jackman qui devient méchant par profit et goût de la notoriété mais se met évidemment entre temps à décapiter les gens par plaisir, Chappie qui trébuche après que des gosses l'aient caillassé - un robot n'est pas censé souffrir, soit il est endommagé et alors il ne fonctionne plus correctement soit il n'a rien et alors il marche tranquillement - oui c'est une métaphore, mais quelle subtilité ! Je note aussi l'écran de contrôle visible lorsque la caméra adopte le point de vue de Chappie en vue subjective, écran inutile puisque ce robot obéit à la voix et qu'il n'a en rien besoin de cela pour traiter une information. Une preuve de plus que Blomkamp préfère s'appuyer sur des images fortement liées à l'imaginaire S-F plutôt que de chercher le réalisme dont ne doit jamais se départir le genre, qui doit se tenir à des partis pris imaginaires de base mais ensuite s'y tenir. Peut-être que tout ceci vous apparaîtra comme un point de détail, mais ceux-ci s'agglutinent jusqu'à venir noyer Chappie sous une impression inévitable ; celle d'un gars qui poursuit avec acharnement une idée de départ qu'il est incapable de tenir sur la durée sans de nombreuses incohérences et un manque monstrueux de subtilité. La S-F aura souffert, cette année.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    Neill Blomkamp, réalisateur confirmé du prochain volet de la saga Alien, mais ça tout le monde le sait, revient en 2015 pour son troisième long-métrage, Chappie. Le réalisateur sud-africain, protégé d’un certain Peter Jackson, après avoir convaincu avec son District 9 et divisé avec son Elysium, est de retour avec un film finalement peu surprenant, tant dans le choix narratif que dans son esthétisme. Proche de ses travaux passés, sur le plan technique et visuel, Chappie est de ces films de Science-fiction qui s’affranchissent de l’esthétisme syndical imposée par les grands studios américains, préférant une mise en scène chaotique, inspirée notamment du jeu-vidéo et de la culture sud-africaine. Johannesburg est une nouvelle fois le théâtre d’une curieuse fable d’anticipation, cette fois-ci centrée sur les sujets de la robotique et de l’intelligence artificielle, certes des thèmes éculés mais plus ou moins novateurs dans le répertoire de Blomkamp. Oui, après les extraterrestres égarés dans les Townships et la déportation des nantis vers des cieux plus cléments, Chappie fait figure de nouveauté, de fausse nouveauté.

    Attirant pour l’occasion dans ses filets deux vedettes américaines, Sigourney Weaver, dont on ne comprend pas trop l’intérêt de son implication minime dans le projet, et Hugh Jackman, arborant une coupe mulet d’anthologie, sans compter sur la présence de Dev Patel, la révélation de Life of Pi, Neill Blomkamp voit les choses en grand. Le cinéaste, maintenant suivi par une troupe de fans, admirateurs de son travail, de son inventivité technique et visuelle, se permet une promenade de santé dans des décors quasiment similaires à ceux de ses deux films précédents, sans compter sur la participation de son acteur fétiche, Sharlto Copley, que l’on ne verra à l’écran que sous la forme du fameux drone. Le réalisateur déroule, livre une fable dans l’air du temps, s’appuyant sur des références par paquets de cent. Mais le public n’était-il pas en droit d’attendre d’avantage d’un metteur en scène qualifié de révolutionnaire?

    Certes, son Chappie est touchant, parfois presque enfantin, notamment dans les agissements de son héros mécanique, ce qui ne fût jamais le cas dans ses précédents travaux, plus sombres, mais l’effort est passablement vain. La signature visuelle des travaux de Blomkamp bouffe littéralement toute considération extérieure. Si j’apprécie fortement ses travaux sur la technique, les costumes et les effets visuels, la modélisation des drones est sublime, je ne peux que regretter l’absence d’évolution dans la carrière du réalisateur. Chappie, malgré une nouvelle thématique, pourrait parfaitement être qualité de troisième maillon d’une trilogie de science-fiction aux visuels similaires. Autant dire que l’on attend de pied ferme du renouveau pour le retour du plus célèbre des Xénomorphes, dans l’espace comme sur terre.

    Voilà donc un film que se laisse regarder, très facilement malgré une certaine naïveté scénaristique, mais qui n’est pas forcément à la hauteur de la petite révolution que fût District 9. Blomkamp ronronne comme un vieux chat, malgré sa jeunesse, épuisant quelques cartouches sans trop s’activer sur le champ de bataille, préférant en garder sous le pied en étant conscient de son étiquette de néo-réalisateur. S’inscrivant donc dans une lignée prédéfinie de nouveaux genre de films de SF, Chappie, malgré des costumes géniaux, des personnages loufoques et curieux, des scènes d’action sympathiques ainsi qu’un petit lot d’humour, peinera à trouver une quelconque indépendance, donc un vrai public. On attend mieux tout en ne se plaignant pas trop. 12/20
    Nnay_33
    Nnay_33

    7 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2015
    Bon film qui se laisse regarder devant la tv. le thème de l ia est intéressant mais il semblerait que le film va au delà de l ia en touchant Plutôt au social et à la différence de l autre. Bref à voir. attention spoil pour ceux qui l ont pas vu : Juste déçu par la fin et inimaginable pour le transfert de la fille alors que le Corp est inerte depuis plusieurs heures ... le thème de la conscience est mal abordé raison du 4× .
    MrCioL
    MrCioL

    1 abonné 62 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2015
    Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard mais l'ensemble est bien rythmé et les effets visuels sont très bons. L'animation de Chappie est particulièrement bluffante.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 juillet 2015
    Sympathique film d'action qui laisse à méditer sur l'intelligence artificielle qui perçoit des émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 juillet 2016
    Je suis vraiment étonné d'une telle note moyenne chez les spectateurs.
    Le film est nul : l'histoire est pas trop mal mais les acteurs sont nuls, le robot est niais de plus quel intérêt de prendre au casting l'excellente Sigourney pour lui donner un rôle aussi insignifiant, de même pour Hugh Jackman le prendre pour qu'il reste derrière un ordinateur ????
    Ce film est médiocre, je ne met pas 0 étoile parce que je pensais que 0,5 était le minimum et que je ne veux pas ré-écrire ma critique j'ai passé assez de temps sur ce film.
    Don-C
    Don-C

    12 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Non mais sérieux ?.. Surjeu des acteurs à gogo, personnages surfaits et vulgaires aux attitudes niaiseuses (qui est le directeur artistique ???), mise en scène grossière, guidée par un scénario débilitant qui ne s'économise d'aucun poncif sur les thèmes de l'IA et de l'enfance (Chappie appellent les 2 punks qui l'élèvent avec leurs 3 neurones "papa et maman", pendant que son créateur, au jeu pathétique, tachent de le garder dans le droit chemin en lui disant "ne tue pas, ne vole pas"...) Mauvais, inutile et même pas distrayant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 juillet 2015
    Sortie mitigée du cinéma. Concept très sympa et science fiction pas si fictive que ça. Mais pas emballée par la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juillet 2015
    Neill Blomkamp est constamment habité par le questionnement du choc des classes sociales. Avec Chappie, le réalisateur trouve donc une nouvelle façon d'aborder cette thématique si chère à son cœur. Le héros de l'histoire est une sorte de démiurge 2.0 à même de réconcilier l'humanité avec elle-même. L’œuvre est audacieuse, parfois poétique, mais le casting "de prestige" n'apporte finalement aucune réelle valeur ajoutée.
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