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keepondreaming
40 abonnés
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2,0
Publiée le 12 juin 2017
Le film est divertissant mais c'est tout. Il n'apporte rien de nouveau, les personnages sont fades, Johnny Depp est exaspérant bref c'était pas la peine de faire une suite.
Il ne faut pas se mentir, ce nouvel opus de "Pirates des Caraïbes" n'a pas inventé l'eau chaude, le cahier des charges est rempli, rien d'original à l'horizon. D'un côté c'est assez déprimant mais de l'autre plutôt rassurant : en faisant du réchauffé, notamment dans la reprise d'un jeune couple qui rappelle évidemment celui composé par Orlando Bloom et Keira Knightley, le film revient à l'origine de la saga pour mieux réinjecter un dynamisme qui semblait perdu – je n'ai pas vu "La Fontaine de Jouvence" dont la réputation est moyenne mais "Jusqu'au bout du monde" faisait peine à voir. Même si le film est plombé par des dialogues très vite oubliables, par quelques clichés narratifs et par un Javier Bardem qui en fait des tonnes, il faut reconnaître au duo de réalisateurs norvégiens un vrai savoir-faire dans la réalisation des scènes d'action, ponctuées par ailleurs de belles trouvailles plastiques et visuelles, et une capacité à ne pas rendre l'ensemble trop lourd, ce qui est peu évident pour un blockbuster de nos jours. Ce n'est certainement pas le film de l'année mais cela reste assez bien mené pour procurer un certain plaisir.
5ème opus de la saga Pirates des Caraïbes, on peut se demander si celui-ci ne sera pas le dernier. Plus les films passent et plus on se lasse de ces histoires de pirates. Le scénario et certains passages en deviennent même ridicule. On prendra toutefois du plaisir sur certaines séquences avec l'inévitable Jack Sparrow, véritable légende du 7ème art à présent. L'histoire est banale puisque de nouveau, Jack est pourchassé par un mort vivant qui fut terrassé il y a longtemps par le célèbre pirate. Bref : lassant mais à noter une fin très intéressante qui pourrait boucler la saga.
Pour ce cinquième opus de "Pirates des Caraïbes", Johnny Depp et ses compagnons se lancent dans la quête du Trident de Poseïdon. On a droit ici à un blockbuster sans grand intérêt et après un début prometteur, j'ai vite sombré dans l'ennui malgré le savoir faire des deux réalisateurs. Une mention spéciale quand même à Javier Bardem, totalement flippant. Pour le reste, un film pop-corn qui devrait néanmoins être un succès au box-office.
Six ans après le dernier opus consacré sur Barbe-Noire, la célèbre saga des pirates avec son fidèle Jack Sparrow revient au cinéma avec l’apparition d’un tout nouvel ennemi, le terrible Salazar, un espagnol maudit. Le cinquième opus se veut en retour aux origines avec le grand retour d’Orlando Bloom et de Keira Knightley ainsi que certaines références à la première trilogie. Et pour réaliser cette nouvelle aventure, les réalisateurs sont Joachom Ronning et Espen Sandberg, deux norvégiens déjà habitués à collaborer ensemble sur un même projet comme par exemple Marco Polo (2014) ou Bandidas (2001).
L'histoire: spoiler: Le jeune Henry Turner rêve de pouvoir libérer son père de la malédiction du Hollandais Volant, mais pour cela il doit s’emparer du Trident de Poséidon, un objet magique trouvable uniquement qu’avec une carte qu’aucun homme ne peut lire. Pour l’aider, le jeune Henry part à la recherche de Jack Sparrow, un capitaine pirate aux multiples aventures rocambolesque. Se rajoute à la recherche une jeune femme, surnommée la sorcière, qui semble avoir des connaissances plus étendues sur la fameuse carte qui mène vers le Trident de Poséidon. Mais la situation se complique avec l’arrivée de Salazar, un pirate espagnol maudit qui cherche à se venger de Jack Sparrow, la cause de sa malédiction qui le force à rester enfermé dans une grotte depuis une éternité.
Alors que le quatrième opus de la saga, premier où Gore Verbinski n’est pas à la réalisation, était un échec cuisant, un blockbuster sans saveur et indigne du succès de la première trilogie, les studios Disney avaient signalé leur volonté de renouer avec les sources de la saga pour ce cinquième épisode, revenir vers ce subtile mélange d’action et d’humour qui faisait le succès du tout premier film. Malheureusement, la Vengeance de Salazar n’arrive pas à atteindre un bon niveau de réalisation, certes il est à noté que la relation humour-action a été nettement plus travaillé que pour la Fontaine de Jouvence. Mais le film n’arrive pas à atteindre un niveau d’humour, les blagues étant soit déjà faites soit pas ou peu drôles, et les événements rocambolesques n’ont jamais autant bien porté leur nom (spoiler: notamment lorsque les pirates tirent avec des chevaux un bâtiment entier dans toute une ville, scène totalement impossible et peu drôle ). S’en suit d’interminables scènesspoiler: de dialogues inutiles, pour faire comprendre le scénario, mais dont les explications interminables n’apportent que du sommeil au spectateur. Alors que le méchant et son aspect fantomatique était particulièrement beau et bien fait (les cheveux qui volent au vent comme s’il était continuellement dans l’eau est une excellente idée) mais c’est tout ce qu’il reste d’intéressant sur ce personnage, sa personnalité étant peu travaillée et trop copiée collée auprès des autres méchants de blockbusters, on est bien loin d’un méchant digne de ce nom comme Davy Jones.
Comme pour la Fontaine de Jouvence, la Vengeance de Salazar est le genre de film où lorsqu’on sort de la salle de cinéma on est tenté de penser que la saga aurait du s’arrêter avant et qu’il vaut mieux rentrer chez soi et se regarder à la télé la première trilogie, la véritable réussite de la série et qui proposait une fin parfaite pour clôturer la saga.
Pirate des caraibes et la vengeance de salazar que dire de ce film qui m'à agréablement surpris par les costumes et notamment celui de salazar qui est sombre, déchiré avec du sang partout sur le visage rendant ainsi un mythe réel et vivant aux yeux des spectateurs qui permet de renouer avec les traditions de pirates et cela fonctionne très bien. Le film nous fait part aussi de la jeunesse de jack sparrow mais hélas cela cré une réelle opposition avec ce qui a été fait à l'époque dans la première trilogie et cela marque le début de nombreuses incohérences scénaristiques. Cependant malgrè ce gros point négatif le film reste très divertissant et l'histoire permet de relever le niveau mis en place par la fontaine de jouvence que j'ai trouvé assez fade. En effet on peut constater que les personnages restent charismatiques et que le film change totalement d'horizon en nous montrant un film plus comique mais tout aussi intéressant par rapport au 3 premiers opus. Un film que je ne conseille pas au fan de pirates de caraibes mais à un public plus ouvert d'esprit et qui n'a pas de recul sur ce film qui est divertissant mais catastrophique dans la continuité (entre le 1er opus et celui-ci).
Une grosse déception. Cette saga est en train de chuter. Le scénario a de bonnes idées, mais est très entache par des blagues limites lourdes. Jack Sparrow était certes amusant, mais avait quelques moments interessants et héroïques dans les premiers opus. Dans ce film, il ne fait presque que des blagues, et devient presque ennuyeux. Le méchant est oubliable. Restent encore quelques bonnes scènes d'action qui sauvent un peu le film, mais j'ai été vraiment déçue. Dommage.
Johnny Depp a beau s'agiter, il ne parvient pas a redevenir le plaisant capitaine Jack Sparrow. L'histoire et intéressante, mais il aurait fallu une bonne demi-heure supplémentaire (voire une seconde partie) pour qu'elle soit complète, là il y a trop d'informations manquantes. Malgré beaucoup d'erreurs, j'ai une affection particulière pour ce cinquième opus car j'adore son antagoniste (Javier Bardem), les effets spéciaux sont de qualité et je retrouve un peu de ce qui faisait le sel de la trilogie de Gore Verbinski.
Étant fan de la saga "Pirates des Caraïbes", j'attendais avec impatience ce cinquième volet. J'aurais été plus patient si je savais à quel point ce film m'aurait donné ce sentiment de déception et de trahison en sortant de la salle. Le scénario est pour ma part tout d'abord catastrophique puisqu'il est en effet incohérent non seulement dans le film mais également par rapport aux précédents films. Par exemple, spoiler: le film nous montre que le fait que Jack Sparrow (Johnny Depp) se soit séparer de son compas a permis à Salazar de réapparaître. Or, pourquoi n'est-il pas revenu dans les précédents films sachant que Jack s'est séparé de son compas bien plus d'une fois ? La fin du film fait également l'erreur fatale de spoiler: faire revenir Davy Jones. Quelle vaste blague, quel choix idiot ! En ayant fait ça, non seulement ils ne respectent pas leur propre film puisque spoiler: Davy Jones revient sous sa forme maudite alors que toutes les malédictions ont été rompues, mais en plus cela ne colle pas avec sa mort (ah ça oui il était bien mort) dans le troisième volet. Revient-il uniquement pour le fan service (je rappelle que j'adore pourtant Davy Jones et que ça me dégoûte) ? Que dire aussi des personnages qui ne valent pas mieux les uns que les autres. Jack Sparrow n'est que l'ombre de lui-même, on dirait que Johnny Depp s'ennuit, sans rire. Je ne sais pas où est passé sa ruse qui lui était si propre, ni sa grande intelligence, sûrement abandonnés avec Penélope Cruz sur l'île à la fin de "La Fontaine de Jouvence". Jack Sparrow n'est dans ce cinquième volet qu'un ivrogne idiot et inutile. Barbossa (Geoffrey Rush) est loin du capitaine pirate sanguinaire avide de gloire et d'or dépeint dans les précédents films, il s'est transformé dans ce film en spoiler: un petit papa bienveillant envers sa fille (en plus de se sacrifier inutilement). Henry Turner (Brenton Twaites) est plat dans ce film, il n'a aucun charisme, on est loin du charme et de l'aura du père interprété par Orlando Bloom. Carina Smyth (Kaya Scodelario) a le seul mérite d'être douée, bien que légèrement Mary-Sue sur les bords. Parmi les personnages, seul Salazar (Javier Bardem) vaut pour moi le détour puisqu'il remplit bien son rôle de méchant, qui est de représenter une véritable menace, en plus d'être un minimum développé et d'avoir un look qui en jette. J'aime beaucoup son maquillage repoussant et ses cheveux noirs à l'aspect fantomatique. Mais heureusement le film a tout de même des bonnes choses, comme des effets spéciaux plutôt réussis, une B.O toujours aussi marquante bien que peu innovante et une introduction de Jack Sparrow très drôle et franchement épique. Ce cinquième opus est donc pour moi plus que moyen, voire médiocre. Je le conseille à ceux qui n'ont jamais vu les précédents films qui je pense passeront un moment divertissant, mais pas aux fans de la saga. 2/5
Était-il bien nécassaire de nous refaire un cinquième volet de « Pirates des Caraïbes » après un quatrième volet qui n’était pas resté dans les mémoires ni pour son utilité ni pour ses qualités artistiques et narratives? Objectivement non. Pas foncièrement mauvais mais certainement pas mieux que ce dernier, ce nouvel épisode vient poser en creux la question du manque d’imagination flagrant des blockbusters hollywoodiens de cet été. Mais également des blockbusters actuels tout court entre franchises, suites, préquels, spin-off, remakes et reboots ! Au niveau de la réalisation, on ne peut rien dire. C’est mis en scène avec soin et les effets spéciaux sont performants mais c’est le moins que l’on puisse exiger pour une production de cet acabit. On ne pourra pas dire que l’on s’ennuie donc, le duo de réalisateurs insufflant assez de rythme à cette énième aventure pour que l’on ne regarde pas trop sa montre.
En revanche, l’histoire est vraiment décevante, le scénario n’arrivant jamais à relancer notre intérêt ni à innover. On nous ressort les mêmes sempiternelles recettes à base de chasse au trésor, de malédictions et de filiations qui nous tombent dessus comme des cheveux sur la soupe. D’ailleurs, le gros de l’intrigue est une copie voire une mélange de tous les autres opus et on voudrait nous faire croire qu’elle innove en recollant les bouts avec certains des personnages des premiers volets. Mais c’est maladroit et grossièrement amené. Et à y regarder de plus près, les détails du scénario ne sont pas forcément très clairs comme si l’équipe en charge de donner vie à ce cinquième volet disposait ses éléments d’intrigue un peu n’importe comment et en dépit du bon sens. Quant aux invraisemblances, il vaut mieux fermer les yeux dessus au risque d’attraper une migraine. Par exemple, Jack Sparrow a tout d’un super-héros tant il parvient à échapper à tous les tirs ou coups d’épée de ces antagonistes !
Quant à Johnny Depp dans le rôle de ce dernier, il fait peine à voir ! Enchaînant les bides depuis quelques années, il s’est dit que remettre les habits de son personnage fétiche allait lui redonner du plomb dans l’aile. Peine perdue, il ne fait plus rire personne et en devient une caricature de lui-même. Il est le vecteur principal d’un humour bêta et lourd qui ne fait plus rire que les enfants. Et encore ! Alors on passe le temps en contemplant quelques scènes d’actions bien exécutées (mention spéciale pour le sauvetage de la potence, assez drôle et original, ou un casse de banque impressionnant), de beaux paysages et quelques clins d’œil savoureux. Mais c’est bien connu, les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleures et il est bien temps d’arrêter les frais d’une recette éculée dont l’histoire n’a pas plus de sens que les péripéties qu’elle véhicule. Et ce n’est pas les nouveaux jeunes personnages, photocopies de ceux d’Orlando Bloom et Keira Knightley dans la trilogie initiale, qui vont changer la donne d’une saga qui s’approche de plus en plus du naufrage.
C'est donc une quête au Trident de Poséidon qui nous attend cette fois-ci ! Toujours aussi joli visuellement, ce cinquième volet des aventures de Jack Sparrow sera avant tout marqué par l'arrivée d'un méchant charismatique aux traits bien pensés, campé par l'excellent Javier Bardem. On connaît les qualités esthétiques de cette saga, et nous ne serons donc pas surpris sur cet aspect (les réalisateurs Joachim Rønning & Espen Sandberg rempliront leur part du contrat). En revanche, c'est une tout autre histoire vis à vis de ce scénario, qui suivra une fois de plus la trame habituelle, au point d'en devenir une pâle copie des précédents épisodes, tout en rajoutant des "coïncidences" aberrantes où les liens de parenté seront de la partie, tous réunis sur un navire, avant d'approcher une histoire d'amour banale avec ces deux jeunes mannequins. "Pirates des Caraïbes : La vengeance de Salazar" joue la facilité et l'improbabilité, et ne nous épargnera pas non plus d'un sacrifice final ridicule. La technique visuelle est aiguisée, mais la mécanique devient extrêmement redondante, de quoi nous lasser de ces aventures.
Pirates des Caraïbes, saga emplie de mythes et légendes des mers, de personnages étonnants et extraordinaires, et de rhum, bien sûr. Pas de piraterie sans rhum ! On peut poser, sans trop de doute, ces éléments comme base de tout film des Pirates des Caraïbes. Ce n'est donc pas de là que vient le problème. Tendance initiée avec l'épisode 4, les scénaristes semblent se faire un devoir de placer dans l'histoire une romance insipide, mièvre et sans intérêt tant elle est cliché. Dans le 4, il s'agissait de la relation improbable d'un prêtre et d'une sirène. Cette fois, Ô originalité frappante, c'est le fils au coeur d'or de William Turner passionné de mythes marins et une rationnelle jeune scientifique spoiler: (cerise sur le gâteau, fille de Barbossa... Pourquoi s'embêter à créer un nouveau personnage original et ne pas plutôt s'accorder sur la coïncidence incroyablement improbable que la jeune fille en question vienne à croiser la route de son forban de père...) , Carina Smyth. Si Kaya Scodelario (Carina Smyth) s'en sort comme elle peut, sans être mauvaise actrice mais avec une légère tendance à surjouer, son rôle est merveilleusement contrebalancé par l'insipidité de courgette de Brenton Thwaites (Henry Turner), dont le personnage a la personnalité d'un poisson échoué sur une plage. Bien sûr, la version française n'aide pas, avec des choix de doublage largement discutables. Prenons l'exemple frappant de Philippe Catoire, nouvelle voix d'Hector Barbossa, bien loin du timbre rauque et de la voix grasse et grave de Patrick Floersheim (malheureusement décédé en 2016) qui donnait tant de charisme au personnage. Le reste du casting est égal à lui-même, livrant une prestation généralement satisfaisante. Un Johnny Depp cabotin secondé par un équipage toujours haut en couleurs et rafraîchissant. La meilleure interprétation est celle de Javier Bardem, dont le personnage du Capitaine Salazar domine la plus grande partie du film. Un jeu d'acteur évidemment renforcé par la technologie numérique qui donne à son personnage cet aspect de noyé extrêmement réussi et convaincant. C'est d'ailleurs pour les apparitions du Capitaine Salazar que la musique s'avère intéressante, avec un thème hypnotique et sombre assez puissant, créant un contraste d'autant plus grand avec le reste de la BO, remâchée des épisodes précédents et sans caractère. Parlant de remâché, le nœud du problème est évidemment le scénario, empli de tellement de trous qu'on tombe dedans sans même les chercher. Incohérences, raccourcis et coïncidences semblent être les maîtres-mots de la trame d'un récit qui tire en longueur et s'étire en un spectacle d'humour absurde durant toute la première heure, avant de gagner en consistance en deuxième partie. C'est aussi la médiocrité générale de l'histoire qui permet à ce point à Javier Bardem de briller, lui offrant la meilleure partie du film. Sans même chercher à lister ces incohérences, il est facile de voir à quel point la trame tient à peu de choses. Jack Sparrow lui-même n'est d'ailleurs qu'un élément de comédie dans la quête qui est menée. Il est donc bien loin l'esprit du premier film, on en vient d'ailleurs à se demander comment un pirate qui choisit aussi volontiers la lâcheté a pu se faire autant de puissants ennemis au fil du temps. Il semble évidemment qu'un six soit à prévoir. Avec le souhait que la production décide de changer sa formule en évitant de nous resservir une troisième soupe réchauffée, pour compléter cette nouvelle trilogie plus dignement qu'elle n'a commencé...
Cet opus de "pirates des caraïbes" ne révolutionne pas la saga. On reste dans la lignée des précédents et cela suffit amplement à nous faire passer un bon moment.
Mouais... j'aime les films "pirates des caraïbes" car il y a toujours de belles idées graphiques, c'est d'ailleurs ce qui les sauve dernièrement. Par contre la License commence a me gaver sérieusement à trop mettre Sparrow en avant. Si encore il jouait moins l'abruti.... mais non, franchement des fois c'est looooooooooooooong et débile, entre courses poursuites interminables et situations rocambolesques qui ne me font même plus sourire. Je veux voir les autres personnages moi !!!! Genre plus de Barbossa. Plus de Salazar. On s'en fout de cet ivrogne imbécile de Sparrow, parce qu'au bout de 5 films, c'est toujours le même personnage ridicule sans profondeur. Et encore, je dis ça parce que je suis remontée contre tout ce gâchis, mais je l'aimais bien au début de cette saga !... Bref, Sparrow, il prend trop de place et il gâche l'ambiance. A quand un pirates de caraïbes SANS lui ? Disney aura t-il les tripes de tenter le pari ? j'en doute mais ce serait pourtant intéressant.