Avis : Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar - Page 3

Il est grand temps que cette saga s'arrête, elle a perdu tout son panache, tout est du déjà vu et archi vu, tant dans les scènes le scénario que la façon de filmer.c'est parfois tiré par les cheveux, Johnny Depp ne sert à rien, il en fait des tonnes, il totalement caricatural, c'est navrant

Ah... Pirates des Caraïbes, ça n'est plus ce que c'était... Entre nombreuses incohérences et effets spéciaux qui piques les yeux, un scénario de producteur sans esprit d'aventure... Je ne conseille pas ce film aux amateurs des trois premiers films de Pirates des Caraïbes.

Qu'on l'attendait ce cinquième épisode ! Après un quatrième épisode discutable qui ne rendait pas hommage à la superbe trilogie de Verbinski, l'enjeu était de taille. Et vu les nombreuses difficultés de tournage on pouvait douter du résultat. Et à raison ! Voilà, Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar est le plus mauvais opus de la saga. Il est si mauvais que cela m'a poussé à repenser le précédent film qui n'était pas si catastrophique que cela.

Ce cinquième Pirates des Caraïbes a nombre de défauts. Mais son plus gros qui fait tâche et détruit à mon sens le film c'est son traitement des personnages ; à commencer par Jack Sparrow. Pendant quatre films on a eu un personnage égal à lui-même, un génie charismatique aux répliques bien senties, manipulant les autres par une stupidité apparente. Même la Fontaine de Jouvence, avoir moins d'habileté que la trilogie, arrivait à nous le représenter fidèlement. Dans ce cinquième épisode, Jack Sparrow est un crétin beauf totalement inutile à l'intrigue, qui a perdu tout son charisme. Le problème se retrouve chez Barbossa. Je ne comprends pas l'engouement de certains spectateurs pour qui spoiler: la relation entre Barbossa et sa fille était "émouvante"
. Arrêtons tout de suite, tout cela est mal amené, pas développé et spoiler: la mort de Barbossa était juste ratée, classée -5 sur l'échelle de 10 de l'émotion
. Je pense ne pas vouloir parler du retour de Will et Elisabeth Turner qui était un simple coup marketing : spoiler: la seule apparition d'Elisabeth se trouve d'ailleurs à 90% dans la bande-annonce internationale, une vraie blague
...
Pour ce qui est des nouveaux personnages, on va faire plutôt rapide : de Henry Turner ou de Carina, le charisme est également absent. La faute à un développement superficiel apporté par un rythme sans pause. Le Capitaine Salazar grand méchant du film est probablement le personnage du film le mieux traité et permet au film d''éviter de passer de passable à nul. Bien que son background aurait pu être plus complexe, il en ressort quelque chose d'assez fascinant pour une partie du film.

Ce qui sauve le film, parallèlement à son méchant pas si raté, c'est l'aspect technique. La réalisation est plutôt réussie et les scènes d'action impressionnantes. Le problème, c'est que quand cette réalisation propre (sans être folle) sert un scénario bourré d'incohérences (compas de Jack, malédictions liées au Trident, etc...) aux personnages creux pour la majeure partie, ça donne un film vraiment très moyen à la limite du mauvais. Arrêtez, je vous en prie, la saga Pirates des Caraïbes en ayant la décence de ne pas faire un sixième film sur spoiler: le retour de Davy Jones comme le suggère la scène post-générique
.

Pirates des Caraïbes est une saga formidable quand elle prend des chemins de traverse, qu'elle se détourne de son histoire pour s'intéresser à ses personnages fantasques et facétieux et marchant sur la ligne jaune de la morale. Une saga plus intéressante quand c'est un film de pirates matiné de fantastique et non l'inverse. Ici, la surenchère semble avoir pris le pas, plus d'argent, plus de bruits, plus d'effets numériques mais aucune aspiration artistique, juste un cahier des charge consciencieusement rempli. Ce n'est pas un film, c'est un produit avec Jack Sparrow dedans, le seul à insuffler encore de la fraicheur dans cet univers balisé. Les nouveaux personnages sont fades et la fin verse dans un sentimentalisme désagréable quand la série avait toujours eu un coté gentiment punk

Exit « La Fontaine de Jouvence », place à une transition vers le passé… Disney, tout comme les réalisateurs de Bandidas, Opération Sabotage et Kon-Tiki, que sont Espen Sandberg et Joachim Rønning ont compris ce qu’attendait les spectateurs. Mais encore faut-il satisfaire et respecter le matériel d’origine qu’est Pirates des Caraïbes. Voilà une chose à discuter, mais de nouveau sans débat quant à l’efficacité de ce cinquième volet très calibré.

Le souci vient tout d’abord de cette facilité d’écriture. Tout est simplifié et justifié au maximum. Il suffit de citer le nom du scénariste de « Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal », à savoir Jeff Nathanson, pour se rendre compte de cette fénéantise. La cohérence historique prend un coup et les personnages sur scènes se débattent comme ils peuvent pour ne pas sombrer. Autant, les rescapés de la première trilogie se faufilent à travers les pièges caricaturaux abusifs. Mais concernant les nouvelles têtes, la fraicheur n’est pas plus un bien qu’un mal. Certains éléments auraient mérité un meilleur développement. Commençons par le méchant du volet. Javier Bardem incarne un Salazar animé par le mal et la terreur, du moins à première vue. Sa motivation est plus intéressante à découvrir dans son passé que pendant sa malédiction. Un charisme comme le sien est pourtant négligé au profit de sa prestation légendaire en tant qu’ennemi principal. Davy Jones n’a pas eu besoin de background pour s’illustrer et Salazar écope d’une insuffisance dans le domaine. Mais alors pourquoi le limiter autant ?

Par ailleurs, toute l’intrigue est saccadée par un rythme si intense que des scènes sont condensées sans logique. Faire les liens et croiser les différents groupes en un même point devient une épreuve où le recul est nécessaire. Tout est décousu et raccordé par des gags à gogo et cartoonesque. Alors que certains peuvent surprendre, et voler quelques sourires au passage, on les identifie rapidement dans la masse, car Jack Sparrow tient toujours les rennes. Et bien Johnny Depp lui apporte peu en matière d’évolution, la maigre écriture du héros laisse entrevoir une légère maturité. Il est quelques fois dépassé ou bien dévêtu de cette légendaire chance qui l’accompagne et qui fait sa fierté. Nous l’aimons ainsi car nous l’avons découvert ainsi. De même pour Barbossa où Geoffrey Rush réconforte sa nouvelle rédemption. On insiste alors moins sur ces héros et on laisse les « jeunes » s’affirmer.

Henry Turner (Brenton Thwaites) et Carina Smyth (Kaya Scodelario) sont évidemment les substitues de Will et Elisabeth. Ils apportent si peu à l’aventure que leur jeu poussif impose une lourdeur à l’écran. On ne retrouve qu’une utilité narrative, sans plus. On étudie alors le syndrome d’une paternité en déclin et en reconstruction, marque de fabrique du scénariste. Or, l’effet attendu ne procure ni la sensation d’immersion, ni l’émotion de la nostalgie. En effet, on sent étrangement un malaise au moment où l’intrigue recycle les codes gagnants des premiers films. La mission du divertissement semble être l’unique ligne de conduite dans le cahier des charges… Encore une fois, l’écriture pèse sur l’appréciation de l’œuvre qui se dégage légèrement du précédent dérapage, mais ne parvient toujours pas à remonter à la surface.

Au final, « Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar » fait mine d’innover par des prouesses essentiellement esthétiques et humoristiques. La vérité est ailleurs et c’est à reconsidérer dès lors que le schéma du film annonce une lancée sur la même cinétique que les trois premiers volets. On ne ressort que bourré ou rassasié, sans réelle saveur ni satisfaction d’avoir vécu une sortie mythique sur les eaux maudites. Une bien piètre reprise qui aura manqué la finesse de ce que fut la saga autrefois… dommage !

Usé, c’est ce qui me vient à l’esprit quand je repense à ce dernier opus de « Pirates des Caraïbes ».
Usé comme le scénario vu et revu dans Pirates des Caraïbes : un ennemi maudit (encore un) en veut à Sparrow (à croire que tous les damnés des mers lui en veulent) qui tente de le fuir, car il est moins puissant, mais par sa ruse et ses alliés de fortune il va trouver un moyen d’y échapper.

Non seulement le scénario est éculé mais il est fainéant. Là où les 3 premiers (surtout les 2) prenaient le temps de développer une histoire pour aboutir sur des scènes d’actions assez mémorables, celui-ci fait l’inverse, on multiplie les scènes d’action et on noie l’histoire dedans. Dans les 3 premiers opus (je n’ai pas vu le 4ème) l’action sert l’histoire, là c’est exactement l’inverse. Du coup cette dernière souffre d’énormes raccourcis spoiler: (pourquoi Salazar et son équipage sont maudits, on en sait rien, le lien entre eux et le compas de Sparrow, on s’en fout, d’où vient le trident de Poséïdon, c’est pas grave on nous le balance comme un cheveu sur la soupe)
et d’une intrigue des plus mauvaise spoiler: (que ce soit la principales ou les secondaires telle que Barbosa Smyth)
.

Bref un scénario usé jusqu’à la corde et des personnages qui le sont presque tout autant, leurs relations sont inintéressantes spoiler: (c’est quoi cette histoire d’amour ultra plate et cette intrigue père fille ultra prévisible)
, tous sont prévisibles. Alors certes ils demeurent sympathiques mais à l’image de Sparrow ce qui faisait leur sel (pourtant y en a plein la flotte) a disparu car trop vu. Sparrow justement en devient lassant car n’arrivant pas à se renouveler, là où dans les 1ers on riait, dans ce dernier il nous arrache péniblement quelques sourires.

Bref rien n’est renouvelé dans ce « Pirates des Caraïbes », pire on l’impression que Disney nous recycle les éléments des précédents mais de façon très maladroite (un peu comme des restes mal accommodés), de plus on a l’impression qu’il fait à peine le lien avec les précédents (si ce n’est à travers les personnages de façon bien maladroite encore une fois). Ajoutez à cela des scènes d’actions trop présentes, parfois interminables spoiler: (la banque)
et souvent bordéliques spoiler: (mis à part la scène de la guillotine plutôt réussie)
et elles aussi vues et revues dans les précédents opus de la saga et vous obtenez un 5ème volet limite ennuyeux.

Demeure l’ambiance toujours agréable mais qui ne se suffit plus à elle-même. En définitive Salazar a une revanche bien pâle dans une franchise, qui à son image, s’essouffle clairement. Un renouveau dans le 6ème opus est indispensable sans quoi il sera plus que temps de plier les voiles et rentrer sur la terre ferme.

Waouh ! Qu'est-ce que c'était... nul !! Moi qui pensais que ce film allait redonner espoir à la saga "Pirates des Caraïbes" et la ressusciterai après le quatrième film, et ben j'ai été trop optimiste, car ça a fait que l'enfoncer encore plus ! Le rythme du film va beaucoup trop vite, le montage et les effets spéciaux sont mal foutus, les acteurs jouent tous comme des quiches, mention spéciale à Johnny Depp qui en a plus rien à faire d'être Jack Sparrow et qui est devenu une parodie de lui-même. Geoffrey Rush en tant que Barbossa, ils ont réussi à gâcher son personnage, ils ont osé transformé le pirate le plus maléfique de toute l'histoire des pirates en espèce de Bisounours ! (j'en dirais pas plus !). Les deux acteurs principaux, Brenton Thwaites et Kaya Scodelario, on a envie de les gifler, et Javier Bardem dans le rôle de Salazar, malgré un design plutôt correct, est vraiment mauvais. C'est de la repompe des films d'avant, mais surtout, ce qui m'a vraiment enragé, c'est que l'histoire est blindée d'incohérences par rapport aux films d'avant. Enfin bref, pour moi c'est clair et net : Un grand NON !! Déjà que le 4 servait à rien, celui-là crache sur les anciens films, ce qui est encore pire ! Et je parlerai même pas de la scène post-crédits qui est tout juste scandaleuse !! Et si les fans de "Pirates des Caraïbes" ont aimé ce film, je comprends pas, parce qu'il a tout pour être mauvais, en se permettant de détruire ce que les films d'avant ont mis en place. Je lui mets donc deux étoiles, mais franchement, ça les mérite même pas. En conclusion, je ne vous conseille pas de le voir, et j'espère que les producteurs vont laisser cette saga en paix, car elle méritait tellement mieux que ça ! (PS : Arrêtez de dire que c'est divertissant, c'est pas un prétexte !!)

Absolument navrant, et ce par plusieurs points:
- il n'y a plus cette sensation d'épique via la musique
- Jack n'est plus qu'un guignol, enchaînant des gags
- Des scènes mal montées, où des personnages apparaissent sans réelle explication et logique
- Une intrigue proche du néant
- Trop de personnages secondaires inutiles: à quoi sert la sorcière ? spoiler: Le couple Turner en simple caméo
?!
Le film se vautre lamentablement, pourtant tout semblait être parfait. Quasiment tout est mal amené: spoiler: le fils de William Turner qui a pour idée de libérer son père de son fardeau; les pouvoirs de Salazar et la nature de la magie qui l'a rendu dans son état; le véritable parti de Barbossa; l'histoire du fameux compas de Jack (est-ce que les scénaristes ont vu les films précédents ? Tia Dalma, on s'en fou ?)
et j'en passe...
Le seul point positif que j'ai retenu est la scène bonus, peut être aura-t-on droit à un vrai film pirate des caraïbes avec le prochain opus, avec une vrai intrigue ?

Pirates des Caraïbes 5 est-il meilleur que son précédent ? Oui mais il s'en est fallu de peu. Là où l'erreur du 4 était de nous embarquer dans une histoire adaptée d'un roman, plongeant ainsi les personnages dans une histoire qui n'était pas à leur mesure et ça se ressentait, ici c'est l'incohérence et la fainéantise du scénario que blesse.
La liste des incohérences est assez longue :
spoiler: - la malédiction du Hollandais Volant. - Le compas de Jack. - La fille de Barbossa. - Le retour de Davy Jones. - La reine des pirates qui vit en longue robe sur une ile déserte ?!

Et je n'ai sous doute pas tout relevé. C'est a se demander si le scénariste (différent de celui des 4 premiers opus) a vraiment vu les films précédents.
Niveau jeu, c'est une catastrophe, Johnny Depp n'en a jamais autant fait et n'a jamais été aussi peu crédible dans son rôle. Les deux jeunes premiers sont d'une fadeur sans egal, au point que j'ai du mal à me souvenir de leur visage, Javier Bardem est en totale roue libre, c'est amusant mais on remarque que la direction d'acteur n'a pas du tout catalyser ce b*rd*l. Geoffrey Rush reste toujours un excellent Barbossa.
Au niveau Réa, le job est fait, le film est plus lumineux que la fontaine de Jouvence (encore heureux), et certaines scènes sont vraiment réussie (celles de la guillotines restera sans doute dans les annales de la saga). Cependant on regrette les plans iconiques des 3 premiers. Ici très peu de choses restera en mémoire, n'est pas Gore Verbinski qui veut finalement.
Je termine avec une interrogation sur la musique. Je trouve étonnant que Geoff Zanelli (déja compositeur de musiques additionnelles sur les précédents opus) soit ici crédité en tant que compositeur principal alors qu'il n'y a qu'un seul thème supplémentaire. Le reste n'est qu'un copié collé des précédents films, mêmes pas réorchestré.
Voilà, le film est divertissant, drôle, parfois bien foutu, mais écrit sans aucun respect de ce qui a été fait avant

Un nouvel opus de Pirates des Caraïbes est toujours un événement. J'ai adoré les 3 premiers films mais le quatrième m'avais un peu déçu. Quand la bande annonce du dernier est arrivé, j'me suis dis que le ton avait l'air d'être différent, plus sombre, un peu comme le premier film. Plutôt cool. Pour garder la surprise, je n'ai absolument pas regardé les autres BA. Du coup, quand je me suis rendu en salle, j'allais vraiment découvrir un pirate des caraïbes sans connaître l'intrigue, ni les nouveaux personnages. Et là, catastrophe....

Déjà, notre cher Jack Sparrow....pardon Capitaine Jack Sparrow. On adore Jack pour ses mimiques, sa façon de parler, d'agir inconsciemment (ou alors il fait croire qu'il n'a pas de plans, à moins qu'il a vraiment des plans...il a vraiment des plans ? ^^). Bref du Jack dans toute sa splendeur ! Mais alors qui est ce personnage que ce fait passer pour Jack dans ce nouveau film, on dirait qu'il fait sa propre caricature. Il ne me fais presque plus rire du tout, ces blagues deviennent des gags enfantins spoiler: dans le genre : Je fais toujours pipi au lit (il dit sa littéralement, et pas qu'une fois)
Il surjoue beaucoup trop et au final, devient un peu inutile. Ya des scènes où j'étais mal à l'aise, j'me suis demandé si c'était pas en faite un film uniquement pour les gosses.
Ensuite le nouveau méchant, qui a plutôt la classe, il faut le reconnaître. Lui son personnage est très bien mais c'est son histoire de vengeance contre jack que je trouve un peu trop simpliste spoiler: Je t'ai fais quelques réflexions, un peu humilié et laissé dans le triangle et tu veux te venger pour quelques réflexion ? Désolé mais on a connu mieux comme dénouement dans les autres films

L'arrivée de la nouvelle héroïne et beaucoup trop simple aussi. Voilà, on a un nouveau personnage, ça c'est son passé et maintenant elle entre dans cette histoire. Vous auriez pu faire glisser son passé au fur et à mesure du film.
Tiens en parlant de l'histoire. spoiler: La seule façon de se débarrasser de Salazar, c'est le trident. Mais c'est quoi ce trident Power Ranger qu'ils nous on pondu ? Vous avez fumer quoi les gens ?
Qu'il y ai du fantasy dans pirates des caraïbes j'veux bien mais déjà que dans le dernier épisode, ils en mettaient pas mal mais là on a complètement dépassé les bornes. En faite j'ai carrément décroché à ce moment précis : spoiler: quand la statue du bateau prend vie, se barre de son socle et se bat contre Jack

De plus les dialogues sont grotesques, caricaturales. Les effets spéciaux sont parfois bien fait et parfois dégueulasses spoiler: surtout au début quand la fondation de la banque s’effondre
. La musique passable. Ya des scènes très très prévisibles spoiler: Avouez le qu'on savait tous que Barbossa allait mourir pour sauver sa fille, je l'ai su dès qu'on nous appris que c'étais sa fille

Le seul moment que j'ai vraiment adoré, c'est la toute fin spoiler: Les retrouvailles de Will et d'Élizabeth

Ah oui un autre truc où j'ai été dégoutté mais c'est entièrement de ma faute, c'est la scène Post Générique, je ne savais pas qu'il y en avait une et j'me suis barré avant ^^
Bref, pour moi c'est le pire de la saga.

Le premier opus était une excellente surprise malheureusement la magie n'opère plus et on a l'impression de voir un remake mais avec de moins bons comédiens et surtout moins charismatiques pour ne pas dire insipides. Le numéro de Depp reflète bien le problème du film cest du vu du revu du réchauffé et on est vraiment lassé à force.

Comment ont-ils pu faire ça ? Ruiner la saga avec laquelle j'ai grandi. C'était l'opus de trop ! Beaucoup d'incohérences, les idées s'essoufflent. Rien ne se tient. Le méchant n'est même pas convaincant. Grosse déception. Mauvais développement des personnages. Seul Jack reste égal à lui-même et arrive légèrement à sauver le film. En plus la scène post générique nous annonce presque une suite avec le retour d'un personnage censé être mort. Bref, j'y suis allée parce qu'il n'y avait rien d'autre au ciné et que je suis une fan inconditionnelle de Pirates des Caraïbes...

Bof, très bof. La franchise s'essouffle tout comme le rythme du film. Les scénaristes rament. Et les simagrées de JD finissent par lasser. Les trucages sont plutôt bien faits à une ou deux exceptions. Pas de quoi pendre un pirate.....

Voilà certainement le Pirates des Caraïbes le moins réussis de toute la saga. Quelle déception…
La première chose qui me marque, c'est le rythme beaucoup, mais beaucoup trop rapide des scènes. On n'a ainsi pas le temps de connaitre et de s'attacher à Carina et Henry, qui par ailleurs arrivent dans la saga un petit peu comme un cheveu sur la soupe. Quant au capitaine Salazar, il pouvait faire un méchant très intéressant, mais même chose : il n'est pas assez exploité.
Deuxièmement, il y a quelques incohérences qui posent problèmes. spoiler: Il s'agit par exemple du compas de Jack Sparrow qui lui ait donné par le capitaine pour qui il travaillait. Pourtant, dans les opus précédent, il semblerait que ce soit Jack qui l'ait volé à Tia Dalma. Simple erreur (ce qui est tout de même gênant) ou alors une explication sera-t-elle donnée plus tard ?

Troisièmement, cela reste un Pirates des Caraïbes, donc on passe dans l'ensemble un bon moment, malgré ces problèmes. spoiler: Un grand regret concerne la mort du capitaine Barbossa. Pourquoi pas faire mourir un tel personnage, mais encore aurait-il fallut lui donner une mort digne de ce nom (même s'il s'agit d'un sacrifice).
La scène post générique est aussi très intrigante, espérant que cela laisse présagé un dernier Pirates des Caraïbes digne de ce nom, digne des trois premiers opus !

On n'y croyait plus vraiment et ne l'attendions pas plus que ça, mais bon... Le cinquième volet de « Pirates des Caraïbes » est là ! Et bizarrement, à chaque fois j'y crois, d'autant qu'ayant déjà vu les quatre premiers au cinéma, je me dis « logiquement » : pourquoi ne pas aller voir le cinquième ? Et finalement, on ne regrette pas vraiment le déplacement tout en se disant qu'on aurait pu s'en passer... Un peu plus excitant et rythmé que la décevante « Fontaine de jouvence », « La Vengeance de Salazar » s'appuie sur une histoire honnête à défaut d'exploiter tout son potentiel, ainsi qu'évidemment des effets spéciaux de qualité, notamment dans la spectaculaire dernière partie. Pour le reste, c'est vraiment la routine, avec toujours la même recette ne se renouvelant absolument pas, à l'image de celui-ci qui était la force de la saga et en est presque devenu la faiblesse : Jack Sparrow, dont l'humour nous laisse de plus en plus de marbre, sans oublier quelques vrais loupés (la première course-poursuite est trop longue, mais que dire de la scène du "mariage forcé" de Jack, au-delà du gênant)... Le film fait le job, sans plus, à l'image de nouveaux héros mignons mais un peu fades (surtout lui), heureusement « sauvé » par la présence de Javier Bardem, méchant de bonne facture soutenu par des effets visuels bluffants... Voilà voilà. Je ne me suis pas trop ennuyé, mais pas spécialement éclaté non plus : cela aurait pu être mieux, pire aussi... Pourquoi pas, à condition de ne pas en attendre grand-chose.