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Redzing
1 163 abonnés
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2,5
Publiée le 19 septembre 2022
La décennie 2010 a été difficile pour Johnny Depp, qui a enchaîné les échecs commerciaux. D'autant plus que l'acteur a été pris au piège de son personnage le plus célèbre, Jack Sparrow, dont il a eu énormément de mal à se défaire dans ses autres rôles. Néanmoins, en 2017, Depp a embrassé cette malédiction, reprenant le rôle de Jack Sparrow (on ne doute pas que la monnaie sonnante et trébuchante a du aider...). Ce cinquième volet démarre de manière laborieuse. Il enchaîne les grosses facilités (comme par hasard, tous les personnages sont à St-Martin en même temps, pratique !). Et réunit avec difficulté les protagonistes autour de leur quête commune. Tandis que l'on enchaîne des scènes trop longues ou vraiment peu crédibles (le braquage de banque) avec quelques trouvailles amusantes (l'anachronisme de la guillotine). Mais une fois que les voiles sont hissées, "Dead Men Tell no Tales" (également titré "Salazar's Revenge") est un film d'aventure sans temps mort. Le méchant incarné par Javier Bardem est plutôt réussi, qu'il s'agisse de son concept, des effets visuels, ou de sa noirceur. On retrouve Geoffrey Rush, cette fois en flibustier à succès, dont le bateau et les costumes ont beaucoup d'allure, même si l'acteur parait à nouveau fatigué. Quant à Johnny Depp, il n'apporte rien de plus à ce personnage, devenu une sorte de bouffon affolant la planche à billets. Toutefois l'acteur injecte toujours une certaine énergie. spoiler: Notons au passage une scène de rajeunissement numérique étrange, où l'on reconnait à peine l'acteur ! Pour ce qui est des nouveaux héros, on dira qu'ils sont complémentaires... A l'image de son père à l'écran, Brenton Thwaites est fade et a du mal à porter l'intrigue, mais il a le mérite d'avoir un arc narratif simple et efficace. C'est l'inverse pour Kaya Scodelario, personnage aux motivations tirées par les cheveux, mais qui a du caractère et des idées. Pas vraiment convaincant et encore moins nécessaire, ce cinquième film a tout de même le mérite d'être meilleur que son prédécesseur.
Un cinquième épisode divertissant qui respecte le cahier des charges avec de l'action, des scènes spectaculaires et une bonne dose d'humour burlesque avec en guest un sublime Javier Bardem. Après ça manque un peu d'âme.
Pirates des Caraïbes 5: Le Réveil de la Force. Merci à Disney pour cette espèce de reboot pas vraiment assumé, qui reprend grosso modo le 1er film mais en faisant quand même revenir les anciens personnages pour user de la nostalgie de ceux qui étaient petits lorsque cette trilogie phénoménale est sortie sur les écrans. Le problème c'est que depuis le 4, on est dans la régurgitation et pas dans l'expansion ou la création. Au lieu de proposer quelque chose de différent et ambitieux (c'était la force des épisodes 2 et 3), les producteurs se sont contentés d'un nouveau petit tour de manège qui reprend, modifie un peu et mélange des éléments de tous les films précédents. Gros problème également, Gore Verbinski était un réalisateur investi et passionné, avec un incroyable talent visuel, une inventivité de chaque instant. Le 5ème volet (tout comme le 4ème) ne bénéficie pas d'un tel réalisateur. Les effets spéciaux sont réussis, mais absolument pas magnifiés par la mise en scène, qui est poussive et très banale. Aucune patte artistique, juste des images filmées "normalement". A la musique, Geoff Zanelli récupère le son de Zimmer, mais peine à s'imposer, forcé qu'il est de réutiliser tous les (très nombreux) thèmes de la saga - mais il se débrouille plutôt bien, les anciens thèmes étant utilisés de manière appropriée (pas comme dans le 4ème film). Après, ça se regarde, c'est un blockbuster correct, et il y a des scènes très fun. C'est visiblement taillé sur mesure pour plaire au jeune public qui n'a peut-être jamais vu de Pirates des Caraïbes sur grand écran. Il faut dire qu'au milieu de tous ces superhéros en CGI, un film de pirates ça envoie du lourd. Mais pour les plus grands, à part jouer sur la nostalgie, le film ne fera pas ressentir grand chose. D'autant que ces scènes nostalgiques, placées en début et en fin de film, rappellent surtout à quel point la trilogie originale était grandiose. Et la comparaison fait mal...
Sur une idée de départ intéressante car permettant outre des clins d’œil de boucler la saga se tissent des péripéties parfois redondantes ou peu cohérentes, d'autant que les cascades et autres scènes d'action penchent dangereusement vers la mise en scène d'un parc d'attractions. Alors que le visuel, le charismatique antagoniste et les références culturelles sont réussies, l'humour potache voire misogyne ainsi que le show Sparrow en ébrèchent le plaisir. Les producteurs en ont trop fait le tour!
Après m'être taper tous les films, c'est enfin fini. C'était presque un supplice ! L'univers est là, mais c'est inintéressant au possible de plus ça dure plus de 2h30 c'est l'horreur !
Après plusieurs péripéties en coulisses, voilà que débarque enfin sur nos écrans ce cinquième opus de la franchise "Pirates des Caraïbes". Une franchise qui prenait l'eau avec un quatrième film décevant et assez mou. "La vengeance de Salazar" vient alors redresser la barque mais en faisant le minimum syndical. En effet, le film se contente surtout de copier les ressorts dramatiques du "Secret du coffre maudit" : personnages qui veulent la même chose pour des raisons différentes et un méchant à la tête d'un équipage surnaturel, bestiaire fantomatique poursuivant sans relâche Jack Sparrow. Sachant que parmi les nouveaux venus se trouvent le fils de Will Turner (Brenton Thwaites, complètement fadasse) et une jeune astronome un brin farouche (Kaya Scodelario, rafraîchissante), on comprend rapidement que le nouveau scénariste venu a décidé de pomper une recette qui marche. Sur le papier, certaines idées fonctionnent (la scène introduisant Jack Sparrow qui aurait été franchement plus épique réalisée par Gore Verbinski), d'autres fonctionnent également sur grand écran spoiler: (l'attaque des requins) mais globalement, le film manque d'originalité et surtout de rythme dans sa réalisation. Joachim Rønning et Espen Sandberg semblent inspirés une fois sur deux, réussissant certainement les scènes les plus intimistes que les scènes spectaculaires, manquant de lisibilité. Rien à sauver non plus du côté des acteurs, tous se contentant de faire le minimum syndical et le numéro de cabotinage habituel (Johnny Depp et Geoffrey Rush), laissant peu de place au méchant incarné par un Javier Bardem inspiré même quand il est un peu perdu dans un film. Ce qui vient cependant sauver le film, c'est bien ce certain manque d'originalité lui permettant de puiser dans une recette qui fonctionne, emballant le récit avec rapidité, l'ensemble restant franchement plaisant, ne serait-ce que parce que l'univers est séduisant et que la scène finale laisse arriver une jolie émotion. A noter surtout le maniement de l'humour à la fois grivois et cartoonesque, assez réussi, faisant passer un agréable moment en dépit de tous les poncifs réunis.
Bon, ben pas grand chose à dire sur ce divertissement fun et coloré, à la narration bordélique. Déjà, j'avais fait l'impasse sur l'épisode précédent, réalisé par un R. Marshall trop impersonnel pour moi, et voir ce duo norvégien à la barre pouvait faire craindre le pire. Si techniquement, rien n'est vraiment mauvais, je trouve qu'il manque surtout la patte d'un G. Verbinski qui était capable de mettre du souffle dans ses plans, ce qui manque grandement à cet épisode qui tente bien sûr de relancer la saga. On fait donc revenir O. Bloom au début, on introduit son fils qui rencontre forcément une jeune fille au caractère bien trempé tandis que Sparrow reste comme à son habitude ivre mort, incapable de mettre au point un plan correct mais qui s'en sort toujours. Le film permet aussi de découvrir un pan de son passé, face à un J. Bardem pas mauvais en méchant ultime mais sans plus. Chacun fait le taf en bon technicien et artisan qu'il est, certains effets spéciaux sont réussis, quelques plans sont vraiment bien épiques mais ça reste un divertissement générique. Pas détesté mais pas vraiment pris mon pied non plus. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Bon, c’est moins mauvais et un peu plus ambitieux que le précédent, c’est déjà ça. Mais c’est encore loin d’être réussi. La saga avance sans savoir où aller et comment faire évoluer ses personnages. Elle patine et ne propose rien de neuf. Heureusement, il y a quand même de belles images et des scènes d’action burlesques amusantes.
Incroyablement déçu par ce dernier opus, le charme ne fonctionne plus, la magie n'est plus là. On à l'impression de revisionné le premier épisode avec des acteurs plus jeunes, Depp n'est plus très convainquant dans son rôle de pirate alcolo. Bref le charme des premiers opus n'est plus et ce 5 ème film n'a pas un scénario à la hauteur des 4 autres. Franchement décevant moi qui l'attendais depuis longtemps.
Cinquième opus de la saga cinématographique tirée de l’attraction des parcs Disney, il reprend tout ce qui a fait le succès de la franchise : action à gogo, humour (dont une grosse partie repose sur les épaules de Johnny Depp), pirates fantômes, quête magique, sidekick juvénile (Brandon Thwaites remplace Orlando Bloom désormais trop vieux) et jouvencelle intrépide (Kaya Scodelario remplace, elle, Keira Knightley elle aussi trop mûre pour cette partition). On a donc un spectacle total qui répond sans failles à la définition du blockbuster pop-corn où l’inventivité et l’originalité comptent moins que la capacité à fournir un show divertissant et tout public. Sur ce plan-là le film réussi sans mal, mais aussi sans génie. Je veux dire par là que l’on ne s’ennuie pas, mais qu’on est loin cependant d’être enthousiasmé par un long-métrage qui a quand même un parfum capiteux de déjà-vu. Alors je n’ai pas boudé mon plaisir, mais il vrai également qu’une fois le film finit je ne peux pas dire que j’en garderai un souvenir impérissable, il y a fort à parier que dans quelques années la proximité des différentes intrigues des cinq opus m’amène à ne plus savoir lequel raconte quoi exactement… En bref, si vous voulez un spectacle sans grande exigence cognitive, ce film fera sans nul doute votre bonheur, d’ailleurs les quatre précédents et le trailer du dernier annonçaient suffisamment la couleur pour qu’on ne se plaigne pas du spectacle proposé.
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar est un gros boxon, à la fois bourru et cacophonique mais il faut lui reconnaitre son envie de bien faire. Coté scénario, mise en scène, interprétations touts part dans touts les sens mais l'idée de revenir aux origines fait plaisir. Certes c'est facile mais comme le dit l'adage c'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleurs confitures !
Ce cinquième film de la Franchise ne masque pas ses ratés ultérieurs, on surfe sur la vague du ringard et l'on redonne presque un peu de bonhomie à tous cela à l'image de Jack. Devenu le pirate Has Been qu'il est à ce jour il recherche cette fois non plus sa gloire d'antan mais juste à sauvé ses miches de la mort qui le recherche sur tous les Océans. Rien de bien neuf, on nous ressorts les vieux gags et Johnny Depp se charge de la gestuelle. Il y'a de l'honnêté dans la démarche et en cela il m'ai difficile d'être aussi sévère que de par le passé. Il porte de sacré valises toutefois ...
Qui plus est le début est bien conduit, tout se vautre très vite mais j'ai bien apprécié son démarrage je le reconnais. J'ai perdu le fil très rapidement tant le bazar du scénario est tiré à quatre épingles mais le petit coté épique prend toutefois la mesure de tant à autre. Sporadiquement le film fait son petit effet, il faut bien sur mettre le gros des attentes de cotés ...
Les compagnons de jeu de Jack sont quand à eux plutôt faiblards. Exception faite de Carina Smyth ( Kaya Scodelario plutôt marrante ) touts les autres se plantent, en premier lieu un Javier Bardem dans une très petite forme. Barbosa ( Geoffrey Rush ) se refait un peu la cerise ici et là, c'est toutefois mince.
Au final ce cinquième film fait oublier le précédent raté mais ne montre rien de plus. Il s'embrouille tout seul ...
Ce cinquième volet de la saga "Pirates des Caraïbes" ressemble à une pizza froide que l'on ferait réchauffer au micro-ondes. Malgré la surenchère d'effets spéciaux, "La vengeance de Salazar" finit par lasser. Il y a du rythme et de l'action, certes, mais cette série de films n'a clairement plus rien à offrir depuis l'opus original de 2003. Johnny DEPP en fait des caisses pour divertir le public. Les autres acteurs cabotinent sans surprendre. Le méchant Salazar interprété par Javier BARDEM n'est pas crédible pour un sous. Le scénario est d'une pauvreté affligeante. Il est même similaire aux autres épisodes de la franchise. En somme, ce cinquième film nous est présenté un peu comme nous serait montré une même voiture au salon de l'automobile d'une année sur l'autre mais avec quelques rajouts censés la rendre plus performante.
J'ai vu un film... dont j'ai trouvé la musique et les effets spéciaux exceptionnels... Et c'est tout... Le scénario, creux, les dialogues insipides... On s'y ennuie ferme dès que ça parle... Et même si j'apprécie Johnny Depp, là, je lui ai trouvé le charisme d'une huître... A éviter...
Dans cette saga au niveau globalement déclinant, ce 5e opus a simplement confirmé mes craintes: la créativité des scénaristes et réalisateurs semble malheureusement avoir sombrée dans le triangle des Bermudes, en meme temps que Johnny Depp, dont le personnage devient carrément insupportable. Bref, mal écrit, mal réalisé, plombé par des facilités à peine croyables (les requins-zombies !) et des effets-spéciaux kitchs à souhait, La vengeance de Salazar peut rester au placard.
Je n'en avais vu aucun avant celui ci. Je me suis laissé convaincre par mon fils. Je ne suis définitivement par fait pour ces aventures de pirates. Je préfère les versions us classiques que les cabotinages demandés à Johnny Depp. Je passe mon chemin.