Je m'attendais clairement à m'ennuyer, n'étant d'ordinaire pas très fan de ces films. Malgré tout, je me suis surprise à apprécié cet univers, que l'on connaît bien maintenant, un Johnny Depp loufoque (peut-être un peu vieillissant dans le rôle), et un visuel vraiment intéressant. Ça reste un scénario hollywoodien, mais il faut avouer que l'on y prend assez rapidement goût!
très déçue, je m'attendais a mieux ... franchement ce n'ai pas la revanche de salazar on vois salazar 10-20 minutes dans le film tant dit que la fille de barbosa on la voie tout le temps. le film devrais s'appeller : le retour de la fille ou la fille de barbosa ou le secret de barbosa...... l'histoire des fantômes était pas mal, et henry qui devais chercher un moyen de libéré son père, mais il ne fait rien c'est la fille qui fait tout..! et william, elizabeth, même henry ont ne les vois jamais ont se demande même si ils jouent dans ce film... si le film n'aurais pas été racheter par disney ça aurais été totalement autre chose...
A une époque où tout se franchise et se démultiplie comme des Gremlins malveillants au contact d’une flotte hyper chlorée, que dis-je une armada de gouttes amères, l’univers Pirates des Caraïbes n’échappe pas à cette triste destinée faite d’impersonnalité passée à la photocopieuse, tout en scellant les concepts originaux dans des coffres inaccessibles dans les profondeurs de l’océan hollywoodien.
Mais comment toucher le cinéphile endurci, capable d’échapper à ce jeu de dupe, quand le cœur n’y est pas ? Sûrement parce qu’il est avant tout question de renflouer l’aumônière des ventripotents producteurs, consumant l’originalité à chaque cigare pétuné. Des industriels qui au final ont tellement peu de confiance dans le renouveau de leur produit qu’ils se retrouvent à réincorporer les personnages originels pour des scènes purement futiles (fan service oblige), et à nous offrir un post-générique tentaculaire, comme pour traduire le déclin d’une saga autrefois aventureuse et sensationnelle, en faisant ici l’économie des frais de recherche et développement. Une magie qui semble donc disparue à jamais avec le départ de Gore Verbinski, une magie que Disney tente aujourd’hui de reproduire en vain à travers ses diverses adaptations live sans en insuffler une once d’émotion.
A tel point qu’ils semblent nous rabâcher l’éternelle excuse du « C’était mieux avant » en axant l’intrigue sur la nostalgie d’un passé glorieux, fait de personnages charismatiques et d’un sens hors du commun pour l’épique. Un mot que Hollywood semble avoir oublié ces dernières années à force de tout passer à la moulinette des effets spéciaux inutiles et démesurément anti-spectaculaires. Cultivant l’invraisemblance visuelle et uniformisé sur le modèle commercial du blockbuster linéaire, ce cinquième opus s’enferme donc dans le carcan de la banalité, suivant les pas du naufrage de la fontaine d’incontinence.
Pourtant, jouer la carte de la nostalgie aurait pu donner quelque chose de convenable, là où l’émotion n’a lieu d’être qu’à travers les envolées de la partition originale de Hans Zimmer. Mais mes souvenirs de jeunesse n’ont resurgi que pour effectuer l’inévitable constat d’une œuvre sans ambition aucune, préférant tirer sur des ficelles narratives usées à défaut de renouveler le souffle homérique ; la platitude du récit ne faisant que renforcer l’insignifiance de l’œuvre à mon égard.
Les mimiques de Johnny Depp, épuisant une nouvelle fois des caractéristiques inhérentes à son alcoolo déluré avec une excessivité presque dérangeante, n’arrangent en rien le bourbier dans lequel Disney s’est encore foutu. Un auto-sabotage dans les grandes largeurs, préférant à la folie des grandeurs le divertissement standardisé sans aucune saveur. D’autant plus que chaque tentative aventureuse se solde par une redite insensée d’épisodes exaltés des premiers opus, sabordant le fougueux navire de son invraisemblance digne des vertigineuses aventures de Xander Cage. A l’image de ce casse de banque dénué de toute excitation ou de cet acte final biblique d’une fadeur à vous couper l’envie de saluer des poissons derrière une vitre.
Pire encore, cette étrange impression artificielle et insincère flottant sur l’œuvre, celle d’assister à une attraction où l’on dégobille son gueuleton réchauffé de la veille : faire la queue, attendre pour finalement errer sur l’eau au milieu d’automates défectueux jusqu’à la terne descente finale, espérée mais trompeuse, puis vient le haut le cœur et ne reste qu’un goût amère en bouche. La déliquescence est telle que la croisière aux caraïbes s’apparente plus à une promenade familiale imberbe dans le « It's a Small, Small World ». Et autant dire que ce n’est pas le charisme d’huître de Brenton Thwaites qui empêchera le bateau de couler.
Car, en voguant sur les flots de l’accoutumé, le récit se perd dans une niaiserie inopportune (retrouvailles familiales, humour féministe tout en lourdeur, Bardem plus inoffensif qu’un pistolet d'abattage, etc.) là où Verbinski insufflait une véritable noirceur et frénésie dans l’écriture. Au point qu’une franche amnésie vous harponnera à la sortie de cette émanation mercantile sans piquant : des âmes vagabondes au service d’une franchise condamnée, attendu qu’au cœur de l’océan, personne ne vous entendra sombrer. Et rares sont les séquences permettant à cette Vengeance de Salazar d’émerger à la surface de l’acceptable.
Tout compte fait, sous les promesses de jouvence, l’amertume ressentie face au saccage de mon enfance n’a d’égale que l’insipidité de ce Suicide Squale.
Un nouvel opus sans originalité narrative : on reprend la même recette et on recommence. Bref, notre ami Jack est encore parti pour combattre des mort-vivants. Dommage, la Fontaine de Jouvence avait au moins eu l'originalité d'innover sur ce point. Certains apprécieront peut-être le retour dans l'intrigue des personnages principaux des trois premiers films, mais il s'agit là d'une bien maigre consolation pour ce nouvel opus qui manque de rythme et d'originalité en dépit d'un jeu plus que correct de la part de ses acteurs. Les visuels impressionnants ne parviennent pas à combler l'abysse narrative du film ainsi que son manque de rebondissement et c'est bien dommage. Divertissant mais déjà vu donc. Nonobstant ces critiques, la scène post-générique laisse cependant entrevoir l'espoir d'un sursaut de la franchise dans le cadre d'un hypothétique nouvel opus.
Trés bon film à voir et revoir bravo aux scénaristes qui trouve toujours de nouvelles choses et de nouveaux personnages à explorer. Maintenant je vous donne rendez-vous pour la suite. Car pour ma part les pirates ne sont pas prêt de lâcher leur trésor et un grand bravo à Jerry BRUCKHEIMER.
Un superbe volet bien que malheureusement il n'a pas eu l'effet attendu au box office et remet en cause un 6 ème opus dommage. Je trouve que la saga évolue bien et c'est un plaisir de retrouver pour les fans le capitaines Jack Sparrow aussi déjanté soi-t-il bien que Barbossa lui vole un peu la vedette dont une scène particulièrement touchante spoiler: lorsqu'il se sacrifie . Enfin d'une suite pour continuer à suivre, les aventures de mon pirate favoris, j'espère que ça pourra se faire !
J'avais vu la bande annonce et j'étais vraiment pressée de le voir au cinéma et là un peu déçue... On ne retrouve pas vraiment l'univers de Pirates des caraïbes, l'humour est vraiment très lourd par moment, l'histoire est mal faite on devine tout de suite et c'est beaucoup trop gros! C'est dommage il y avait un vrai potentiel avec de nouveaux acteurs qui sont plutôt bien dans leur rôle, le retour des anciens et un vrai méchant... Bon divertissement sans plus.
Un pirates des caraïbes parmi tant d'autres. Toujours la même chose j'ai l'impression. Cependant, j'ai passé un bon moment. Les images sont magnifiques en IMAX. Mais je ne vois pas trop quoi dire à par le fait que se soit un pirates des caraïbes... Ca ressemble aux précédents, c'est sa propre catégorie de films.
Un scénario qui laisse à désirer. La saga perd de son charme, les trois premiers films étaient biens et se suivaient sans problème avec un méchant très convaincant et sérieux. Depuis Jusqu'au bout du monde, on sent bien que l'unique but est de faire de l'argent sur le rôle de Jonny Depp. Malgré de bons effets spéciaux et une belle réalisation, l'histoire n'est pas convaincante et les nouveaux personnages à peine introduits. Dommage pour une saga qui a autant de succès de perdre peut à peut ses atouts...
Après un quatrième opus détonnant, la saga revient aux origines : un équipage maudit face à Jack Sparrow et un nouveau couple légèrement plus attachant. Le scénario ne fait pas dans l’originalité, et c’aurait été égal si on avait eu notre de dose de scènes époustouflantes et de gags mémorables. Mais les premières se comptent d’une main, et certaines blagues sont d’une lourdeur jamais vue dans les caraïbes, si elles ne sont pas même recyclées. Pas désagréable, mais on était habitué à plus de richesse.
Très mauvais, beaucoup plus destiné aux enfants que les anciens, mais même dans cette optique, répétition encore de la "même histoire" aucunes surprises.