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    Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar
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    Tulio
    Tulio

    30 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juin 2017
    Je dois dire que je me retrouve face à un os : d'un côté, l'enfant qui sommeille en moi s'est juste éclaté devant ces deux heures d'aventures fantastiques en haute-mer, de l'autre, je ne peux pas m'empêcher de penser que l'on était légitimement en droit d'attendre infiniment plus que ce qui nous a été finalement délivré.

    Commençons déjà avec le problème majeur de ce cinquième film : son scénario. En effet, l'intrigue ne prend jamais le peine de développer ou exploiter les divers qu'elle met progressivement en place jusqu'à leur maximum, ce qui est fort regrettable. La Vengance de Salazar, c'est littéralement tout ce que ce film contient : Salazar cherchant à se venger. Pas étonnant donc qu'il s'agisse de l'opus le plus court de la saga… Quand je pense que certains se plaignent du manque d'enjeux du quatrième volet, celui-ci avait au moins le mérite de proposer une intrigue complète et linéaire. En d'autres termes, tout semble bien trop rapidement expédié alors qu'il aurait été possible de s'y concentrer plus longuement, ce qui donne la désagréable impression que la saga n'a plus rien à raconter alors que c'est encore loin d'être le cas. De ce fait, Jack, Barbossa et même Salazar (pourtant annoncé comme LE méchant ultime de ce nouvel opus) passent presque inaperçus et font quasiment office de figurants au sein de leur propre histoire, ce qui est un comble pour un film censé marqué le retour (mais aussi le départ) de nombreux personnages-clés.

    Il y avait un océan de possibilités (sans mauvais jeu de mots) à explorer dans ce nouvel opus, qui préfère recycler certains concepts phares de la licence plutôt que de tenter une nouvelle approche. Vous l'aurez compris, La Vengeance de Salazar sent le réchauffé. En témoigne l'antagoniste éponyme, Salazar étant un véritable concentré de l’intégralité des méchants de la saga :
    Ça commence à sentir le réchauffé. Par exemple, Salazar est un parfait concentré de l'intégralité des méchants de la saga :
    redite de Beckett car officier de la Marine s'étant juré d'éradiquer la piraterie des eaux caribéennes (les deux personnages meurent d'ailleurs d'une façon étrangement similaire)
    resucée de Davy Jones ET de Barbossa car à la tête d'un navire légendaire et d'un équipage maudit
    réminiscent de Barbe-Noire car aux commandes d'un navire possédant sa propre conscience organique

    D'ailleurs, tant qu'à parler de Salazar, le personnage s'avère terriblement inconsistant, l'interprétation de Javier Bardem (pourtant habitué aux rôles de psychopathes et autres mégalomaniaques) étant assez inégale dans son ensemble, alternant constamment entre l'ennemi charismatique et déterminé au bad guy extravagant qui prend des intonations rigolotes pour effrayer ses victimes. Au final, le personnage n'est qu'une péripétie parmi tant d'autres, sa mort et ses motivations faisant partie des plus oubliables et paresseuses de la saga.

    En plus d'être particulièrement décousu, le scénario contient également de nombreuses incohérences/absurdités qui auraient facilement pu être évitées. Déjà, Barbossa rappelle à Jack qu'il a récupéré le Queen Anne's Revenge il y a cinq hivers de cela. Or, Henry Turner a vingt ans dans cet opus, cela signifie donc qu'il s'est écoulé environ 15 ans entre l'épilogue de Jusqu'au bout du monde et le début de La Fontaine de Jouvence ? À ce propos, pourquoi n'est-il jamais fait mention du fait que Jack soit 100% responsable du sort de Will Turner ? Ça aurait pu amener des scènes intéressantes entre lui et Henry mais non, le film préfère se concentrer sur les conseils de séduction de Papy Sparrow. Dans le même ordre d'idée, pourquoi Jack ne s'énerve-t-il pas lorsque Barbossa jette le Pearl réduit à l'eau ? Comment la sorcière a-t-elle pu récupérer le compas de Jack ? Et pourquoi diantre le vaisseau de Salazar (qui appartient à la marine espagnole) porte-t-il un nom anglais ?

    Le montage est également problématique, jonglant avec des scènes spatialement et/ou temporellement éloignées alors qu'un découpage plus fluide et mieux équilibré aurait été le bienvenu (en démarrant directement avec la mort de Salazar plutôt que de la raconter en flashback au beau milieu du film par exemple). Ainsi, le long-métrage s'attarde trop lentement sur des aspects qui auraient pu être survolés et éclipse de nombreux passages qu'il aurait été intéressant de développer. Certaines scènes censées être cruciales m'ont également paru assez fades et peu impressionnantes, pour ne pas dire ratées, ou du moins ne m'ont pas autant marqué que je l'espérais. Sans compter le passage le plus embarrassant de la saga toute entière, d'une totale inutilité et d'un malaise rarement atteint. Si, si, je pèse mes mots.

    La première scène est d'ailleurs assez cheap : pourquoi Will est-il seul à bord du Hollandais volant ? Et pourquoi a-t-il le visage incrusté de coquillages façon Bill le Bottier ? Jeff Nathanson n'a-t-il rien compris au principe même du Hollandais volant et à la fin du troisième volet ? Puisque l'on aborde le sujet, force est de constater que le retour tant attendu des seconds rôles absents du quatrième épisode est très décevant, leurs apparitions étant réduites au strict minimum. Gibbs et Marty passent inaperçus tandis que la réintroduction de Will et Elizabeth au sein de la franchise se limitent seulement à deux scénettes en début et fin de film. Et pinaise, ils ont vachement morflé les acteurs incarnant Mullroy et Murtogg… On regrettera également l'absence de certains comédiens de doublage à laquelle la série nous avait habitués (notamment Patrick Floersheim, la voix française de Barbossa). Certains personnages et sous-intrigues sont d'ailleurs introduits pour au final ne mener à rien, à l'instar du capitaine anglais joué par Faramir et qui n'est guère d'une très grande utilité, ou encore de la sorcière interprétée par Golshifteh Farahani, à qui Jack aurait éventuellement pu faire des avances sirupeuses si cette dernière avait occupée une place suffisamment importante au sein de l'intrigue.

    Sinon, rien à dire de particulier concernant la réalisation. Les « Roenberg » font le job, sans pour autant transcender le genre et/ou se montrer particulièrement audacieux. On notera néanmoins une direction d'acteurs en totale roue libre. Johnny Depp semble avoir définitivement lâché prise… Très sincèrement, ça me chagrine au plus haut point de voir mon acteur préféré sombrer dans des performances toujours plus caricaturales et aux exactes antipodes de celles de ses débuts. Dans ce film-ci, le personnage comme le comédien font peine à voir. Je sais bien que son actualité est particulièrement difficile et que sa vie intime doit être des plus éprouvantes/désastreuses, mais il m'a véritablement semblé vidé de ses forces pendant une grande partie du film. La scène où Jack regarde mélancoliquement le Pearl dans sa bouteille m'a d'ailleurs fait un petit pincement au cœur.

    Est-ce simplement dû au fait que mes attentes étaient trop élevées ou que je n'ai pas su ressentir la baisse de qualité de la franchise lorsque celle-ci commençait déjà à s’essouffler ? Au final, même si j'ai globalement passé un agréable moment (nostalgie oblige, on parle quand même de MA saga préférée), on retiendra de ce cinquième film une première partie tonitruante, deux-trois péripéties plus ou moins exaltantes et un dernier acte qui semble se réveiller un poil trop tard. Les personnages et l'univers avaient beau m'avoir manqué, il n'empêche que je reste pleinement conscient de leur utilisation outrancière au sein de ce nouvel opus.

    PS : Et c'est quoi cette scène post-générique digne d'un Marvel ? Ne me dites pas qu'ils vont spoiler: ressusciter Davy Jones dans la suite, ou que Will est destiné/condamné à devenir un bad guy océanique
    ?
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    62 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2017
    Suite à l'abysse de jouvence qu'était le quatrième opus signé Rob Marshall, aventure indigente d'un ennui total, Ronning & Sandberg reprennent la barre du navire en dérive avec Dead Men Tell No Tales, cinquième épisode qui certes ne peine pas à faire mieux que son prédécesseur, mais rame toujours pour effacer la question suivante : n'a-t-on pas fait le tour de la licence Pirates des Caraïbes ?

    La trilogie originale de Verbinski, l'un des cinéastes américains les plus inventifs de ces quinze dernières années, était une ode au grand spectacle débridé et burlesque qui n'hésitait pas à torturer le récit et les personnages. Dead Men Tell No Tales a l'ambition de revenir à ces premières heures, mais n'y parvient qu'en de rares occasions. Mais cette cinquième aventure à le mérite de sembler bien moins opportuniste : c'est un spectacle rudimentaire et efficace, un brin loufoque, qui nous fait passer un agréable moment et pourrait plaire aux fans du premier opus.

    Ce qui n'empêche pas l'impression d'assister aux prémices d'une parodie, ligne facilement franchissable lorsque l'on cherche, comme dans cet opus, à bâtir une "post-sequel" tel Jurassic World ou The Force Awakens, une suite qui cherche à faire une nouvelle soupe dans les vieux pots, à forger sa nouvelle mythologie en citant directement l'ancienne. Le retour de figures connues et le développement (un peu forcé) de leur fable de l'ombre se révèle toutefois louables et donnera des frissons voire quelques larmes aux adulateurs.

    Mais on ne peut que penser au pastiche lorsque, par exemple, nous assistons à l'entrée des deux jeunes nouveaux protagonistes, Carina et Henry, qui en tous points ramènent à Elizabeth Swan et Will Turner de la première trilogie : la jeune femme qui cherche l'émancipation, et le jeune sexy-boy qui se moque aveuglément du danger pour parvenir à ses fins et sauver la demoiselle en détresse, le tout sur fond de romance naissante... Le déjà-vu est inévitable, d'autant plus que les deux acteurs ne dégagent absolument rien à l'écran et font ainsi peiner les personnages à se dessiner.

    Dans la même veine, c'est aussi le personnage de Jack Sparrow qui perd l'équilibre au bord de ce précipice. Il n'y a qu'à voir sa première scène dans le film, braquage sauce Tex Avery qui doit tout au casse de Rio dans Fast & Furious 5. Le moment est certes drôle et spectaculaire, mais il sonne comme un numéro de cirque que l'on a déjà vu mille fois, avec les mêmes cabrioles, le même thème musical. Nous sommes beau ici plongés dans le passé de ce personnage aujourd'hui iconique, il tourne toujours autant à vide qu'il y a six ans... Paradoxalement, c'est quand même cette verve cartoonesque retrouvée, ce sens du ridicule calculé, qui nous fait un peu retrouver l'essence de la série et livre quelques moments efficaces comme la scène de la guillotine.

    C'est surtout en terme de scénario que Dead Men Tell No Tales ne convainc jamais. Dans la continuité de cet aperçu de pastiche cité plus tôt, on a ici l'énième aventure où plusieurs groupes de personnages se pourchassent et finissent par se confronter au cœur d'un climax où ils cherchent à récupérer l'objet de leur quête. Du vu et revu où certes mené à tambour battant, sans temps mort, donc rien de foncièrement déroutant dans un tel blockbuster, certes, mais c'est sans compter la risibilité des dialogues qui ne s'épargne pas quelques allusions sexuelles appuyées, aussi lourdes que certaines digressions humoristiques complètement à côté de la plaque - la scène du mariage, pour exemple : mais que vient-elle faire ici ? Quelle est son utilité dans le récit hormis la tentative douteuse de faire sourire ?

    Et la plus grosse frustration du film restera l'antagoniste principal, le capitaine Salazar, pourtant tellement prometteur. Directement issu du passé de Jack Sparrow, physiquement aussi effrayant que spectaculaire, il n'est finalement qu'une coquille vide qui ne crie qu'à la vengeance bête et méchante, une simple pièce de puzzle du récit relégué au troisième plan... Il est curieux de voir l'écurie Disney, notamment avec l'univers partagé Marvel, céder aussi sombrement aux facilités d'antagonistes de façade, ce qui peut littéralement noyer un film. Ici cette facilité est des plus évidente en sachant que le personnage était à la base féminin, puis sous la pression réécrit pour Christopher Watz avant d'être de nouveau réécrit pour Javier Bardem, deux gueules qui ne sont que les méchants les plus vus au cinéma.

    Dead Men Tell No Tales a beau ne pas raconter grand chose de nouveau et invoquer les racines de la licence sans grand naturel, il ne tombe pas pour autant à l'eau et livre un spectacle simple et efficace à la direction artistique des plus propres. Le dépaysement n'est pas total mais l'aventure répond présente, bien que le navire vogue un peu en pilotage automatique sans sa propre mythologie, une fade épopée à la belle promesse.
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    88 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2017
    Usé, c’est ce qui me vient à l’esprit quand je repense à ce dernier opus de « Pirates des Caraïbes ».
    Usé comme le scénario vu et revu dans Pirates des Caraïbes : un ennemi maudit (encore un) en veut à Sparrow (à croire que tous les damnés des mers lui en veulent) qui tente de le fuir, car il est moins puissant, mais par sa ruse et ses alliés de fortune il va trouver un moyen d’y échapper.

    Non seulement le scénario est éculé mais il est fainéant. Là où les 3 premiers (surtout les 2) prenaient le temps de développer une histoire pour aboutir sur des scènes d’actions assez mémorables, celui-ci fait l’inverse, on multiplie les scènes d’action et on noie l’histoire dedans. Dans les 3 premiers opus (je n’ai pas vu le 4ème) l’action sert l’histoire, là c’est exactement l’inverse. Du coup cette dernière souffre d’énormes raccourcis spoiler: (pourquoi Salazar et son équipage sont maudits, on en sait rien, le lien entre eux et le compas de Sparrow, on s’en fout, d’où vient le trident de Poséïdon, c’est pas grave on nous le balance comme un cheveu sur la soupe)
    et d’une intrigue des plus mauvaise spoiler: (que ce soit la principales ou les secondaires telle que Barbosa Smyth)
    .

    Bref un scénario usé jusqu’à la corde et des personnages qui le sont presque tout autant, leurs relations sont inintéressantes spoiler: (c’est quoi cette histoire d’amour ultra plate et cette intrigue père fille ultra prévisible)
    , tous sont prévisibles. Alors certes ils demeurent sympathiques mais à l’image de Sparrow ce qui faisait leur sel (pourtant y en a plein la flotte) a disparu car trop vu. Sparrow justement en devient lassant car n’arrivant pas à se renouveler, là où dans les 1ers on riait, dans ce dernier il nous arrache péniblement quelques sourires.

    Bref rien n’est renouvelé dans ce « Pirates des Caraïbes », pire on l’impression que Disney nous recycle les éléments des précédents mais de façon très maladroite (un peu comme des restes mal accommodés), de plus on a l’impression qu’il fait à peine le lien avec les précédents (si ce n’est à travers les personnages de façon bien maladroite encore une fois). Ajoutez à cela des scènes d’actions trop présentes, parfois interminables spoiler: (la banque)
    et souvent bordéliques spoiler: (mis à part la scène de la guillotine plutôt réussie)
    et elles aussi vues et revues dans les précédents opus de la saga et vous obtenez un 5ème volet limite ennuyeux.

    Demeure l’ambiance toujours agréable mais qui ne se suffit plus à elle-même. En définitive Salazar a une revanche bien pâle dans une franchise, qui à son image, s’essouffle clairement. Un renouveau dans le 6ème opus est indispensable sans quoi il sera plus que temps de plier les voiles et rentrer sur la terre ferme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 juin 2017
    Ce nouveau film n'est pas mauvais en soit l'esthétique est très bien travaillée ainsi que les sensations rendue par la camera et la 3D assez sympa.

    Par contre au niveau du scénario c'est très décevant. L'histoire s'éternise inutilement sur l’île de départ avec une situation totalement impossible au début (alors qu'on était habitué a l'absurde mais pas l'impossible).
    Puis un scénario qui se met en scène n'importe comment spoiler: ,sérieusement le compas est une grosse blague, pendant toute sa vie jack a garder le compas et il l'échange contre une bouteille de rhum car déprimé juste pour permettre au méchant d’exister sinon sa aurait pu être compliqué. La façon d'on Barbossa récupère le compas est d’ailleurs tout aussi grotesque
    .
    D'autres déceptions sont aussi présentes la ou je m'attendais a un combat épique entre le fantôme salazar et le maudit will turner spoiler: rien du tout on juste droit a un cameo à la stan lee
    .
    D’ailleurs parlons-en de salazar ce méchant qui est la car jack n'avais pas assez d’ennemis, sérieusement il s'est fait battre de manière ingénieuse par jack et juste pour sa il est maudit et reste un fantôme franchement c'est très mal justifié.

    Le pire dans ce film est qu'ils ont ruinés Barbossa qui était le personnage classe de la série. Tout d'abord il ne sert a rien dans ce film clairement a part sauver une fois jack d'un mariage forcé et servir de "capitaine" pour le Black Pearl sinon complètement reléguer au second plan. Par contre une chose sur lui m'a fait hurler spoiler: , le personnage de carima qui est la fille de barbossa est déjà extrêmement cliché. Mais ce qui m'a rendu le plus dingue est a la fin du film le sacrifice de barbossa pour sauver sa fille, alors que c'est un pirate qui vient de rencontrer sa fille
    .

    Finalement l'action finale est impressionnante mais s'éloigne trop de l'esprit pirate des caraïbes qui prend plus inspiration sur des légendes de pirates que sur des inventions pure et simple qui détruisent l'univers du film spoiler: car supprimer toutes les malédictions liées a l'océan compliquera les choses pour une suite.


    Bref beaucoup trop de problème de scénario pour le considérer comme un bon film pirate des caraibes. Il est certes meilleur que le 4 (pas très difficile me direz vous), mais n'arrive pas a la cheville des 3 premiers. Cependant cela reste toujours agréable de revoir jack avec son humour et coté décaler qu'a toujours eu la série
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 juin 2017
    Bien que techniquement bon, le film semble vraiment trop oublier le quatrième volet. Avec son statut de cinquième film, on doit avoir plus. La saga est entrain de perdre sonc côté ''INCROYABLE'' et ''EPIC'' pour laisser place à de l'humour moyen...
    Le détective.
    Le détective.

    15 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2017
    La franchise s'essouffle et le talent de J. Depp avec. L'opus de trop il me semble. Dommage. Mais la soif de nouveauté qui nous consume en tant que spectateur n'y est probablement pas étrangère non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mai 2017
    Fuyez !!!!

    J'adorait les 3 premiers, j'avais pas aimé le 4 et là on est encore pire :

    - Johnny Depp surjoue et son personnage perd tout son charisme pendant tout le film,
    - Le scénario est ultra prévisible,
    - Toutes les scènes de romance sont ultra cliché,
    - Hans Zimmer ne s'est pas fait embêté il a repris l'album des 4 premiers et il rebalance les musiques aux moments clés,
    - Trop d'effets spéciaux en 3D
    - Le personnage de Barbosa complètement détruit alors qu'il était très bon dans le 1er et le 3eme.
    - Javier Bardem est bon mais la profondeur de son personnage est nettement en dessous du background de Davy Jones.

    Bref, c'est pas terrible
    janus72
    janus72

    48 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2017
    Et un Pirate de plus, celui-ci se nommant Salazar (Javier BARDEM façon Numérique les 4/5ème du temps....)
    Effets spéciaux omniprésents et toujours les mêmes schémas pour un film sans doute un cran au dessus du 4éme volet qui sentait lui vraiment le congelé-réchauffé micro-ondes....
    Depp en fait toujours des kilos, Geoffrey Rush assure comme toujours et Orlando Bloom et Keira Knightley ne sont conviés que pour le cacheton.
    Bref, vu puis aussitôt oublié.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mai 2017
    Je n'attendais pas grand chose de ce film, et j'ai quand même été déçu. Johnny Depp à du se faire violence pour jouer et ça se sent. Et faut il parler des innombrables scènes d'émotion clichés qui n'apporte au film qu'un sentiment de malaise qui persiste après 2h de séance ? Quelques scènes sont sympathiques (avec Salazar notamment) mais cela ne fait pas un film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2017
    moyen brouillon et quelque illogique si il y a une suite j'espère mieux que sa surtout au bout de 4-5 ans
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2017
    j'ai assez aimé celui la, niveau histoire et personnages, le méchant est plutôt bien et jack sparrow fait du jack sparrow même si c'est bien moins bon que les précédents. la scène de la banque est pas mal du tout !! La mise en scène est en revanche absente.

    certains points sont illogique: le black pearl se fait rattraper par le navire de salazar ! le black est sensé être le plus rapide de tous non ?
    il à déjà été mentionné dans le 2 ou jack sparrow à pu se procurer le compas
    jack sparrow spoiler: qui se sépare de son compas ? alors qu'il le garde absolument tout le temps depuis le 1 ?


    scène du mariage pathétique et ridicule au plus haut point, je me suis demandé si ce film n'était pas une parodie d'ailleurs, le coup du pirate qui dit que jack a une dette envers lui ne fonctionne pas du tout c'est du déjà vu. spoiler: les requins au ralentit, pourquoi pas mais j'avoue que j'ai été surpris, c'était interminable ! j'ai cru voir un remake du 2 sur quasiment tout les points !


    et puis la musique.... tout de suite j'ai vu que ce n'était pas Hans Zimmer, du copié collé pur et simple des 3 premiers, aucune immersion ni originalité, le thème de salazar, contrairement à celui de jones est baclé...

    en gros pour moi celui la est un peu mieux que le 4, c'est tout.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 mai 2017
    Six ans après le dernier opus consacré sur Barbe-Noire, la célèbre saga des pirates avec son fidèle Jack Sparrow revient au cinéma avec l’apparition d’un tout nouvel ennemi, le terrible Salazar, un espagnol maudit. Le cinquième opus se veut en retour aux origines avec le grand retour d’Orlando Bloom et de Keira Knightley ainsi que certaines références à la première trilogie. Et pour réaliser cette nouvelle aventure, les réalisateurs sont Joachom Ronning et Espen Sandberg, deux norvégiens déjà habitués à collaborer ensemble sur un même projet comme par exemple Marco Polo (2014) ou Bandidas (2001).

    L'histoire: spoiler: Le jeune Henry Turner rêve de pouvoir libérer son père de la malédiction du Hollandais Volant, mais pour cela il doit s’emparer du Trident de Poséidon, un objet magique trouvable uniquement qu’avec une carte qu’aucun homme ne peut lire. Pour l’aider, le jeune Henry part à la recherche de Jack Sparrow, un capitaine pirate aux multiples aventures rocambolesque. Se rajoute à la recherche une jeune femme, surnommée la sorcière, qui semble avoir des connaissances plus étendues sur la fameuse carte qui mène vers le Trident de Poséidon. Mais la situation se complique avec l’arrivée de Salazar, un pirate espagnol maudit qui cherche à se venger de Jack Sparrow, la cause de sa malédiction qui le force à rester enfermé dans une grotte depuis une éternité.


    Alors que le quatrième opus de la saga, premier où Gore Verbinski n’est pas à la réalisation, était un échec cuisant, un blockbuster sans saveur et indigne du succès de la première trilogie, les studios Disney avaient signalé leur volonté de renouer avec les sources de la saga pour ce cinquième épisode, revenir vers ce subtile mélange d’action et d’humour qui faisait le succès du tout premier film. Malheureusement, la Vengeance de Salazar n’arrive pas à atteindre un bon niveau de réalisation, certes il est à noté que la relation humour-action a été nettement plus travaillé que pour la Fontaine de Jouvence. Mais le film n’arrive pas à atteindre un niveau d’humour, les blagues étant soit déjà faites soit pas ou peu drôles, et les événements rocambolesques n’ont jamais autant bien porté leur nom ( spoiler: notamment lorsque les pirates tirent avec des chevaux un bâtiment entier dans toute une ville, scène totalement impossible et peu drôle
    ). S’en suit d’interminables scènes spoiler: de dialogues inutiles, pour faire comprendre le scénario, mais dont les explications interminables
    n’apportent que du sommeil au spectateur.
    Alors que le méchant et son aspect fantomatique était particulièrement beau et bien fait (les cheveux qui volent au vent comme s’il était continuellement dans l’eau est une excellente idée) mais c’est tout ce qu’il reste d’intéressant sur ce personnage, sa personnalité étant peu travaillée et trop copiée collée auprès des autres méchants de blockbusters, on est bien loin d’un méchant digne de ce nom comme Davy Jones.

    Comme pour la Fontaine de Jouvence, la Vengeance de Salazar est le genre de film où lorsqu’on sort de la salle de cinéma on est tenté de penser que la saga aurait du s’arrêter avant et qu’il vaut mieux rentrer chez soi et se regarder à la télé la première trilogie, la véritable réussite de la série et qui proposait une fin parfaite pour clôturer la saga.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 mai 2017
    Un film moyen, presque un mauvais Pirates des Caraïbes pour ma part.
    Le scénario est bof, les deux nouveaux personnages ne rendent le film que plus ridicule à l'image du Jack Sparrow que nous ne retrouvons pas comme nous l'aimions dans ce film.
    Les scènes s'enchaînaient de façon à m'ennuyer ... Quelques incohérence dont celle flagrante de l'obtention du compas (comment les réalisateurs ont ils pu faire ça ?)
    On rajoute à cela des personnes et des scènes totalement inutiles. spoiler: On pourrait penser à la marine royale qui cherche à rattraper les pirates. Ils demandent à une "sorcière" de les aider (personnage anecdotique par ailleurs), pour au final faire une apparition à un petit moment avant d'être exterminé en quelques secondes (littéralement)

    L'humour n'est plus aussi bon, on le sent.
    Enfin, je vais parler du méchant, Salazar. Sa malédiction est si peu expliqué et incompréhensible. spoiler: Mais quel est ce fichu rapport avec le compas ?

    C'est malheureux de voir un 5ème film de cette franchise comme ça, quand on pense au 4ème on ne pouvait que se dire qu'ils pouvaient bien se rattraper.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 mai 2017
    Après un quatrième opus très décrié (selon moi à juste titre), la saga revient, pour un résultat moyen : La vengeance de Salazar se laisse agréablement suivre, et il est plutôt plaisant de retrouver les personnages habituels, mais le résultat reste en demi teinte. C'est drôle, mais l'ensemble manque d'enjeux : beaucoup de scènes semblent n'être là que pour l'humour et font oublier tous les possibles dangers que doivent affronter les personnages, et l'intrigue est parfois menée trop rapidement, ce qui souligne certaines de ses ficelles les plus grossières.
    La bonne idée du film est de choisir de nouveau des personnages principaux autre que Jack qui, même s'ils rappellent énormément Will et Elizabeth, ont le mérite d'avoir des objectifs plus attachants que ceux du capitaine (c'est en partie pour ça qu'on l'aime, pour son égoïsme décomplexé, mais ça en fait un protagoniste bancal, puisqu'il est plus difficile pour le spectateur de vraiment s'y attacher).
    La réalisation est efficace mais pas transcendante, peu aidée il est vrai par des effets numériques trop voyants (les pirates de Salazar ne m'ont pas convaincu une seule seconde à ce niveau, ce qui encore une fois ne m'a pas aidé à ressentir la menace que devait représenter ce personnage !)
    Mention spéciale à Geoff Zanelli qui s'en sort très bien sur la musique : ce n'est pas tout à fait du niveau de ce qu'avait fait Zimmer sur les 2 et 3, mais il rattrape largement le coup après la BO désastreuse du 4 (que même Zimmer considère comme un des points les plus bas de sa carrière). A cause d'un mixage étrange, l'orchestre ressemble parfois un peu à des sons synthétiques, défaut de plus en plus récurrent dans les BOs de Media Ventures, mais en dehors de ça il livre une partition très réjouissante.

    Vous trouverez ma critique détaillée sur ma chaîne youtube (voir ma signature !)
    Kaza Nova
    Kaza Nova

    5 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2017
    Sorti 15 ans plus tôt et avec ses 4 prédécesseurs en moins, ce Pirate des Caraïbes : La Vengeance de Salazar aurait eu nombre d'atouts pour impressionner les spectateurs. Mais, las ! Ce nouvel opus répète les schémas des précédents, avec Jack Sparrow échappant toujours insolemment aux 3/4 des méchants du Globe et un méchant sous le joug d'une malédiction toujours aussi mauvais. Les scènes d'actions sont rigolottes mais les studios Disney ne cessent de surenchérir : on se croirait dans Lone Rangers, au mieux, dans une attraction de Disneyland, au pire. Et il semblerait que les scénaristes se cassent de moins en moins la tête puisqu'ils ne se donnent plus guère la peine de trouver des raisons très recherchées de vengeance au méchant du film. Le scénario est très linéaire, pas de grands rebondissements ni de personnage inattendu. Orlando Bloom et Keira Knightley font des caméos uniquement pour titiller la fibre nostalgique du spectateur. On sent globalement une fatigue d'une saga qui ne cesse de vouloir imiter son premier opus sans y parvenir jamais.
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