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chrischambers86
14 081 abonnés
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3,0
Publiée le 22 septembre 2017
Jack Sparrow is back! Le plus excentrique pirate du 7ème art va rencontrer le fils du cèlèbre Will Turner! Sparrow aura besoin de son aide pour trouver le Triden du Posèidon qui peut dèfaire toutes les malèdictions existantes dans le monde! Mission ô combien capitale dans l'univers des « pirates des Caraïbes » . Sparrow en aura même besoin car un ancien capitaine du nom de Salazar (Javier Bardem, dans une nouvelle transformation physique) voudra se venger de lui [...] Après une « Fontaine de Jouvence » qui, malheureusement, a mis un petit coup de barre à la saga mais qui donnait une cadence plus enthousiasmante que le volet II et III, "Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales" reprend ètonnamment bien la suite de la trilogie! Retour aux sources donc, avec de l'humour, de l'action, des morceaux de bravoure et de nouveaux personnages comme le fils de Will Turner ou Carina Smith! Ok, rien de bien original me direz-vous dans cette nouvelle mouture qui reprend, une à une, toutes les recettes des prècèdents èpisodes! On savoure pourtant cette nouvelle aventure avec de nombreux mystères! Jack Sparrow est ègal à lui-même et tient l'alcool comme personne! Reste que les F/X procurent pas mal d'èmotions fortes avec une 3D plutôt apprèciable! En dèpit de quelques dèfauts, on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer! Mais que Johnny Depp soit prèvenu : s'il devait y avoir un sixième opus de « Pirates of the Caribbean » , ça ficherait tout par terre car il y a là une bonne (voire èmouvante) conclusion à la saga...
On n'y croyait plus vraiment et ne l'attendions pas plus que ça, mais bon... Le cinquième volet de « Pirates des Caraïbes » est là ! Et bizarrement, à chaque fois j'y crois, d'autant qu'ayant déjà vu les quatre premiers au cinéma, je me dis « logiquement » : pourquoi ne pas aller voir le cinquième ? Et finalement, on ne regrette pas vraiment le déplacement tout en se disant qu'on aurait pu s'en passer... Un peu plus excitant et rythmé que la décevante « Fontaine de jouvence », « La Vengeance de Salazar » s'appuie sur une histoire honnête à défaut d'exploiter tout son potentiel, ainsi qu'évidemment des effets spéciaux de qualité, notamment dans la spectaculaire dernière partie. Pour le reste, c'est vraiment la routine, avec toujours la même recette ne se renouvelant absolument pas, à l'image de celui-ci qui était la force de la saga et en est presque devenu la faiblesse : Jack Sparrow, dont l'humour nous laisse de plus en plus de marbre, sans oublier quelques vrais loupés (la première course-poursuite est trop longue, mais que dire de la scène du "mariage forcé" de Jack, au-delà du gênant)... Le film fait le job, sans plus, à l'image de nouveaux héros mignons mais un peu fades (surtout lui), heureusement « sauvé » par la présence de Javier Bardem, méchant de bonne facture soutenu par des effets visuels bluffants... Voilà voilà. Je ne me suis pas trop ennuyé, mais pas spécialement éclaté non plus : cela aurait pu être mieux, pire aussi... Pourquoi pas, à condition de ne pas en attendre grand-chose.
"Pirate des Caraïbes" dernier opus de Joachim Rønning et Espen Sandberg, ne sera pas l'objet d'une comparaison avec les précédents, n'étant pas un un aficionados du genre, mais plutôt bel et bien une redécouverte, après les tout premiers de cette série... Et il faut bien dire que rien que pour son univers baroque très présent et l'humour qui fait surface à chaque instant, on est vite dans le bain (sans jeu de mot volontaire !), pour un plaisir des yeux évident ! Costumes impressionnants, personnages rocambolesques aux rictus et regards expressifs, à la peau marquée par le temps nous dressent un tableau épique qui vaut déjà une petite prouesse en soi... Les fantômes pour ne parler que d'eux font un effet visuel franchement bien fichu ! Quant aux situations on ne peut plus loufoques les une que les autres, elles sont assez renversantes à nous donner le tournis, à l'image d'une certaine guillotine désopilante et digne d'un manège à sensation, il faut bien le dire ou d'une banque mobile première dans son style... On rit assez souvent des pitreries de Johnny Deep et de son côté décalé "j'y suis, mais pas vraiment...", et à ce jeu en particulier, l'acteur cabotine pas mal mais ça marche ! Maintenant le scénario empile pas mal de scènes drôles, sans sembler véritablement construit solidement, jusqu'à les répéter notamment lors des combats entre bateaux de pirates interposés... Là aussi, c'est plutôt enlevé et plein de trouvailles mais l'histoire aurait mérité un fil conducteur fort un peu plus clair. Les rôles secondaires sont assez typés et apportent leur petit lot de surprises, ce dont Javier Bardem "décomposé ou déstructuré" et très en forme, en est un bon exemple ! Alors à défaut d'un film parfaitement abouti et solide dans sa construction, ce sera avant tout un très bon divertissement qui sous sa forme riche et colorée, nous en met plein les yeux !
Un nouveau méchant par l'excellent Javier Bardem et la présence de Golshifteh Farahani dans un personnage intéressant, sorcière au crâne rasé mais malheureusement complètement sous-exploité. Les "preuves" de renouveau sont légions mais toutes aussi fragiles que superficielles et plusieurs questions sur la cohérence du récit comme se demander pourquoi avoir attendu autant d'année pour libérer le Black Pearl si c'était si simple ?! Et pourtant... le divertissement surnage et permet au film d'être et d'assumer sa mission de divertissement de luxe. Franchement bancal ce film reste pourtant un divertissement honnête en espérant que ce soit le dernier. Site : Selenie
La sortie du dernier PoC me ramène facilement quelque chose comme 10-15 ans en arrière. C'était ce que je regardais à la fin du collège... Et là je me rends compte le principal défaut de la franchise c'est d'avoir fait trop fort avec le premier et de tout faire pour continuer à capitaliser sur un truc qui clairement aurait dû s'arrêter au premier volet. Le fait que le premier incluait déjà des morts-vivants, des malédictions, etc fait que forcément c'est ce qu'on attend de PoC et donc est obligé de servir ça (alors je me souviens mal du 4, mais je crois que pour une fois il n'y avait pas de malédiction), on ne peut pas revenir à une aventure basique sans surnaturel et c'est profondément dommage. Parce que moi leurs histoires de malédictions avec Depp qui cabotine à mort je m'en fous pas mal. Par contre une aventure bien foutue (mais ça c'était mort à partir du moment du choix des réalisateurs... les réal de Bandidas... sérieusement ? Mais qu'est-ce-qui est passé par la tête de Disney à ce moment là ?) toute simple, avec des bateaux, éventuellement un trésor, quelques blagues et la vie en mer, dans les ports, moi je serais preneur. Un film de pirates quoi, pas un machin qui veut te balancer mille effets spéciaux dégueulasse à la gueule par minute.
Je ne me souviens bien que du premier film, mais là je ne vois pas la différence fondamentale entre ça et le premier film. J'ai déjà vu ça. Et même leur attaque de banque au début du film, elle est grotesque, mais pas jouissive pour un sous tant c'est filmé sans ampleur. En plus Depp nous ressort la même soupe, c'est lassant au possible.
J'ai cette impression qu'ils n'arrivent pas à créer de nouveaux enjeux, même faire mourir un personnage n'est pas un enjeu puisque dans les volets précédents des personnages morts réapparaissent... Ce qui fait qu'à la fin on te sort tous les violons, mais ça n'a aucun impact, ce personnage pourrait revenir sans aucun problème ça ne serait plus stupide qu'autre chose dans le film.
Mais bon le film n'est pas à une idiotie prêt, il paraître, mais j'en ai pas le souvenir que Jack se soit déjà séparé de son compas dans les volets précédents sans que ça libère Salazar... donc bon... on aurait pu trouver un truc plus pertinent... mais surtout pourquoi il semble s'être passé trente ans ou quelque chose du genre (dix ans après la fin du 3 pour la scène post générique du 3, 10 ans après pour le prologue de ce film-ci et 9 ans pour le reste du film) entre la fin du 3 et ce film là et personne n'a pris une ride ? Tout ça pour raconter rien de bien intéressant.
Rien d'intéressant mais on a les beaux yeux de deux actrices sublimes qui sont Kaya Scodelario et Golshifteh Farahani (mais on lui a pourri les dents... berk) D'ailleurs second coup de vieux, je me rends compte maintenant que les jeunes premières dans les films sont plus jeunes que moi... Triste. Bientôt décrépi...
C'est même pas un film consternant, c'est juste du vide... et pourtant avec Bardem on aurait pu faire quelque chose de sympa... mais non... Et puis sérieusement ? ça sort quelque chose comme 6 ans après le quatrième avec lequel il n'entretient il me semble aucun lien... mais qui attendait cette suite ? C'est toujours pareil, toujours les mêmes gags pipi caca (il est tombé dans le caca... je m'esclaffe... je me tords de rire... je suis hilare) avec quelques connotations sexuelles, mais rien de bien graveleux...
Et en fait c'est un syndrome qu'on retrouve souvent dans les blockbusters actuels, on ne peut pas faire plus spectaculaire, c'est bon niveau explosions de masse on a déjà tout eu et tant que Fast & Furious n'ira pas sur la Lune en la faisant exploser (je prie Dieu matin et soir pour voir ça un jour) ben ça sera une surenchère totalement vaine... Ton histoire est bateau (ololol) et il n'y a rien que je n'ai jamais vu rien que terme de spectacle...
Même le personnage de Barbossa qui est le vrai héro du film est mal écrit, totalement bordélique, ce qu'il fait n'a aucun sens... Et je passe totalement outre les divers deus ex machina qui donnent juste la nausée... D'ailleurs le film est extrêmement prévisible dans son déroulé malgré le bordel constant et la foultitude de personnages secondaires inutiles (servant justement pour les deus ex machina).
Tiens en parlant d'aucun sens, outre les "face palm" continuelles sur toute la fin du film, dans le magnifique combat final, on a le nouveau jeune premier qui est étourdi et durant tout le reste du film nous a montré la fille comme une femme forte, un peu comme Keira Knightley dans les trois premiers... au lieu d'aller aider Jack elle-même, que fait-elle ? Elle va réveiller l'autre type. Pendant tout le film elle nous casse les couilles avec son "je suis une femme" et finalement dès que ça devient un peu dangereux, c'est bien mieux qu'un homme le fasse..; Si ce n'est pas le symbole du féminisme. Peut-être y a-t-il une métaphore cachée, une lecture plus profonde comme ça pouvait être le cas dans Lone Ranger... Ou alors c'est juste de la merde... au choix.
Bref, c'est à éviter, rien que du réchauffé... Lorsqu'à la cantine on te propose les restes d'il y a six ans, tu les prends ? non... ben là c'est pareil on dit "non merci madame" et on part gerber.
Après plusieurs péripéties en coulisses, voilà que débarque enfin sur nos écrans ce cinquième opus de la franchise "Pirates des Caraïbes". Une franchise qui prenait l'eau avec un quatrième film décevant et assez mou. "La vengeance de Salazar" vient alors redresser la barque mais en faisant le minimum syndical. En effet, le film se contente surtout de copier les ressorts dramatiques du "Secret du coffre maudit" : personnages qui veulent la même chose pour des raisons différentes et un méchant à la tête d'un équipage surnaturel, bestiaire fantomatique poursuivant sans relâche Jack Sparrow. Sachant que parmi les nouveaux venus se trouvent le fils de Will Turner (Brenton Thwaites, complètement fadasse) et une jeune astronome un brin farouche (Kaya Scodelario, rafraîchissante), on comprend rapidement que le nouveau scénariste venu a décidé de pomper une recette qui marche. Sur le papier, certaines idées fonctionnent (la scène introduisant Jack Sparrow qui aurait été franchement plus épique réalisée par Gore Verbinski), d'autres fonctionnent également sur grand écran spoiler: (l'attaque des requins) mais globalement, le film manque d'originalité et surtout de rythme dans sa réalisation. Joachim Rønning et Espen Sandberg semblent inspirés une fois sur deux, réussissant certainement les scènes les plus intimistes que les scènes spectaculaires, manquant de lisibilité. Rien à sauver non plus du côté des acteurs, tous se contentant de faire le minimum syndical et le numéro de cabotinage habituel (Johnny Depp et Geoffrey Rush), laissant peu de place au méchant incarné par un Javier Bardem inspiré même quand il est un peu perdu dans un film. Ce qui vient cependant sauver le film, c'est bien ce certain manque d'originalité lui permettant de puiser dans une recette qui fonctionne, emballant le récit avec rapidité, l'ensemble restant franchement plaisant, ne serait-ce que parce que l'univers est séduisant et que la scène finale laisse arriver une jolie émotion. A noter surtout le maniement de l'humour à la fois grivois et cartoonesque, assez réussi, faisant passer un agréable moment en dépit de tous les poncifs réunis.
Le nouvel opus de la saga Pirate des Caraïbes n'est bien sûr pas le meilleur de la saga mais il n'en reste pas moins divertissant. On reste toujours dans l'ambiance des films, notamment par le grand humour de Jack Sparrow, toujours aussi farfelu et déjanté. On retrouve également d'autres pirates bien connu comme Barbossa ou des membres de l'équipage de Sparrow, mais aussi de nouveaux personnages qui tiennent les rôles principaux: le fils de Will Turner et Carina l'astronome. J'ai beaucoup aimé le nouveau méchant de cette histoire, Salazar incarné par le talentueux Javier Bardem. Le style de son personnage et de son équipage mêlés aux effets spéciaux sont éblouissants. Niveau scénario, rien de folichon, c'est une histoire de pirate et de vengeance assez semblable aux autres, mais qui arrive à tenir le rythme sur la durée. C'est donc tout de même un bon plaisir de revoir notre pirate préféré sur grand écran pour une nouvelle aventure sur les océans.
Je ne pensais pas autant aimer cette suite ! Je ne me suis pas ennuyé une seconde, le renouvellement est là et les personnages également. De nouveaux rebondissements, un passé qui fait surface et un historique de notre pirate préféré qui se dévoile un peu plus. Il faut rester jusqu'après le générique de fin pour comprendre qu'il y aura bien évidemment une suite, ce qui n'est pas forcément pour nous déplaire ! Suite réussie, pour moi.
Était-il bien nécassaire de nous refaire un cinquième volet de « Pirates des Caraïbes » après un quatrième volet qui n’était pas resté dans les mémoires ni pour son utilité ni pour ses qualités artistiques et narratives? Objectivement non. Pas foncièrement mauvais mais certainement pas mieux que ce dernier, ce nouvel épisode vient poser en creux la question du manque d’imagination flagrant des blockbusters hollywoodiens de cet été. Mais également des blockbusters actuels tout court entre franchises, suites, préquels, spin-off, remakes et reboots ! Au niveau de la réalisation, on ne peut rien dire. C’est mis en scène avec soin et les effets spéciaux sont performants mais c’est le moins que l’on puisse exiger pour une production de cet acabit. On ne pourra pas dire que l’on s’ennuie donc, le duo de réalisateurs insufflant assez de rythme à cette énième aventure pour que l’on ne regarde pas trop sa montre.
En revanche, l’histoire est vraiment décevante, le scénario n’arrivant jamais à relancer notre intérêt ni à innover. On nous ressort les mêmes sempiternelles recettes à base de chasse au trésor, de malédictions et de filiations qui nous tombent dessus comme des cheveux sur la soupe. D’ailleurs, le gros de l’intrigue est une copie voire une mélange de tous les autres opus et on voudrait nous faire croire qu’elle innove en recollant les bouts avec certains des personnages des premiers volets. Mais c’est maladroit et grossièrement amené. Et à y regarder de plus près, les détails du scénario ne sont pas forcément très clairs comme si l’équipe en charge de donner vie à ce cinquième volet disposait ses éléments d’intrigue un peu n’importe comment et en dépit du bon sens. Quant aux invraisemblances, il vaut mieux fermer les yeux dessus au risque d’attraper une migraine. Par exemple, Jack Sparrow a tout d’un super-héros tant il parvient à échapper à tous les tirs ou coups d’épée de ces antagonistes !
Quant à Johnny Depp dans le rôle de ce dernier, il fait peine à voir ! Enchaînant les bides depuis quelques années, il s’est dit que remettre les habits de son personnage fétiche allait lui redonner du plomb dans l’aile. Peine perdue, il ne fait plus rire personne et en devient une caricature de lui-même. Il est le vecteur principal d’un humour bêta et lourd qui ne fait plus rire que les enfants. Et encore ! Alors on passe le temps en contemplant quelques scènes d’actions bien exécutées (mention spéciale pour le sauvetage de la potence, assez drôle et original, ou un casse de banque impressionnant), de beaux paysages et quelques clins d’œil savoureux. Mais c’est bien connu, les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleures et il est bien temps d’arrêter les frais d’une recette éculée dont l’histoire n’a pas plus de sens que les péripéties qu’elle véhicule. Et ce n’est pas les nouveaux jeunes personnages, photocopies de ceux d’Orlando Bloom et Keira Knightley dans la trilogie initiale, qui vont changer la donne d’une saga qui s’approche de plus en plus du naufrage.
Après Gore Verbinski qui a popularisé la série Pirates of the Carribean et Rob Marshall qui l'a détruite, on retrouve cette fois derrière la caméra les Norvégiens Joachim Ronning et Espen Sandberg pour une nouvelle histoire des aventures du célèbre capitaine Jack Sparrow. On a bien vu que la qualité des films de la franchise diminuait à chaque épisode... Et relancer cette licence était un pari risqué, alors qu'en est-il de ce nouvel épisode ? Le cinquième volet intitulé Dead Man Tell No Tales tente de redresser la barre mais sans vraiment y parvenir ! Pourtant légèrement meilleur que On Stranger Tides (on ne pouvait pas faire pire), les deux réalisateurs font la même recette pourtant toujours appliquée en voulant revenir à l'esprit du premier et du second tome en mettant des scènes d'action, de l'humour et un brin de romance mais le dosage s'avère douteux et peu convaincant ! Après une introduction enlevante qui annonce une aventure plus sombre que les autres épisodes, on déchante vite puisque spoiler: l'action apparaît toutes les dix minutes... La production a beau être techniquement soignée, son abus d'effets spéciaux se voit très clairement spoiler: - les requins squelettes - et c'est sur un mode comique que la série a toujours été la plus efficace avec quelques moments amusants dans celui-ci spoiler: - la guillotine, le mariage forcé. Johnny Depp tente de sauver ses échecs artistiques en renouant avec le personnage le plus emblématique de sa carrière, il est bon de le revoir en pirate mais c'est avec ce personnage la déception est grande ! En effet, ce fameux pirate spoiler: est devenu un véritable ivrogne, et devient vite lourdaud sur les bords. On voit que l'acteur est fatigué, usé jusqu'à la moelle ! Autres déceptions :spoiler: la voix de Sparrow rappelle celle du Chapelier fou d'Alice aux pays des Merveilles, de même pour celle de Barbossa (après il faut dire que son doublage a été remplacé par un nouveau, suite au décès de son aîné...). Geoffrey Rush fait son job mais il manquait néanmoins, spoiler: des affrontements verbaux avec le capitaine Sparrow. Le méchant particulièrement terrifiant est campé avec aplomb par Javier Bardem ! Les nouveaux Brenton Thwaites et Kaya Scodelario spoiler: ne font que reproduire les scènes et la psychologie du couple formé précédemment à l'écran par Orlando Bloom et Keira Knightley, même si les deux jeunes se débrouillent. Il y a aussi une apparition spoiler: du chanteur Paul McCartney qui tombe à plat... Quel plaisir de revoir les deux personnages emblématiques : spoiler: Will Turner et Elisabeth Swann, mais de très courtes durées - de simples caméos... Néanmoins, l'émotion gagne envers sa finale ! En clair, Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar s'avère un épisode commercial. On n'avait pas besoin d'un cinquième volet ou plutôt de cet effort, le quatre avait été un avertissement et on voit qu'ils n'ont pas encore compris le mot, puisque spoiler: la scène post-générique annonce la couleur d'une suite... Dans cette scène : on retrouve Will et Elizabeth dans leur chambre. Will est hanté par des visions de Davy Jones. Et sur le sol, on aperçoit quelques-uns des coquillages de Jones, ce qui laisse suggérer qu'en raison de toutes les malédictions sur la mer qui ont été brisées, l'ancien capitaine du Hollandais Volant serait de retour.
Mon classement personnel pour cette saga de pirates : La Malédiction du Black Pearl vaut un honnête 4/5 ; Le secret du coffre maudit : vaut un magnifique 5/5 ; Jusqu'au bout du monde : vaut un excellent 4.5/5 ; La fontaine de Jouvence : vaut un piètre 2/5 et La Vengeance de Salazar : vaut un suffisant 2.5/5.
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 12 juillet 2021
Après n'avoir aimé aucun des films de Pirates des Caraïbes je n'avais pas de grandes attentes pour ce film mais je l'ai regardé et j'ai eu raison d'avoir ces faibles attentes. Le principe du film est le retour du capitaine Jack Sparrow qui mène une expédition pour retrouver le Trident de Poséidon tout en fuyant un vieil ennemi. Johnny Depp s'est fait connaître pour le rôle de Jack Sparrow et je pense que dans ce personnage il donne généralement le meilleur de lui-même jusqu'à ce film. Il a un peu du charisme et des nuances de Jack dans ses performances qui le rendent divertissant et ce personnage n'est qu'une coquille de lui-même. Javier Bardem est le principal méchant de ce film et j'ai trouvé qu'il n'était même pas un bon méchant. De toute façon tous cette série de films Pirates des Caraïbes ne peuvent satisfaire que des adolescents et pas des adultes comme moi...
J'ai vu par le passé tous les autres films de cette saga. J'apprécie beaucoup. Tout naturellement et avec plaisir j'ai été voir ce nouveau volet qui s'avère excellent. C'est franchement du super bon divertissement bien calibré et qui permet de se détendre et de passer un très bon moment. Un vrai régal.
Bon, ben pas grand chose à dire sur ce divertissement fun et coloré, à la narration bordélique. Déjà, j'avais fait l'impasse sur l'épisode précédent, réalisé par un R. Marshall trop impersonnel pour moi, et voir ce duo norvégien à la barre pouvait faire craindre le pire. Si techniquement, rien n'est vraiment mauvais, je trouve qu'il manque surtout la patte d'un G. Verbinski qui était capable de mettre du souffle dans ses plans, ce qui manque grandement à cet épisode qui tente bien sûr de relancer la saga. On fait donc revenir O. Bloom au début, on introduit son fils qui rencontre forcément une jeune fille au caractère bien trempé tandis que Sparrow reste comme à son habitude ivre mort, incapable de mettre au point un plan correct mais qui s'en sort toujours. Le film permet aussi de découvrir un pan de son passé, face à un J. Bardem pas mauvais en méchant ultime mais sans plus. Chacun fait le taf en bon technicien et artisan qu'il est, certains effets spéciaux sont réussis, quelques plans sont vraiment bien épiques mais ça reste un divertissement générique. Pas détesté mais pas vraiment pris mon pied non plus. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
La décennie 2010 a été difficile pour Johnny Depp, qui a enchaîné les échecs commerciaux. D'autant plus que l'acteur a été pris au piège de son personnage le plus célèbre, Jack Sparrow, dont il a eu énormément de mal à se défaire dans ses autres rôles. Néanmoins, en 2017, Depp a embrassé cette malédiction, reprenant le rôle de Jack Sparrow (on ne doute pas que la monnaie sonnante et trébuchante a du aider...). Ce cinquième volet démarre de manière laborieuse. Il enchaîne les grosses facilités (comme par hasard, tous les personnages sont à St-Martin en même temps, pratique !). Et réunit avec difficulté les protagonistes autour de leur quête commune. Tandis que l'on enchaîne des scènes trop longues ou vraiment peu crédibles (le braquage de banque) avec quelques trouvailles amusantes (l'anachronisme de la guillotine). Mais une fois que les voiles sont hissées, "Dead Men Tell no Tales" (également titré "Salazar's Revenge") est un film d'aventure sans temps mort. Le méchant incarné par Javier Bardem est plutôt réussi, qu'il s'agisse de son concept, des effets visuels, ou de sa noirceur. On retrouve Geoffrey Rush, cette fois en flibustier à succès, dont le bateau et les costumes ont beaucoup d'allure, même si l'acteur parait à nouveau fatigué. Quant à Johnny Depp, il n'apporte rien de plus à ce personnage, devenu une sorte de bouffon affolant la planche à billets. Toutefois l'acteur injecte toujours une certaine énergie. spoiler: Notons au passage une scène de rajeunissement numérique étrange, où l'on reconnait à peine l'acteur ! Pour ce qui est des nouveaux héros, on dira qu'ils sont complémentaires... A l'image de son père à l'écran, Brenton Thwaites est fade et a du mal à porter l'intrigue, mais il a le mérite d'avoir un arc narratif simple et efficace. C'est l'inverse pour Kaya Scodelario, personnage aux motivations tirées par les cheveux, mais qui a du caractère et des idées. Pas vraiment convaincant et encore moins nécessaire, ce cinquième film a tout de même le mérite d'être meilleur que son prédécesseur.
Un cinquième opus qui tente de renouer avec les origines de la saga. Les deux réalisateurs derrières la caméra apportent quelques nouveaux éléments à la mythologie Pirates des Caraïbes, via un méchant charismatique qui a un passé commun avec Jack. Pour autant La Vengeance de Salazar apparaît plus factice, comme si ce film avait perdu l'âme de la franchise encore d'avantage que La Fontaine de Jouvence. Un Johnny Depp fatigué, un personnage en panne d'inspiration, et des scènes d'action très loin du rythme endiablé des épisodes de Verbinski. Un divertissement passablement agréable mais qui ne restera pas dans la mémoire des fans.