Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Alain Grasset
On n’attendait pas [Christopher Walken] forcément aussi crédible et touchant. Le reste de la distribution est au diapason de ce film classique et presque parfait.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Quand les ego s'entrechoquent, les âmes ne sont plus au diapason. Ce film maîtrisé, écrit comme une partition, file avec brio la métaphore entre vie et musique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Film classique et cependant agréablement détonnant du côté des sentiments. "Le Quatuor" [est] assez impressionnant de virtuosité.
Ouest France
par La Rédaction
Le sujet est suffisamment fort en lui-même pour faire venir à l'écran les émotions multiples. D'autant qu'elles sont vécues par un casting de premier choix (...).
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Ce joli film (...) comblera cinéphiles et mélomanes.
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Si le réalisateur sature un peu son intrigue, accumulant les crises psychologiques et cas de conscience, il approche en revanche avec subtilité la mécanique et les affects propres à cette formation-famille musicale (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Frédéric Foubert
La mise en scène et les dialogues, un peu raides, (...) empêchent ce "Quatuor" de tenir la note jusqu'au bout.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
La partition est convenue mais interprétée par un casting de virtuoses. Tant et si bien que la petite musique de ce psychodrame en charentaises finit par doucement nous gagner.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
L’envie nous tenaille de pardonner au "Quatuor", au nom de l’Art, ses élans pas trop arrangeants. Fâcheusement, le cinéaste a insufflé à son œuvre une dimension ésotérique pour le moins troublante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Yaron Zilberman tente de mêler morceaux de bravoure musicaux et chronique sentimentale, mais l’ensemble sonne faux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
Yaron Zilberman recourt à tous les possibles scénaristiques qui s'offrent à lui (...), au risque de la surenchère dramatique. Regrettable [qu'il] n'ait pas fait davantage confiance à la capacité d'émotion de ses excellents acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Yann Tobin
Pendant une demi-heure le film fonctionne (...) Puis tout dérape : le pathos inonde le récit comme dans un soap de luxe (...) et la mise en scène se banalise.
Critikat.com
par Ariane Beauvillard
(...) cette histoire de relations amoureuses et amicales, dont le moteur musical n’est jamais réellement mis en scène, se perd dans les méandres de la répétition des mêmes fragments, des mêmes motifs, à peine nuancée par une pléiade d’acteurs sous-exploités.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Jacques Morice
Même un mélomane inconditionnel de Beethoven aura du mal à s'enthousiasmer pour ce drame compassé de Yaron Zilberman, confit de psychologie et de trémolos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
On n’attendait pas [Christopher Walken] forcément aussi crédible et touchant. Le reste de la distribution est au diapason de ce film classique et presque parfait.
Les Fiches du Cinéma
Quand les ego s'entrechoquent, les âmes ne sont plus au diapason. Ce film maîtrisé, écrit comme une partition, file avec brio la métaphore entre vie et musique.
Marianne
Film classique et cependant agréablement détonnant du côté des sentiments. "Le Quatuor" [est] assez impressionnant de virtuosité.
Ouest France
Le sujet est suffisamment fort en lui-même pour faire venir à l'écran les émotions multiples. D'autant qu'elles sont vécues par un casting de premier choix (...).
Télé 7 Jours
Ce joli film (...) comblera cinéphiles et mélomanes.
La Croix
Si le réalisateur sature un peu son intrigue, accumulant les crises psychologiques et cas de conscience, il approche en revanche avec subtilité la mécanique et les affects propres à cette formation-famille musicale (...)
Première
La mise en scène et les dialogues, un peu raides, (...) empêchent ce "Quatuor" de tenir la note jusqu'au bout.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La partition est convenue mais interprétée par un casting de virtuoses. Tant et si bien que la petite musique de ce psychodrame en charentaises finit par doucement nous gagner.
aVoir-aLire.com
L’envie nous tenaille de pardonner au "Quatuor", au nom de l’Art, ses élans pas trop arrangeants. Fâcheusement, le cinéaste a insufflé à son œuvre une dimension ésotérique pour le moins troublante.
Le Journal du Dimanche
Yaron Zilberman tente de mêler morceaux de bravoure musicaux et chronique sentimentale, mais l’ensemble sonne faux.
Le Monde
Yaron Zilberman recourt à tous les possibles scénaristiques qui s'offrent à lui (...), au risque de la surenchère dramatique. Regrettable [qu'il] n'ait pas fait davantage confiance à la capacité d'émotion de ses excellents acteurs.
Positif
Pendant une demi-heure le film fonctionne (...) Puis tout dérape : le pathos inonde le récit comme dans un soap de luxe (...) et la mise en scène se banalise.
Critikat.com
(...) cette histoire de relations amoureuses et amicales, dont le moteur musical n’est jamais réellement mis en scène, se perd dans les méandres de la répétition des mêmes fragments, des mêmes motifs, à peine nuancée par une pléiade d’acteurs sous-exploités.
Télérama
Même un mélomane inconditionnel de Beethoven aura du mal à s'enthousiasmer pour ce drame compassé de Yaron Zilberman, confit de psychologie et de trémolos.