Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Le cabotinage de Ryan Gosling et les outrances de Chris Evans permettent à ce Tintin chez les Barbouzes de divertir, malgré les insuffisances des frangins Russo, aussi à l'aise avec la mise en scène qu'un lamantin avec un Stradivarius.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
LCI
par Delphine De Freitas
Un thriller pas vraiment révolutionnaire mais plutôt efficace.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Rien de nouveau côté scénario. Mais côté action, ça dépote !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par C.J.
Désireux d'offrir une alternative moderne et antihéroïque à James Bond, Jason Bourne ou Jack Ryan, le cinéastes survolent une figure d'assassin à la Sisyphe. Acceptable pour se vider l'esprit, mais trop fade pour renouveler le genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Ce thriller trépidant à la James Bond aligne les classiques morceaux de bravoure (explosions, courses-poursuites, combats, fusillades). ). Il vaut pour son casting surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par François Léger
Pas un chef-d’oeuvre, loin de là, mais un sacré morceau de divertissement quand même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si le scénario, trop basique, tient sur un chewing-gum, Ryan Gosling et Chris Evans, en psychopathe tortionnaire, donnent du style à leur personnage.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Pendant un peu plus de deux heures, les scènes explosives succèdent aux poursuites et aux impressionnantes bagarres. Et ça marche ! [...] Reste que dans cette histoire qui ne s’embarrasse pas de vraisemblance (c’est le moins qu’on puisse dire, mais pourquoi pas), la psychologie des personnages et l’émotion… peinent à trouver leur place.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Libération
par Camille Nevers
Quand il est haletant sans discontinuer, problème, le blockbuster perd son tempo, et finit par fatiguer. [...] Ici l’impression reste au vide en dépit de l’excès, au creux maniérisme plus qu’à l’esthétique paroxystique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
La nouvelle livraison des Russo n'est qu'un vaste jeu du chat et de la souris entre agents secrets, dont les sauts de puce géographiques, aussi peu finement amenés que dans les derniers James Bond, justifient à peine un budget pharaonique de 200 millions de dollars.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Prisonnier de sa surenchère, The Gray Man bourrine à tout bout de champ, multipliant les embardées tournées à la steadicam, loin de la grâce houdinesque des meilleurs Mission : Impossible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Adam Sanchez
On ne saurait dire si la médiocrité évidente de The Gray Man vient simplement de son scénario insipide, qui empile les passages obligés et stéréotypes éculés du film d’espionnage, ou de l’incapacité des frères Russo, déjà peu inspirés quand ils étaient aux commandes des productions Marvel, à emballer le film d’un vernis un peu plus reluisant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Geek
par Arthur Nicolle
Réalisateurs de renom et casting cinq étoiles : Netflix à choisi les meilleures encres pour nous peindre un tableau mémorable. Malheureusement, les outils de font pas un bon peintre, et l’aquarelle The Gray Man manque désespérément de couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Son scénario ressassé, ses scènes d’actions indigestes et ses dialogues parfois franchement ineptes font tout au mieux de The Gray Man un ersatz de James Bond movie paresseux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ecran Large
Le cabotinage de Ryan Gosling et les outrances de Chris Evans permettent à ce Tintin chez les Barbouzes de divertir, malgré les insuffisances des frangins Russo, aussi à l'aise avec la mise en scène qu'un lamantin avec un Stradivarius.
LCI
Un thriller pas vraiment révolutionnaire mais plutôt efficace.
La Voix du Nord
Rien de nouveau côté scénario. Mais côté action, ça dépote !
Le Figaro
Désireux d'offrir une alternative moderne et antihéroïque à James Bond, Jason Bourne ou Jack Ryan, le cinéastes survolent une figure d'assassin à la Sisyphe. Acceptable pour se vider l'esprit, mais trop fade pour renouveler le genre.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller trépidant à la James Bond aligne les classiques morceaux de bravoure (explosions, courses-poursuites, combats, fusillades). ). Il vaut pour son casting surprenant.
Première
Pas un chef-d’oeuvre, loin de là, mais un sacré morceau de divertissement quand même.
Télé 7 Jours
Si le scénario, trop basique, tient sur un chewing-gum, Ryan Gosling et Chris Evans, en psychopathe tortionnaire, donnent du style à leur personnage.
Télé Loisirs
Pendant un peu plus de deux heures, les scènes explosives succèdent aux poursuites et aux impressionnantes bagarres. Et ça marche ! [...] Reste que dans cette histoire qui ne s’embarrasse pas de vraisemblance (c’est le moins qu’on puisse dire, mais pourquoi pas), la psychologie des personnages et l’émotion… peinent à trouver leur place.
Libération
Quand il est haletant sans discontinuer, problème, le blockbuster perd son tempo, et finit par fatiguer. [...] Ici l’impression reste au vide en dépit de l’excès, au creux maniérisme plus qu’à l’esthétique paroxystique.
Mad Movies
La nouvelle livraison des Russo n'est qu'un vaste jeu du chat et de la souris entre agents secrets, dont les sauts de puce géographiques, aussi peu finement amenés que dans les derniers James Bond, justifient à peine un budget pharaonique de 200 millions de dollars.
Critikat.com
Prisonnier de sa surenchère, The Gray Man bourrine à tout bout de champ, multipliant les embardées tournées à la steadicam, loin de la grâce houdinesque des meilleurs Mission : Impossible.
GQ
On ne saurait dire si la médiocrité évidente de The Gray Man vient simplement de son scénario insipide, qui empile les passages obligés et stéréotypes éculés du film d’espionnage, ou de l’incapacité des frères Russo, déjà peu inspirés quand ils étaient aux commandes des productions Marvel, à emballer le film d’un vernis un peu plus reluisant.
Le Journal du Geek
Réalisateurs de renom et casting cinq étoiles : Netflix à choisi les meilleures encres pour nous peindre un tableau mémorable. Malheureusement, les outils de font pas un bon peintre, et l’aquarelle The Gray Man manque désespérément de couleurs.
Les Inrockuptibles
Son scénario ressassé, ses scènes d’actions indigestes et ses dialogues parfois franchement ineptes font tout au mieux de The Gray Man un ersatz de James Bond movie paresseux.