AlloCiné
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Votre avis sur La Guerre est déclarée ?
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Très mauvais jeu d'acteur! Des scènes complètement loufoque... Telle la scène ou l'héroïne court dans les couloirs de la clinique et s'effondre. C'est pitoyabe! Absolument incompréhensible que ce film ait été tant encensé par la presse et les critiques!!!
Soyons dans le ton de Télérama : "il n'y a quasiment pas de cinéma dans ce film" ! C'est drôle non ? C'est une question que je ne me suis jamais posé ! Y a t-il du cinéma dans ce film ? Y a t-il à manger dans ce repas ? Trop fort.
Pas de cinéma dans ce film ! En fait je suis d'accord. Ca manque d'acteurs transpirants, de comédiens haletants... On dirait des vrais parents, des vrais médecins. On dirait une histoire vraie. Magique, légère, enthousiaste et romantique. C'est vraiment dommage.
Vivement un vrai film avec du cinéma dedans. Faut que j'vous laisse, mon fils pleure, mais je crois que c'est du cinéma.
Pas de cinéma dans ce film ! En fait je suis d'accord. Ca manque d'acteurs transpirants, de comédiens haletants... On dirait des vrais parents, des vrais médecins. On dirait une histoire vraie. Magique, légère, enthousiaste et romantique. C'est vraiment dommage.
Vivement un vrai film avec du cinéma dedans. Faut que j'vous laisse, mon fils pleure, mais je crois que c'est du cinéma.
La guerre est déclarée, ou comment traité un sujet dramatique et tragique, avec légèreté, mais sans dérision, avec folie mais respect.... Pari gagné haut la main.
shindu77
Un film dramatique tout simplement somptueux autour de 2 parents devant gérer la maladie de leur enfant. Le couple d'acteurs est tout merveilleux dans leurs rôle respectif. Beaucoup d'émotion en visionnant ce film. A voir.
Le sujet est très grave mais l'originalité de ce film c'est de prendre le contre-pied de ceux à quoi on peut s'attendre. Pas de misérabilisme, pas d'apitoiement sur soi-même, on fonce, on prend les choses par son côté le moins éprouvant même si c'est plus facile à dire qu'à faire, quoi qui se passe on est énergique jusqu'au bout, c'est la meilleure manière de vivre sa vie. Au début, le film est très confus pour ne pas dire un peu difficile à suivre mais le jeu en vaut la chandelle et il faut se laisser porter. On a le droit même à quelques touches d'humour bienvenues et à quelques beaux instants de grâce à l'instar de la scène avec le "reflet" sur la vitre de la voiture. Bref ça fait plaisir à voir que les anglais ne sont pas les seuls à savoir faire des films dramatiques qui donnent la banane.
J'essaie vraiment mais je n'arrive pas à comprendre comment ce film peut avoir de tels critiques.
Le pitch est touchant. Cette famille à vécu une période très dure et difficile.
C’est après avoir vu ce joli couple sur un plateau de télévision que j’ai eu envie de voir leur histoire. Il était évident que ces deux-là se sont aimés et s’aimerons surement toutes leur vie. Quelle déception !
Loin de moi l'idée de blesser qui que se soit mais je n'ai rien aimé de ce film. Il me fait penser à un premier film de fin d'année d'un élève de directing. Les cadres ne sont pas beaux, des champs/contre-champs qui ne fonctionnent pas… Je suis désolée encore une fois mais le jeu des acteurs est vraiment mauvais (surprenant de la part de certain) au point qu'il m'est arrivée plusieurs fois d'éclater de rire! A aucun moment dans le jeu nous retrouvons leur amour. C’est vide. Rien ne nous prend aux tripes. De plus, nous ne pouvons nous attacher à l'enfant car le montage, la réalisation, le choix des scènes ou que sais-je, ne nous montre le lien qu'ils ont avec leur enfant!! Tout ceci nous laisse sur le bas coté.
Tout est abordé sans aller au fond des choses, juste en superficie.
Et alors vraiment je ne comprends absolument pas le choix de réalisation, de scénario pour toute a fin du film (voix of).
Je pense qu'il est en temps normal pas facile d'être réalisateur et acteur de son propre film et je pense sincèrement qu'il n'aurait pas fallu qu'ils jouent leurs propres rôles. Mais dans ce cas, j'ai envie de dire que chacun gère sa tête comme il le peut et respecte donc leur choix.
Mais s'il vous plait arrêtons cette hypocrisie! Ce n'est pas parce que c'est autobiographiquement dur et que leur combat est admirable que l'on doit forcément trouver cela formidable!
Je suis sûr qu'ils peuvent le comprendre.
Le pitch est touchant. Cette famille à vécu une période très dure et difficile.
C’est après avoir vu ce joli couple sur un plateau de télévision que j’ai eu envie de voir leur histoire. Il était évident que ces deux-là se sont aimés et s’aimerons surement toutes leur vie. Quelle déception !
Loin de moi l'idée de blesser qui que se soit mais je n'ai rien aimé de ce film. Il me fait penser à un premier film de fin d'année d'un élève de directing. Les cadres ne sont pas beaux, des champs/contre-champs qui ne fonctionnent pas… Je suis désolée encore une fois mais le jeu des acteurs est vraiment mauvais (surprenant de la part de certain) au point qu'il m'est arrivée plusieurs fois d'éclater de rire! A aucun moment dans le jeu nous retrouvons leur amour. C’est vide. Rien ne nous prend aux tripes. De plus, nous ne pouvons nous attacher à l'enfant car le montage, la réalisation, le choix des scènes ou que sais-je, ne nous montre le lien qu'ils ont avec leur enfant!! Tout ceci nous laisse sur le bas coté.
Tout est abordé sans aller au fond des choses, juste en superficie.
Et alors vraiment je ne comprends absolument pas le choix de réalisation, de scénario pour toute a fin du film (voix of).
Je pense qu'il est en temps normal pas facile d'être réalisateur et acteur de son propre film et je pense sincèrement qu'il n'aurait pas fallu qu'ils jouent leurs propres rôles. Mais dans ce cas, j'ai envie de dire que chacun gère sa tête comme il le peut et respecte donc leur choix.
Mais s'il vous plait arrêtons cette hypocrisie! Ce n'est pas parce que c'est autobiographiquement dur et que leur combat est admirable que l'on doit forcément trouver cela formidable!
Je suis sûr qu'ils peuvent le comprendre.
Une très belle histoire. C'est très touchant mais c'est normal avec un tel sujet. Après j'ai quand même un petit de mal avec la manière de réaliser de Valérie Donzelli. Un très bon film mais ce n'est pas un gros coup de cœur non plus.
Alors que "La Guerre est déclarée" propose un très bon scénario, sur un sujet difficile mais très bien traité, j'ai eu quelques difficultés à accrocher à la forme et au mode narratif employé. De ce fait, au lieu de m'attacher à l'histoire en tant que telle (que j'ai trouvé juste et profonde), je n'ai pas arrêté de me poser des questions sur les choix pris par la réalisatrice... Toutefois, le film est réellement bon et il plaira aux amateurs du genre.
Ce film se passe de commentaire, bien sûr on relèvera quelques petits défauts, mais sa force emporte tout.
Un beau jour au début de ce XXIème siècle, les troupes américaines envahissent l'Irak, en même temps qu'une tumeur envahit le cerveau d'Adam. A l'amour comme à la guerre. C'est une rage à transcender dont parle le couple Donzelli-Elkaïm ; la guerre est métaphorique pour eux, réelle ailleurs, mais c'est dans les deux cas quelquechose qui tonne et qui foudroie. Le film ne se sert d'aucune occasion pour relier ce combat quotidien au combat armé car l'image n'est finalement là que pour soutenir une idée, celle d'un simple film d'amour. Au début, Roméo rencontre Juliette au coeur d'une soirée parisienne. Tout va vite, ecsta, baiser, ballades, amour naissant, vie commune et naissance d'Adam face à "L'origine du Monde" de Courbet. En un zapping rythmique d'une belle habileté, Donzelli installe un couple à l'écran, vivotant une passion amoureuse qui va connaître sa vraie nature lorsque le bébé commence à montrer des signes de dysfonctionnements. La tâche cinématographique est doublement lourde : c'est le sujet que tout le monde évite, que beaucoup ratent, et qui plus est le mélodrame que l'on voit est aussi une catharsis pour Donzelli-Elkaïm qui racontent, certes avec fantaisie, leur propre histoire. Difficile de rentrer dans cet objet de cinéma tant il touche à l'intime, à l'histoire personnelle. La place du spectateur y est trouble car, pour peu qu'il soit mis à l'écart des épreuves humaines que traversent les protagonistes, notamment pour la simple raison que tout le monde n'a pas vécu ça, rien ne vient le prendre réellement par les mains pour l'accompagner dans la danse. La limite du film est, paradoxalement, sa vérité, et ses vertus sont dans la tricherie des sentiments, dans la fantaisie autorisée par les acteurs-auteurs-réalisateurs face à la réalité. Plus le couple s'éloigne de la reconstitution morbide et infiniment triste en mettant de côté tout pathos, plus le film est réussi. Les bribes de poésie pure sont puissantes, le théâtralité volontaire des séquences où les personnages perçoivent en eux le drame, le vrai, sont en revanche moins convaincantes tant elles rejouent le malheur des autres. "La guerre est déclarée" est avant tout un film sur l'énergie et l'équilibre d'hommes et de femmes face au désastre. Donzelli joue sur les matières cinématographiques et fait de son film une petite invention de styles, de tons, de contrastes dans lesquels Roméo et Juliette titubent. On y chante, on y danse, le gris vire au rose, le désespoir à la joie, l'immobilité à la course, la vérité au mensonge, l'économie à l'esthétisme. La force du métrage réside là et nulle part ailleurs, dans sa façon d'être multiplié sur un même point dramatique. C'est aussi un film qui élève sans insistance le rôle des médecins et infirmiers à celui de Dieux. Les hôpitaux, en apparence décrépis et déprimants, sont filmés comme des temples immenses où s'érige le culte de l'espoir. Il va sans dire que cette oeuvre de joie est d'une importance capitale pour toutes les personnes qui vivent ce désert tragique et cette peur de la perte. Il est pour tous les autres au moins recommandable par l'énergie qu'il déploie, la beauté savoureuse des humains qu'on y voit et la prévention du jour où nous devrons nous tenir ardemment au chevet de nos intimes semblables. Car les guerres sont éternelles.
Noir. Le "rideau" se lève peu à peu. Dans le cadre, des jambes se pressent. Des pas résonnent contre un sol blanc. Lisse. Enfin, le titre paraît, écrit en grosses lettres rouges, accompagné d'un majestueux son : déjà, la guerre est déclarée, solennellement, en plus. Au fur et a mesure, des gommettes pailletées apparaissent sur l'écran, des lumières mauves sucettes illuminent les personnages, des sons étranges noient les images : c'est la couleur de la vie, du moins celle qu'elle devrait prendre, chaque jour, quoi qu'il en coûte. Il s'appelle Roméo. Elle s'appelle Juliette. A eux deux, ils sont l'amour, la passion. Les protagonistes ne sont pas des personnages : ce sont des images, des représentations, sensées incarner naïvement tour à tour l'amour, la colère, la joie, la tristesse. Le film à un côté amateur, dans son interprétation surtout et ses effets un peu désuets de la mise en scène (Voix off chiante, zoom sur le téléphone...) La forme, parfois à revoir, donc, semble écrasée par le fond, qui lui charme, littéralement. L'histoire émeut, mais d'une autre manière, cette fois. Pas de pathos, pas de plans fixes noyés dans les larmes, justes des images, des souvenirs, fulgurants, explosant à chaque plan. Le film semble tout le temps être une fleur rose qui éclot soudainement, une cerise rouge vif que l'on aime déguster, sucrée comme il le faut. Donzelli se permet tout : ellipses narratives, accélérations abruptes ou dilatation du temps, essaye différent morceaux de musique comme une ribambelle de nouvelles robes. Elle offre à son histoire terrible toute la valeur du cinéma, qui semble respirer à chaque seconde, nourri par des effets stylistiques qui permettent à la poésie de s'insuffler. Morceaux pop étranges et fun cohabitent avec du classique pur : cela déroute, dérange, agace parfois, mais ne cesse jamais d'attirer la curiosité. La trame du récit, d'abord linéaire puis craquelée en saynètes dispersées comme un puzzle, est intéressante et audacieuse. Sorte de chewing-gum élastique et parfois franchement marrant où le temps s'étire dans des ralentis déroutants, La guerre est déclarée sent le bonheur à plein nez.. L'objet, cinématographique avant tout, parvient à dépasse la fonction de simple film : c'est un tableau de vie où les couleurs éclatent comme dans un tableau de Van Gogh, où le soleil tape, les feuilles tombent, le combat perpétuel des hommes, leur espoir, leur amour, fait perdurer l'envie de vivre, la seule qui combattra la mort. La mort et la vie, éternelles et curieuses oppositions : Donzelli le crie, le hurle : entres elles, c'est décidé ; la guerre, est déclarée. 17/20
Je n'arrive pas à comprendre comment ce film a pu être encensé à ce point là. Je n'ai même pas pu le finir tant il était ennuyant. Tout dans ce film fait "trop". Des scènes de chant pas terrible à la réaction du père,de la mère, de la famille
spoiler:
après avoir appris la tumeur du fils
, totalement exagérée, surtout pour le père, que ça en devient ridicule. Ca ne parvient pas à toucher ni même à émouvoir. L'emploi de grands classiques musicaux est aussi de trop, ils ne collent pas au film. On dirait que la réalisatrice les a placés n'importe comment. Et comme si ça ne suffisait pas, les acteurs principaux ont un jeu franchement pas terrible. Rien dans ce film ne m'a permis d'accrocher. Le scénario est vide, l'histoire sonne creux. Bref, il m'avait été conseillé par une amie et j'ai été vraiment déçue.
, totalement exagérée, surtout pour le père, que ça en devient ridicule. Ca ne parvient pas à toucher ni même à émouvoir. L'emploi de grands classiques musicaux est aussi de trop, ils ne collent pas au film. On dirait que la réalisatrice les a placés n'importe comment. Et comme si ça ne suffisait pas, les acteurs principaux ont un jeu franchement pas terrible. Rien dans ce film ne m'a permis d'accrocher. Le scénario est vide, l'histoire sonne creux. Bref, il m'avait été conseillé par une amie et j'ai été vraiment déçue.
ManoCornuta
J'appréhendais quelque peu le film, redoutant surtout une charge de pathos déversée à longueur d'images. Au final, on y échappe et c'est tant mieux: sans être aussi bouleversant que ce que les critiques ont pu en dire, c'est néanmoins un bon film traitant avec doigté un sujet pour le moins délicat et casse-gueule. Tout repose sur les épaules du couple Elkaïm-Donzelli, dont la complicité crève l'écran. On regrettera certaines options prises, notamment dans le côté très "clipesque" qui par moments donne le sentiment d'effleurer au lieu de nous faire entrer dans les affres du quotidien vécu par le couple.
On ne peut pas plaire à tout le monde, mais ce film est tout de même excellent. De part son histoire, qui nous relate le courage et l'amour d'un couple face à d’innombrables difficultés que peu d'entre-nous serions à même à surmonter. D'ailleurs, ce film nous amène à nous demander si nous serions aussi fort qu'eux ? Comment nous réagissons comparé à eux ? Valérie Donzelli, très bonne actrice ici et scénariste, nous propose son histoire d'amour, ses difficultés et ses plaisirs. Cette femme nous montre que rien n'est simple mais qu'avant tout il faut vivre. La bande son est justement très bien implantée dans le film pour accentuer cet effet de bien être éternel. Car il faut vivre et dépasser les problèmes. Une belle histoire d'amour. La scène finale en laissera plus d'un bouche-bé (moi le premier). Le choix de la caméra simple donne au film un réalisme inattendue. On en redemande.
Quelle fièvre contagieuse parmi les critiques , quelle mouche les a suffisamment endormis pour crier au chef d'oeuvre au point de rameuter les spectateurs sur "un des meilleurs films de l"année" Le résultat obtenu par le film tient à son sujet le reste ne peut être que la déception :les acteurs jouent faux , le parti pris du choix des prénoms et des situations ffestives créée plus de ridicule que de magie On frôle l'outrance heureusement que l'on est focalisé sur le devenir de l'enfant
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