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    Chappie
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    3,7
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    866 critiques spectateurs

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    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2015
    J'ai vu un film... de très très haut niveau... D'une part la qualité de l'histoire, la nature des personnages, les pistes explorées, et la maîtrise de la violence et de la poésie des images, et d'autre part pour les idées qu'il véhicule sur ce que c'est qu'être "vivant" et un être doué de pensée... La machine est interprétée d'une manière incroyable... Sa manière de bouger, de penser, d'évoluer m'a littéralement touché... J'ai également trouvé très intéressante la rivalité entre les 2 chefs de projet, ainsi que toutes les pistes explorées par ce film.. J'ai beaucoup apprécié les différents personnages que l'on croise tout au long de ce film, ainsi que leurs évolutions qui vont leur permettre de révéler leur "humanité" enfouie sous des tonnes d'amas, tandis que le robot accède plus rapidement à son "humanité"...
    Walter Mouse
    Walter Mouse

    516 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 avril 2015
    Chappie représente tout ce que je déteste dans le cinéma de Neil Blomkamp. Bien évidemment, tout le monde attendait ce film de pied ferme car ne l’oublions pas, Neil Blomkamp est le réalisateur du très (trop) connu District 9, film de science-fiction à petit budget sorti en 2009 qui a rapidement atteint le statut de film culte, certains allant même jusqu’à le considérer comme le film qui a fait renaître le genre ou comme un chef-d’œuvre universel (c’est vérifié). À l’époque, j’étais donc impatient de voir ce que ce jeune prodige pouvait donc faire avec un sujet pareil. J’étais même excité par l’idée de départ. Et après un visionnage du film il y a plus d’un an et de nombreuses réflexions, je me suis rendu compte que je détestais ce film du plus profond de mon être. Mais le plus grave n’était pas que je détestais un film acclamé (ça arrive à tout le monde ce genre de réactions) mais que je ne comprenais tout simplement pas comment est-ce qu’un ramassis de clichés, de stupidités, de lourdeurs et de facilités comme District 9 avait pu avoir une telle réputation. Et depuis, je me dis que je n’ai pas tort d’aimer ce film après tout vu que je ne vois pas comment est-ce qu’on peut le considérer comme un bon film. Et c’est là que la grosse blague arrive. 4 ans plus tard, Blomkamp sort son Elysium très attendu par les fans de son premier film, et il se trouve qu’Elysium déçoit. Beaucoup. Pratiquement tout le monde lui a chié dessus. Et ironiquement, je l’ai préféré à District 9 pour la simple et bonne raison que je n’y ai vu qu’un blockbuster bébête et je l’ai donc apprécié la première fois (mais si je le revois différemment, je sens que mon avis va vite changer). Je veux dire, Elysium partait d’avance, comme pour District 9, sur une idée incohérente, et la réputation du film étant assez moyenne, je pense que j’ai aimé défendre un film que tout le monde a attaqué (encore plus drôle qu’on l’a attaqué pour les mêmes raisons qu’on a encensé District 9 !). Donc concernant mes attentes sur Chappie, on était pratiquement au niveau zéro. Déjà parce que la bande-annonce affichait une niaiserie juste énervante, que les seules expériences que m’a offert le réalisateur sont un navet (rassurez-vous, je ferai un jour une critique de District 9 pour m’expliquer) et un plaisir coupable, et que la promo du film semblait nous promettre un défilé de clichés et de thèmes vus 100 fois dans d’autres films de science-fiction. Mais vu qu’évidemment c’est Blomkamp et qu’un jeune cinéphile se doit de regarder ses films, que je ne pouvais pas gueuler contre un film que je n’avais pas vu et que la presse française semblait plutôt positive (remarque, celle de District 9 l’était aussi et quand j’ai vu le résultat…), j’ai donc décidé d’aller voir ce film mais en n’ayant évidemment aucune attente particulière (pour que même les américains lattent ce film, c’est que je ne devais pas en attendre grand-chose). Et quand la séance s’est terminé…. j’ai reconsidéré District 9 ! Enfin presque, je n’ai toujours pas changé sa note sur Allociné car ça serait mentir sur mon vrai avis sur le film mais je me suis dit « Au moins, Blomkamp créait, ou du moins essayait de créer, quelque chose de neuf, cet aspect futur ensoleillé et sale avait le mérite d’être plutôt novateur malgré la stupidité du film ». Là où Chappie est juste un des plus gros foutages de gueule de ce début d’année tant tout, et je le répète tout ce qu’il nous propose a été vu 100 fois dans d’autres films de S-F mais aussi dans District 9 et Elysium ! Blomkamp s’est dit « Eh ! Les gens ont adoré District 9 ! Alors je vais leur refaire District 9 ! » Et il nous l’a refait en effet. Alors pour Elysium, on s’est dit que c’était juste un accident, ça arrive à tout le monde, il va comprendre la leçon, mais avec Chappie il nous prouve que non, il n’a rien compris ! Il est convaincu qu’il nous a signé une perle du genre en 2009 (je prends un peu sa défense pour le coup car malheureusement, comment peut-il croire que son film avait des défauts vu que ça fait 6 ans qu’on lui dit que c’était nickel ?) et il nous la ressert une nouvelle fois ! En seulement 3 films, il a montré que tout ce qu’il pouvait faire (ou si peu) avait été montré dans District 9 ! Je m’étais promis de me calmer avec les critiques où je passe mon temps à gueuler pour rien (vous savez, mes critiques du genre Twilight 2) mais Blomkamp m’a redonné le goût de la majuscule ! Et pas qu’un peu ! Je me sens plus inspiré que jamais ! Donc c’est parti ! Changeons un peu de mes critiques habituelles, je vais juger le film du début à la fin sans faire de pause donc Gare aux spoilers !!!!!! spoiler: Chappie s’ouvre donc sur le logo de Sony (retenez-le, vous allez vite comprendre plus tard pourquoi c’est important) et démarre sur un journal télévisé où nous voyons des interviews de quelques personnes après les événements du film laissant prévoir une grande aventure (je pourrai dire qu’on avait déjà ça dans Interstellar mais le peu de mois séparant les sorties des deux films, je laisse passer) puis nous voyons des journalistes présenter la situation à Johannesburg. La criminalité est en hausse et la ville est à la merci de tous les dealers et tueurs. La police décide donc de réagir en créant un programme censé leur apporter des robots luttant contre tous les criminels du coin (pardon ? Qu’est-ce que j’entends ? Que c’est la même intro que Robocop ?). On termine ce petit reportage sur une interview de Deon, joué par le pauvre Dev Patel qui n’arrive décidément pas à choisir de bons projets, exprimant son intérêt à vouloir donner une conscience aux robots que fabrique l’usine Tetravaal et de Vincent (ou comme j’aime l’appeler l’homme qui murmure à l’oreille des spectateurs, non sérieux les gens on va jouer à un jeu, comptez le nombre de scènes où il se retrouve tout seul et où il parle pour commenter l’action), joué par Hugh Jackman qui trouve sûrement ici son pire rôle, qui est en fait un ex-militaire voulant imposer sa machine MOOSE (que je pourrai presque nommer Mantis dans cette critique car sans déconner les gens, ce truc n’est pas juste une référence à Halo 4 ou à Aliens, c’est un pur plagiat !) à Tetravaal mais qui n’arrive pas à la faire accepter (j’en viens donc à me demander qu’est-ce qu’il fout encore dans cette entreprise si ça fait plusieurs fois qu’on refuse son modèle et que les seules fois où on le voit au bureau, c’est pour avoir des plans de sa machine). Vous avez deviné qui sera le gentil et qui sera le méchant là ? Et donc, afin de passer du reportage aux séquences filmées par Blomkamp, que fait le réalisateur ? Eh bien c’est très simple… il n’y a aucune transition. Le titre s’affiche et on entre dans l’action. Donc oui, cette introduction, en plus de plagier l’idée générale de Robocop, repompe également tout ce qu’avait fait District 9 sauf qu’ici ça ne dure que 2-3 minutes. On nous présente alors les autres personnages du film qui semblent être dans un beau merdier : Yolan-Di et Ninja joués par…. Yolan-Di et Ninja. Non sérieusement, pourquoi ont-ils gardés leurs vrais noms ? Est-ce qu’ils se jouent eux-mêmes dans un futur proche ? Est-ce que c’est à cause d’une plainte des deux rappeurs qui ne voulaient pas jouer des rôles différents ? J’en sais rien mais il n’y a qu’eux à retenir étant donné que le troisième ne sert pas à grand chose et que le quatrième de la bande se fait buter par un dealer à qui le gang doit un paquet d’argent (au ralenti bien sûr ! Sinon ça ne serait pas un film de Blomkamp !), 20 millions de $ précisément qu’ils doivent récupérer en une semaine (sachant que c’est impossible pour des ratés comme eux, je me demande pourquoi le dealer ne les tue pas immédiatement mais bon continuons). À la suite d’une fusillade où ils en sortent indemnes, un robot policier se fait gravement toucher et est transporté à la casse tandis qu’on remarque que Yo-Landi et Ninja projettent de kidnapper Deon…. Pour réclamer une rançon me demanderez-vous ? Après tout, ce type est quand même le créateur de toutes les machines de la ville, il doit valoir à lui tout-seul un bon paquet de pogn.. Ah non en fait c’est pour déconnecter les robots. Dommage. On pourra également constater que ces rappeurs ne savent pas du tout jouer et que la chimie entre leurs personnages est inexistante. Pendant ce temps, à l’usine, Deon se fait applaudir pour avoir réalisé d’excellentes ventes de ses machines, mais on constate que ça ne plaît pas beaucoup à Vincent (celui-ci est filmé dans l’ombre de Deon, Ooooo subtilité ! Ah et au cas où vous n’auriez pas compris que c’est un méchant, son bureau est constitué que de produits MOOSE, il a même un ballon de rugby ! Euh.. pourquoi ?). Deon tente une nouvelle fois de convaincre Michelle Bradley, la boss de Tetravaal jouée par Sigourney Weaver complètement mise de côté dans ce film, de le laisser faire un test sur un robot défectueux pour lui implanter une conscience, elle refuse (pourquoi alors que ça ne lui coûterait rien ? Et ne pensez pas que le scénario va lui faire dire un truc intelligent comme « Si un robot a des émotions, qu’est-ce qui le différencie d’un humain ? ») et Deon n’insiste pas plus longtemps et rentre chez lui où sa maison est semée de petits robots ménagers à qui il essaie de donner l’illusion qu’ils peuvent penser (idée sympatoche, ça aurait été bien si Blomkamp s’appuyait d’avantage dessus). Et c’est lors de cette scène qu’on retrouve pour la troisième fois le même défaut que dans District 9 et Elysium, ça va tout le temps à fond ! Il n’y a jamais de pose, et le rythme est ultra-rapide alors que l’intrigue est à peine lancée ! Dans ce genre de scène, on devrait au contraire le voir réfléchir calmement sur ses inventions, laisser le spectateur respirer un peu. J’en demande pas énormément. Mais il constate que son intelligence artificielle peut marcher et décide donc de voler le même robot policier bien amoché au début du film, tout en volant la clé USB nécessaire pour l’implantation (qui est sûrement placée dans le pire centre de sécurité du monde) mais il se fait kidnapper en chemin par Yo-Landi et Ninja, oui je sais qu’il y a un troisième mec mais il ne sert à rien. Ces derniers l’emmènent dans leur repère pour lui soutirer des informations sur l’activation des robots mais Deon leur dit que ça ne peut pas marcher. Donc, vont-ils essayer de réclamer une rançon en le prenant comme otage ? Pas du tout ! Le buter c’est plus sûr ! Deon essaie de les convaincre de ne pas le faire par « Je ne veux pas mourir ! ».. argument du tonnerre mec. Mais juste avant de tirer, ils se rendent compte que le robot dans la voiture pourrait leur être utile pour des braquages, Deon le reprogramme donc en implantant sa nouvelle I.A. Résultat, le robot a bel et bien des émotions. On constatera également que son animation est subitement bien plus fluide que pour celles des précédents modèles. Bref, il ne faut pas attendre longtemps pour que le spectateur comprenne que Chappie est l’équivalent d’un enfant. Comment ? C’est très simple ! Yo-Landi va passer un quart d’heure à répéter « Laisse-le ! Ce n’est qu’un enfant ! » N’oubliez pas… subtilitéééééé……. Afin de le pousser à utiliser ses sens, Deon lui montre un coq en caoutchouc qui était dans sa voiture (parce que oui, c’est très courant d’avoir ça dans sa bagnole) poussant Chappie, que Yo-Landi a nommé ainsi, à dire ses premiers mots. Mais Ninja il n’est pas très content ! Lui, il veut un guerrier ! Une machine de guerre et pas juste un gamin ! Alors il engueule Chappie ! Et si vous avez peur de ne pas pouvoir profiter de ce genre de moments bien chiants et clichés, rassurez-vous, Blomkamp nous ressert cette scène je ne sais combien de fois dans le film ! Mais Ninja et les deux autres guignols ordonnent finalement à Deon de partir sans quoi ils lui feront la peau… pourquoi le laisser partir ? N’avez-vous pas peur qu’il revienne avec d’autres robots récupérer Chappie ? Après tout ce n’est pas comme si vous l’aviez emmené dans le seul repère où vous resterez durant tout le film. Donc je répète ma question. Pourquoi le laisser partir ??!! Et vous trouvez que c’est stupide ? Ah mais il reste encore plus d’une heure de film les gens, Blomkamp peut faire mieux ! Pendant ce temps, Vincent remarque que la clé a disparu de l’usine (il faut savoir qu’il est le seul durant tout le film à être dans cette foutue usine, même pas un ingénieur en plus ou quoi que ce soit !) et commence à avoir des doutes sur les intentions de Deon. Le Lendemain matin, Chappie se réveille et, histoire de vous rappeler que Blomkamp essaie de faire un conte de fée futuriste, Hans Zimmer décide d’utiliser des clochettes synthétiques pendant toute la scène où il découvre son environnement.. c’est bien entendu totalement raccord avec la grosse dubstep qu’il nous a mis en début du film (tousse ! Tousse ! Ironie !) Vous ai-je précisé qu’il est lui aussi complètement à côté de la plaque dans ce film ? C’est sûrement la pire bande-originale qu’il nous ait écrit avec The Amazing Spider-Man : Le Destin d’un Héros ! Pendant ce temps à Tetravaal, Vincent décide de flanquer la frousse de sa vie à Deon en le menaçant avec un flingue (et bien entendu, tout le monde dans le bureau trouve ça parfaitement normal et ne réagit pas), Vincent ordonne que Deon lui remette la clé mais ce dernier refuse, Vincent appuie sur la gâchette et on se rend compte que l’arme n’était pas chargée, il se met à dire que c’était une blague et se barre. Donc… toute cette scène était… complètement.. inutile vu que Vincent n’a soutiré aucune information et que Deon ne va pas avoir la réaction intelligente de reprendre la clé avant que quelqu’un ne remarque qu’elle a disparu (mais pas de panique ! Vu que tout le monde est con dans ce film, personne ne remarquera que le seul moyen de débrancher les robots a disparu depuis des jours !) Y a pas à dire Blomkamp ! Tu sais gérer la tension dans tes films toi ! Mais Deon finit par revenir au repère du gang, suivi par Vincent, pour apprendre plus de choses à Chappie, on remarque également que Yo-Landi a déjà développé un instinct maternel avec le robot (encore une fois, ça serait très sympa de voir une humaine complètement larguée et dégoûtée du monde avoir de l’affection pour une machine quitte à la préférer à l’homme avec qui elle est restée pendant toute sa vie, mais le problème c’est qu’on ne sent jamais un changement chez le personnage, elle se met à adorer Chappie dès sa première apparition dans le film et ne paraît jamais subir de développement). Chappie a même appris à faire un check (bon j’avoue, ce gag avec le poing était marrant). Profitant de l’absence de Ninja, Chappie se met à peindre afin de développer sa créativité (l’effet sur le tableau est d’ailleurs plutôt sympathique), Vincent quant à lui observe la scène et n’en croit pas ses yeux. Donc, est-ce que Blomkamp va profiter de cet instant pour continuer à montrer Chappie utiliser tout son environnement pour créer et faire avancer les choses ? Vincent va-t-il s’intéresser aux multiples possibilités que pourrait représenter pour lui Chappie ? Bien sûr que non ! Comme promis, Ninja revient et il n’est pas content ! Il engueule Chappie ! Yo-Landi dit que c’est qu’un enfant et j’en passe ! Stop!!! On a compris !!! Ah et Vincent en profite pour se casser mais nul doute qu’il reviendra à la charge. Deon se fait alors expulser par Ninja (qui le laisse encore partir !!!!!) et Blomkamp s’est rappelé que Deon est censé être un vrai stéréotype de scientifique coincé donc il en profite pour nous sortir des insultes dignes d’un Capitaine Haddock à la « Iconoclaste ! » (j’aurai laissé passé ça si seulement il se comportait comme ça pendant d’autres scènes) et se barre lui aussi mais pas avant d’avoir dit à Chappie qu’il doit puiser dans sa créativité et ne jamais s’arrêter (on reviendra dessus). Fini la rigolade, Ninja décide de commencer à éduquer Chappie en lui montrant comment utiliser des armes mais ça rate complètement donc il s’y prend d’une autre manière : Il emmène Chappie jusqu’à un coin reculé de la ville où se trouve un gang ayant en horreur les robots policiers sans lui donner un moyen de retrouver son chemin et se casse en espérant qu’il retrouvera la route jusqu’au repère….. Je suis sûr que rien ne peut lui arriver!!!!! Le gang de racailles apprécie le fait que Chappie est totalement inoffensif et commence à lui défoncer la gueule à coup de battes et de bouteilles. Et je vais être honnête avec vous, moi qui m’attendais à détester viscéralement cette scène dans les bandes-annonces…. C’est pourtant la meilleure séquence du film. Oh ça ne veut pas dire que les tics énervants de Blomkamp ne sont pas présents (encore des ralentis !) mais la violence est pour le coup justifiée et je me suis surpris à être un poil ému par ce qui arrive à ce robot pour le coup. Le fait de voir une création livrée à elle-même dans le vrai monde froid et dur n’a rien d’original (A.I Intelligence Artificielle avait bien mieux géré cet aspect) mais il arrive néanmoins à dégager quelque chose. Chappie finit même par aller plus loin dans la ville après avoir échappé au gang, puis se pose, couvert de toute la crasse que ce monde dégage, et en vient à caresser un pauvre chien qui passait par là. Voilà ! Oui ! Il y a enfin des possibilités ! La machine avec des émotions découvrant que dans le vrai monde des humains, même une bête est plus humaine et plus attachante qu’eux, le chamboulement des croyances de Chappie pensant jusqu’alors que l’Humanité méritait sa chance alors que non ! Est-ce que Blomkamp a enfin compris où il devait aller ?? Est-ce qu’il va profiter de cet instant ?? Bien sûr que non !!! Parce que le grand méchant Vincent arrive avec ses deux collègues, enlève Chappie et l’emmène dans un camion pour lui retirer la puce ! Mais Chappie se démenant, Vincent décide de lui couper le bras. Chappie le supplie de ne pas le faire, se met à hurler mais au moment où le bras est coupé, il ne dit plus rien. LÀ !!! Le voici !!! L’instant où j’ai eu un dernier espoir concernant l’intelligence du scénario du film ! Est-ce que Chappie va se demander pourquoi est-ce qu’il hurlait alors que la coupure ne lui a rien fait ? Va-t-il se demander s’il n’est pas programmé pour hurler avant la douleur qui n’existe pas chez lui?? Va-t-il se demander si ça sert à quelque chose d’être plus humain alors qu’il ne pourra jamais l’être ne ressentant rien physiquement ??? Est-ce que Blomkamp va enfin se réveiller et profiter de cette occasion de malade pour arrêter de se foutre de la gueule du monde ???? Bien sûr que non ! À la place, Vincent récupère la puce, Chappie s’enfuit et vu que les collègues de Vincent sont trop cons pour sortir du camion afin de mieux viser, Chappie arrive à s’échapper. Bonjour l'occasion manquée pour rendre ton film intéressant Blomkamp !!! Mais finalement, Chappie rentre au repère (ne me demandez pas comment il a pu retrouver son chemin alors qu’il était perdu dans la ville, je n’en sais foutrement rien !) et Ninja et son pote sont désolés à l’idée de le voir comme ça, ils ne pouvaient pas prévoir que cela arriverait. Bien sûr ! L'abandonner en ville près d'un gang prêt à en découdre avec lui, c'est sûr que rien ne pouvait lui arriver !!!! Mais Yo-Landi lui ajoute un nouveau bras et tout redevient comme avant (et non, Blomkamp ne profite toujours pas du fait que Chappie se rend compte qu’il est interchangeable sur tous les domaines et qu’il a finalement un avantage par rapport à l’être humain, vous lui demandez trop là !). S’ensuit alors un petit dodo au lit (avec un décor tellement pas raccord avec le style de vie des personnages que je me demande comment personne n’a pu avoir l’idée de changer le visuel) où Yo-Landi raconte une histoire à Chappie. Le lendemain, Ninja revient une nouvelle fois mais s’y prend autrement pour convaincre Chappie d’effectuer le braquage, il lui fait croire que les lancers de couteaux sont là uniquement pour faire endormir les gens, pas pour les tuer (Chappie a alors envie d’essayer ça sur Ninja ce qui l’effraie immédiatement, j’accorde un bon point à cet autre gag). Il fait même croire à Chappie que toutes les personnes conduisant de superbes caisses ont en fait volé ses voitures afin de pousser le robot à les lui reprendre. Bon, très sincèrement, cette idée d’infantiliser la violence n’est pas mauvaise. Ça marche même plutôt bien mais la scène prend bien trop de temps à nous le montrer. La journée se terminera donc avec Ninja comparant la situation des humains à celle des chiens : Ceux qui survivent et ceux qui meurent. Cela convaincra Chappie d’effectuer finalement le braquage (ça passe vu la scène à laquelle nous avons eu droit 20 minutes plut tôt). Le soir, le groupe a fait fortune ! Ils rentrent fièrement avec leur butin….qui est en fait une collection de 8 PS4 (ais-je oublié de vous préciser que Sony distribue le film ?). Deon (qui est encore revenu….) se rend compte que Chappie a changé. Mais Chappie avoue que ce n’est pas seulement pour faire plaisir à son « papa » qu’il va braquer mais également pour trouver une nouvelle batterie, la sienne étant presque vide, il n’a plus que quelques jours à vivre avant une mort inévitable. Donc je récapitule : Un héros différent des autres s'opposant à un système qui ne lui convient pas et qui va effectuer le combat ultime de sa vie pour changer les choses avant sa mort sous forme de compte-à-rebours. Vous ne rêvez pas les gens. Blomkamp nous a refaits exactement la même chose que dans District 9 et Elysium !!!!! Où est l’innovation ??!! Où est la prise de risque ???!!! Mais pendant ce temps, Vincent retourne à l’usine afin d’utiliser la clé pour débrancher l’intégralité des robots policiers (pourquoi a-t-il attendu une journée entière alors qu’il pouvait le faire le soir où il a enlevé Chappie ? Je n’en sais toujours rien). Cela fonctionne et les manifestations commencent à se déclencher dans toute la ville (qu’est-ce que j’entends ? Plagiat sur Robocop où le héros sous forme de machine disparaissait ce qui provoquait la débandade dans tout Détroit ? Vous en êtes sûr ? Parce que moi oui !). Deon reconduit donc Chappie à l’usine afin de lui sauver la vie et de le redémarrer (Vincent est encore témoin de la scène). Le robot en profite pour observer le casque contrôlant le MOOSE et comprend qu’il peut l’utiliser pour transférer sa conscience dans un ordinateur et l’installer dans un autre corps lui faisant éviter une mort certaine. Deon refuse mais Chappie décide de se rebeller et prend le casque (là encore, bonne idée de montrer que la machine se rebelle contre son créateur jugeant qu’elle a le droit d’être autonome et n’a plus à se faire dicter ses droits et ses devoirs, mais c’est tellement discret qu’on y fait à peine gaffe). Chappie emmène donc le casque au repère et le présente à Yo-Landi. Le lendemain, c’est le grand jour. Chappie et le gang vont enfin aller dévaliser un camion blindé (au ralenti évidemment !) (bizarre, je pensais que le vol de PS4 les aurait rendu riches à foisons, tousse ! Ironie !). Le vol marche parfaitement bien et est même retransmit à la télé. C’est l’occasion ou jamais pour Vincent de profiter de la situation, Tetravaal étant dans un bordel indéfinissable, il propose à Michelle Bradley d’armer MOOSE pour éliminer définitivement Chappie dont la présence est désormais perçue comme une menace. La Présidente accepte et Vincent part au combat. J’en profite pour me poser cette question les gens, est-ce que le personnage n’aurait pas été plus intéressant si au lieu de vouloir imposer sa grosse machine la moins pratique au monde (sérieux, pourquoi ne pas la proposer pour des armements en guerre au lieu de la laisser dans une ville où elle n’a pas du tout sa place ?), il se battait pour que ça soit les humains qui restent les policiers de la ville jugeant qu’ils sont plus aptes pour ces opérations et qu’il s’agit d’un pas en arrière pour L’Humanité ? N’aurait-il pas été un meilleur antagoniste ainsi ? Mais ailleurs, le dealer du début est intéressé par Chappie et part au repère pour le voler, Chappie a compris que Ninja l’a berné et commence à péter les plombs tandis qu’il rentre au repère, Deon étant également au même endroit et MOOSE contrôlée par Vincent arrivant sur le même lieu, c’est donc un joyeux foutoir qui commence ! Le dealer passe son temps à gueuler dans tous les sens, les ralentis sont exagérés et limite risibles, Hugh Jackman nous livre une one-liner toutes les 30 secondes dignes d’un Mister Freeze à la « Vous vous prenez pour des héros ? », « Je vais vous tuer ! » et j’en passe, oui, le colonel chauve de District 9 n’était pas assez ridicule comme ça, il fallait que Vincent lui rappelle que c’est lui le chef ! Ah et ne croyez pas que MOOSE va réussir à les tuer, plus il prend de la hauteur pour mieux viser, plus ses tirs sont éloignés des cibles (faut bien gérer la tension façon Blomkamp non ?), le combat se termine par Ninja préférant se sacrifier pour ses amis (si seulement on s’était attaché à ce personnage..), gueulant pendant une minute « Vas-y tues moi ! », Vincent préfère perdre son temps à battre le record de répliques nanardesques plutôt que d’achever Ninja en une seconde et de s’occuper des autres, mais finalement Yo-Landi tire sur MOOSE, la machine fait de même sur la jeune femme, la balle traverse (au ralenti bien sûr !) le mot « Chappie » inscrit sur son T-Shirt…. subtilitééééééééé… mais Chappie finit par faire exploser MOOSE grâce à une bombe placée sur la machine (il n’aurait pas pu aller chercher le détonateur avant ?), Deon quant à lui est gravement touché au ventre par le leader, mais Ninja lui règle son compte en le défonçant à coup de pelle (pelle qui sort de nulle part d’ailleurs). Il n’y a pas un instant à perdre ! Chappie mène Deon jusqu’à Tetravaal pour transférer la conscience de Deon dans un corps robotique mais croise la route de Vincent (toujours seul dans cette putain d’usine) et un combat s’engage entre le militaire et le robot jusqu’aux bureaux de Bradley (ne croyez pas que Blomkamp va profiter de cette scène pour rendre utile Sigourney Weaver, elle se contente simplement de prendre la fuite, c’était sa dernière apparition dans le film, tcaho !). Chappie finit par régler son compte à Vincent mais sans le tuer bien sûr. Il redescend alors pour sauver Deon tandis qu’un groupe armé tente d’enfoncer la porte (pourquoi ne pas passer par les bureaux menant aux escaliers menant à l’usine comme on a pu le voir pendant le combat d’il y a deux minutes je n’en sais rien). La conscience de Deon est finalement transférée dans un autre robot. Le voici désormais une machine. Ah et non je ne piquerai pas une crise sur le fait que Deon perçoit ça super bien, « yes cool, me voilà enfermé dans un corps robotique » au lieu de dire ce qu’il ressent désormais, j’ai de toute façon perdu espoir depuis une bonne heure. Chappie fait de même et arrive à transférer sa conscience dans un autre corps. Les deux s’enfuient alors. Puis, des semaines plus tard, voire des mois, notre être différent et plus humain qu’un humain s’est réfugié dans un bidonville (District 9……..) et montre qu’il avait copié la conscience de Yo-Landi dans une puce le soir où il avait ramené le casque (pourquoi ne pas avoir également copié celle de son « Papa » alors qu’il était encore en bonne entente avec lui je n’en sais rien). Il hacke donc l’usine de Tetravaal et construit à distance un robot à l’image de Yo-Landi (ce qui peut être en lien avec le fait qu’il doit utiliser sa créativité mais ça aurait bien mieux marché si c’était lui qui construisait sa propre « mère » au lieu des machines de l’usine. J’en viens donc à me demander : Pourquoi l’usine est-elle encore debout alors que les forces humaines ont repris leurs postes et que la production a cessé ?? Comment Chappie peut-il avoir idée de faire ça alors que si ça se trouve, des personnes sont peut-être encore dans cette usine et voient sa création en ce moment même ? Et comment va-t-elle pouvoir sortir sans se faire repérer ??? Et comment Chappie pourra t-il la retrouver alors qu’il est l’être le plus recherché de Johannesburg ??? Et comment le robot peut-il avoir une forme plus humanisée ??? Et où est passé Deon ??? Pourquoi ?? Pourquoi Blomkamp ??? Vas-tu nous expliquer ça au lieu de finir facilement sur un « Directed by Neil Blomkamp » ???? Il a choisi de finir sur un « Directed by Neil Blomkamp » !!!
    Donc….. au final, qu’est-ce que ce film nous a appris ? Rien!!!! Est-ce qu’il a apporté quelque chose de plus que District 9 et Elysium ? Non!!! Blomkamp a-t-il confirmé son soi-disant talent de réalisateur et scénariste??? Non!!! Et je me pose surtout une question au final. Quel était l’intérêt de nous proposer cette histoire ??? Où est le fameux dernier espoir de l’Humanité qui est au final tout ce que l’Humanité ne doit pas concevoir??? Pourquoi avoir fait ce film ??? Ce que nous pouvons conclure sur ces 6 ans d’attente c’est que Neil Blomkamp ne nous a rien appris ! Cette trilogie n’a servi à rien, n’a fait que se repomper, plagier de meilleurs films de S-F, a utilisé les pires clichés existants au monde et le pire dans tout ça, c’est que ça a plu aux gens ! Au point que Blomkamp va être chargé de donner une seconde vie à la saga Alien avec la géniale idée de renier le 3 et le 4, on sent que le mec a tout compris !!!! Je ne dis pas d’avance qu’Alien est mort avec l’arrivée de gros tâcheron, mais comment peut-on être optimiste après un film aussi stupide, idiot, mal écrit, mal réalisé, inintéressant et incohérent comme Chappie ? Bref, tout ça pour dire : Ne regardez pas ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2015
    Super film !! trés touchant le robot Chappie est hyper réaliste dans sa façon dêtre vivant !! ce film est vraiment beau mes je ne suis pas satisfait de la fin qui ressemble trop pour moi à la fin de District 9 ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Excellent film franchement j'étais plongée dedant mais la scène où ninja le laisse à la merci de ces gens ma fais mal au coeur et sa nous montre également la cruauté des gens envers les autres
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 465 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2016
    Excellent film que Chappie, le genre de métrage qui ravi, réalisé par un Blomkamp qui m’avait déjà séduit avec District 9, mais qui ici réussi un tour de force.
    Il s’entoure d’abord d’une superbe équipe d’acteurs, à la fois connus et moins connus. Les interprètes sont brillants, d’une grande justesse dans leurs rôles respectifs, des rôles surtout très bien construits, avec beaucoup de relief. Chaque personnage à sa personnalité, une personnalité typée, un style, une manière de parler, et franchement ça fait plaisir de voir un film qui sait, surtout dans ce genre de grosses productions au fond souvent interchangeable et consensuel, offrir des rôles de cette trempe. Saluons quand même les acteurs, spécialement l’équipe des loubards, parfaitement campée, et Dev Patel qui fait forte impression dans un rôle taillé pour lui.
    Le scénario est excellent. Le film est doté d’un rythme idéal, il propose de l’humour bien vu, de l’émotion, et son propos est intelligent, d’une grande richesse, plus complexe qu’on ne peut le croire. On retrouve les obsessions du réalisateur, dans un film touchant, drôle, grave, qui entremêle avec une rare justesse des choses que beaucoup d’autres metteurs en scène auraient été incapables de mixer. C’est un délice à suivre, et le final est juste magnifique. Rien à dire, c’est du très haut niveau.
    Formellement là aussi peu de choses à redire. Le film exploite encore une fois parfaitement le cadre sud-africain, et on retrouve les qualités du réalisateur. Effets spéciaux au top, et toujours utilisés avec maitrise, mise en scène qui utilise fort bien les effets de style, notamment les ralentis, et qui met en valeur les scènes d’action, et puis une bande son choisie à propos. C’est en quelque sorte la cerise sur le gâteau ! A noter quelques scènes particulièrement violentes vers la fin, donc film pas forcément tout public.
    Honnêtement Chappie a été une superbe découverte, et pour ma part cela me confirme dans l’intérêt de la filmographie de Blomkamp pour le genre SF. Je ne peux que donner 5.
    nadège P.
    nadège P.

    134 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2015
    Je viens de voir le film Chappie et j'ai été vraiment très touchée par ce robot.
    Il est intelligent, mignon, très attachant.
    Le film est un peu trop violent mais l'ensemble fait un excellent divertissement.
    Un monsieur précise qu'il est stupéfait des excellentes critiques sur ce film.
    Qu'il sache que moi c'est le contraire, je suis stupéfaite des mauvaises critiques car comment ne pas craquer devant ce robot et son histoire touchante ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 janvier 2018
    Super film, avec des personnages principaux et secondaires charismatiques (Chappie, Yo-Landi, Ninja et Amerika), et une vision de la relation entre Homme et Intelligence Artificielle très intéressante.
    mcgraygor
    mcgraygor

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2015
    Affligeant, nul, consternant !! Comment peut-on faire une merd... pareille avec autant de moyens, et pourtant je suis plutôt bon public !
    Mais où ont-ils pris ces acteurs, ces faux méchants, même Hugh Jackman joue comme un pied.
    - Un ingénieur "inventeur de Chappie" qui ne trouve pas mieux pour éduquer son robot de prendre une poule en caoutchouc.
    - Un robot qui utilise un casque permettant de "lire le cerveau humain", pour lire "soit disant" son propre cerveau, une puce électronique quoi !! Mais comment pourrai ‘il être compatible ?
    - Une simple clé Usb qui permet de reprogrammer tous les robots policier de la ville, entre nous une clé VACHEMENT sécurisée !!
    - Mais alors le pire de tout, ces méchant ridicules, le chef avec son short et ces tatouages, qui ne ferait pas peur a une mouche, la fille qui sort de je ne sais quel film apocalyptique.
    Enfin bref !! A oublier au plus vite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2015
    J'ai trouvé ce film génial, il m'a rappelé l'émotion que j'ai ressenti de l'époque où j'ai vu Terminator 2 au cinéma. Le film est loin d'être parfait, mais il est prenant, les acteurs sont excellents et surprenants, on est en face d'un très bon divertissement.

    Comme je suis allé voir ce film sans rien en attendre (même pas vu de bande-annonce), il est probable que ça a amélioré encore plus mon empathie pour lui, mais ce soir je suis heureux d'être allé voir Chappie au cinéma (et j'y vais chaque semaine au moins une fois depuis 20 ans, c'est rare que j'en ressorte en ayant l'envie de partager mon expérience).

    Voilà maintenant l'aspect négatif, c'est qu'en lisant ça vous allez avoir une attente énorme sur ce film, qui va forcément vous décevoir (car comme j'ai dis, il est loin d'être parfait, il était juste ce que je voulais voir ce soir sans le savoir).
    stramonium
    stramonium

    5 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Gnangnantesque, mal joué, aberrations du scénario, mais quelle souffrance ce film! Le thème du robot intelligent était abordé plus finement dans Short Circuit ...en 1986!!
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    190 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2015
    Excellent film de SF ! Bien joué, bien écrit, touchant, impressionnant. Acteurs convaincants. Mon premier coup de coeur ciné de l'année 2015
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2015
    Le sujet sur l'intelligence artificielle est très bien abordé, le personnage très touchant révèle l’inhumanité de beaucoup d'humains.
    jerome p.
    jerome p.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2015
    Ce film est une jolie surprise comme on en a rarement au cinéma avec des grosses productions... Enfin un peu de recherche dans un scénario et de l'émotion dans un film à gros effets spéciaux... Bref un joli moment passé avec ce conte de fée des temps modernes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2015
    Un fort gout de district 9, des acteurs très crédibles au casting parfaitement en adéquation avec les situations. Une DG affairiste et paumée qd vient la débâcle, un ex militaire déjanté qui a le goût du sang dans la bouche et un génie de l'IA, le tout couronné par la violence urbaine qui guette toutes les grosses métropoles du monde. On prend tout cela que l'on couronne d'excellents effets spéciaux très bien réalisés et l'on se régale de l’ambiguïté homme/machine au travers des sentiments d'une bande de zonards simples, violents et humains.
    Moralité secouée, psychologie stimulée, réflexion sur notre condition, rien n'est neutre.
    Merci
    Philippe A.
    Philippe A.

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mars 2015
    La réussite du film si on doit en trouver une ne tient que dans les effets spéciaux très réalistes concernant l'animation des robots. Pour le reste, les acteurs incarnent des personnages qui lorsqu'ils ne se pas ridicules de bêtise sont tout à fait grotesques. Le scénario et la mise en scène, sont une compilation d’invraisemblances ahurissantes. Les dialogues, habillés d'un accent sud africain bien prononcé n'en sont que plus affreux. Le tout fait donc un déchet cinématographique épouvantable.
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