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weihnachtsmann
Une cérémonie de spiritisme donne lieu à la réapparition d'un mort disparu sur un lac en laissant derrière lui une petite fille. Peti film expérimental et très stylisé avec une jolie fin émouvante.
Un court-métrage étonnant de Park Chan-Wook qui nous immerge de plein pied dans la culture asiatique,entre chamanisme et pardon,le tout tourné avec un iPhone! "Night Fishing" est une œuvre à part entière de 33 minutes,où l'on passe du noir et blanc à la couleur,à mesure que ce pêcheur prend conscience de l'importance de la prise qu'il vient effectuer. Chan-Wook étouffe un peu l'émotion avec la virtuosité de sa caméra et son montage inutilement compliqué. Les liens entre le monde des vivants(le bord d'un lac)et le monde des morts(un atelier de confection)sont palpables,comme s'il ne faisait qu'un. Tout cela est presque abscons,mais terriblement envoûtant.
Yetcha
Plus expérimental qu'autre chose, cette performance du génial Park Chan Wook vaut surtout par son originalité. Un film tourné avec 2 iPhones et sorti sur grand écran. Avec un budget de 100.000 dollars et une équipe de 80 personnes, le coréen nous livre une histoire décalée et des légendes traditionnelles entremêlées. Sans grand intérêt donc, le scénario laisse surtout la place au décryptage de la technique. Je suis d'ailleurs surpris de voir qu'il ne filme pas beaucoup mieux que "monsieur tout le monde" avec du matériel comme celui là. À voir par curiosité mais ne vous attendez pas à un grand film.
Le concept de filmer avec l’iPhone 2010 est cool, fun, des matériaux cheap et moyennement finance, le besoin d’acteurs sélectionnés et de mise en scène comme un pro. Le smartphone-man tourne la manivelle noir blanc et objectif couleur, du rock orchestre coréen pour une histoire de pêcheur nocturne tranquille tombant sur un gros morceau, une femme esprit de petite fille des limbes. L’intrigue voyage spirituellement vers une cérémonie rituelle de chamanisme, la fin est une œuvre d’art émouvante, hypnotisante figure perçante d’hommes et de femmes période Choson historique, du picturale appelé Manhwa dans ce court métrage d’une rareté précieuse.
A l’image du chapeau qui vole en introduction, ce film est un OVNI, à la fois déjanté, drôle et émouvant. Park Chan-Wook étonne encore une fois en nous livrant une œuvre forte tant par son esthétique que par son histoire.
A travers ce synopsis simple, PARKing CHANce nous offrent une magnifique métaphore du passage du mort vers l’au-delà, s'amusant à distiller çà et là des éléments pour nous aiguiller et éveiller notre curiosité.
En quelques minutes à peine, les frères Park abordent la perte d'un être cher et le chamanisme avec certes peu de sobriété mais une grande résonance.
Ces 33 minutes de film paraîtront peut-être obscures à celui qui ne s’intéresse pas à la culture asiatique, mais elles subjugueront peut-être le curieux et l’amateur d’art.
A travers ce synopsis simple, PARKing CHANce nous offrent une magnifique métaphore du passage du mort vers l’au-delà, s'amusant à distiller çà et là des éléments pour nous aiguiller et éveiller notre curiosité.
En quelques minutes à peine, les frères Park abordent la perte d'un être cher et le chamanisme avec certes peu de sobriété mais une grande résonance.
Ces 33 minutes de film paraîtront peut-être obscures à celui qui ne s’intéresse pas à la culture asiatique, mais elles subjugueront peut-être le curieux et l’amateur d’art.