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Jean-Sébastien Bernard
8 abonnés
84 critiques
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3,0
Publiée le 4 juin 2017
La saga Pirates des Caraïbes a connu un démarrage époustouflant avant de lentement décroître sur les épisodes suivants (scénario alambiqué des épisodes 2 et 3, manque de souffle dans le 4).
Cet opus n°5 est plus simple au-niveau de son scénario, et révèle quelques scènes sympathiques. Cependant, il ne propose pas vraiment de remise en question de sa formule, se contentant de recycler ce qui se faisait dans les épisodes précédents. La musique est également plus discrète sur les thèmes principaux : dommage car elle participait grandement à l'action des scènes des films précédents.
Reste un Jack Sparrow égale à lui-même (mais un peu moins farfelu) et un Javier "Salazar" Bardem épatant dans son rôle.
Je suis toujours un peu partagé quand je regarde un "Pirates des caraïbes" et celui-ci ne déroge pas à la règle. C'est toujours du grand spectacle, des décors sublimes et de l'humour en quantité. Mais aussi un scénario très léger et une dose de fantastique trop importante. En effet si vous aimez les monstres et les choses bizarres vous allez servis. Côté cascades, c'est toujours très original voir même un peu exagéré par moment, mais cela fait partie de l'ADN de la franchise. Le casting quand à lui est toujours enmené par le possédé Johnny Depp, qui retrouve son costume préféré, mais je retiens surtout les révélations Brenthon Twaites, la belle Kaya Scodelario ainsi que Golshifteh Farahani. On y rajoute les vieux briscards Xavier Bardem, toujours parfait en méchant, Geoffrey Rush et Kevin McNally eux aussi parfaits ! L'ensemble est parfois un peu gros, mais toujours divertissant, et c'est bien l'essentiel !
Un Pirates des Caraïbes qui renoue avec ses codes d'origine, qui fait oublier le fiasco de la Fontaine de Jouvence. Quelques longueurs et des scènes pas assez développées à mon goût, mais c'est tout ce qu'il peut y avoir de vraiment négatif. On passe un bon moment et on rigole franchement pour certaines scènes. On retrouve de l'émotion et des personnages justes. Je regrette qu'on nous ai vendu un Orlando Bloom au casting quand il n'apparaît que très peu. Au final on passe un bon moment et on retrouve l'ambiance qui nous envoûte avec cette franchise.
" Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar " est un film qui tient sa promesse... non même mieux : ce nouveau volet (le 5ème il me semble) renoue totalement avec la magie du premier épisode. Avec un Johnny Depp en grande forme (et moins dans le "too much" que dans les derniers épisodes), une love story combinée sur de l'actuel et du revival (ah ! Orlando Bloom ! ah ! Keira Knightley !), un "vilain" époustouflant (Javier Bardem est génial et les effets spéciaux autour de son "physique" sont sublimes) et des effets spéciaux ahurissants, cette "Vengeance de Salazar" tient en haleine et nous en envoie plein les yeux. On adore ça ! Une belle réussite donc (malgré un début un peu poussif) avec quelques scènes d'anthologie (la scène de la guillotine est génialement drôle, les apparitions du vaisseau de Salazar et de ses marins sont esthétiquement somptueux, la scène "à la Moïse" est impressionnante...). Un très bon divertissement familial.
Après plusieurs opus parfois discutables de la saga Pirates des Caraïbes, "La Vengeance de Salazar" apparaît comme un film plaisant et plutôt bien réussi où l'on découvre un Jack Sparrow qui a quelque peu perdu de sa superbe alors que le jeune Henry Turner recherche désespérément à rompre le maléfice qui a englouti son père dans entrailles du Hollandais volant, 9 ans plus tôt. Le rythme est intense, les décors toujours aussi beau, pour une fois l'humour est pas trop potache et il y a une dose d'émotion pas déplaisante, même si la fin est un poil guimauve. Le film reste donc dans ligne de la saga voire un peu au dessus du niveau des derniers films.
Pauvre Jack toujours dans des sales embrouilles. le début du film est excellent mais une fois qu'on a compris l'histoire il ne se passe plus grand chose mis à part un flash back sympa. Le gros point noir du film un humour lourd. Mais en tant que fan de la saga pirates des caraïbes ce dernier volet me rend un peu nostalgique.
Typiquement la suite inutile quand même divertissante en faisant le minimum syndical. Globalement c'est pas mal mais pas mémorable non plus. Le gros souci vient des personnages, je ne me suis attaché à aucun d'entre eux. Les acteurs sont correctes dans l'ensemble mais il n'y a aucune alchimie entre eux. Après, pour le bad Guy Salazare, j'ai bien aimé son style ainsi que celui de son équipage mais je sais pas, ils sont pas aussi mémorables que Davy Jones et ses sbires. Mais j'ai quand même été diverti, quelques scènes d'actions sont bonnes ( notamment la guillotine, les requins et le climax finale)et visuellement c'est beau et bien fait. Un bon moment ni plus, ni moins.
Les spectateurs seront satisfaits de retrouver un Johnny Deep égal à lui-même dans le rôle de Jack Sparrow : En ce qui concerne le film par lui-même, on y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès de la saga, un dose d'humour, une dose d'aventure, une dose de fantastique. En ce qui me concerne, je considère que "la vengeance de Salazar" n'est pas le meilleur de ladite saga. On passe tout de même un bon moment ....
En dépit de quelques défauts, le cinquième volet de la saga est une jolie réussite, dans l'esprit des trois premiers films.
Je le conseille très sincèrement aux fans de la franchise. Tout ce qui a fait le sel des trois premiers opus est là. Le spectacle bon enfant de scènes d'action (parfois trop) "cartoonesques", l'humour potache des dialogues, un Jack Sparrow volontairement cabotin et charmeur (incarné par le toujours très bon Johnny Depp, qui tient son personnage) la classe indiscutable des scènes de combat naval, le charisme de Geoffrey Rush en capitaine Barbossa spoiler: et même la beauté noire du fameux "Black Pearl", que l'on a plaisir à retrouver et qui est, je crois, mon personnage préféré de la saga (car oui, à mon sens, ce magnifique bateau est un vrai personnage) . Les effets spéciaux sont très réussis et les décors sont splendides, comme toujours. En dépit de l'absence de Hans Zimmer à la baguette, la musique du film est assez bonne même si elle pourrait être un peu plus présente. L'immersion dans l'univers si particulier de la saga est donc efficace.
Javier Bardem est également très bon dans la peau du lugubre capitaine Salazar, spoiler: fantôme maudit, terreur des mers .
Quelques défauts, bien sûr, demeurent. Les deux nouveaux personnages "bienveillants" sont assez effacés et ont trop peu d'espace pour s'exprimer, malgré l'intérêt du personnage de Caryna Smith, astronome intrépide et fort peu en phase avec la société de son temps. Les rebondissements scénaristiques sont franchement attendus,spoiler: et la "révélation" qui porte la fin du film, concernant justement l'identité de Caryna, annonce son arrivée à des kilomètres. spoiler: Bien qu'attendue, d'ailleurs, cette révélation demeure intéressante car elle enrichit et humanise un peu plus le personnage déjà très attachant d'Hector Barbossa.
A tout prendre, on a donc un film de divertissement très correct, souvent drôle, plutôt bien rythmé, et plus fidèle à l'esprit de la saga que le décevant quatrième opus.
L'intrigue autour des Turner nous plonge dès les cinq premières minutes dans cette ambiance de piraterie mêlée à de la fantasy, chose qui caractérise la saga. Néanmoins, cette aventure promise avant qu'apparaisse le titre est éclipsée par les pitreries et gags de Johnny Depp, qui s’enchaînent les uns après les autres. On connaissait sa volonté de vouloir renfilé le tricorne, mais bon sang ! Le capitaine Jack Sparrow n'est pas un clown, mais un pirate. Où est passée son ambition ? Les situations comiques défilent au détriment d'une histoire qui aurait mérité d'être peaufiné, tout comme l'humour général du film, qui tombe dans le graveleux et un sexisme spoiler: (La blague de la putatique répétée 10 fois, vous vous souvenez ?) assez mal venu pour ce cinquième volet. Le prestige d'Elizabeth Swann, la reine des pirates, semble déjà être tombé aux oubliettes : nos personnages seraient-ils amnésiques ? La femme est ici réduite à pas grand chose, et ne peut être qu'à la cuisine. Bref, le comique doit servir l'Histoire, et non l'inverse.
Cependant, l'infographie est impeccable, même si deux trois scènes peuvent tiquer à l’œil. On appréciera grandement le fait de se retrouver une nouvelle fois aux Caraïbes, avec un nouveau grand méchant tout droit sorti du fin fond des océans. (encore et toujours...) Bien que ce ne soit plus Hans Zimmer aux commandes, la musique est toujours prenante mais si elle peut parfois manquer de panache. Le thème principal étant devenu culte, il fait plaisir à entendre et donne immédiatement le sourire.
Bref, ce n'est pas mauvais, mais tout juste correct ! Ce nouvel opus ne tire pas pleinement la saga vers la surface, mais plus vers les abysses de l'océan. On espère que pour le prochain film, Sparrow aura retrouvé sa fière allure d'antan ! En route, offre-moi cet horizon Disney. Les maudits pirates... trinquons mes jolis, yoho !
Je n'en attendais pas grand chose, donc bonne surprise. Le film est plus que correct même s'il est bourré de défauts. L'histoire d'Henri qui cherche à sauver son père est le fil conducteur autours duquel les prétextes burlesques se succèdent. J'ai préféré cet épisode au 2ème, trop long et au 3ème, qui se prend trop au sérieux. Henry Turner et Carina Smyth sont trop insipides, à l'image de Will et Elizabeth dans les épisodes précédents. Le passage de Jack Sparrow de pirate malin et manipulateur en looser sympathique est un peu dommage car trop facile. Pour moi, C'est Salazar qui sauve le film. Bonne conclusion à la saga, qui évite le film de trop mais je pense qu'il ne faut pas s'acharner.
L'intrigue autour des Turner nous plonge dès les cinq premières minutes dans cette ambiance de piraterie mêlée à de la fantasy, chose qui caractérise la saga. Néanmoins, cette aventure promise avant qu'apparaisse le titre est éclipsée par les pitreries et gags de Johnny Depp, qui s’enchaînent les uns après les autres. On connaissait sa volonté de vouloir renfilé le tricorne, mais bon sang ! Le capitaine Jack Sparrow n'est pas un clown, mais un pirate. Où est passée son ambition ? Les situations comiques défilent au détriment d'une histoire qui aurait mérité d'être peaufiné, tout comme l'humour général du film, qui tombe dans le graveleux et un sexisme spoiler: (La blague de la putatique répétée 10 fois, vous vous souvenez ?) assez mal venu pour ce cinquième volet. Le prestige d'Elizabeth Swann, la reine des pirates, semble déjà être tombé aux oubliettes : nos personnages seraient-ils amnésiques ? La femme est ici réduite à pas grand chose, et ne peut être qu'à la cuisine. Bref, le comique doit servir l'Histoire, et non l'inverse.
Cependant, l'infographie est impeccable, même si deux trois scènes peuvent tiquer à l’œil. On appréciera grandement le fait de se retrouver une nouvelle fois aux Caraïbes, avec un nouveau grand méchant tout droit sorti du fin fond des océans. (encore et toujours...) Bien que ce ne soit plus Hans Zimmer aux commandes, la musique est toujours prenante mais si elle peut parfois manquer de panache. Le thème principal étant devenu culte, il fait plaisir à entendre et donne immédiatement le sourire.
Bref, ce n'est pas mauvais, mais tout juste correct ! Ce nouvel opus ne tire pas pleinement la saga vers la surface, mais plus vers les abysses de l'océan. On espère que pour le prochain film, Sparrow aura retrouvé sa fière allure d'antan ! En route, offre-moi cet horizon Disney. Les maudits pirates... trinquons mes jolis, yoho !
Je ne suis pas une grande fan de ce genre de film mais je me suis laissé tenter. J'ai passé un bon moment, les effets spéciaux sont excellents. Je n'ai, pas eu la chance de le voir en VO, aussi les dialogues m'ont paru un peu insipides. Javier Bardem en méchant spectaculaire est très bien mais Johnny Depp paraît un peu en roue libre et le scénario aurait pu être plus étoffé.
L'ampleur épique de Gore Verbinski et Hans Zimmer en moins, le film n'a pas à rougir de ses fulgurances divertissantes, souvent drôles, et surtout nostalgiques. Critique complète sur Le Ciné des Flemmards