Derniers Avis : Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar - Page 12

Loin d'être mon meilleur volet de la sage, mais ce long - métrage reste correct. Jack reste Jack, on aime ou on aime pas, personnellement j'adore. Son comportement apporte de la fraîcheur au film et dynamise l'ensemble des scènes.

Réveillez-vous bande de canailles ! Tout le monde sur le pont ! Préparez-vous à l'abordage, c'est la sortie de " Pirates des Caraïbes : La vengeance de Salazar " ! . Six ans après l'échec du film précédent, Disney nous livre le cinquième épisode de la franchise. Que vaut réellement ce Pirates des Caraïbes 5 ? Tout d'abord, il est mieux exploiter que le quatrième film. L'intrigue explore un nouveau pan de cet l'univers fantastique. En effet, ce nouveau chapitre réussit ce mélange d'action et d'humour à travers des séquences de batailles aux allures d'un retour aux sources du premier épisode. Un divertissement plutôt réussi muni de quelques sensations fortes, de moments savoureux et tout ce tiens jusqu'à la fin. Cependant, l'intrigue apporte tout de même son lot d'incohérences liés notamment au compas de Jack Sparrow et enchaine des séquences un peu gratuites au cours du film. Les deux piliers survivants de la franchise, Johnny Depp et Geoffrey Rush, les interprètes des Capitaines Sparrow et Barbossa sont de retour accompagnés de nombreux comparses croisés au fil des précédentes aventures. Johnny Depp retrouve son personnage avec plaisir même s'il commence a s'épuiser. Un casting efficace renforcé notamment par deux nouveaux venues : Kayla Scodelario et Brenton Thwaites, les interprètes de Carina Smith et de Henry Turner. Tout deux aussi bons que leurs camarades. La réalisation tiens la route, le ton fonctionne, les thèmes musicaux n'ont rien d'exceptionnels mais elles reste corrects dans l'ensemble. Javier Bardem interprète le méchant de l'histoire. Un personnage sombre, impitoyable et surtout plus convaincant que Barbe Noire.Alors, que vaut réellement cette aventure? Ce cinquième chapitre à le mérite d’être mieux réussit que le précédent. Les norvégiens Joachim Ronning et Espen Sandberg signe un blockbuster, qui manque de souffle épique, de saveur par moment mais qui maintiens son suspense jusqu'à la fin. Un spectacle correct.

Cette 5ème aventure de Capitaine Jack Sparrow n’est pas la plus passionnante. Le pirate Salazar n’est pas aussi machiavélique que Davy Jones ou que Barbossa. Par contre les effets spéciaux sont toujours aussi spectaculaires et Johnny Deep est encore une fois, parfait dans le rôle du sympathique pirate, même si certaines scènes sont très lourde voir légèrement grotesque. spoiler: On retrouve également deux anciens personnages à savoir Elizabeth et William, et
le possible futur pirate Henry Turner. Ne quittez pas la salle avant la fin du générique…..une scène cachée vous attend.

Il aura fallu attendre six ans pour revoir Jack Sparrow à l’écran. Cette fois-ci, le film est réalisé par Joachim Rønning et Espen Sandberg et le scénario est de Jeff Nathanson.
Cette fois-ci, le méchant est le capitaine Salazar, un ennemi que Jack a affronté il y a bien longtemps. De nouveaux personnages apparaissent également, notamment le fils de Will et Elisabeth Turner. Mais aussi de vieilles connaissances…
Si cet épisode n’est pas aussi bien que les trois premiers, il est mieux que son prédécesseur direct. Le méchant est charismatique spoiler: , et ce n’est pas un pirate à la base
. Son équipage spoiler: , bien qu’un peu déjà vu (encore des morts pas-tout-à-fait-morts)
a un design surprenant, mais qui rend bien. Le fils Turner n’a pas beaucoup de charisme, mais Carina Smyth en a, ce qui fait d’elle un personnage plus intéressant qu’Elisabeth Swann à ses débuts. Jack Sparrow en fait comme à son habitude, avec notamment des séquences un peu trop grosses pour être amusantes spoiler: (tirer tout un bâtiment et un coffre-fort de plus d’une tonne avec des chevaux…)
.
Une certaine confusion est provoquée par des éléments scénaristiques spoiler: : à la fin du quatrième film, Barbossa reprend l’équipage de Barbe Noire ; pourtant Scrum est avec Jack au début de ce film. Jack a volé sa boussole à Tia Dalma, mais d’après ce cinquième film, cette boussole lui fut léguée par un capitaine. Ladite boussole a une contrepartie en lâchant la chose que son propriétaire redoute le plus sur lui s’il s’en sépare, mais Jack l’a prêtée à plusieurs personnes dans le passé sans que cela ne se produise. Le nain Marty, supposé être mort entre le 3e et le 4e film, tout comme Mullroy et Murtogg réapparaît sans explication.
Bref, une foule de détails qui nuisent à la cohérence de la saga.
spoiler: De plus, et c’est une tendance fâcheuse dans les blockbusters, à chaque fois qu’un personnage évoque sa mort, où tire le bilan de sa vie… il meurt à la fin. C’est trop prévisible.

A noter la présence d’une scène d’après générique spoiler: , qui annonce le retour éventuel d’un personnage important
. Le caméo de Paul McCartney est un des bons moments du film.
Un film pas mauvais, mais pas exceptionnel non plus.

Bon divertissement, mais beaucoup trop d'incohérences, un jack en dessous de la moyenne. De plus, il n'y a aucune nouveauté dans la bande sonore, uniquement des variations du thème principal.

Après l'échec de l'épisode 4, j'avais franchement peur que ce film soit encore pire et plus commercial que le précédent. Finalement, si l'histoire se rapproche clairement de l'épisode 2 avec un équipage maudit à la poursuite de Jack et ce dernier qui doit trouver un objet spoiler: (le trident)
pour sauver sa peau, le film reste original et assez plaisant. Retrouver cet univers qui nous manquait fait forcément plaisir. Il faut avouer que le scénario est très bancal quant à lui, avec de nombreuses informations qui nous parviennent trop vite à la fois. Cet opus joue clairement sur l'humour qui est présent tout au long du film, sur ce point, le personnage de Jack Sparrow n'a rien perdu de sa superbe, mais dans ce film il apparaît davantage comme un personnage secondaire que principal, surtout dans les scènes d'action. Le méchant du film, Salazar rappelle forcément l'ancien capitaine du Hollandais Volant, Davy Jones, en ce qui concerne son aspect, mais aussi son histoire dans laquelle cette fois-ci Jack est clairement responsable de ses mésaventures. La traditionnelle "baston" de la fin du film a été trop négligée dans ce film, c'est dommage. Le personnage qui est le plus intéressant dans ce film est Barbossa, la relation qu'il entretien avec Jack est toujours aussi ambigüe, c'est lui qui joue de facto le rôle principal du film. Cet opus nous apprend aussi le passé de plusieurs personnages et notamment l'origine du nom de Jack. Bref, un bon film qui mérite la mention assez bien mais sans plus, il est bien meilleur que le 4 mais reste un cran en dessous des 3 premiers.

Pas mal mais sans plus. On fait du neuf avec du vieux. Nouvel opus, nouveau méchant, nouveaux personnages, mais on retrouve aussi d'anciens personnages. Salazar, le nouveau méchant, est globalement réussi, étant à la fois cruel mais avec une touche d'humour, comme la plupart des méchants de la série. Le problème, c'est que j'ai eu un sentiment de déjà-vu, Salazar ressemblant à s'y méprendre à une fusion entre les méchants des premiers films, à savoir Barbossa (le maudit du premier film) et Davy Jones. Au final, il reste en-dessous d'eux. Il y a également un passage très flou dans son histoire : spoiler: Jack le piège pour qu'il se retrouve dans le Triangle, où Salazar et son équipage meurent. Mais pour quelle raison reviennent-ils ensuite en tant que morts-vivants ? Et pour quelle raison leur est-il interdit de mettre pied à terre ? Pour Barbossa et Davy Jones, on avait l'explication (profanation d'un trésor appartenant aux dieux aztèques pour le premier, pacte non respecté avec la déesse Calypso pour le second), mais Salazar ? Visiblement il revient en mort-vivant juste parce que c'était cool.
On a aussi des incohérences par rapport à la première trilogie, notamment en ce qui concerne le compas de Jack et la manière dont il l'a acquis. Les autres nouveaux personnages n'ont que peu d'intérêt car ils sont sous-exploité. Henry et Carina ne semblent être là que pour servir de faire-valoir et nous offrir une romance de bas-étage cliché au possible. Henry, le fils Turner, n'est là que pour lancer la quête au début. Carina n'est là que pour servir de carte, se faire traiter de sorcière et se faire traiter en inférieure sous prétexte que c'est une femme. Voilà tout le développement des deux nouveaux personnages. En fait, c'est tellement la misère que les producteurs ont dû s'en rendre compte et ont misé sur les anciens, à savoir Will et Elizabeth. Lesquels n'apparaissent finalement que deux minutes et ne sont d'aucune utilité. Will n'est là que pour dire qu'il est maudit et qu'il n'y a rien à faire, et ne réapparaitra qu'à la toute fin du film. Elizabeth semble n'avoir plus aucun rôle à part celui de "femme de Will", absolument RIEN n'est dit sur son statut de reine des pirates et son équipage de pirates de Singapour dont elle se retrouvait capitaine à la fin du troisième film. On ne peut qu'en déduire qu'elle a complètement laissé de côté tout ce qui avait trait à la piraterie et mène désormais une vie rangée. Quel gâchis. Bon, pourvu que les vrais pirates rattrapent tout ça. Mais en fait, comment dire... les pirates sont tous devenus complètement cons et lourd. Ils l'ont toujours un peu été, mais avant, c'était rigolo, et puis ils avaient quand même un peu de complexité. Dans ce film, ce sont devenus de gros porcs bien relous. Sauf Barbossa. spoiler: Barbossa est complètement ruiné dans ce film. Il commencent en tant que pirate régnant sur les mers, suite aux évènements du quatrième film. Mais à la fin, quand il retrouve sa fille Carina, il se sacrifie pour la sauver d'une manière ultra cliché. Barbossa, qui était LE vrai pirate de la série, meurt très connement dans ce film, ce n'est vraiment pas une fin digne de lui. Après tout ce qu'il a fait dans les précédents films, on aurait pu imaginer qu'il réussisse à trouver une solution sans mourir.
Bon ben, tous nos espoirs reposent en Jack, alors. Sauf que, Jack non plus, c'est pas trop ça. Je n'ai plus retrouvé le Jack des anciens films. Dans ce film, Jack n'est plus qu'une caricature de lui-même. Tout le temps bourré, sale, sans navire, régulièrement fait prisonnier, ce n'est plus un capitaine mais un simple clown qui passe son temps à faire le guignol. Avant, Jack avait aussi un côté sérieux et badass, qui a complètement disparu dans ce film. Pour conclure, on sent bien que la série s’essouffle, le film veut faire du neuf tout en se reposant sur les acquis de la série, et il devient difficile d'inventer de nouvelles histoires sans qu'on ait une impression de déjà-vu. Le résultat est un film à l'histoire peu originale ressemblant à s'y méprendre aux premiers opus, dont le principal intérêt réside dans les effets spéciaux. Je ne peux pas mettre plus de 3/5 à ce film, qui divertissant sur le coup mais sans plus, il est loin d'être aussi mémorable que la trilogie originale. Mais je ne peux pas mettre moins non plus, le film en lui-même aurait été bien plus intéressant s'il n'y avait pas déjà eu quatre opus de sortis avant.

Toujours du grand spectacle, on ne s'ennuie pas une minute. De bons acteurs, de bons effets spéciaux! Le film se passe essentiellement la nuit, pour moi cela manque de scènes en plein jour. Dommage les sous titres du film en 3D font mal aux yeux...

J'ai vu le film en avant premiere, je dois vous avouez que comme tout les pirates des caraibes je n ai pas ete subjuger par la pleiade de stars et par le jeux d acteur de Johnny deep que je trouve peu profond dans la saga,

film pour les enfants, un jolie divertissement, Johnny est un pirate clown et il incarne parfaitement ce role. Un gout amere neanmoins car on s imagine un pirate costeau et robuste et sans pitier, et la c est plutot un menestrel qui chante et evite les coups. c est en cela que la saga me decoit etant un adulte.

Je conseil neanmoins de voir le film en 3D l experience est meilleur, et le film plaira aux enfants

Toujours dans l'esprit pirate des Caraïbes, plus proche de l'univers du 1er film.
J'ai passé un bon moment avec pas mal d'humour et de double sens dans les réplique.
En revanche j'ai trouvé certains passages un peux décalé et pas forcément pertinents.

Sympa a regarder , mais il n'y a plus la magie de la première trilogie 😪 L'histoire est plate... Dommage et en plus il y aura une suite 😅

Je n’allais pas manquer ce cinquième opus de la saga, ayant vu les précédents. Il vaut mieux d’ailleurs avoir vu les précédents films pour saisir les détails du film. Il se peut bien qu’il soit le dernier, vu certains aspects du scénario qui ne laissent que peu d’ouvertures.

Excellent divertissement – on ne voit pas le temps passer – avec des acteurs aux gueules indescriptibles, des moments de bravoure pour certains très drôles et un final spectaculaire. Les deux jeunes nouveaux acteurs sont très sympathiques et avenants, Johnny Depp un peu en retrait.

L’histoire est moyennement originale et se construit un peu sur le passé de la saga. J’ai préféré la fontaine de Jouvence. Mais aucun regret de l’avoir vu !

Un nouveau méchant par l'excellent Javier Bardem et la présence de Golshifteh Farahani dans un personnage intéressant, sorcière au crâne rasé mais malheureusement complètement sous-exploité. Les "preuves" de renouveau sont légions mais toutes aussi fragiles que superficielles et plusieurs questions sur la cohérence du récit comme se demander pourquoi avoir attendu autant d'année pour libérer le Black Pearl si c'était si simple ?! Et pourtant... le divertissement surnage et permet au film d'être et d'assumer sa mission de divertissement de luxe. Franchement bancal ce film reste pourtant un divertissement honnête en espérant que ce soit le dernier.
Site : Selenie

Fait rare nous avons eu une diffusion en VO et en 3D. Je déteste la 3D (mal au crâne, deux paires de lunettes etc.), mais je dois dire qu’elle était plutôt pas mal. Même si au final elle m’a donné mal au crâne je l’ai trouvé bien intégrée.
Cet épisode prend place 17 ans après la fin du troisième film : Jusqu’au bout du monde. On oublie le très mauvais La Fontaine de Jouvence et on reprend la malédiction qui a frappé Will Turner. Au scénario on retrouve Jeff Nathanson (Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal) ça fait un peu peur vu comme ça mais il s’est pourtant bien débrouillé. A la réalisation se sont les Norvégiens Joachim Rønning et Espen Sandberg (Bandidas) et là aussi ça pouvait faire peur mais à l’instar de leur camarade scénariste ils se sont bien débrouillés.
Jerry Bruckheimer, producteur du film, a étoffé le casting avec de nouvelles têtes Javier Bardem (No Country for Old Men), Brenton Thwaites (The Giver, Maléfique) et Kaya Scodelario (Skins et Le labyrinthe). Ce sont toutes de bonnes recrues qui relancent la saga, tout en gardant nos repaires.
Les effets spéciaux sont vraiment à tomber par terre, l’humour est au rendez-vous – Mention spéciale à Paul McCartney (je n’en dis pas plus !) – et on repart avec l’hymne du film dans la tête pour la semaine.
Contrairement à son prédécesseur Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar fait son job, au final on a un divertissement drôle et jouissif. On efface les mauvais moments et on revient à l’essentiel de la saga : de l’humour, de l’amour et un Jake Sparrow bourré et insolent. Je ne vous cache pas qu’il y a aussi quelques moments d’émotions. On peut toujours dire ceci ou cela aurait été mieux, ce passage est un peu faible, on n’avance peu au début… C’est vrai il n’est pas parfait. Mais on revient de loin !
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar est un très bon divertissement qui vous plaira autant qu’à moi (et pourtant j’y suis allée en traînant les pieds). A l’abordage !

On sent que la série tente de se renouveler d'apporter de nouveaux personnages et en éclipsant les anciens (Turner et Swan). Pour ma part, je trouve que l'on arrive à un point d'essoufflement, où à essayer de renaître, on perd un peu l'âme originelle de la saga. Il y a toujours cet humour caractéristique à Jack Sparrow et son équipage, mais le synopsis en lui même me semble trop surfait. D'ailleurs, pour résumer en quelques mots ce cinquième Opus: Trop, pour un final pas à la hauteur et tristement prévisible et dérisoire.