Avis sur Fast & Furious 6

C'est reparti pour un sixième volet avec un agrèable mèlange d'invraisemblance. « On est poussè à faire des choses parce qu'on a la foi » dixit « Dom » Toretto / Vin Diesel! N'en dèplaise aux dètracteurs, on ne s'ennuie pas en voyant ce film d'action, surtout dans la seconde partie! Evidemment comme tout bon « Fast and Furious » qui se respecte, les sèquences d'action dèmènagent! Les scènaristes de la franchise ne sont dècidèment pas à court d'idèes! Avec des cascades plus impressionnantes les unes que les autres! Ce qui permet de multiplier par deux toutes les poursuites spectaculaires (il faut le dire infaisable dans la vie de tous les jours) qui font le succès de ce genre de spectacle : un tank mord de faim sur une autoroute et un avion lancè à pleine vitesse sur une piste! Avec les consèquences que cela sous entend au niveau des carcasses de voitures et de taules froissèes! On voit aussi les limites du genre! il y a bien sûr un public qui marche à fond les balais, qui y croit, et qui, les yeux fermès si l'on peut dire, est prêt à admirer tous les prodiges dont les surhommes Vin Diesel, Paul Walker et Dwayne Johnson sont capables! Mais il y a aussi, et c'est heureux, le public qui se lasse des recettes, et qui, ne serait-ce que par goût de la nouveautè, demande « autre chose » . La mort de Paul Walker en 2013 permet quand même à la franchise « Fast and Furious » d'être plus que jamais au top! Même si "Fast and Furious 5" reste pour le moment le meilleur volet de la saga! Dernière recommandation : ne manquez pas le gènèrique de fin qui nous met dèjà dans l'ambiance du septième opus! Opus qui s'annonce èmouvant avec la disparition d'un acteur parti trop tôt...

Ce 6e et dernier en date est comme les précédents vraiment excellent peut être un peu en dessous du 5 mais faut vraiment chercher la petite bête. Le 6e continue son changement de style comme pour le 5 avec au casting la même équipe et un film plus porté sur l'action que simplement un film de voiture. Le scénario est une fois très bon même si un peu plus prévisible que pour le 5 pour le reste c'est du très bon des scènes à couper le souffle et un final peut être pas crédible mais vraiment impressionnant.

Après avoir traqué sans relâche Dom, Mia et Brian, Luke Hobbs (de la Sécurité Diplomatique) s’était allié à eux pour mettre la main sur Reyes (dans le 5ème opus). Après leur avoir laissé une chance de s’enfuir, ces derniers se sont exilés pour vivre une retraite bien méritée, jusqu’à ce que Hobbs ressurgisse pour cette-ci, leur demander leur aide pour coincer un groupe de redoutables chauffeurs mercenaires.

6ème opus de la franchise, toujours réalisé par Justin Lin (pour la quatrième fois), où l’on retrouve une fois de plus l’intégralité du casting, ainsi que le grand retour de Michelle Rodriguez (laissée pour morte dans le 4ème chapitre et qui apparaissait dans une scène post-crédits du 5ème volet).

Après le virage amorcé avec le précédent opus, la saga continue de s’éloigner de l’univers beauf et machiste du tuning pour celui du film d’action pur et dur. 120 min bourrines et de surenchères, d’action invraisemblable, d’explosions et de tôles froissées. Il est bien loin le temps du tout premier opus il y a 12ans, avec ses bagnoles hideuses aux couleurs criardes et où les mecs se la jouaient caïds aux volants de leurs voitures pimpées. Une époque lointaine et révolue puisque désormais, la franchise F&F joue dans un tout autre registre et y trouve son compte (à en voir ses résultats ahurissants au box-office). Si le précédent opus se rapprochait des films de braquage, il est intéressant de voir ici à quel point ce film lorgne du côté d’Expendables (pas pour le côté "retrouvaille de vieux soixantenaires" mais plus pour le côté "réunion de potes" pour s'attaquer au vilain de service).

Résultat, on se retrouve avec un film calibré et parfaitement dosé pour nous faire tenir durant deux longues heures. Des scènes d’action éparpillées ici et là, quelques fusillades et autres courses-poursuites, agrémentées de quelques séquences dantesques telles que la scène sur l’autoroute avec le tank ou celle avec l’Antonov 124 (d’ailleurs, il serait judicieux de savoir combien mesurait la piste de décollage, car la séquence dure près de 15min durant lesquelles l’avion roule à toute berzingue, avec derrière lui, des bolides qui le colle au train et ce, sans jamais atteindre le bout de piste, comme si cette dernière mesurait 30km de long, alors qu’en générale, une piste n’excède pas les 5km). Bien évidemment, ce genre d’invraisemblance le réalisateur s’en moque, idem pour les spectateurs qui ne souhaitent ici qu’une chose, en prendre plein les mirettes tout en se goinfrant bêtement de pop-corn.

Donc si l’on fait abstraction de ces quelques élucubrations (sans parler du retour aux États-Unis de Brian, qui parvient à intégrer une prison et à en ressortir les yeux fermés alors qu’il est recherché par le FBI…), le film fait le job et coche toutes les cases de l’entertainment. Ça divertit bêtement, c’est régressif et on ne voit pas le temps passer, que demander de plus, surtout lorsque l’on sait quel style de film on s’apprête à voir.

A noter enfin, que la scène post-crédits qui nous renvoie à F&F : Tokyo Drift (2006) avec l’accident de Han Lue. Une scène qui a été modifiée afin d’y inclure Jason Statham (qui apparaît dans la franchise à partir du chapitre 7).

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Outre le casting habituel connu il faut saluer celui de l'équipe adverse, presque aussi charismatique que nos héros. La mise en scène s'affûte encore, Justin Lin qui n'a rien fait de valable à part cette saga se fait la main et touche ici une qualité certaine. Si le scénario est extrêmement efficace il est cependant dommage que plusieurs incohérences (pour ne pas dire invraisemblances) s'immiscent dans le récit... Pêle-mêle, blondinet (toujours aussi fade Paul Walker) qui fait un retour (normalement) à très haut risque sur le sol américain mais qui s'en sort les doigts dans le nez, notre revenante normalement amnésique mais qui semble dès la première rencontre l'être moins au point de râter une cible pourtant évidente, un sauvetage en double saut trop improbable, une piste d'aéroport vraiment interminable... Des détails plus ou moins flagrants qui gâchent un peu l'ensemble qui impressionne quand même une bonne partie du film. Un film d'action sous adrénaline qui en mets plein les yeux, aux duels (humains ou mécaniques) souvent époustouflants et qui marque le tempo de quelques pointes d'humour plutôt sympa. Néanmoins faut pas gâcher le plaisir le niveau pour un n°6 est sans équivalent.
Site : Selenie

Après la fuite des plus belles pour Dom et son équipe, nous les retrouvons en partance pour Londres. Ce sixième volet pour Fast & Furious, nous l'attendions parce qu'après un volet fou en plein Rio, le reste promettait à venir. Crissement de pneu qui se confirma dès la bande-annonce lors du Super Bowl. Continuons, alors que certains préfère malgré tout le précédent volet, pourtant et concrètement, ce Fast 6 va encore plus loin sur le plan des cascades pure, que cela soit matériel ou bien physique, l'histoire quand à elle est plus mature, elle comporte moins de faiblesses. Le générique de début roule sur le "rappel" , ce qui donne un diaporama d'images des anciens volets (du 1er au 5ème), qui encourage déjà notre enthousiasme de vite rentré dans les nouveaux dénouements de la bande furious après cette nostalgie. Le retour de Letty (Michelle Rodriguez), super Luke Evans qui joue le méchant et le personnage de Gal Gadot spoiler: elle meurt à la fin !!!! i miss you !!!
. Le casting s'empare aussi de Gina Carano (combattante de MMA). Bref, le film part dans le principe pompage de votre réservoir d'essence ainsi que de donner un gros spectacle nerveux.

Critique amputée à cause de la limitation en caractères.
J'ai commencé la série avec le dernier opus en date Fast 5 et si je me souviens bien je voulais faire la sieste devant, mais j'ai finalement vraiment trouvé ça cool (à mon grand regret). J'ai fini par voir tous les autres opus sauf le 4 (je regrette de l'avoir raté hier soir sur NRJ 12, ah la TNT, toujours là pour passer des chefs d'oeuvres) et j'avoue que si le 5 est le meilleur j'ai également un petit faible pour le 3 qui n'était pas totalement nul en assumant le côté keke, virant le côté crypto gay pour livrer un film classique mais efficace.

Je dois dire que j'ai beaucoup aimé la façon dont le film se lance. The Rock, qui est quand même le meilleur personnage du film, se pointe demande à Diesel de venir avec lui, il dit oui et son pote (qui a enfin un peu de charisme, parce que dans les 2 premiers c'est juste pas possible, il y a des lois contre tant de laideur) qui vient d'avoir un fils avec sa soeur veut venir, et il ne se dit pas : "non, il est papa, faut qu'il arrête les conneries", idem sa femme ne se dit pas : "putain non il reste avec moi". C'est illogique au possible, mes yeux ont saigné, mais finalement c'est mieux ainsi, on évite la merde, on va direct au but. Idem dans la première scène post générique on voit Vin Diesel qui pense à son ex soit disant morte et sa copine actuelle lui dit : "vas-y". ARRRGGGGGG mais jamais une fille ne dira ça, elle deviendra hystérique !!! Elle cassera des trucs. Elle insultera. Dira qu'elle aurait dû écouter sa mère. Des trucs comme ça. Mais encore une fois, on évite les drames et les dialogues pseudos sérieux dit par un mec incapable de jouer (oui Monsieur Diesel, c'est de toi que je parle).

Le film met peut-être un peu de temps à réellement démarrer, mais je dois dire que c'est vraiment sympa tout comme le 5°, sans être une redite. On enchaîne les gags qui font mouche (oui oui), alors c'est toujours super lourds, mais j'avoue avoir bien ri lorsqu'ils s'amusent à déshabiller un vendeur de voiture (oui ça reste crypto gay) ou lorsque le noir et Han se vannent. D'ailleurs j'ai bien apprécié le fait que le perso de Han soit un peu plus développé car je l'aime bien et ça annonce le Tokyo Drift, donc c'est pas plus mal.

En gros c'est un film qui assume d'être là pour la déconne qui n'a pas peur de la surenchère, la scène avec le tank sur l'autoroute, c'est énorme. Alors oui on a mieux film l'action, mais tout de même, c'est lisible, fun, drôle, un peu lourd, mais ça se regarde. Idem pour toute la séquence finale. Sauf que la séquence finale est complètement abusée on a un avion qui roule pendant 20 minutes sur une piste d’atterrissage. On y croit tous bien fort. Mais ça fait parti du truc. On s'en fout.

D'ailleurs tous les persos sont débiles. Je pense à la décision que prend le nouveau papa au beau milieu du film et qui ne sert à rien du tout. Juste à ajouter plus de n'importe quoi. D'ailleurs cette scène donnera une révélation sur un personnage. Je ne dis rien, mais c'est prévisible au possible. Mais bon si tu ne trouves pas, il est temps de te mettre au tricot, c'est que tu es gâteux.

D'ailleurs cette pseudo révélation conduit à quelque chose d'autre, le message immonde que sous tend le film : la famille.
Le méchant bien interprété par un acteur dont je ne suis pas forcément fan : Luke Evans oppose son méthodisme à la famille de Diesel et forcément, qui c'est qui gagne ? la famille.
Et à la fin on se retrouve bien pour dire les grâces. On a ce modèle bien américain qui est à vomir. Ok le mec c'est un "bad boy", mais dans le fond c'est un vrai américain, il aime les voitures puissantes (je ne peux résister à redemander ce que dirait Freud ?), la famille et il est croyant. Que dieu bénisse l'Amérique. RI-DI-CU-LE. Le pire c'est qu'un des seuls dialogue sérieux du film est autour de ça. Affligeant.

Bon je ne peux pas résister à l'envie de vous dire à quel point ce film est débile pour justifier la scène d'action final il fallait un prétexte, là c'est un otage. Sauf que ça n'a aucun sens de céder à son chantage. Mais absolument aucun. Ils sont tous complètement débiles. S'en est à se taper la tête contre le siège. Et pourtant ça amène à une scène tout à fait cool et bien foutue. Mais c'est dire à quel point le film n'est pas pensé une seule seconde. Ils en ont rien à foutre. Si on est lobotomisé ça fera peut-être illusion et si vous avez été pris au piège je conseille à nouveau le tricot.

Je dois dire que la scène du générique est plutôt cool et ça m'a donné envie de voir la suite (plus que dans un Marvel, en même temps en comptant FF6, la franchise compte deux bons films, ce qui est plus que les films Marvel).

Donc bon en somme si on a aimé le 5, on aimera le 6, c'est tout ce qu'on veut, c'est toujours aussi con, toujours aussi fun, mais l'effet de surprise a disparu, ben oui on s'attendait cette fois ci à un truc correct.

Mais bon, ça fait du bien de voir de la merde bien foutue pour une fois.

Justin Lin et la saga "Fast and Furious" reviennent à la routine avec ce 6ème épisode faiblard,qui contentera largement les fans tout en éreintant les autres. Si l'on apprécie que la "trame" suive la continuité des épisodes précédents,et que les acteurs d'origines soient tous là( Vin Diesel,Paul Walker,Jordana Brewster,Michelle Rodriguez), ce blockbuster vitaminé aux shots d'adrénaline ne s'écarte jamais de ses côtés pile(poursuites-automobiles en tout genre: piste d'aéroports,rues citadines) et face (humour basique lorsque la "famille" se retrouve). C'est tout à fait le genre de divertissement beauf,à même draîner le plus grand nombre,qui ressortent satisfaits du spectacle attendu. En y regardant de plus près,les raccords catastrophiques s'enchaînent,les dialogues et réactions des personnages sont extrêmement limités,avec pire que tout cette amourette tuning entre Dom et Letty. Bas du front.

Après un cinquième opus plutôt réussi qui parvenait à trouver son équilibre entre l'action et la vraisemblance, ce sixième opus ne se soucie pas une seule seconde de la crédibilité pour mieux nous offrir d'impressionnantes scènes d'action. Avec sa volonté de faire dans le spectaculaire et de donner une véritable dimension à son univers avec le retour de certains personnages, "Fast and Furious 6" fait plus fort que ses aînés quitte à être moins bien ficelé. Malgré tout, l'ambition du film est louable avec des personnages mis à rude épreuve, affrontant un Luke Evans relativement diabolique. Si au final, on n'en retient que les deux grosses scènes d'action, le divertissement est là ainsi que le plaisir de retrouver ces personnages auxquels on commence, mine de rien, à s'attacher.

Elle est de retour en grande forme. Après un quatrième volet en dessous, un cinquième revenu en forme, ce sixième opus met la barre encore plus haute. Gros muscles, baston, action, explosions, jolies petits lots et grosses cylindrées, les fans des précédents seront contents. Bien sûr, ce film ne fera pas de nouveaux adeptes, mais l'important c'est de satisfaire les fans, et là c'est le cas !!

Avant de parler du septième volet tout fraichement sorti dans nos salles, concentrons sur sur celui qui le précède, car il s'avère être, à mon goût, d'une certaine manière plutôt supérieur. Mais on reviendra sur le cas du suivant dans une bien prochaine critique. Alors, que penser de ce sixième épisode, outrez le fait qu'il est le premier volet de la saga dont on va parler sur mon blog? Tout le monde le sait, on ne regarde pas les "Fast & Furious" pour leur finesse mondialement reconnue, et reconnaissable entre tant d'autres. Non, je plaisante. Pour la fin seulement, vous l'aurez compris. Pas la peine de le souligner, n'est-ce pas? Bref. Alors, "Fast & Furious 6", qu'est-ce qu'il vat ce petit film? Déja, on va mettre les choses au point : il n'est clairement pas un petit film. Non, c'est le plutôt le genre "gros blockbuster bien bourrin qui vous fait saigner les oreilles au cinéma, vous explose les yeux de trop d'explosions à l'écran et en trop peu de temps, et vous fait prendre votre pied comme jamais". Ouah, j'ai plus de souffle. Et donc, sans rien en attendre de particulier, on ne peut qu'être surpris par la maîtrise évidente du truc : le scénario, bien que patissant de nombreuses incohérences, est franchement bien ficelé ( sans jamais décrocher des montagnes ou totalement patiner dans la simplicité la plus totale, il est entre les deux, comme dans un rétrogradage raté ), les acteurs s'y croient, l'action est de très bonne facture et la mise en scène est étonnement recherchée, efficace et pointue. Certes, ça vibre, mais c'est réellement, pour le coup, un choix artistique. Justin Lin fait un boulot incroyable ( pour un "Fast & Furious", j'entends bien ), et le résultat final ne peut qu'être encourageant pour le reste de la saga. Une première mise en scène réellement balaise qui inaugurera les débuts de James Wan, maître de l'horreur ( quoi que jeune ), dans le film suivant, une réalisation qui ressortira d'autant plus qu'elle sera encore plus recherchée, mais pas forcément plus maîtrisée. Mais on y reviendra plus amplement et avec, cette fois-ci, de réelles justifications. Concentrons-nous sur celui-ci, même si cela s'avère complexe. Les scènes de course sont presque parfaitement rendues, bien que certains plans s'avèrent assez foireux ( mais c'est un infime détail ), et celles de baston sont d'une redoutable efficacité : il serait vraiment, mais alors vraiment intéressant de souligner, ou de se remémorer, celle dans le métro, tout simplement géniale : d'une efficacité, d'un réalisme et d'une crédibilité sans failles. Vraiment, je m'y connais un minimum ( enfin non, j'estime m'y connaître un minimum dans ce genre de métrages ), et je peux vous assurer qu'elles sont d'une qualité certaine. Le temps est venu de nous concentrer sur les acteurs, et vous n'avez qu'une chose à retenir sur le cas : ils sont au top. Outre le casting originel ( pauvre Paul Walker ... ), on a surtout droit à une nouvelle prestation de Dwayne Johnson ( sa seconde dans la saga ) en soldat charismatique et plus qu'imposant, ainsi qu'à un bad guy de premier ordre : le génial Luke Evans. Trop peu connu des grandes foules, cet homme fait un travail d'enfer : en plus d'avoir une gueule qui ferait pâlir Schwarzy, il possède un réel charisme et un jeu assez peu commun. Froid et imposant de part sa seule présence, sa voix éraillée lui offre une aura de grandeur qu'il fallait absolument au bad guy de ce volet ci. Et ce sont principalement ces deux acteurs qui font également entrer la saga dans les grandes franchises : ils y apportent à la fois de la fraicheur et de l'épaisseur, lui fournissant leur présence et leur sacré gueule, en plus d'un jeu d'acteurs très agréable. On n'aurait pu rêver mieux pour s'opposer à l'équipe de Diesel et Walker. Mais bon, c'était avant Statham ... Le retour de Rodriguez fait plaisir, totu comme de revoir l'équipe ( presque ) au grand complet. Les dialogues, quand à eux, ne sonnent pas complètement faux, en tout cas moins de ceux de sa suite. Le scénar, bien qu'assez simple, est rudement efficace et la réalisation est de qualité, en plus d'un jeu d'acteurs qui y ajoute énormément, et de scènes d'action diablement réussies. Que demander de plus? Une dernière séquence tout simplement incroyable, qui m'a fait d'autant plus aimer la saga et cet épisode, et mérite le visionnage à lui seul, avec un caméo aussi innatendu que jouissif. Une fin magnifique et incroyable à laquelle nul n'aurait pu songer, et qui parvient à enfin faire le lien avec des épisodes obscurs de la saga, lui offrant non seulement un semblant de crédibilité, mais également et surtout une logique presque infaillible.

Fast & Furious 6 : Après un 5 épisode tout simplement énorme qui se révélé être le meilleur de la série car il y avait tous ce que on pouvait espérer d’un film d’action et d’un Fast & Furious. Donc, il était tellement excellent que c’est dur de faire mieux. Et bien, ce 6 opus réussit à faire aussi bien que le 5 épisode car il reprend les grands forces qu’a fait la série et ce 5 épisode (action, humour, réunion de toutes l’équipes de toute les épisodes, gros voitures…). Donc voila, ce 6 opus part encore une fois sur ce qui sait faire le mieux : divertir et maintenant, la série est devenu le maitre sans ce domaine car vraiment la série et cette épisode, c’est un des meilleurs films du genre car il a tout compris. Déjà, on retrouve ce qui fessait la grande force du 5 : la réunion de tous les personnages clé de toute la série. Vraiment, quel plaisir de retrouvé Toretto, O'Conner, Luke Hobbs, Letty, Mia Toretto, Roman Pearce, Tej Parker, Han… : enfin, on retrouve tous le monde. Et vraiment, c’est génial de retrouvé tous le monde (comme ça, pas de jaloux) et en plus, l’équipe tous en ensemble fonctionne du tonner : avec plein d’humour (qui fait souvent mouche) et chacun a son rôle a joué. Ensuite, niveau scénario : cet opus a la bonne idée de remettre les pendules a l’heure car a la fin, on sait ou ce situe chaque épisode de la série dans un ordre chronologique (surtout le Tokyo Drift qui se situe donc après le 6). Et, d’ailleurs petit parenthèse, resté jusqu'à la fin du générique, il y a une grosse surprise qui remet le film dans l’ordre et qui annonce le 7 ( spoiler: nouveau méchant : Jason Statham :
énorme) : j’ai hâte si le film est toujours d’aussi bonne qualité. Parenthèse fermé, donc l’histoire est toujours aussi sympa à suivre. C’est toujours un plaisir de revoir l’équipe en action et dans leur belle bagnole. L’histoire reste classique mais toujours aussi efficace entre suspens, scène d’action, rebondissement et suspense : ça ne s’arrête jamais et le rythme est endiablé. On reprend l’histoire la ou on l’avait laissé dans le 5, spoiler: c'est-à-dire la résurrection de Letty
et l’apparition d’un nouveau méchant qui va mettre notre équipe a rude épreuve. Donc voila, l’équipe va tous faire pour arrête le méchant (logique) et retrouvé Letty qui a tourné le dos a la famille de Toretto. Personnage que j’adore toujours car malgré ses gros bras, il a le sens de la famille… Et les personnages (l’équipe) est toujours aussi attachant et sympa a suivre. Ensuite, niveau réalisation, je souhaite dire un grand bravo à Justin Lin qui s’améliore d’épisode en épisode et qui passe à la vitesse supérieur au niveau de l’action. Vraiment, il maitrise la série et les scènes d’action à la perfection. Grâce a une mise en scène soigné et travaillé avec des plans de caméra magnifique et un montage travaillé (car on voit bien l’action) et souvent stylé (le générique du début est vraiment génial et résume a merveille la série). Et parlons-en de l’action : de plus en plus spectaculaire d’épisode en épisode. Ce qui fallait ce différencié par rapport aux 5 épisodes qui était énorme, c’était au niveau de l’action. Et bien, il on fait encore plus fort et spectaculaire. Les scènes d’action sont vraiment bien foutu et envoi le baquet : de plus, les scènes d’action dans cette opus vont crescendo, de plus en plus spectaculaire jusqu’au final tout simplement sensationnel et assure le grands spectacle. Donc bravo pour la réalisation, c’est du maitrisé, c’est du nerveux et bien filmé et moi je dis chapeau. Et puis, pour finir, on retrouve bien sur tous les acteurs qu’on adore : Vin Diesel, Paul Walker, Dwayne Johnson, Michelle Rodriguez et tous les autres bien sur. Et ils sont toujours aussi convaincants et sympa à voir. Donc voila, un film d’action qui atteint l’efficacité qu’avait instauré le 5 épisode. Vraiment, un épisode qui assure le divertissement et le grand spectacle avec beaucoup d'action, adrénaline et d'humour. Un des meilleurs films du genre, vraiment cette série a su trouvé sa bonne vitesse et moi je dis : vivement le 7 : j’ai trop hâte.

Il est certain que, de film en film, Justin Lin a su améliorer les mécanismes de la saga qu’il pilote depuis maintenant quatre épisodes. Aujourd’hui, alors que les producteurs lui laissent son dernier tour de piste en promettant à ses amateurs, à la manière des studios Disney avec leur pompe-à-fric Star Wars, une accélération des sorties à un rythme annuel, il se fait plaisir en réunissant l’ensemble des personnages de ses précédents films pour les mêler dans un scénario aux enjeux plus importants. En découle un équilibre parfait entre le film de voitures et le film d’action qui répond au cahier des charges des fans qui y trouveront une œuvre spectaculaire. Le public plus réticent n’y verra qu’un actionner sans aucun réalisme, à commence par cette absurdité scénaristique trouvée pour justifier le retour de Michelle Rodriguez ou encore la durée de la scène de l'avion qui imposerait une piste atterrissage d'une dizaine de kilomêtres, s’achevant sur une morale puritaine digne d’un clip de campagne du parti républicain mais dont les scènes d’action sont preuves d’audace assez divertissantes. Le tout s’achève par une petite scène nous laissant dans l’attente de sa suite qui s’annonce clairement comme une version motorisée d’Expandables…

Dès les premières minutes on sait ce que va être ce sixième opus de Fast & Furious. Un énième nanar de cascades de bagnoles dans un scénario à trois francs six sous. Y’a-t’il quelque chose qui vaille le coup ? Oui les courses poursuites et…rien d’autre. Foncez ou faîtes marche arrière mais vous savez très bien à quoi vous attendre.
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Beaucoup aimé le début avec des F1. Me suis un peu ennuyé sur le centre, puis le final comporte beaucoup d'action avec une piste qui se mesure en dizaine de kilomètres (Abused !)... Mais passons. La boucle semble bouclée pour Tokkyo Drift (Cf final) et on retrouve quelques moments familiaux bien sympas entre le début et la fin. Un bon film, même si j'ai préféré la version précédente.

Deux ans après le monstrueux cinquième opus, qui arrivait par on ne sait quel miracle à devenir l'épisode le plus intéressant de la saga, revoici Dominic Toretto et son crew pour une sixième aventure. Même équipe, même acteurs, différent méchant : la recette reste classique, avec comme toujours des éléments du passé qui viennent faire leur apparition histoire d'apporter son petit lot de "nouveauté" à un scénario mince comme une aiguille. Ainsi, il faudra s'armer d'une extrême indulgence face à ces rebondissements et autres situations à peine exagérées où en fait la fille qui était morte a survécu mais souffre désormais d'amnésie, où l'on peut s'infiltrer dans une prison de haute sécurité et se barrer comme si de rien n'était et où une piste d’atterrissage mesure 5 km de long. La pilule peut être dure à avaler mais dans l'ensemble, Fast & Furious 6 continue d'oublier le style tuning bling-bling à base de courses rébarbatives pour offrir au spectateur un thriller d'action avec un vrai gros méchant, des traitres en pagailles, des combats mano a mano virulents et des courses-poursuites dantesques et explosives. Bien sûr, on reste toujours dans l'exagération et la simplicité scénaristique la plus totale mais force est d'admettre qu'on y prend goût, la saga prenant ironiquement toujours plus d'ampleur. Le casting s'amoindrit mais demeure au contraire plus efficient (moins de personnages pour des personnalités un poil plus travaillées). Ainsi, la fine équipe se compose des deux leaders (Diesel et Walker), du comique de service (Tyrese), du geek indomptable (Ludacris) et des deux sidekicks amoureux (Sung Kang et Gal Gadot) faisant face à un bad guy machiavélique (Luke Evans, en manque de thunes) accompagné de sa horde de gros bras notamment composée de Joe Taslim (The Raid) et Michelle Rodriguez, qui revient donc après le cliffhanger du précédent film. Pour épauler la bande des gentils et pour apporter de la nouveauté surprenante, Hobbs (Dwayne Johnson au top du top, l'action man par excellence) et sa nouvelle partenaire Riley (Gina Carano) vont s'allier aux ex-brigands pour empêcher que les vilains fasse du grabuge. C'est con mais ça marche et, avec ce qu'il faut de bastons bourrines, de courses-poursuites effrénées et surtout d'un sens aigu du cadrage, Fast & Furious 6 s'avère être l'un des films d'action de l'année, surpassant aisément les come-backs ratés des vieux de la vieille.