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Ça aurait dû être un feu d'artifice royal, ce n'est hélas qu'une pétarade sous-préfecture. La faute à une réalisation plate, et à un casting et une direction d'acteur déficients. Les deux premiers rôles masculins sont ridicules, Jean-Pierre Cassel est constamment niais, Alberto Sordi est transparent et Irina Demick n'a qu'un rôle décoratif. La seule à tirer son épingle du jeu et à relever le niveau est l'étonnante Sarah Miles, sémillante et malicieuse à souhait. Côté scénario, on joue la carte du burlesque, pourquoi pas ? Encore aurait-il fallu la jouer fine et éviter de nous imposer des lourdeurs (on a compris que les auteurs avait un compte à régler avec la discipline allemande, mais là c'est l'overdose) Et quand la course se termine on nous inflige un suspense ridicule puisqu'il y a longtemps que les sort des personnages a cessé de nous intéresser. Le film reste néanmoins regardable… de justesse (à cause des belles machines ?)
C'était un film que j'aimais voir étant enfant, et le retrouver en DVD a été une bonne surprise. C'est un film fort distrayant, mais finalement les scènes très drôles ne sont pas si nombreuses que cela. Elles reposent sur la caricature des personnages en fonction de leur nationalité, et il faut reconnaître que les allemands sont particulièrement réussis.
A travers une ode nostalgique aux héroïques pionniers de la conquête du ciel, symbolisée par un amusant prologue, Ken Annakin réalise une étourdissante comédie, remplie de situations comiques parfois inégales, mais toujours joyeuses. Les aventures insensées de ces avions hétéroclites sont brillamment servies par un casting international où les nationalismes exagérément typés constituent une collection de personnages pittoresques tous marqués par un jingle musical approprié : le Français coureur de jupons, l'Américain cowboy, l'Anglais formaliste, l'Italien père de famille nombreuse, l'Allemand obsédé par la discipline, le Japonais martial... Les farces de J.P. Cassel pour ridiculiser Gert Frobe sont souvent hilarantes, de même que l'opposition Anglais-Américain reste éternelle. A ceci s'ajoutent des séquences aériennes bien filmées, et un sensationnel générique animé de 5 minutes sur l'excellente musique de Ron Goodwin. Un grand moment divertissant.
Comédie très ambitieuse, et qui s'en tire particulièrement bien. Le film a vieilli, certes, mais est fendu à de multiples reprises de moments hilarants. Ken Annakin nous replonge en 1910, au début de l'aviation, avant la première Guerre mondiale. Les rivalités entre les nations sont exacerbées et le réalisateur joue avec humour sur toutes ces cordes du patriotisme. Il utilise les clichés des uns et des autres pour mieux les tourner en ridicule. Le préambule, sur la naissance de l'aviation, est surprenant et réussi. Puis vient la découverte de tous les concurrents qui arrivent tour à tour, sur le terrain d'entrainement. S'ensuit des moments particulièrement réussis. Les Anglais sont des enfants sages, un peu ennuyeux. Mais les français, et surtout les Italiens et Allemands,
spoiler:
qui lisent à tout bout de champ leur manuel
, sont vraiment géniaux. Le tout est un petit peu long et c'est finalement la seconde partie, censée être la plus stimulante, qui pêche un peu. Elle en devient un peu attendue, et le final arrive trop vite. Il n'empêche, "Ces merveilleux fous volants dans leur drôles de machines", est une bonne surprise du confinement.
, sont vraiment géniaux. Le tout est un petit peu long et c'est finalement la seconde partie, censée être la plus stimulante, qui pêche un peu. Elle en devient un peu attendue, et le final arrive trop vite. Il n'empêche, "Ces merveilleux fous volants dans leur drôles de machines", est une bonne surprise du confinement.
Une manière pas trop mal d'achever cette année qui a été très prolifique pour votre serviteur que "Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines", film qui fait partie de la veine des "comédies très agréables de course des années 60 qui ont coûté un tas de pognon, avec des engins bizarres, une galerie de personnages haute-en-couleur et un casting de gros malade" qui a aussi donné lieu aux excellents et réjouissants "La Grande Course autour du monde" et "Un Monde fou fou fou fou". Mais je dois avouer que ce film m'a paru un peu en-dessous des deux autres pour la simple raison qu'il y a plein de très bons trucs qui n'ont pas été exploité à fond comme le côté suffragette du personnage féminin, le triangle amoureux ou encore certains personnages secondaires (une durée de trois quart d'heure de plus aurait été bien pour mieux développer ces aspects !!!). Ce qui ne veut pas dire qu'il faut bouder son plaisir ; au contraire. Les caricatures de nationalité, dont bien sûr le stéréotype du français fringant et hyper-dragueur joué ici par Jean-Pierre Cassel, sont irrésistibles, les drôles du machines valent à elles seules le détour, les cascades aussi, le rythme dans la seconde partie est d'enfer, la BO est très belle tout en soulignant le côté comédie du machin, et les scènes hilarantes sont loin de manquer surtout celles avec les allemands qui sont à pisser de rire (le duel en montgolfières et le pilotage avec lecture du manuel sont d'anthologie !!!). Une façon de terminer cinématographiquement 2012 sous une touche d'hilarité.
AMCHI
Ce n'est pas un grand film mais il est rudement agréable à voir avec tous ses acteurs, ses situations burlesques. Cela met de bonne humeur, l'humour est bon enfant sans aucune méchanceté. Sympa et divertissant, j'ai un faible pour ce type de cinéma loufoque et sans prétention.
Le film est un aimable divertissement qui nous gagne par sa bonne humeur. Le sujet, loufoque et enrichi d'une touche d'humour so british, rend hommage aux pionniers de l'aviation et fait défiler quelques aéronefs particulièrement farfelus.
La comédie réunit des aviateurs de toutes nationalités à qui l'on confie, pour la gloire et une certaine somme d'argent, l'entreprise de relier Londres à Paris.
La majeure partie du film fait le récit des préparatifs du voyage, la véritable course par dessus la Manche constituant le dénouement et introduisant, par ailleurs, de jolies vues aériennes. Sans doute manquant d'impertinence, la fantaisie du film de Ken Annakin repose, davantage que sur les cascades et acrobaties qui ponctuent le scénario, sur la nature des personnages. Entre stéréotypes et préjugés assumés, chacun des concurrents incarne l'image traditionnelle de son pays: l'allemand discipliné, le français séducteur, l'anglais distingué...autant de figures qui produisent d'amusantes caricatures.
La comédie réunit des aviateurs de toutes nationalités à qui l'on confie, pour la gloire et une certaine somme d'argent, l'entreprise de relier Londres à Paris.
La majeure partie du film fait le récit des préparatifs du voyage, la véritable course par dessus la Manche constituant le dénouement et introduisant, par ailleurs, de jolies vues aériennes. Sans doute manquant d'impertinence, la fantaisie du film de Ken Annakin repose, davantage que sur les cascades et acrobaties qui ponctuent le scénario, sur la nature des personnages. Entre stéréotypes et préjugés assumés, chacun des concurrents incarne l'image traditionnelle de son pays: l'allemand discipliné, le français séducteur, l'anglais distingué...autant de figures qui produisent d'amusantes caricatures.
Ces merveilleux fous volants dans leur drôles de machines est l'une des nombreuses comédies épiques des années 1960 ce film est très drôle et mémorable. L'histoire de plusieurs aviateurs de différentes nationalités britannique, américaine, française, italienne, allemande et autres pilotant leurs avions pour traverser la Manche de Londres à Paris et les modèles d'avions d'époque sont fabuleux. L'histoire qui prend la forme d'un certain nombre d'histoires différentes entrelacées menant à la course dans la dernière partie du film. La distribution comprend Terry-Thomas dans le rôle de Sir Percy, l'Anglais de la classe supérieure qui triche, James Fox dans le rôle de Richard, le dandy irritant, Stuart Whitman dans le rôle d'Orvil, le gentil Américain, Jean-Pierre Cassell dans le rôle du Français exubérant et Gert Frobe dans le rôle de l'officier allemand fanfaron. Les caméos sont nombreux de Benny Hill, Tony Hancock, William Rushton, Eric Sykes, Fred Emney, Irina Demick (dans plusieurs rôles) et Sarah Miles jouent les intérêts amoureux du film. C'est un film hautement recommandé si vous avez envie de rire avec une chanson thème fantastique et qui est mémorable aussi...
Xavi_de_Paris
Il sagit là d'une comédie drôle, sans prétention, que l'on regarde avec une certaine mélancolie car elle témoigne d'un temps déjà ancien. Chaque pays est parfaitement avec ses petits travers et ses forces. Les images sont belles. On passe en résumé un agréable moment.
Un bon film agréable. Ce n'est plus si fréquent. A voir.
Simplement Fun Féérique et Fou (superbe comédie), un brin Nostalgique Mais très bien interpréter, Un régal.
Une comédie hilarante, une bonne histoire, des acteurs qui ne nous enchantes pas mais qui sont biens dans leurs rôle.
Cette joyeuse comédie est dotée de personnages singuliers hauts en couleurs et d'avions reconstitués à l'identique des originaux, hormis les moteurs. Les situations sont cocasses, les scènes aériennes sont très bonnes, et la sélection des personnages internationaux et caricaturaux est épatante,. Quant à l'amusant prologue, il est composé d'images d'archives étonnantes, drôles et émouvantes. En résumé: C'est une belle évocation des pionniers de l'aviation très divertissante.
Un film original pour les amateurs de burlesque.Retenons que le film est sorti en 1965.
Film drôlissime s'il en est. Tout repose sur la caricature. Le Français séduit toutes les femmes qu'il voit, un peu désinvolte et moqueur. L'Italien avec une femme sublime et… de très nombreux enfants. Les Britanniques très… Britishs. Les Allemands très à cheval sur l'ordre et la discipline. Les Américains très western. Les clichés sont à mourir de rire. L'entracte entre la première et la deuxième partie dure, dure, dure… Le concept du film est kitch, tourné comme s'il s'agissait d'un très vieux film, entrecoupé d'un intervale cartoon. Un petit bijou!
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