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7eme critique
530 abonnés
2 778 critiques
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1,5
Publiée le 13 octobre 2012
Il y a un complot autour du film, ce n'est pas possible, qu'est ce que c'est que toutes ces critiques positives... Mis à part un sujet émouvant, tout est mauvais, le jeu d'acteurs est horrible (mention spéciale pour Jérémie Elkaïm qui n'arriverait même pas à vendre de la purée dans une publicité), des scènes dégueulasses, une réalisation sans aucune originalité ni prise de risque, arrivant même à éloigner toutes émotions chez le spectateur. C'est royalement mauvais, on s'ennuie sur cette histoire, à la base sensée nous apporter de la tristesse et de l'émotion, nous offrira finalement qu'une simple perte de temps dans l'amateurisme cinématographique. Tout est vilain, rien ne relève le niveau, à éviter (critiques presses totalement ridicules et injustifiées, c'est la première fois que je vois un tel engouement pour un film sans la moindre saveur).
Ma guerre est déclarée : Donzelli et Compagnie, j'veux plus vous entendre brailler. Couple bancal badigeonné de clichés, maladresses parentales à peine forcées, la réalisation manque de prise de risque, voire de talent, ce qui, tout de même, est foutrement emmerdant.
Un film agréable à regarder même si le sujet initial n'est pas des plus joyeux. Ce film n'essaie pas de "faire pleurer dans les chaumières".J'ai effectivement cette sensation de marathon pour la vie au sein de l’hôpital mais aussi beaucoup à l'extérieur (où la vie continue et qui permet de recharger les batteries). A première vu, on aurait pu avoir peur d'y trouver des longueurs et l'ambiance étouffante des hôpitaux mais non aucunement! Mais tout ça, ça n'est que mon avis à vous de vous faire le votre!
pourtant toujours très émotive, je n'ai pas été touchée à un seul moment par ce film. la réalisation est ennuyeuse, les plans trop longs. le problème avec les histoires trop personnelles jouées par les propres acteurs dans la vie réelle c'est qu'elles restent trop personnelle, que le spectateur ne peut pas y entrer ! L'erreur vient surement de là. Au final, ça en fait un film souvenir uniquement pour l'enfant dont il est question. Personnellement, je n'ai vu aucune "guerre contre le cancer" dans le film, j'ai vu des gens qui subissent et jouent très mal la comédie.
La quatrième réalisation de Valérie Donzelli est considérée comme l’une des bonnes surprises de l’année 2011. Il faut bien dire que l’histoire est plutôt touchante et traitée avec justesse. Roméo et Juliette (un peu facile) se rencontrent lors d’une soirée et un simple échange de regards leur suffit pour s’aimer, ils emménagent ensemble dans la foulée et décident de faire un enfant. Mais très vite le petit bonheur de cette famille va être écourté par une maladie grave qui diagnostiquée à leur enfant et nous suivons le couple au travers cette épreuve mettant à mal leur portefeuille, leur patience mais jamais leur amour. Sans forcément tomber dans le mélodrame une petite touche d’émotion supplémentaire aurait été bénéfique à ce film, en effet "La Guerre est Déclarée" met en lumière -et c’est tout à son honneur- un sujet très peu représenté au cinéma certes, mais il se repose trop souvent dessus. Du coup les personnages interprétés par Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm se révèlent quasi secondaires, leur performance est très passive à l’image de leur rôles respectifs. Le rendu final donne donc l’impression de traîner en longueur. En revanche la mise en scène est maîtrisée et la photographie volontairement dépressive ajoute au drame de cette histoire. Malgré de nombreux points négatifs "La Guerre est Déclarée" reste un film à voir.
Le principe de départ, les réalisateurs interprètent leur propre rôle et revisitent leur douloureuse histoire, semblait intéressant. Et pourtant j'ai été gênée par ce manque de justesse dans certains dialogues, je n'arrive pas à déterminer si ce côté très (trop) narratif a été souhaité ou non. Celui-ci contraste avec de réels moments d'émotion. L'histoire est tout simplement touchante et on ne peut que s'incliner devant le courage dont les parents ont fait part face à cette longue épreuve.
Le sujet est très grave mais l'originalité de ce film c'est de prendre le contre-pied de ceux à quoi on peut s'attendre. Pas de misérabilisme, pas d'apitoiement sur soi-même, on fonce, on prend les choses par son côté le moins éprouvant même si c'est plus facile à dire qu'à faire, quoi qui se passe on est énergique jusqu'au bout, c'est la meilleure manière de vivre sa vie. Au début, le film est très confus pour ne pas dire un peu difficile à suivre mais le jeu en vaut la chandelle et il faut se laisser porter. On a le droit même à quelques touches d'humour bienvenues et à quelques beaux instants de grâce à l'instar de la scène avec le "reflet" sur la vitre de la voiture. Bref ça fait plaisir à voir que les anglais ne sont pas les seuls à savoir faire des films dramatiques qui donnent la banane.
En un mot : navet. Voix off ridicule rappelant tristement "Au nom de la vérité" sur TF1, bo à vomir, jeu d'acteur risible avec la palme décernée à Jérémie Elkaïm encore plus tête à claque que dans Polisse. La carte du jeune couple parisien bien pensant; très peu pour moi. Sans parler de leur entourage... Bref, courage si vous envisagez de voir ce film!
Sujet pas facile et aux antipodes du cinéma commercial, mais c'est tellement bien monté et interprété qu'on rentre dedans et qu'on a envie de s'impliquer. A voir !
La formule du film avec un sujet triste fonctionne bien en général, les critiques sont bizarrement bonnes, alors qu'une fois de , je trouve le jeu d'acteurs très moyen et la réalisation autour du film que moyenne. Vous êtes réalisateur français, faites un film au sujet triste et vous aurez de bonnes critiques, navrant :(
Il y a deux récits dans ce film et jusqu'au plan final, impossible de leur trouver le moindre rapport. L'un, oppressant et tragique, décrit plutôt bien les peurs , les angoisses et pour finir le soulagement d'un jeune couple face à la grave maladie de leur jeune enfant.La confrontation des parents avec le monde médical, ses règles, son organisation en castes et le peu de cas que l'on y fait généralement des patients y est décrite avec justesse. Et l'autre, ridicule et franchement irritant, nous conte, démonstrations à l'appui, les valeurs auxquelles ce couple de jeunes bobos désoeuvrés est attaché: la fête, l'alcool, les pilules du bonheur (et vraisemblablement les diverses drogues qui les prolongent), le sexe (on commence par l'open-kiss et le reste suit...). Inutile de préciser que ce volet est absolument dépourvu d'intérêt et finit même par ôter de la crédibilité au précédent. Côté acteur, seule la réalisatrice s'en sort avec les honneurs, son grotesque compagnon s'imaginant sans doute au festival d'Avignon.
Ce film est grave et assez dur à suivre. L'angoisse est omniprésente et on ressort pas forcement très gai de ce film. Pour le reste, la réalisation et les acteurs sont bons.
un très beau film montrant de jeunes parents façe à la maladie de leur enfant. toutes les situations sont filmées (l'angoisse, la peur, l'incompréhension et surtout le combat de ces deux parents) on ressent la douleur des deux acteurs filmée en délicatesse sans aucun pathos on y voit également la froideur de l'hôpital et l'incompréhension des familles façe aux dialogues du personnel hospitalier, une belle séquence de fin