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    Une Séparation
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    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    163 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Très bonne surprise et incroyable réussite pour un film iranien surfant sur les problèmes intra communautaire d'un pays en marge mais pourtant développé. "Une séparation" met un scène un couple en rupture avec une enfant adolescente et le père sénile du mari au centre malgré lui de toute la tension du couple et d'un incroyable imbroglio judiciaire. La justice, la condition de la femme et les traditions sont passés au crible dans un film d'une grande sincérité et extrêmement convaincant.
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 731 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2011
    C’est une plongée en apnée dans la société iranienne d’aujourd’hui que nous propose ce film. De la première image à la toute dernière (une toute dernière image à la fois toute simple et pleine d’émotion), on est captivé par l’histoire de ces deux couples : celui de Nader et de Simin des gens de la classe moyenne assez peu religieux qui de délite fil à fil et que rien ne semble devoir sauver et celui de Hodjat et Razieh, pauvre, religieux que les dissimulations et les mensonges vont briser comme de la porcelaine. Autant le dire, j’ai personnellement trouvé ce film très anxiogène dans le bon sens du terme, c'est-à-dire que l’enchaînement terrible des faits nous maintient sous une tension constante et on se dit qu’à tout moment, on peut sombrer dans le drame absolu. Au bout de 20 minutes de film, lorsque Nader rentre à la maison un peu en avance et qu’il trouve son père seul, attaché sur son lit et blessé et que la garde malade à disparu on sent tout de suite que le film bascule et à partir de là, l’angoisse nous prends au ventre pour ne plus nous lâcher. La société iranienne présentée ici est assez différente de l’image très tranchée que l’on peut en avoir en occident, une société où se côtoient dans une étrange harmonie la modernité et la religion, pour ne pas dire la superstition religieuse dans certaines scènes très déconcertantes pour les occidentaux laïcs que nous sommes. Le fonctionnement de la justice iranienne est assez déconcertant à observer aussi, sa dureté nous choque et pourtant elle fait des efforts louables pour être équitable, sans toutefois y parvenir vraiment. Si la réalisation est somme toute assez académique, l’interprétation est parfaite, avec une mention spéciale pour l’acteur principal, Peyman Moadi, qui interprète un personnage très attachant sans jamais tomber dans la facilité du héros parfaitement innocent accablé par les évènements. Non vraiment j’ai du mal à trouver un défaut à ce film…
    pitch22
    pitch22

    148 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2011
    Nader and Simin, a Separation : ours d'or à la 61e Berlinade, Sarina Farhadi (fille du réalisateur) ours d'argent de la meilleure actrice... plutôt mérités. Il y a le grand-père atteint d'Alzheimer et puis l'histoire qui l'englobe : divorce et conséquences collatérales... révélatrices des faiblesses humaines, qui atteignent tout le monde. Une Séparation ou quand le mensonge tord le coup aux beaux principes, d'ailleurs ridiculisés, puisqu'il faut faire avec. Farhadi exploite l'ellipse avec maestria et fait preuve d'une belle maîtrise dans sa direction d'acteurs, bien que la mise en scène reste sobre. On regrettera la relative lenteur du début et quelques scènes démonstratives inutilement longuettes, ainsi que le non-dit final.
    Parkko
    Parkko

    138 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2011
    Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en allant voir Une séparation. Je pensais voir un bon film (et cela a bel et bien été le cas) mais le scénario m'a vraiment surpris. Je ne m'attendais pas à ça. Ce qui est bien c'est que le film parle des problèmes de l'Iran à travers un scénario intéressant, ce n'est pas un scénario prétexte pour parler des problèmes du pays. De plus, c'est bien mis en scène, il suffit de voir la scène d'introduction pour s'en apercevoir. Quant aux acteurs, ils sont convaincants. Après, ça ne m'a pas bouleversé, mais j'ai bien aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 avril 2013
    Rarement le cinéma n'aura eu autant d'allure et de puissance. Le meilleur drame depuis des années. Où comment dynamiter un genre, comment le génie accouche d'une simplicité exemplaire. Juste dans ses moindres détails, sans concession ni prétention. Le meilleur de 2011, une vraie révélation. Et encore une fois, qu'il fait bon vivre en Iran.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    108 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2011
    Une séparation est une oeuvre intelligente et percutante qui nous tient haleine à tout moment. La maîtrise de la réalisation suivant chaque personnage au plus près. Ce drame sur une histoire qui au départ ne semble pas originale où va se tramer une histoire invraisemblable, petit à petit ou goutte l'intrigue prend forme on doute, on change de camp c'est la force scénario. C'est vraiment une claque cinématografique qui nous envie d'aller au cinéma. Merci !
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2012
    J'ai vu un film... d'exception totale... Tout d'abord, l'intrigue, ou plus exactement l'absence d'intrigue, avec des comédiens qui vivent, subissent et souffrent dans des situations "probables", "logiques", et "liées entre elles"... On se laisse prendre pour cette plongée dans la société iranienne, avec ses proximités, mais aussi avec ses différences, avec nos sociétés occidentales... Tout d'abord, il convient de souligner la virtuosité des comédiens qui vivent avec intensité leurs personnages et les situations qu'ils traversent... Ensuite, mention spéciale pour le scénario qui nous prend, nous promène, nous balade... On se laisse presque persuader qu'il s'agit d'un complot avec ses rebondissements, ses faussetés et ses mécaniques, bien huilées... Eh bien, il n'en est rien... On est juste dans la vie, avec ses coïncidences qui aboutissent à de tels situations... Enfin, il convient de souligner la qualité exceptionnelle de la réalisation, avec des mouvements de caméra qui prennent le temps de nous faire rentrer dans la "tête" des personnages... Il s'agit d'un très moment de cinéma... A voir absolument.
    orlandolove
    orlandolove

    116 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2011
    Je suis un peu étonné par l'unanimité critique autour de ce film. Personnellement, il ne m'a pas plus emballé que ça. Pas mal sans plus. Ce thriller, malgré quelques bonnes séquences et un scénario bien écrit, manque de tension et d'émotions. "A propos d'Elly" précédent film du réalisateur, me semble légèrement supérieur autant sur le fond (plus de mystère) que sur la forme.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    97 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    Quelle horreur...On a l'estomac noué jusqu'au dénouement de cette enquête extrêmement bien réalisée par Ashgar Farhadi. Je m'attendais uniquement à une histoire de couple en crise mais c'est incroyable le texte qu'il a développé là pour intégrer bien d'autres thèmes. La religion, qui crée un malaise quand un homme et une femme se retrouvent dans la même pièce ou le port du tchador qui masque les détails physiques d'importance. Et les différences sociales où s'attaquer à une famille dans la pauvreté ou aisée s'avère aussi cruel. Le plus important message pour moi et qui me fait encore beaucoup réfléchir, la dignité et la combativité. Comment se défendre et garder son honneur face à l'adversité de ses semblables. C'est merveilleusement bien écrit, les dialogues sont percutants, l'interprétation hors pair et la mise en scène grandiose. Je ne préfère pas trop en parler car l'effet de surprise est d'importance mais soyez assurer que c'est à ne pas manquer. C'est le 2ème long métrage d'Ashgar Farhadi que je découvre, ce réalisateur a plus que du talent. Ses histoires ne sont franchement pas gaies mais on se prend de grands drames iraniens dans la figure grace à lui, alors, merci...
    DarioFulci
    DarioFulci

    87 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2011
    Étonnante prise du pouls de la société iranienne telle quelle est aujourd'hui: tendue, à vif. Il ne s'agit pas d'un discours politique. Si prise de position il y a vis-à-vis du pouvoir, elle est faite très discrètement. Un couple se sépare. L'homme doit s'occuper de son père grabataire. La femme ne pense qu'à partir du pays. Le drame qui va les frapper a un impact plus profond qu'ils ne le pensent. Le réalisateur mène son histoire et réserve quelques surprises à la manière d'un thriller. C'est un peu roublard vis-à-vis du spectateur puisqu'il s'amuse à brouiller les pistes ou à nous donner des données erronées, mais quelle maîtrise du récit !
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    63 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2012
    Une séparation est un drame qui, bien qu'il s'inscrit dans un contexte particulier, semble universel. C'est le manège de ses gens honnêtes qui sont bloqués dans un système et qui, faute de ne pouvoir s'en extirper, se retrouvent confrontés les uns aux autres. Ici, on ne peut pas prendre parti, chacun a sa vie, ses raisons, et tous se retrouvent entraîner dans ce bal conflictuel autour d'un drame quotidien qui ouvre en eux des blessures qu'ils pensent pouvoir purger sur leur prochain. Rarement un film n'a su se montrer aussi juste et pertinent, que ça soit dans son propos ou dans sa mise en scène. Le début rappelle Prendre Femme de Ronit Elbkabetz et effectivement, les sujets sont très proches. Une séparation confirme ce que l'on savait déjà, le cinéma du Moyen-Orient et d'une richesse inouïe, et possède un style propre, souvent social, mais qui fait passer le cinéma social français pour de la guimauve. Ici, ce n'est jamais trop, souvent dur, parfois tendre, et surtout, jamais inutile.
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Après un générique inscrit sur le plan fixe d'une photocopieuse reproduisant des papiers d'identités, sans doute pour constituer un dossier de demande de visa, le film s'ouvre sur une scène, elle aussi en plan fixe, où Sirin et Nacer plaident chacun leur cause devant un juge hors cadre ; elle veut partir à l'étranger avec leur fille à l'aide du visa qu'elle a si difficilement obtenu et qui va expirer d'ici quarante jours, lui ne veut pas abandonner son père atteint de la maladie d'Alzheimer ni laisser partir sa fille. Le juge, c'est le spectateur, et nous voilà aux premières loges pour construire notre intime conviction, sachant que d'emblée les deux personnages semblent avoir un point de vue défendable.
    Ashgar Farhadi justifie ainsi sa démarche : "Le cinéma dans lequel le réalisateur impose sa vision des personnages est aujourd'hui dépassé. Plutôt que de faire passer un message, mon intention est de susciter des interrogations. Il me semble qu'à l'heure actuelle, nous avons davantage besoin de questions que de réponses. C'est au spectateur de trouver des réponses." Rarement le propos d'intention d'un réalisateur n'aura été si clair, et rarement son film n'aura été aussi cohérent avec cette intention. En effet, non seulement Ashgar Farahdi par la subtilité de son écriture et de sa réalisation parvient à nous faire ressentir de l'empathie avec les différents personnages, y compris ceux qui pourraient passer pour les plus éloignés de nous, comme Razieh qui téléphone à son directeur de conscience pour savoir si c'est péché de laver un vieil homme, mais encore réussit-il à nous faire douter de ce que nous avons pourtant vu : est-ce la poussée de Nacer qui a provoqué la chute de Razieh dans l'escalier ? Savait-il qu'elle était enceinte ?
    Cette capacité à instiller le doute provient d'une science de l'ellipse et du hors champ parfaitement maîtrisée : mieux vaut laisser le spectateur deviner ou déduire ce qui vient de se passer plutôt que de lui imposer une vérité démonstrative. Et quand la puissance de conviction de telle ou telle partie commence à s'imposer, Ashgar Farhadi fait intervenir celle qui est la première spectatrice de ce déchirement, à savoir Termeh, la fille de Sirin et Nacer. A deux occasions, Termeh, qui a été élevée par son père dans l'idée qu'il fallait toujours dire la vérité, même au risque de contredire son professeur, renvoie Nacer à ses contradictions et à ses petits arragements avec cette même vérité.
    Fahradi vient du théâtre, et cela se perçoit par la précision de son écriture et la formidable qualité de jeu de ses acteurs, justement récompensés collectivement à Berlin. Mais le rythme palpitant et la tension permanente sont aussi rendus possibles par la qualité de la mise en scène, où toute la grammaire du cinéma est utilisée à bon escient : au plan fixe du début, nécessaire pour la frontalité de la scène, succèdent des longs travelings qui slaloment dans le labyrinthe de la maison de Nacer, passant de la chambre du grand-père à la cuisine où dicutent les femmes, puis à la chambre où Termeh se laisse distraire de ses devoirs. La caméra est en permanence dans la nécessité de contourner les obstacles, verres dépolis, cages d'escaliers, fenêtres, à l'image du spectateur qui doit démêler les mensonges de la vérité.
    Là encore, il ne s'agit pas d'un heureux hasard, mais du produit d'une réflexion :"C'est une erreur de croire que le rythme d'un film ne se travaille qu'au montage. le rythme se construit dès le départ, à l'écriture, puis à la mise en scène et bien évidemment au montage. Ce que je voulais surtout, c'était montrer le rythme de la vie à Téhéran, et faire ressentir aussi la pulsation de cette ville. Je pensais donc que pour traduire ce tempo très rapide, il fallait partir à la fois d'un découpage comportant beaucoup de plans et d'une caméra constamment mobile."Objectif parfaitement atteint, puisque les 123 minutes du film s'écoulent à toute vitesse, aucune scène, aucun plans n'étant superflu ou inutilement étiré.
    Le drame de cette histoire réside dans le fait que le point de vue de chacun est entendable, et que la mécanique du mélodrame débouche à chaque fois sur une contradiction plus douloureuse à résoudre. Comme dans "A propos d'Elly", les femmes jouent un rôle important, à la fois dans le déclenchement de l'action (la demande de divorce de Sirin, la dignité bafouée de Razieh), mais aussi dans son dénouement (la médiation de Sirin, les doutes de Razieh), alors que Hojat et Nacer semblent plus cadenassés par des visions sociales ou principielles qui empêchent la résolution du problème. Mais à l'heure du choix ultime, quand le juge demande aux parents de quitter le bureau pour permettre à Termeh de faire connaître son choix, la caméra s'eclipse elle aussi, comme si elle devenait indiscrète et que l'avenir de la jeune fille, symbolique de l'Iran à venir, ne la (nous) concernait plus.
    Grâce au travail de recherche fait en amont par son réalisateur, "Une Séparation" a souvent une formidable puissance documentaire sur la société iranienne contemporaine, ses blocages, ses contradictions et les adapations que chacun doit y faire. Mais la force de ce film réside aussi dans sa dimension universelle, et dans les questions auxquelles Farhadi renvoie chacun des spectateurs, sur la vérité, la culpabilité, et les nécessaires concessions pour vivre ensemble. "Une Séparation" fait partie de ces films qui laissent une trace profonde, et l'unanimité de son succès critique ainsi que sa razzia de récompenses au Festival de Berlin sont amplement méritées ; espérons qu'elles permettront qu'un tel film rencontre le succès public qu'il mérite.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 juin 2012
    Film intéressant et assez abouti. Une séparation dresse le portrait d'un couple, d'une famille mais également d'une société où plus rien ne semble aller : peu d'argent, peu de travail, des relations compliquées. Tout cela converge vers un éternel conflit entre la vérité et le mensonge. La vérité que tous ces personnages doivent dire, car Dieu les surveille et les puniera s'ils mentent. La religion offre du sens dans la vie tourmentée de ces personnages et les contraint à accepter la vie telle qu'elle est sans tricher. Puis face à la religion apparait la tentation perpétuelle de mentir pour améliorer sa situation : mentir en ne disant que l'on a rien entendu pour ne pas aller en prison, mentir pour gagner davantage d'argent et sortir sa famille de la honte et de la misère puis mentir tout simplement pour vivre mieux, vivre heureux peut être dans le meilleur des cas. Tout le film a pour but de faire ressortir cet éternel conflit, présent dans l'esprit de chaque individu. La mise en scène est de qualité assez satisfaisante. Son point fort réside dans le jeu de ses acteurs: notamment le grand père qui, à chaque apparition, bouleverse. Les plans sont d'une qualité correcte, la gestion du mouvement est certes simpliste mais efficace. Les quelques interventions de la musique sont intelligentes. Bref la mise en scène est correcte sans non plus transcender. Le scénario semble meilleur. Comme nous l'avons énoncé, une belle réflexion sur la religion, la société mais également sur l'amour, l'enfance, la vieilesse... Voilà un film intéressant, mais non exceptionnel, qui plaira à tout public cinéphile ou non. A voir !
    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juin 2011
    Un très grand film d'une force incroyable! Tout est construit, à l'aide d'une mise en scène absolument construite et pensée, autour des personnages! Des acteurs sublimes qui portent un scénario réaliste bien qu'un poil long! Une réussite qui ne tardera pas à passer à la postérité!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 juin 2011
    Un peu laborieux à démarrer, ce film devient réellement palpitant au bout de 20 à 30 minutes. L'étude du caractère des personnages est très réussie et l'ensemble est vraiment passionnant. On nous montre également une société iranienne assez éloignée des stéréotypes classiques. La religion est évidemment présente (l'Islam chiite y est quand même religion d'Etat !), mais hommes et femmes semblent assez égaux et jouir des mêmes droits et privilèges. C'est un monde où existent les conflits, la maladie d'Alzheimer, le divorce et le mensonge. La fin du film est subtilement amenée et on revient au titre du film : suite à cette "séparation", qui donc Termeh (la fille) suivra-t-elle ? Nader (son père) ou Simin (sa mère) ?
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