Avis : Fast & Furious 6 - Page 2

Le film se laisse regarder avec son cocktail action humour mais le scénario est bancal et il y a un peu trop de surenchère dans les scènes d'action, cependant en regardant Fast And Furious on sait à quoi s'attendre.

J'ai envie de dire… reviens JMT reviens !!!! John Mc Tiernan est le seul vrai Last Action Hero (autoproclamé il est vrai, mais à juste titre), le roi du film d'action car il savait comme personne rendre intelligible un lieu complexe et le déroulement d'une action dans les moments les plus survitaminés de son intrigue... Ici, il manque hélas ce don de rendre tout fluide et intelligible, et donc jouissif... Au contraire, ça fait plutôt mal aux yeux et à la tête en plus d'être débilitant… Défourailler à gogo ne suffit pas à produire du bonheur chez le spectateur ou alors ça se saurait !

Après un 5ème opus pas mal du tout, le 6 revient, mais est-ce vraiment Fast and Furious? Plus trop en fait parce qu'au départ le film c'est course de voitures et histoires un peu banales mais attachantes, mais là... C'est un peu du Expendables, on sort les tanks, les armes lourdes etc... Les dialogues sont vraiment peu élaborés et les situations assez clichées. Dommage

J'ai trouvé que la dernière demi-heure était tellement top qu'on oublie ce qui s'est passé avant. On repart avec une bonne impression du film même si 30 min sur 2h c'est pas super. Il n'y a pas tant d'actions que ça par rapport au trailer
La storyline avec Letty est pas géniale non plus..
Et puis au moins spoiler: on nous refait l'histoire avec cette scène post-crédits de Tokyo Drift

A Justin Lin (Réalisateur des Fast & Furious ) STOP, maintenant tu te calmes, et tu t'arrête. 6 episodes c'est déjà bien.
Nous sommes cons, je te l'accorde, mais les explosions, les bagarres et les courses de rue ne nous duperont plus longtemps.
Néanmoins les bons (et même Très Bons bientôt) acteurs te sauveront toujours.
Alors continue finalement...
Ps : 1 - 2 - 4 - 5 - 6 - 3, et J**** S****** arrive pour tous vous marave !

A force que le temp passe ,les scenarios s'estompent même un amateur du genre commence à se lasser. Des renversements de situation digne d'une grosse fatigue d'écriture!! On veut de la vitesse avec de bons pilotes ,donc, trouvons un scenario autour de ce sujet.6 ça commence à faire lourd, tout comme le rôle de Tyrese Gibson (Roman Pearce).

Après avoir traqué sans relâche Dom, Mia et Brian, Luke Hobbs (de la Sécurité Diplomatique) s’était allié à eux pour mettre la main sur Reyes (dans le 5ème opus). Après leur avoir laissé une chance de s’enfuir, ces derniers se sont exilés pour vivre une retraite bien méritée, jusqu’à ce que Hobbs ressurgisse pour cette-ci, leur demander leur aide pour coincer un groupe de redoutables chauffeurs mercenaires.

6ème opus de la franchise, toujours réalisé par Justin Lin (pour la quatrième fois), où l’on retrouve une fois de plus l’intégralité du casting, ainsi que le grand retour de Michelle Rodriguez (laissée pour morte dans le 4ème chapitre et qui apparaissait dans une scène post-crédits du 5ème volet).

Après le virage amorcé avec le précédent opus, la saga continue de s’éloigner de l’univers beauf et machiste du tuning pour celui du film d’action pur et dur. 120 min bourrines et de surenchères, d’action invraisemblable, d’explosions et de tôles froissées. Il est bien loin le temps du tout premier opus il y a 12ans, avec ses bagnoles hideuses aux couleurs criardes et où les mecs se la jouaient caïds aux volants de leurs voitures pimpées. Une époque lointaine et révolue puisque désormais, la franchise F&F joue dans un tout autre registre et y trouve son compte (à en voir ses résultats ahurissants au box-office). Si le précédent opus se rapprochait des films de braquage, il est intéressant de voir ici à quel point ce film lorgne du côté d’Expendables (pas pour le côté "retrouvaille de vieux soixantenaires" mais plus pour le côté "réunion de potes" pour s'attaquer au vilain de service).

Résultat, on se retrouve avec un film calibré et parfaitement dosé pour nous faire tenir durant deux longues heures. Des scènes d’action éparpillées ici et là, quelques fusillades et autres courses-poursuites, agrémentées de quelques séquences dantesques telles que la scène sur l’autoroute avec le tank ou celle avec l’Antonov 124 (d’ailleurs, il serait judicieux de savoir combien mesurait la piste de décollage, car la séquence dure près de 15min durant lesquelles l’avion roule à toute berzingue, avec derrière lui, des bolides qui le colle au train et ce, sans jamais atteindre le bout de piste, comme si cette dernière mesurait 30km de long, alors qu’en générale, une piste n’excède pas les 5km). Bien évidemment, ce genre d’invraisemblance le réalisateur s’en moque, idem pour les spectateurs qui ne souhaitent ici qu’une chose, en prendre plein les mirettes tout en se goinfrant bêtement de pop-corn.

Donc si l’on fait abstraction de ces quelques élucubrations (sans parler du retour aux États-Unis de Brian, qui parvient à intégrer une prison et à en ressortir les yeux fermés alors qu’il est recherché par le FBI…), le film fait le job et coche toutes les cases de l’entertainment. Ça divertit bêtement, c’est régressif et on ne voit pas le temps passer, que demander de plus, surtout lorsque l’on sait quel style de film on s’apprête à voir.

A noter enfin, que la scène post-crédits qui nous renvoie à F&F : Tokyo Drift (2006) avec l’accident de Han Lue. Une scène qui a été modifiée afin d’y inclure Jason Statham (qui apparaît dans la franchise à partir du chapitre 7).

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Sincérement le seul Fast and Furious qui m'a épaté c'est Tokyo Drives qui est le plus réaliste et juste meilleur de toute la saga , a part , rien ne m'a épater est de loin celui ci , voyant ce film avec mon voisin qui est un fan ultime de cette saga , je me suis ennuyé d'un ennuie que je voulais juste le baffer en le montrant qu'il n'a aucun gout et d'aller voir un épisode de barbie ou de clochette ca fera bien mieu que cette bouse , ca ne ma pas surpris peut-etre meme que Flash Mqueen est bien plus rapide ...

Plus ça avance plus j'ai l'impression d'aller voir un épisode lambda d'une série : histoire, schema du déroulement, cascades. Tout est déjà vu comme un concept dont on démultiplie l'idée a l'infini. A la télé je veux bien, mais au ciné je suis sûr qu'on peut faire mieux que ça.

Ce nouveau numéro de claquette s en sort avec les honneurs : histoire banal, acteurs dans leur botte mais un certain plaisir se dégage en regardant ce film.

"Fast & Furious" est l'une des rares longues franchises a s'être bonifiée avec le temps. Les premiers opus, constituant de fades et prétentieux défilés de voitures tunées et de bimbos vulgaires, ont mué avec le cinquième volet en film de braquage appréciable. Ce "Fast & Furious 6" poursuit sur cette lignée, puisque cette fois l'équipe de Vin Diesel et Paul Walker doit s'allier aux autorités pour arrêter un gang bien plus dangereux qu'eux. La profondeur du scénario n'est clairement pas le premier souci de Justin Lin. L'intrigue est basique, mise à part quelques protagonistes, les personnages se limitent à des stéréotypes, et on compte plusieurs invraisemblances. Toutefois, il serait malhonnête de cracher sur des scènes d'action nombreuses et divertissantes. S'il on échappe pas à quelques crétineries, et à une séquence de course de rue accompagnée du bling bling visuel et musical qui va avec, l'ensemble se laisse regarder sans mal, et ne manque pas d'idées, entre une poursuite avec un tank ou un avion. Ainsi, loin de l'ersatz tape-à-l’œil de "Point Break" qu'était le premier volet, "Fast & Furious 6" est un film d'action honorable.

Ce qui est bien avec la saga « Fast and Furious » c’est qu’on retrouve toujours la même chose (ou si j’étais méchant : la même merde !), du coup on n’est ni désarçonné, ni déçu (sauf évidemment si on ne supporte pas ce genre de cinéma…). On reprend la même équipe d’acteurs et de réalisateur et on retourne le même film d’action dans un pays différent avec un scénario aussi peu inventif que possible et juste bon à insérer le plus de course poursuite de voitures (customisées et puissantes évidemment). En réalité, je ne trouve pas ça si désagréable et cela constitue presque un plaisir coupable et, chaque fois je dois avouer, j’y trouve mon compte ; après tout au bout 12 ans et de 6 numéros on sait à quoi s’attendre, on ne peut donc pas se plaindre de ce qui nous est proposé. En fait les seuls éléments qui m’agacent véritablement dans cette saga, c’est cette volonté de faire très grand public et donc de vouloir rameuter, en plus du public masculin jeune, les femmes voire les pré-ados. Du coup le scénario inclut lourdement sa dose de romance clichée et insipide et un humour à deux centimes digne d’une cours de récrée ; franchement ce sont de toutes les séquences du film les plus ratées et surtout les plus insupportables. De grâce que les scénaristes se concentrent sur l’action, ils le font avec assez d’efficacité, et abandonne ces deux aspects vraiment exaspérants et qui en plus de ne rien apporter au film ralentissent l’histoire. Bref une énième mouture de l’une des sagas les plus rentables du cinéma qui a défaut d’inventivité (ricanement…) nous offre notre ration d’action échevelée sans culpabilité aucune. Si vous aimez le genre foncez, si vous abhorrez ce genre de cinéma fuyez ; enfin vous connaissez quoi…

Le sixième film de la Saga à des qualités à faire valoir. L'action est de la partie, comme toujours mais cette fois-ci le cursus est encore un poil plus haut. Cette séquence sur le tarmac de nuit est je crois sa représentation la plus rocambolesque depuis le début.

En revanche niveau scénario on se trouve aux bords du précipice. spoiler: L'amnésie de Letty ... Sérieux ?
Le constat s'applique avec le casting qui après un net regain dans le cinquième film se répète quelque peu. Fast & Furious 6 régresse en comparaison avec son prédécesseur sur d'autre sujet tel que l'humour. Exception faite de cette bagarre Han / Roman contre le sbire de Shaw. spoiler: En ce qui concerne Han le parallèle avec Tokyo Drift est judicieux et contextualise bien les choses. Est-ce que pour autant il fallait faire disparaître Gisèle ? Son éviction est frustrante. Là encore la mort de Vince refermais un chapitre et trouvait une fin raccord avec l'histoire mais concernant cette dernière ...


Pour conclure cette critique disons que le film est relativement bon mais moins bien ... Et en cela il est difficile de vraiment se régaler avec pareil long métrage.

ce n'est pas le style de film que je vais voir habituellement mais c'est du vrai bon ciné. certes c'est aberrant et complément irréel mais c'est très sympa. on se laisse envoler par toutes ces voitures qui volent et pas seulement les voitures. on se détend et ça fait du bien

Née au début des années 2000, la saga rapide et furieuse est partie de courses de rues pour beaufs ayant mauvais goût à des polars à base de braquages où la voiture, devenue de collection, était le point central. La rénovation s'est faite au 4ème volet après un troisième atteignant le summum du ridicule et du navet cinématographique. Le 5ème volet, indubitablement le meilleur, réussissait le pari qui n'avait pas été tenu dans The Expendables : réunir un casting de gros bras musclés pour le meilleur, avec notamment l'arrivée de Dwayne "The Rock" Johnson. Priorité était donnée à l'intrigue, et les courses poursuites accompagnaient le récit, et non l'inverse. Dans ce nouveau film, on redescend d'un étage. Premièrement parce que le scénario ne tient pas aussi bien la route, et secondement parce qu'on repasse en mode "priorité bagnoles". Sauf que les courses sont fort mal filmées, à en vomir ! Il va falloir dire une bonne fois pour toute que quand les poursuites de voitures sont accélérées au montage, ça se voit, et c'est moche ! Les propriétés physiques élémentaires ne sont plus respectées, et ça donne des trajectoires totalement rocambolesque, et surtout ridicules. On retrouve aussi un côté "je prépare la réplique de la mort qui tue 5 minutes avant de la placer" ; oui, mais on avait compris, et c'est trop tard... Une grosse déception renforcée par Jason Statham qui apparaît en fin de film en surjouant un max, ce qui renforce le côté bling-bling du film.