Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Critikat.com
par Marion Pasquier
A travers des personnages forts, aux problématiques complexes, les questions posées, jamais frontales, percutent, les histoires individuelles s'ouvrent sur l'histoire collective. Un film d'une grande ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
"Une séparation", on ne s'en remet pas! D'abord parce que Leila Hatami nous bouleverse. Ensuite, parce que le film raconte magnifiquement le quotidien des femmes iraniennes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par L'Express Styles
Beau film.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ce ne sont que quelques plans brefs, comme des gouttes d'eau dans un océan d'images (...) mais ils constituent la marque d'un grand cinéaste. (...) Rien ne dit que sans ces quelques plans le film d'Asghar Farhadi serait moins grand, mais cependant ils lui sont indispensables. (...) L'évidence s'impose une fois encore que le cinéma se compose d'éléments en eux-mêmes insignifiants, dont la seule recension des péripéties aurait fait l'économie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengas
Prodige de ce film haletant, fascinant, d'une impressionnante puissance narrative, superbement interprété, ovationné et couronné lors du dernier festival de Berlin, qui illustre le précepte de Jean Renoir : chacun dans ce monde a ses raisons.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Une oeuvre impressionnante de maîtrise, d'intelligence et universelle, qui nous éclaire et nous tient en haleine à chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La force du film est dans sa capacité à faire douter le spectateur, lui faire plusieurs fois changer de camp au fur et à mesure que se déroule l'intrigue. (...) Asghar Farhadi use des théâtres intimes pour distiller l'idée qu'en Iran le mensonge et la manipulation se pratiquent à tous les niveaux, que les comportements que l'on y impose méritent d'être débattus, contestés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Vivante, captivante, la mise en scène suit les personnages au plus près, toujours au coeur de l'action, exploitant les décors clos, appartements, bureaux..., avec intelligence et donnant, au final, un film qui palpite d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Danièle Heymann
Mais voilà un film, un film iranien qui nous parvient, ayant résisté à une interruption de son tournage, et il est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Rania Hoballah
(...) un film captivant sur la complexité humaine. La claque cinématographique de la semaine.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Pas de pathos inutile, pas d'effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu'il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Un drame familial construit avec brio. (...) Deux faces de la société bloquée par ses tabous. L'Iran comme on ne le voit jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) un polar social et humain au réalisme étourdissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
À l'unité perdue (celle de la société, du couple, des parents, de l'individu) répond la perte de l'innocence et la mort de l'enfance. Voici, peut-être, la seule vérité qui se dégage d'Une séparation car le cinéma n'est pas là pour nous bercer d'illusions mais pour nous faire devenir adulte.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Jouant en permanence sur ces trois niveaux, intimiste, philosophique et politique, "Une séparation" est surtout un film extrêmement physique, tendu, électrique, plongeant ses acteurs (tous extraordinaires d'intensité) et sa fiction dans le bain bouillonnant de la société iranienne réelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Un film nerveux, presque animal, porté par une caméra qui ne tient pas en place mais qui, partout où elle se positionne, trouve le bon angle, la bonne vitesse, la bonne distance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Quasiment kafkaïen, ce drame, à travers le microcosme d'une famille éclatée, reflète, avec subtilité et puissance, l'état d'esprit névrotique d'une population désorientée par des années de dictature politico-religieuse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
"Une séparation" surprend en revanche constamment par sa liberté de ton, tous sauf consensuelle. (...) Les acteurs sont exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Sacré film qui met la société en coupe claire et allie l'intime au politique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
A travers des personnages forts, aux problématiques complexes, les questions posées, jamais frontales, percutent, les histoires individuelles s'ouvrent sur l'histoire collective. Un film d'une grande ampleur.
Elle
"Une séparation", on ne s'en remet pas! D'abord parce que Leila Hatami nous bouleverse. Ensuite, parce que le film raconte magnifiquement le quotidien des femmes iraniennes.
L'Express
Beau film.
L'Obs
Ce ne sont que quelques plans brefs, comme des gouttes d'eau dans un océan d'images (...) mais ils constituent la marque d'un grand cinéaste. (...) Rien ne dit que sans ces quelques plans le film d'Asghar Farhadi serait moins grand, mais cependant ils lui sont indispensables. (...) L'évidence s'impose une fois encore que le cinéma se compose d'éléments en eux-mêmes insignifiants, dont la seule recension des péripéties aurait fait l'économie.
La Croix
Prodige de ce film haletant, fascinant, d'une impressionnante puissance narrative, superbement interprété, ovationné et couronné lors du dernier festival de Berlin, qui illustre le précepte de Jean Renoir : chacun dans ce monde a ses raisons.
Le Journal du Dimanche
Une oeuvre impressionnante de maîtrise, d'intelligence et universelle, qui nous éclaire et nous tient en haleine à chaque instant.
Le Monde
La force du film est dans sa capacité à faire douter le spectateur, lui faire plusieurs fois changer de camp au fur et à mesure que se déroule l'intrigue. (...) Asghar Farhadi use des théâtres intimes pour distiller l'idée qu'en Iran le mensonge et la manipulation se pratiquent à tous les niveaux, que les comportements que l'on y impose méritent d'être débattus, contestés.
Le Parisien
Vivante, captivante, la mise en scène suit les personnages au plus près, toujours au coeur de l'action, exploitant les décors clos, appartements, bureaux..., avec intelligence et donnant, au final, un film qui palpite d'humanité.
Le Point
voir lepoint.fr
Marianne
Mais voilà un film, un film iranien qui nous parvient, ayant résisté à une interruption de son tournage, et il est magnifique.
Metro
(...) un film captivant sur la complexité humaine. La claque cinématographique de la semaine.
Ouest France
Pas de pathos inutile, pas d'effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu'il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout.
Télérama
Un drame familial construit avec brio. (...) Deux faces de la société bloquée par ses tabous. L'Iran comme on ne le voit jamais.
20 Minutes
(...) un polar social et humain au réalisme étourdissant.
Cahiers du Cinéma
À l'unité perdue (celle de la société, du couple, des parents, de l'individu) répond la perte de l'innocence et la mort de l'enfance. Voici, peut-être, la seule vérité qui se dégage d'Une séparation car le cinéma n'est pas là pour nous bercer d'illusions mais pour nous faire devenir adulte.
Les Inrockuptibles
Jouant en permanence sur ces trois niveaux, intimiste, philosophique et politique, "Une séparation" est surtout un film extrêmement physique, tendu, électrique, plongeant ses acteurs (tous extraordinaires d'intensité) et sa fiction dans le bain bouillonnant de la société iranienne réelle.
Libération
Un film nerveux, presque animal, porté par une caméra qui ne tient pas en place mais qui, partout où elle se positionne, trouve le bon angle, la bonne vitesse, la bonne distance.
Paris Match
Quasiment kafkaïen, ce drame, à travers le microcosme d'une famille éclatée, reflète, avec subtilité et puissance, l'état d'esprit névrotique d'une population désorientée par des années de dictature politico-religieuse.
Première
"Une séparation" surprend en revanche constamment par sa liberté de ton, tous sauf consensuelle. (...) Les acteurs sont exceptionnels.
TéléCinéObs
Sacré film qui met la société en coupe claire et allie l'intime au politique.