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A travers des personnages forts, aux problématiques complexes, les questions posées, jamais frontales, percutent, les histoires individuelles s'ouvrent sur l'histoire collective. Un film d'une grande ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Une séparation", on ne s'en remet pas! D'abord parce que Leila Hatami nous bouleverse. Ensuite, parce que le film raconte magnifiquement le quotidien des femmes iraniennes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ce ne sont que quelques plans brefs, comme des gouttes d'eau dans un océan d'images (...) mais ils constituent la marque d'un grand cinéaste. (...) Rien ne dit que sans ces quelques plans le film d'Asghar Farhadi serait moins grand, mais cependant ils lui sont indispensables. (...) L'évidence s'impose une fois encore que le cinéma se compose d'éléments en eux-mêmes insignifiants, dont la seule recension des péripéties aurait fait l'économie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Prodige de ce film haletant, fascinant, d'une impressionnante puissance narrative, superbement interprété, ovationné et couronné lors du dernier festival de Berlin, qui illustre le précepte de Jean Renoir : chacun dans ce monde a ses raisons.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La force du film est dans sa capacité à faire douter le spectateur, lui faire plusieurs fois changer de camp au fur et à mesure que se déroule l'intrigue. (...) Asghar Farhadi use des théâtres intimes pour distiller l'idée qu'en Iran le mensonge et la manipulation se pratiquent à tous les niveaux, que les comportements que l'on y impose méritent d'être débattus, contestés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Vivante, captivante, la mise en scène suit les personnages au plus près, toujours au coeur de l'action, exploitant les décors clos, appartements, bureaux..., avec intelligence et donnant, au final, un film qui palpite d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Pas de pathos inutile, pas d'effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu'il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
À l'unité perdue (celle de la société, du couple, des parents, de l'individu) répond la perte de l'innocence et la mort de l'enfance. Voici, peut-être, la seule vérité qui se dégage d'Une séparation car le cinéma n'est pas là pour nous bercer d'illusions mais pour nous faire devenir adulte.
Jouant en permanence sur ces trois niveaux, intimiste, philosophique et politique, "Une séparation" est surtout un film extrêmement physique, tendu, électrique, plongeant ses acteurs (tous extraordinaires d'intensité) et sa fiction dans le bain bouillonnant de la société iranienne réelle.
Un film nerveux, presque animal, porté par une caméra qui ne tient pas en place mais qui, partout où elle se positionne, trouve le bon angle, la bonne vitesse, la bonne distance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Quasiment kafkaïen, ce drame, à travers le microcosme d'une famille éclatée, reflète, avec subtilité et puissance, l'état d'esprit névrotique d'une population désorientée par des années de dictature politico-religieuse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
A travers des personnages forts, aux problématiques complexes, les questions posées, jamais frontales, percutent, les histoires individuelles s'ouvrent sur l'histoire collective. Un film d'une grande ampleur.
Elle
"Une séparation", on ne s'en remet pas! D'abord parce que Leila Hatami nous bouleverse. Ensuite, parce que le film raconte magnifiquement le quotidien des femmes iraniennes.
L'Express
Beau film.
L'Obs
Ce ne sont que quelques plans brefs, comme des gouttes d'eau dans un océan d'images (...) mais ils constituent la marque d'un grand cinéaste. (...) Rien ne dit que sans ces quelques plans le film d'Asghar Farhadi serait moins grand, mais cependant ils lui sont indispensables. (...) L'évidence s'impose une fois encore que le cinéma se compose d'éléments en eux-mêmes insignifiants, dont la seule recension des péripéties aurait fait l'économie.
La Croix
Prodige de ce film haletant, fascinant, d'une impressionnante puissance narrative, superbement interprété, ovationné et couronné lors du dernier festival de Berlin, qui illustre le précepte de Jean Renoir : chacun dans ce monde a ses raisons.
Le Journal du Dimanche
Une oeuvre impressionnante de maîtrise, d'intelligence et universelle, qui nous éclaire et nous tient en haleine à chaque instant.
Le Monde
La force du film est dans sa capacité à faire douter le spectateur, lui faire plusieurs fois changer de camp au fur et à mesure que se déroule l'intrigue. (...) Asghar Farhadi use des théâtres intimes pour distiller l'idée qu'en Iran le mensonge et la manipulation se pratiquent à tous les niveaux, que les comportements que l'on y impose méritent d'être débattus, contestés.
Le Parisien
Vivante, captivante, la mise en scène suit les personnages au plus près, toujours au coeur de l'action, exploitant les décors clos, appartements, bureaux..., avec intelligence et donnant, au final, un film qui palpite d'humanité.
Le Point
voir lepoint.fr
Marianne
Mais voilà un film, un film iranien qui nous parvient, ayant résisté à une interruption de son tournage, et il est magnifique.
Metro
(...) un film captivant sur la complexité humaine. La claque cinématographique de la semaine.
Ouest France
Pas de pathos inutile, pas d'effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu'il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout.
Télérama
Un drame familial construit avec brio. (...) Deux faces de la société bloquée par ses tabous. L'Iran comme on ne le voit jamais.
20 Minutes
(...) un polar social et humain au réalisme étourdissant.
Cahiers du Cinéma
À l'unité perdue (celle de la société, du couple, des parents, de l'individu) répond la perte de l'innocence et la mort de l'enfance. Voici, peut-être, la seule vérité qui se dégage d'Une séparation car le cinéma n'est pas là pour nous bercer d'illusions mais pour nous faire devenir adulte.
Les Inrockuptibles
Jouant en permanence sur ces trois niveaux, intimiste, philosophique et politique, "Une séparation" est surtout un film extrêmement physique, tendu, électrique, plongeant ses acteurs (tous extraordinaires d'intensité) et sa fiction dans le bain bouillonnant de la société iranienne réelle.
Libération
Un film nerveux, presque animal, porté par une caméra qui ne tient pas en place mais qui, partout où elle se positionne, trouve le bon angle, la bonne vitesse, la bonne distance.
Paris Match
Quasiment kafkaïen, ce drame, à travers le microcosme d'une famille éclatée, reflète, avec subtilité et puissance, l'état d'esprit névrotique d'une population désorientée par des années de dictature politico-religieuse.
Première
"Une séparation" surprend en revanche constamment par sa liberté de ton, tous sauf consensuelle. (...) Les acteurs sont exceptionnels.
TéléCinéObs
Sacré film qui met la société en coupe claire et allie l'intime au politique.