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    La Guerre est déclarée
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    862 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 août 2012
    J'aurai pu mettre Très bien car le sujet est intéressant. Mais il y a deux choses qui lui font perdre ces 4 étoiles:

    - Le jeu de l'acteur (Jérémie Elkaïm) qui selon moi est raté.
    - Le début de la fin du film (5 minutes avant la fin environ) ou la le film est bâclé. D'un coup tout avance super vite à la façon bon on en a plein le c.. il est l'heure; aller hop!
    En tout cas ça m'a fait trop bizarre.

    C'est vraiment dommage car je film est touchant et en même temps dynamique et donne aussi une leçon de courage, de combat et de vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm signent un drame juste, poignant, et boulversant. Remarquable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 août 2012
    Les critiques descendent ce film mais moi je le trouve pas aussi nul qu'on le dit. Certes il n'est pas exceptionnel non plus mais il est touchant, le couple Donzelli et Jeremie Elkaim sont très émouvant. J'ai passé un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 août 2012
    Un bon sujet bousillé! Un jeu d'acteur exécrable, des lenteurs, du vide, des paroles a la con, quand rien a dire, de la musique pour combler, ahhhhhhh! Tout ce que je déteste. :)
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 août 2012
    Certainement le film français le plus surestimé de 2011.
    Je comprends et accepte volontiers l'initiative et le projet, certainement généreux et inspirés. Mais le résultat n'est pas probant. La tragédie qu'est la maladie d'un enfant, c'est clair que ça ne se traite pas n'importe comment au cinéma. Mais à force de vouloir éviter le pathos et la tragédie, le film, loin de la pudeur, évacue tout sentiment et se retrouve rapidement désincarné, vide de sens, à la manière qu'à Roméo de dire sans cesse à Juliette de garder ses distances émotionnelles avec tout : les autres, la situation, elle-même... et du coup, avec le spectateur.
    Je n'ai pas accroché, je n'ai pas adhéré à ces dialogues et à ces situations bobos en diable, très parisiennes dans la posture et très Nouvelle Vague au final, qui plombent le film.
    Sur un ensemble qui est de surcroît extrêmement mal joué et exaspère vite. Alors certes, ce n'est pas du cinéma vérité. Ce qui aggrave encore plus le cas de ce film et lui procure encore moins d'excuses.
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2012
    Le cinéma ce n'est pas que les acteurs et les réalisateurs. Le cinéma c'est aussi des gens qui travaillent dans l'ombre, des gens qu'on ne reconnaîtrait pas dans la rue parce qu'ils font un métier plus discret que ceux cités un peu plus loin. Parmi eux, il y a les concepteurs d'affiches. Et je pense qu'il faudrait virer celui qui a conçu celle de La Guerre est déclarée puisqu'en recopiant les extraits de critiques, il s'est trompé de film : " La fureur de vivre ", " Un hymne à la vie ", " Lumineux et bouleversant ". Quoi ? Où ça ? Dans le dernier film de Valérie Donzelli ? Tant qu'à faire, il faudrait aussi virer le monteur de la bande-annonce, qui non seulement bande pour rien ( en reprenant elle aussi les critiques dithyrambiques de la presse ) mais annonce aussi ce qu'on ne verra pas : un film plein de vie, de fureur, fait d'espoirs et de désespoirs dont la matière constituerait l'énergie même du film. Résultat à l'écran ? De la banalité, positive d'une part et négative de l'autre. Là où la banalité n'est pas dérangeante, c'est dans la manière qu'a Valérie Donzelli de décrire le quotidien d'un couple en crise et la maladie de l'enfant. La metteur en scène sait capter des moments de vie qui paraissent vrais, et son choix - remarquable - de ne pas verser dans le pathos aide à l'implication du spectateur, du moins à la crédibilité de l'ensemble. Le contrepoint entre les faits vécus et le style donzellien est un choix noble qui participe pleinement à la tonalité du film, qui ne baisse jamais les bras. Peu de violons larmoyants dans cette guerre, plutôt une musique en contraste avec l'action, faite de pop, d'électro, de sons énergiques plutôt que mélodramatiques. Si la cinéaste française évite de faire monter l'émotion par des moyens gratuits et trop faciles - il va être question de la banalité négative ici - il y a un autre problème : elle ne fait monter aucune émotion. Le film est assez plat, et ne propose pas grand-chose autour des moments de vie quotidienne pour les styliser ( dans le sens où son regard n'est pas si intéressant que cela ). La Guerre est déclarée semble dès lors plus important pour ce qu'il n'est pas, plutôt pour ce qu'il pourrait être : il n'est pas mélodramatique certes, mais il n'est même pas dramatique. Les quelques bonnes idées de mise en scène sauvent le film de la plus ennuyeuse banalité, mais rien de transcendant, juste de l'idée aussi pop que la musique du film, qui fait son petit effet mais qui n'inscrit aucune gravité dans les émotions potentielles de l'oeuvre.

    Pour autant, le film est agréable à suivre - en dépit d'une certaine répétitivité au bout d'une heure - et ce grâce à la mise en scène légère de la réalisatrice. Même si ce cinéma ne recherche pas à faire ressortir une scène plus qu'une autre, une émotion plus qu'une autre, certaines séquences sont plus réussies que d'autres, preuve du caractère inégal de l'écriture. En dehors de la maladie de l'enfant, on peut davantage retenir les conséquences subies par le couple central du film ( d'ailleurs, le prologue insiste sur le bon état de santé d'Adam plus âgé, preuve que le film se débarrasse dès le début d'un suspense qui aurait pu paraître malsain ). Ca n'est pas un hasard si les parents se prénomment Juliette et Roméo, comme s'il fallait cristalliser l'attention en mettant le doigt sur ce qui fait véritablement le sujet du film : le couple. Les moments les plus intenses, trop brefs, sont sûrement ceux où l'usure du couple se fait sentir, où Roméo ne trouve pas d'écho à son " Je t'aime " chez Juliette, où la ligne du couple se mue en un triangle au sommet duquel se trouve le bébé et où les deux parents communiquent moins entre eux. D'un autre côté, il y a quelque chose de beau quand le couple se révèle soudé malgré l'épreuve terrible que ses deux membres traversent. Seulement, il s'agit là d'un fait réel, ni d'une idée de scénario ni d'une idée de mise en scène. En travaillant sur la base de l'autobiographie, il semblerait alors que Valérie Donzelli se contente de la véracité des faits en mettant de côté les moyens cinématographiques. Ce film-là - et l'aspect documentaire est donc réussi - insiste plus sur l'intention de départ et une description intime des faits plutôt que sur l'exploration approfondie de la mise en scène. La Guerre est déclarée porte en lui un souffle généreux, mais sa générosité s'essouffle assez vite. La guerre est déclarée, peut-être, mais elle est loin d'être remportée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 juillet 2012
    Mise en scène très personnelle, et convaincante, sur un sujet du genre à vous plomber l'ambiance d'une techno-parade. C'était assez casse-gueule, et certaines critiques négatives sont un peu étranges, lorsqu'elles reprochent, finalement, aux deux parents de continuer à vivre à 100 à l'heure malgré le drame qui les frappe. Bien loin du positivisme forcené à l'américaine, il faut y voir au contraire une stratégie de survie. D'autre critiques, lues sur allociné, obsédés par leur propres bobophobie qu'ils ne voient plus le monde qu'à travers ce prisme, brocardent le narcissisme et le parisianisme... bah merde, si ce sujet n'est pas universel, alors je sais plus quoi penser de notre époque ! Enfin, concernant l'interprétation, si la diction de Jérémie Elkaïm demande effectivement un temps d'adaptation, je me demande encore comment on peut avoir des réserves sur l'interprétation de Valérie Donzelli, que j'ai trouvé tout simplement grande (à tel point qu'elle en écrase un peu le reste du casting). Bande originale très bien choisie, et ça m'a fait plaisir de réentendre Jacno (retour vers l'enfance direct) !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 juillet 2012
    Un scénario connu d'avance, trop de déjà vu, rien de surprenant, on s'ennuie. C'est tellement mal joué et prévisible que l'on ne pleure même pas a la tristesse de l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    La voix off du film est insupportable, ca donne juste envie de mettre le film en muet, le jeu des acteurs est pitoyable, le theme est incroyablement mal traité, j avais vu leur interview sur canal plus, et on faisait pas mal d eloges sur ce film... Mais c est vraiment une grosse perte de temps ! Nul.
    Juste une grosse blague, ca me met vraiment mal a l aise pour les parents qui vivent ce genre d epreuves....
    Finalement le meilleur acteur dans ce film, c est le bébé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 juillet 2012
    Alors que les deux “guerres des boutons” se livrent une bataille d’ordre commercial, une troisième guerre se fait plus discrète. Il s’agit de celle de Roméo et Juliette, ou de Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm, les noms étant interchangeables. Co-scénariste de ce long métrage, cet ancien couple vécut une histoire proche de celle des personnages du film : ils furent en effet confrontés à la tumeur au cerveau contre laquelle leur fils de 18 mois dut se battre avec leur aide et leur soutien. Histoire vécue et fiction se mêlent dans ce film, faisant à la fois son originalité et ses faiblesses.
    La critique complète : http://brevesculturelles.wordpress.com/2011/09/11/la-guerre-est-declaree-entre-fiction-et-realite/
    Maëlys D.
    Maëlys D.

    15 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Ce film est un film touchant, saisissant comme on en voit peu. Aller le voir, c'est accepter de recevoir une leçon de vie phénoménale et de ressortir complètement vidé par la profusion d'émotions contraires ressenties durant le film. Ce film nous fait passer du rire aux larmes en un instant, sans que cela ne nous puisse nous choquer. Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 juillet 2012
    Très bon film de Valérie Donzelli. Elle nous expose une façon différente de vivre une maladie. C'est-à-dire de relativiser et de croire au petit pourcentage de chance qu'il reste. Ne jamais être pessimiste et toujours continuer le combat coûte que coûte. Rien n'est jamais joué. Voici le principal message de ce film qui évoque à la fois une histoire d'amour et un combat contre le cancer. Les deux sujets sont très bien conciliés dans cette oeuvre.
    D'un point de vue technique, le film est aussi très bien réalisé. Très original dans la façon de filmer. Il est raconté par un narrateur extérieur à l'histoire, ce qui n'est pas très courant. Les acteurs sont bien choisis et on n'y croit du début à la fin. Ce film est inspiré d'une histoire vraie c'est aussi pour cela qu'il est très poignant. Félicitations à Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm pour ce grand moment de cinéma.
    Tina Kourdadzé
    Tina Kourdadzé

    21 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juillet 2012
    Je comprend la volonté de Valérie Donzelli et de son équipe : parler d'un sujet dur, touchant, en évitant au possible le côté "larmoyant", guimauve, et romantique habituellement utilisé pour ce genre de sujet. Le film joue donc la carte d'une ironie à la fois absurde et poignante, et en même temps d'un sérieux profond. L'union des contraires ainsi que l'absurdité et la simplicité de l'histoire viserait donc à renforcer la profondeur de la situation. Sauf que : le jeu des acteurs, volontairement surjoué et exagéré (en tout cas, je l'espère, sinon c'est qu'il y a un petit problème), empiète totalement sur le reste, résultat : je n'ai absolument pas accroché à l'histoire. Je n'ai pas trouvé ça drôle, limite agaçant à certains moments, et ce côté "modernité du scénario et présentation des personnages à la Amélie Poulain" m'a sérieusement déplu. Je trouve qu'ils sont passés à côté de ce qu'ils ont voulus créer, bien que cela partait d'une bonne intention. Ils se situent dans la lignée des réalisateurs bobos voulant révolutionner les règles du cinéma "classique" et cherchant désespérement de l'originalité dans chaque élément du film. Là, ça ne prend pas. Trop de modernité tue la modernité. Ce devait être un film poignant et incroyablement émouvant (en tout cas à ce qu'on m'en a dit), et j'ai juste trouvé ça profondément mauvais. Le fait de pleurer ou pas n'est pas en soit une preuve de la qualité d'un film (on a tous pleuré devant des guimauves), mais là, c'était raté. Je leur ai accordé 1/2 point pour la volonté certaine de se démarquer des autres films Français. Mais c'est tout, le reste est mal écrit, mal interprété. J'ai néanmoins le sentiment qu'il est presque "politiquement correct" d'aimer ce film : les acteurs jouent leur propre histoire, et en plus ça parle d'un petit bout de chou qui a le cancer. Ce serait vraiment "méchant" d'attaquer un film aussi beau. Sur ce principe, oui, c'est beau. Mais je suis navrée de constater le côté risible et éprouvant de ce film : tout est ridicule, à commencer par le nom des protagonistes : Roméo et Juliette. Bonne idée, si seulement le reste suivait : je n'ai relevé aucun acteur correct. Je ne dis même pas "bon", mais correct. Un acteur qui sache jouer, quoi. Un bon point cependant pour la BO, vraiment bonne, et soulignant bien les actions des personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juin 2012
    Comment dire ... ? Une belle leçon sur la vie, le regard porté aux autres. Un film plein d'émotion ( non pas seulement pour les naïfs ! ) qui retrace très bien un évènement vécu .
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 juin 2012
    Le nouveau film de Valérie Donzelli est une autobiographie ne manquant pas de réalisme qui raconte grosso modo le lourd combat d'un couple voulant sauver leur fils gravement atteint d'une tumeur au cerveau. La réalisation est réaliste, et laisse plusieurs fois supposer du mauvais comme du bon, rendant très vite un aspect imprévisible qui captive jusqu'à la dernière minute, notamment grâce à la prestation des acteurs jouant d'une manière délurée mais qui parfois fait penser involontairement à une pièce de théâtre, heureusement que la bande originale emprunte la direction qui consiste à rendre un soupçon de charme dans les scènes aussi bien dramatiques que dans la simple comédie, multipliant à chaque moment le quotidien de la vie réel qui accrochera sans aucun doute les spectateurs. Les critiques acclament bien trop facilement ce film qui est certes bourré d'humanité, mais qui n'est malheureusement pas bouleversant malgré les nombreuses occasions qui se présente, sans être bon ou mauvais nous découvrons ici un film partant d'une intention rarement exploité et qui est à la fois un produit culturel qui ne vous fera pas perdre votre temps même si vous n'avez pas apprécié.
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